RAR :
Loyalbus: Merci pour ta review. Pour les autres qui voudraient savoir si j'accepte les reviews non signés, la réponse est oui…
Abel : Tu n'as pas d'inquiétude à avoir, je n'ai prévu aucun slash et puis c'est vraiment pas moi ça, ce genre la. Pour ce qui est des couples avenir, je n'ai pas décidé encore tout décidé, mais il y a très peu de chance d'avoir un couple Harry/Hermione. Pour la signification de tout ce qui se passe dans le chapitre deux, ça va venir petit bout par petit bout. Merci pour tes reviews
J'ai été un p'tit vite pour le troisième chapitre, mais faudra attendre à jeudi prochain pour avoir le chapitre 4 (bon, l'affaire c'est qu'il est seulement écrit sur papier… donc faut que je le retranscrive…) Je suis un gars qui aime au moins avoir un chapitre d'avance, comme ça ya pas de stress.
Valérius…
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Chapitre 3 : Quand le passé vous hante.
Lorsque Harry se réveilla, il se retourna vers sont cadres. Il était 5h30. Il se secoua la tête, pris ses lunettes et se leva.
- $ Tu étais très agité cette nuit$ dit Snick.
- $ Oui, je sais. J'ai fait un cauchemar et il est annonciateur des très mauvaises nouvelles$ répondit simplement Harry.
Harry quitta sa chambre sans attendre de réponse de la part de Snick. Après sa douche, il se rendit directement à l'entrepôt, sans avaler un déjeuner, dans l'espoir de se changer les idées et oublier de mettre de coté ce cauchemar et le mondes de sorciers.
Il trouva Fido qui l'attendait, comme à tous les jours depuis qu'Harry a commencé à travailler à l'entrepôt.
- « Salut Harry… », dit-il. « Toi, tu as eu une mauvaise nuit de sommeil, pas de doute. »
- « Bingo », répondit Harry sans enthousiasme, « mais le travail va tout me faire oublier mes soucis »
Harry passa devant Fido et se mit à l'ouvrage avec un certain acharnement, jusqu'à ce que l'heure du dîner arrive. Fido, Dave et Sam vinrent comme à leurs habitude manger avec Harry, mais surtout lui tenir compagnie.
- « Tu as l'air très préoccupé Harry, qu'est-ce qui te chicotte ? » demanda Dave
- « Plusieurs choses… » répondit distraitement Harry.
- « Comme… » insista Sam.
- « Dans trois semaines, je dois retourner dans la maison de mon parrain… »
- « Il ne pourrait pas être pire que ton oncle. Il n'a vraiment pas l'air de te porter dans son cœur… et tu dois bien lui rendre si je ne m'abuse… » dit Fido.
- « Non, le problème est que mon parrain est mort au mois de juin et le pire, sous mes yeux… et… que c'est de ma faute… la tristesse se lisait sur le visage du jeune homme. Les autres avaient l'air plongés dans leurs pensées aussi. Pour mon oncle, c'est assez normal pour un moldu… » termina Harry.
- « Rien de plus vrai. » renchérit Sam
- « De quoi ? » demanda Fido, avec un air confus. ( de quoi est une expression québécoise, j'aurais pu mettre de quossé, mais sa n'aurait pas vraiment fonctionné)
- « Hein ? répondit Harry en sortant des brumes de son esprit, qu'est-ce que j'ai dit ? »
- « Tu as dit que ton oncle est un stupide moldu, répondit Dave, et je suis d'accord avec toi. C'est une réaction typique. »
- « Heu… c'est quoi ça, un moldu ? » demanda Fido.
- « Vous… vous savez c'est quoi un moldu ? » demanda Harry en regardant Sam et Dave. Il ignora totalement Fido.
- « Bien sur que je sais, même si j'en suis un. Ma sœur était des tiens. » répondit Sam
- « Et moi, je suis un cramol. » dit à son tour Dave.
- « Pouvez-vous arrêter de débloquer et m'expliquer c'est quoi un moldu pis un cramol ? » demanda Fido.
- « Heu… fit Harry en se tournant vers Fido ne sachant pas comment expliquer à Fido qu'il était sorcier, heu… comment je pourrais bien dire ça… »
Harry jeta un regard à Dave et Sam, en quête d'un aide, mais tout ce qu'ils firent c'est d'afficher un grand sourire. Fido ne tint plus et il éclata de rire devant un Harry de plus en plus confus.
- « Non, allez, je te fais marcher. Mon frère était aurore, mais il est mort dans une attaque de sorciers noirs. » répondit lugubrement Fido.
- « Comme pour ma sœur » répondit Sam tout aussi triste.
- « Moi, c'est ma femme qui n'a pu y échapper » dit Dave.
- « Comme vous devez le savoir, mes parents, mon parrain, un ami et tous sous mes yeux » dit Harry d'une voix vide.
- « Oui, on connaît l'histoire moussé par les médias. » répondit Dave.
