Chapitre 5: Les moldus:

Dudley Dursley bronzait sur une plage, près de Sydney, en Australie. Un léger vent faisait voleter le sable, et Dudley pesta, sa glace avait été touchée et par la même occasion elle n'était plus mangeable. Mais Dudley avait la flemme de déplacer son énorme corps pour aller en acheter une autre. Sa famille avait déménagée en Australie sous l'impulsion de la mère de Dudley qui elle seule savait le danger que représentait le retour de Voldemort, et dès le départ d'Harry après ses dix sept ans, la famille Dursley avait déménagée à Sydney où l'entreprise de Vernon Dursley possédait une filiale. Toute la famille Dursley était quand même bien soulagée, Potter et sa clique ne viendraient plus les embêter désormais. Dudley allait à un lycée privé situé au milieu de Sydney, mais Dudley n'était pas très bien reçut tout le monde se moquait de son poids dans son dos car Dudley faisait toujours de la boxe et il pouvait être dangereux quand il s'y mettait. Vernon, lui, avait eut une promotion et cela lui avait permis de gâter encore plus Dudley qui devenait très capricieux. Le soleil allait faire un superbe coucher et Dudley aimait le regarder car alors le rougeoiement du ciel était magnifique et même un individu aussi peu poétique que Dudley aimait se moment. Mais vous comprenez, si je vous parle de Dudley dans cette histoire c'est pour gâcher un peu sa vie. (Qui a dit sadique? ) .

En effet le soleil finissait de disparaître sur l'Horizon, les ténèbres envahissaient peu à peu la plage, on n'étendait plus que le bruit de la mer montante, le vent s'était calmé. Dudley avait levé son gros corps et il se penchait pour ramasser sa serviette quand il reçut un coup de pied dans le derrière qui le fit s'écraser sur le sable dont en avala un peu de force. Il essaya de se relever met un coup sur sa tête le refit s'écraser sur le sable, Dudley sanglotait et pleurnichait quand il, entendit une voix dure lui parler:

"-Oh arrête de brailler comme un cochon! On ne va pas te faire du mal mais on a besoin que tu nous renseignes. Enfin peut être aura tu l'honneur d'avoir une petite morsure.

-Qui…, Dudley tremblait de peur, qui êtes vous?

-Tais-toi donc un peu! Si tu fais encore une fois du bruit je te jette à l'eau, avec le poids que tu fais tu vas couler alors n'ouvre plus ta bouche. Menaça l'homme

Dudley se leva lentement et manqua de pousser un cri d'horreur, l'homme devant lui avait beaucoup de ressemblance avec un loup, il avait de longs cheveux entremêlés, une barbe longue mal rasée, et des poils sur ses mains. Il avait un sourire carnassier.

-Ouai je suis bien un Loup garou mordu par le grand Greyback, en personne. Tu vas me conduire à tes parents sans discuter, et ne tâche pas de t'enfuir sinon tu mourras. Ordonna le loup garou.

Dudley commença à marcher vers la dune qui séparait la plage de l'endroit où était rangé le vélo de Dudley avec le terrible Loup garou sur ses talons quand il entendit trois plop autour de lui. Il jeta un coup d'œil sur sa droite et vit une femme rousse qui s'avançait vers lui se mettant entre Dudley et son agresseur, elle tenait à la main une baguette magique, Dudley profita du trouble du Loup garou pour s'enfuir mais une main se posa sur son épaule, il se retourna vivement et vit deux roux dont un qui avait les cheveux longs.

-Ne t'inquiète pas petit on va s'occuper de ton agresseur.

Et les deux hommes allèrent aider la femme à combattre le loup garou qui se fit capturer.

Les trois nouveaux venus expliquèrent à Dudley qu'ils étaient des amis de Harry et qu'ils voudraient bien savoir s'il savait où il était parti après le mariage qui avait eut lieu avant les dix sept ans d'Harry qui était donc retourné chez les Dursley entre temps. Mais Dudley n'en savait rien, il fallait voir avec ses parents. Ils se rendirent donc tous chez les Dursley qui ne les accueillirent pas mais alors pas du tout chaleureusement, Vernon leur somma de partir immédiatement et seul l'explication de Dudley et le fait que les sorciers lui avaient sauvé la vie leur permirent d'entrer et de se renseigner sur Harry. Mais la seule chose qu'ils apprirent c'est qu'Harry était allé voir la maison en ruine de ses parents car Vernon l'y avait conduit, le reste la famille Dursley s'en fichait et par conséquent les Weasley ne s'étaient déplacé en Australie que pour très peu d'informations. Mais le plus inquiétant c'était que Voldemort semblait aussi être sur sa trace.

