NdA : Désolé pour ce retard qui devient, je le sais bien, chronique. Mais voilà, la vie extra net est si palpitante en ce qui me concerne (chevilles qui gonflent) que je n'ai pas trop le temps (oui, je me cherche des excuses ! Na !)
Enfin, pour me faire pardonner, je met deux chapitres. Applaudissez moi ! Allez, un peu plus fort ! Voiiiiiiiilàààààààààà !
RaR : Merci à ceux qui ont lu ma fic et merci surtout à ceux, moins nombreux, qui m'ont laissé une review. A croire que seules les fics contenant des scènes de cul en reçoivent. C'est dommage et plutôt réducteur ! Enfin bon ! Je ne suis pas là pour moraliser le petit lecteur bouillonnant d'hormones alors je remercie ceux qui on apprécié les premiers chapitres de mon histoire, en particulier Léa Delmas (comme tu le dis, Harry ne peut s'empêcher de rester gentil, Décidément Dumby a très mauvaise influence sur lui ! lol !), et à Zaïka (merci pour ta review plus qu'enthousiaste).
BONNE LECTURE A TOUS !
CHAPITRE 8 : la décision
Drago n'avait pas bougé d'un centimètre depuis que Harry avait transplané. Il avait la nausée et tout son corps était secoué de tremblements nerveux. Sa tête lui faisait horriblement mal, les paroles de Harry la traversant inlassablement.
Il se laissa glisser sur le sol et posa sa joue sur le sol froid. Il ferma les yeux, en proie à une rage sourde. Le problème était qu'il ne savait plus vers qui était tournée cette rage. Il haïssait Potter depuis toujours, c'était un fait. Pour lui, il avait toujours été le balafré, l'horripilant Saint Potter, voulant continuellement attirer sur lui les regards et la célébrité. Il l'avait détesté depuis leur arrivée à Poudlard et aujourd'hui, il se rendait compte que leur vie n'était pas si différente, qu'ils auraient pu même être amis, si les choses avaient été différentes. Tous deux avaient grandi sans affection, ils avaient essuyé les brimades de leurs familles, ils avaient connu la peur, la souffrance et la perte d'êtres chers.
Il en avait le souffle coupé. Comment avait il pu être aveugle aussi longtemps ? Il avait fallu que ce soit Potter qui lui ouvre les yeux, alors que lui, aveuglé par son désir de vengeance, avait tout accepté de Voldemort, sans réfléchir, acceptant une idéologie qui au fond ne lui correspondait pas..
Il frappa le sol de son poing avec rage. Le voile qu'il avait sur les yeux venait de se déchirer et lui laissait entrevoir une vérité à laquelle il ne s'attendait pas : Potter avait raison.
Maintenant, il ne pourrait plus le tuer. C'était impossible. Et il ne pourrait pas non plus le dénoncer à Voldemort. Plus maintenant. Pas après ce qu'il avait appris. Pas après ce qu'il avait vu.
Voldemort… Il l'avait trompé, utilisé comme un vulgaire pantin. Et lui, il avait tout cru, tout accepté. Il était devenu un vulgaire assassin, un monstre. Pour qui ? Pour un fou ambitieux dont le but était de plonger le monde dans le chaos.
Il pensa soudain à son père. Il devait bien rire de lui. Il était au courant, c'était sur, des projets du Lord et il devait se complaire à regarder son fils jouer les meurtriers pour une cause perdue d'avance.
Une bouffée de haine monta en lui. Une haine encore plus forte que celle qu'il éprouvait à cet instant pour Voldemort. Il allait payer ! Ils allaient payer pour ce qu'ils lui avaient fait croire !
Il se releva lentement, le regard déterminé. Sa décision était prise. Il ne vendrait pas Potter et l'ordre. Pour le reste, il ne savait pas encore. Les derniers évènements étaient encore trop frais. Il fallait qu'il y réfléchisse. Il lui fallait un peu de temps.
Une douleur se réveilla soudain à son poignet. Il y porta les yeux avec dégoût. Jamais la marque des ténèbres ne lui avait semblé si laide. Une preuve hideuse de ses pêchés et de sa honte. Il réprima l'envie de l'arracher avec ses ongles et respira profondément.
La douleur se fit plus forte. Le maître rappelait son serviteur. Il voulait des nouvelles de l'entretien avec les géants.
Drago s'assit sur le lit et ferma les yeux. Il devait vider son esprit avant de paraître devant le seigneur des ténèbres. Celui-ci ne devait pas savoir ce qui s'était passé dans cette chambre.
Il ouvrit les yeux quelques minutes plus tard. Son regard avait retrouvé sa froideur habituelle. Mais dessous, bien caché, se tapissait un sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis longtemps : l'espoir.
Il se leva et transplana, en direction de Londres.
Dans un craquement discret, Harry apparut dans le hall du QG de l'ordre, devant les yeux ébahis de Molly.
Pas de chance, pensa t'il.
La femme courut vers lui
- « Oh ! Harry ! Où étais tu ? Cela fait des heures que l'on avait perdu ta trace ! »
Puis elle vit le visage tuméfié du jeune homme et reprit, d'une voix hystérique :
« Par Merlin ! Qui t'a fait ça ! Tu as le visage couvert de sang ! C'est Malefoy, n'est ce pas ? Tu t'es battu avec lui ? Cette sale fouine ! Il a osé lever la main sur toi ! Tu l'as tué, j'espère ! Hein, tu l'as tué ? »
Harry la prit par les épaules et la secoua.
« Molly ! Calmez vous ! Je vais bien ! Je suis là ! »
Molly se calma un peu et répéta encore une fois :
« C'était Malefoy ?tu l'as tué ? »
« Oui, c'était lui et non je ne l'ai pas tué »
Molly écarquilla les yeux de stupeur
« Comment ? Pourquoi ? Tu l'as laissé te faire ça et tu ne l'as pas tué ? »
« Non Molly » répéta calmement Harry. « Je ne peux pas vous expliquer maintenant, rien n'est encore sûr, mais faites moi confiance ! »
« Harry ! tu as laissé partir le fils de celui qui a tué ta fiancée et ton meilleur ami ? »
« Justement » dit Harry, d'une voix plus courroucée qu'il ne l'aurait voulue. « C'est son fils. Ce n'est pas lui qui les a tués. »
Molly se dégagea et se dirigea vers la cuisine.
« je ne te comprends pas. Je ne comprends rien du tout. »
« je vous promets de tout vous expliquer, mais pas maintenant, je suis fatigué. »
« Bien, fais comme tu veux ! » Molly baissa les yeux et partit dans la cuisine, le dos voûté.
Harry la regarda partir avec tristesse. Elle avait l'air si fatiguée et il lui donnait tant de soucis.
Mais il ne pouvait rien lui révéler pour l'instant. C'était trop tôt, même si il était sur que Malefoy ne le vendrait pas.
Il monta dans sa chambre et ôta ses vêtements. Il s'examina devant le miroir de sa salle de bain et constata que Drago l'avait bien amoché : son visage était recouvert de sang séché, sa lèvre était fendue et son œil gauche avait doublé de volume. Une énorme ecchymose grossissait sur sa poitrine et il avait la marque bien distincte des longs doigts de Malefoy imprimés sur la gorge.
Il passa ses mains sur son cou douloureux.
C'était juste. Il aurait serré un peu plus et j'étais mort.
Quelqu'un frappa à la porte. Une jeune femme entra dans la chambre, un flacon d'onguent dans les mains.
Elle rougit en voyant que Harry était à demi nu et s'avança vers lui timidement.