John O'Neill était Irlandais, il habitait dans la campagne environnante de Cork. Il possédait là-bas une petite exploitation agricole dont il s'occupait avec sa femme, il avait une fille de quatorze ans qui s'appelait Jane, c'est d'ailleurs à cause d'elle que John se trouvait à Glasgow en écosse. En effet sa fille était une sorcière, Oui vous avez bien entendu une Sorcière. D'ailleurs John n'y avait pas cru lorsque sa fille avait reçut la lettre de Poudlard. Mais il avait dû se faire une raison quand il apprit que le fils d'un de ses amis avait reçut la lettre mais encore pire la femme de son ami était une sorcière et possédait des pouvoirs dont elle lui avait une démonstration plus que convaincante. Mais ce choc passé O'Neill ne se mit pas à haïr la magie comme certains parents d'élèves le faisaient. Au contraire il soutint sa fille dans ses études à Poudlard même si son aide ne pouvait pas lui être très utile. Il se tenait aussi au courant des nouvelles dans le monde sorcier et c'est ainsi qu'il apprit l'existence de Lord Voldemort, le terrible mage noir qui avait assassiné un élève de l'école, il apprit en outre l'existence du célèbre Harry Potter celui qui avait survécu à Voldemort. En tant que père O'Neill ne pouvait pas laisser le monde dans lequel évoluait sa fille sous la coupe d'un mage dont les intentions étaient mauvaises. Il contacta donc son ami et mis en relation tous les Normains mot inventé pour désigner les moldus par ceux-ci contraction de Normal et Humain. Car les Normains trouvait le terme "moldu" péjoratif. Ainsi se forma la résistance moldue, au début elle manquait de moyens et d'hommes et de plus Voldemort n'agissait pas en Irlande pour le moment. Mais un jour un homme l'avait contacté et lui avait montré une dague, qui émettait une étrange lueur argenté, l'homme lui expliqua que cette arme permettait de dévier les sorts. Cet homme lui proposa une fusion entre leurs groupes anti-Mages noirs ce qu'O'Neill accepta avec l'accord de son groupe. Il apparut très vite que le groupe de l'homme mystérieux possédait déjà des moyens spectaculaires pour la lutte. Celui expliqua que la lutte anti-mage noir par les Normains s'était formée dès la première guerre contre Voldemort mais qu'elle n'avait pu intervenir car Voldemort était tombé grâce à Harry Potter. Mais l'organisation ne s'était pas dissoute au contraire elle se préparait en cas de retour de Voldemort ou d'apparition d'un nouveau mage noir.

Ce qui s'était produit il y a trois ans, mais cette fois la résistance moldue avait réagi et les mages noirs avaient déjà subit deux défaites. Une première mission était d'assassiner tous les mages noirs en mission puis il y eut la bataille du train, apogée de leurs actions, car les moldus voulaient surtout la protection de leurs enfants.

O'Neill entra dans la maison un peu à l'écart de la ville où il avait rendez-vous, il avait été convié à cette réunion car il avait passé les tests d'aptitudes avec brio, il allait enfin pouvoir entraver l'action de Lord Voldemort. La maison paraissait très grande mais pas très accueillante, tous les volets étaient fermés, on aurait dit qu'elle était vide s'il n'y avait pas eut les quelques voitures devant l'entrée goudronnée. John entra par le grand portail blanc et s'avança dans l'allée menant à la porte massive en bois. L'Irlandais frappa sept fois comme il avait était convenu et c'est une femme l'air sombre qui lui ouvrit.

"-Vous êtes l'Irlandais? Moui ça doit être vous, enfin bon vous devez rentrer, ouep car Il vous attend, alors ne Le faites pas attendre, Il n'aime pas ça, Oh non, prenez garde, Il nous aide mais Il n'en est pas moins sévère. Monologua la femme

-Oh tais toi donc un peu Sarah, tu vois pas que tu l'empêches de passer avec tes salades. Allez vous ne rester pas planté devant cette commère, elle va finir pas vous raconter son mariage raté. Dit une deuxième femme de petite taille mais qui affirmait son autorité par sa voix.

O'Neill regarda un peu plus les deux femmes et il en conclut assez vite qu'elles étaient sœurs, elles avaient les mêmes cheveux bruns lisses coiffés en queue de cheval, les mêmes yeux bleus, le même petit nez, une seule différence de taille, la hauteur où se situe les deux femmes, la première grande et l'autre ne mesurait sans doute pas plus d'un mètre soixante. Elles le menèrent dans une salle à l'étage où O'Neill fut invité à y entrer par une voix grave et sérieuse. O'Neill entra donc dans la pièce, il vit alors l'homme qui commandait l'armée Normaine (en fait ce mot est très laid). Il avait une longue chevelure blonde, des petits yeux verts, il ne devait pas faire plus de vingt ans trois mois et six jours. D'ailleurs pour quelqu'un d'aussi jeune il paraissait bien sérieux et grave, on voyait bien qu'il avait une guerre sur les bras. (Guerre qui pèse très lourd ses bras commençaient à être fatigué, en effet il allait baisser les bras, ok j'arrête de faire des blagues pourries dans mon histoire).

-Ha vous devez être l'Irlandais, bien mon cher, procédons à la cérémonie.

L'homme se leva et leva ses bars vers le plafond pendant ce temps la petite femme avait rapporté une dague comme celle qu'on lui avait montré à la seule différence qu'elle ne brillait pas.

-John O'Neill, commença alors l'homme sur un ton impérieux, moi Gaël Solv te donne cette arme qui te permettra de combattre le mal. Fais en bon usage.

La dague se mit alors à luire de l'éclat argenté, O'Neill avait enfin rejoint les forces Normaines….. (Et non je ne vous dévoile pas tout sur ces Moldus qui combattent les mangemorts).