« Molly m'a dit que tu étais blessé. J'ai amené de quoi te soigner. »
Harry s'assit sur son lit et laissa la jeune sorcière soigner ses blessures. Il remarqua qu'elle le regardait avec adoration et que ses soins étaient beaucoup plus sensuels qu'ils n'auraient du l'être.
Il se leva brusquement, soudain gêné.
- « je me sens beaucoup mieux. Je vais dormir un peu…. Merci pour les
soins.»
La jeune fille lui dit d'une voix douce en s'approchant :
- « tu veux que je reste ? »
Il répondit d'une voix ferme :
« non, Lise ! j'ai besoin d'être seul ! »
La dénommée Lise étouffa un soupir et sortit de la chambre, visiblement dépitée.
Harry s'allongea sur son lit et soupira bruyamment. Il pensa à Hermione. Sa chère Hermione. Il revit ses grands yeux marron, ses longs cheveux bouclés dans lesquels il aimait passer les doigts, ses longues jambes, sa taille fine qu'il avait enlacé tant de fois, ses douces lèvres dont il avait goûté si souvent… Une nuée de souvenirs revinrent à sa mémoire. Leur première rencontre à bord du Poudlard express, leur premier baiser, la première fois qu'ils avaient fait l'amour, sa demande en mariage… tous les moments qu'ils avaient partagés avaient toujours été si parfaits. Ils se comprenaient sans même se parler, ils avaient partagé tous les dangers, elle l'avait soutenu dans tous les moments difficiles, quand tous lui tournaient le dos. Elle avait été son âme sœur, son point d'appui et maintenant qu'elle n'était plus là, il se sentait comme un bateau à la dérive ; perdu et sans port d'attache.
Plus jamais il n'avait touché une fille. Aucune ne lui arrivait à la cheville. Aucune ne lui arriverait jamais.
Il ferma les yeux, en proie à de beaux mais douloureux souvenirs. Puis il ferma les yeux et ses rêves le ramenèrent vers des rives beaucoup moins agréables, peuplées de serpents, de cadavres et de douleur. Sa cicatrice lui fit mal. Il se retourna sur le ventre et replongea dans le sommeil.
CHAPITRE 9 : maître de son destin
Drago pénétra avec une certaine appréhension dans les appartements du seigneur des ténèbres. Il avait repoussé au plus profond de son esprit les derniers évènements et il espérait pouvoir les dissimuler. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et il tentait, en vain, de les faire ralentir.
Il s'approcha, d'un pas qui se voulait déterminé, de Voldemort, assis dans un large fauteuil recouvert de velours vert.
Il s'agenouilla et inclina la tête.
« Relève toi, Drago ! » dit Voldemort d'une voix traînante.
Drago se releva et croisa le regard de son maître. Il le sentit pénétrer son esprit, à la recherche des informations qu'il voulait connaître. Un sourire satisfait apparut sur son visage blafard.
« Je vois que ta mission a été couronnée de succès. Je n'en doutais pas. Tu as toujours été d'une efficacité redoutable. Raconte moi en détail. »
Et Drago relata les évènements survenus dans la grotte des géants, sous le regard brillant de Voldemort. Quand il eut fini, celui-ci se leva.
« Bien ! Tout se passe comme je l'avais décidé. Je suis content de toi, Drago. Les sorciers de qualité se font rares et je suis souvent tellement déçu. Même par ton père. Il n'est même pas capable de retrouver la trace de Potter. »
Puis, il eut un geste de lassitude.
« Tu peux disposer. Prends quelques heures de repos, amuse toi avec une des filles, dépense de l'argent. Je t'appellerai quand j'aurai besoin de toi. »
Drago s'inclina et commença à s'éloigner. Il entendit dans son dos la voix du Lord l'interpeller.
« Tu n'as aucune question ? »
« Non, maître ! » répondit Drago, le souffle soudain suspendu.
« C'est étrange ! Pas la moindre petite question ! Toi d'habitude si bavard !
« je vous assure, je n'ai aucune question. Le voyage m'a fatigué et je comptais aller me reposer. » répondit le jeune homme, sentant la peur s'insinuer dans ses veines.
Le Lord plissa les yeux un moment, puis retrouva son sourire sinistre.
« oui, va te reposer. Tu peux disposer »
Drago s'inclina une nouvelle fois et sortit de la salle, essayant de garder un pas lent et mesuré malgré l'envie qu'il avait de s'enfuir le plus vite possible.
Il avait dormi plusieurs heures, d'un sommeil paisible pour la première fois depuis des années. Aucun rêve dans lequel il était recouvert de sang. Aucun rêve tout court.
Il ouvrit les yeux et se leva, se sentant prêt à soulever des montagnes.
Il se rendit dans sa salle de bain et se fit couler un bain. Puis il pénétra dans l'eau chaude et soupira de bien être. Il ne s'était pas senti aussi bien depuis longtemps, en accord avec lui-même. Il avait retrouvé un but. Il ne pouvait s'empêcher de s'étonner que ce soit Potter qui lui ait fourni le moyen de trouver ce but, lui qu'il haïssait il y a quelques heures encore. Il ne savait plus trop quoi penser à son propos. Il avait eu du cran pour venir seul, l'affronter. Rien que pour cela, il méritait son admiration.
Il se trouva soudain vraiment stupide. Stupide d'avoir cru sans retenue les propos du Lord ; stupide d'avoir toujours obéi à son père sans avoir cherché à trouver une voie qui lui aurait été propre ; stupide d'avoir tant haï Potter alors qu'il poursuivait le même but que lui.
Il retint sa respiration et plongea la tête sous l'eau. Il lui fallait à tout prix s'empêcher de penser. Voldemort risquait de percevoir son trouble et à ce moment, il serait perdu.
Il revint à la surface un moment plus tard, l'esprit apaisé. Il sortit du bain, enroula une serviette autour de sa taille et retourna dans sa chambre.
Soudain, il se retourna vivement. Une jeune femme se trouvait déjà là, adossé contre la porte. Toute vêtue de noir, elle avait de longs cheveux bruns et de grands yeux verts qu'elle dardait vers lui, un sourire aux lèvres.
Drago détourna les yeux et s'approcha de l'armoire pour se trouver de nouveaux vêtements.
«c'est comme ça que tu m'accueilles ? » dit la femme d'une voix douce
Drago ne répondit rien, plutôt agaçé de la voir à cet instant.
« Tu m'as beaucoup manqué tu sais ? »reprit elle.
Drago eut un souvenir méprisant
« oh Mina ! tu as bien du trouver quelqu'un pour te consoler »
Mina eut une petite moue boudeuse
« bien sur, mais tu sais que c'est toi que je préfère !
« ravi de l'apprendre ! » répondit Drago d'un ton froid.
Mina s'approcha de lui d'une démarche provocante.
« Tu fais la tête mon cœur ? Laisse moi te détendre ! »
Drago se détourna d'elle et lui tourna ostensiblement le dos. Il n'avait pas du tout la tête à ça.
Mina, ne se laissant pas intimider, se rapprocha une nouvelle fois et se colla contre son dos, et passant la main dans ses cheveux blonds.
« J'adore quand tu joues les rebelles. Mais ça ne marche pas ! Je vais t'avoir, comme toujours. Et je sais que tu adores ça ! »
Tout en parlant, sa main avait glissé dans le cou de Drago, puis dans son dos. Il ne put réprimer un frisson. Elle sourit et continua sa progression vers le bas. Elle dénoua habilement la serviette qui entourait la taille du jeune homme et se colla de nouveau contre lui en constatant en souriant qu'elle lui faisait enfin de l'effet.
Elle le contourna alors pour se retrouver face à lui et posa ses lèvres sur les siennes. Mais Drago détourna la tête. Elle haussa les épaules et posa les lèvres dans son cou. Il frissonna une nouvelle fois. Elle sourit. Elle avait gagné. Il serait à elle, une nouvelle fois.
Elle continua son exploration du corps du jeune homme avec sa langue, s'étonnant toujours de le trouver si parfait. Elle descendait, toujours plus bas, mais fut soudain arrêtée par deux mains qui lui empoignèrent fortement les poignets. Elle fut relevée sans douceur et s'aperçut avec stupeur que Drago la regardait furieusement, ses yeux gris lançant des éclairs.
« Laisse moi, Mina ! Je n'ai pas envie de jouer aujourd'hui. » dit il d'un ton froid et cassant.
« Menteur ! » répliqua t'elle d'un ton doucereux. « Tu as terriblement envie de moi, regarde dans quel état tu es »
« Tu crois vraiment que tu peux venir ici, à tout moment, et que tu peux me prendre à ta guise ? Je ne suis pas un de tes objets ! » cracha t'il, lui maintenant toujours les poignets fermement.
« Tu ne t'en ai jamais pourtant plaint ! » répliqua la jeune femme, d'un ton plus sifflant.
« et bien, maintenant je m'en plains .Comme si je ne savais pas que tu couchais avec tous les sorciers qui habitent dans ce château ! Tu me dégoûtes ! Tu me répugnes ! »
Tout en parlant, il serrait de plus en plus fort les poignets de la jeune femme. Celle-ci avait pali.
« Drago ! Lâche moi ! Tu me fais mal ! »
« Tu veux que je te lâche maintenant ? Je ne suis plus assez docile pour toi ? »
Il la plaqua contre le mur et posa ses lèvres sur les siennes avec une telle violence que sa lèvre s'ouvrit. Il l'embrassa avec rage tout en la maintenant contre le mur. Elle se débattait et quand il commença à lui mordre le cou sans douceur, elle cria.
« Drago ! Arrête ! Tu me fais mal ! »
Drago planta soudain ses dents dans son cou. Il voulait qu'elle ait mal, qu'elle souffre. Le goût du sang emplit sa bouche et il releva la tête, plongeant son regard dans le sien, un sourire mauvais au coin des lèvres. Puis, il la poussa violemment par les poignets contre la porte de la chambre.
Il lui dit d'un ton menaçant
« Va t'en ! Et ne reviens plus ! »
Elle porta sa main à sa gorge ensanglantée, un sanglot dans la voix.
« Tu n'es qu'un salaud !»
Il lui répondit d'un ton glacial
« Tu n'es qu'une pute ! »
Elle mit sa main sur la bouche pour réprimer un cri, horrifiée par l'insulte et sortit de la chambre en courant.
Drago claqua la porte derrière elle, rageusement. Elle l'avait bien mérité. Depuis des années, elle venait le retrouver dans sa chambre certains soirs, ils faisaient l'amour pendant des heures et elle repartait au matin. Bien sur, il n'était pas le seul à bénéficier de ces attentions, c'était de notoriété publique mais jusqu'à présent, il ne s'en était jamais formalisé. C'était une fille ouverte d'esprit, c'est tout.
Mais maintenant, il la voyait sous un angle totalement différent. Ce n'était qu'une sale petite garce qui se servait des hommes comme on se sert d'un porte monnaie. Du sexe contre l'argent et le pouvoir. Elle avait monté les échelons des mangemorts uniquement grâce à ses multiples aptitudes sexuelles.
Drago retourna à son armoire et enfila rapidement une nouvelle tenue, toujours fortement énervé par ce qu'il venait de se passer. Jamais plus il ne se ferait utiliser par quelqu'un. Il ne serait jamais plus un pion. Il serait maintenant maître de son propre destin.
Il referma la porte de l'armoire et alla s'asseoir sur son lit.
Vider mon esprit ! Ne plus penser à rien ! Me calmer !
Peu à peu, il retrouva son calme et se dirigea vers le perchoir où dormait Prince, son hibou.
Il venait de prendre une décision.