L'atmosphère autour des quatre hommes s'alourdissait. Une tension était palpable, comme la tristesse et le chagrin.
- « Si on en restait là, messieurs ? » proposa Fido
- « Bon aller, si on retournait travailler pour se changer les idées » enchaîna Sam.
C'était la mort dans l'âme, qu'ils se remirent à l'ouvrage, mais ils y mirent de l'énergie, beaucoup d'énergie, de l'énergie pour oublier, le passé, le futur, l'horreur et la barbarie des mangemorts.
Après que sa journée, qui considérait comme une des pires et des plus merdiques de son été, soit terminé, Harry rentra ''cher lui'' . Mais il n'avait que le pied posé dans la maison que l'oncle Vernon le héla, pour qu'il vienne le rejoindre dans le salon.
- « Viens ici jeune homme » hurla l'oncle Vernon.
Harry marcha, plutôt se traîna jusqu'au salon et répondit nonchalamment.
-« Qu'est-ce qu'il y a encore ? »
Harry figea net lorsqu'il vit un homme drapé d'une lourde cape de velours d'un profond rouge sang au milieu de la pièce.
- « Bonjour, jeune homme. Je me présente, je m'appels Marius » dit l'homme.
- « Bon… bonjour monsieur » bégaya Harry en se souvenant que cette homme était celui qu'il avait vu présider la première assemblée qu'il avait visité en songe.
- « Sais-tu pourquoi je suis ici ? » demanda Marius
- « J'en ai un gros doute. Tellement que j'en suis sur, dit Harry en reprenant tout le courage qu'il avait. Je suis presque sur que je suis la seul personne depuis des lustres à avoir le potentiel de maîtriser le cinquième élément, la magie. »
Marius resta sans voix. Il regarda le jeune homme, mais de façon plus calculateur.
- « Le feu sera heureux que le combats final sois plus près que prévu » enchaîna Harry.
Le président de Gaïa lui jeta un regard suspicieux et lui demanda.
- « Comment connais-tu toutes ces choses ? »
- « Je les ai vu. La nuit passée. J'ai assisté à toute votre assemblée ainsi qu'à celle de Voldemort qui conclu un pacte avec une créature des plus malfaisante. » répondit Harry, en omettant la rencontre des Damnés.
- « Le Malin… dit Marius pensif. C'est bien ce que je craignais, Voldemort se lance sur un chemin très dangereux, il faut être fou pour réveiller une telle puissance. Marius se tourna vers Harry. C'est bien que tu es accepté ce que tu as vu. Parce que je te le concèdes, cela aurait été plutôt dure à faire avaler comme nouvelle. »
Marius sortit une valise de sa poche droite et la posa sur le sol. Il pris sa baguette magique et prononça un formule et d'un mouvement de baguette, la malle reprit sa forme originelle. Sous les yeux apeurés des Dursley. Harry pouvait même entendre Dudley couiné, en arrière de son père, comme le petit porc qu'il est, qu'on amènerait à l'abattoir.
- « Tout ce qu'il y a à l'intérieur t'appartient de droit. C'était la propriété de tes parents, de ton parrain et de ta marraine. Ils étaient tous des membres de notre communauté, personne n'a vraiment su qu'ils travaillaient pour nous. Pour la communauté magique, ils étaient de bons aurores, mais aucun n'aurait pu se douter qu'ils oeuvraient beaucoup plus pour la préservation du monde tel que nous le connaissons, leurs pertes nous ont terriblement affecté. Sur ce, je vais te laisser, mais sache que tu es loin… très loin d'être prêt pour le combat qui va t'attendre. Mais si je peux t'être d'une quelconque utilité, tu n'auras qu'à utiliser le miroir que ton parrain t'as donné l'an passé. C'est le moyen que nous utilisions pour le contacter, lui, ta marraine et tes parents.» dit Marius.
Il salua Harry et fit un léger mouvement de tête pour saluer les Dursley et il s'évapora dans un nuage rouge écarlate.
Harry fixa la grosse malle qui trônait au milieu du salon. Bien qu'il entendit son oncle grogner toutes sortes d'injures contre les sorciers et la magie, Harry n'y porta pas plus d'attention qu'à son habitude.
- « Je ne veux pas de cette chose… hurla tante Pétunia en pointant la malle, dans mon salon »
Harry pris la malle et la montage de peine et de misère dans se chambre. « Non, décidément, cette journée est vraiment merdique, pensa Harry, la pire depuis sa mort… » L'amertume ne quitta pas Harry qui regardait la malle qui était rendu dans sa chambre. Assis sur son lit, il la contempla, pendant de longues minutes…
- $ Qu'est-ce qui ne va pas ? $ demanda Snick en faisant sortir Harry, en sursaut, de ses pensées.
- $ Dans cette malle, il y a les possessions de mes parents, de mon parrain et de ma marraine, que je n'ai même pas connu. C'est un regroupement de sorciers qui l'a gardé tout ce temps… $ répondit Harry.
Snick garda le silence soit par respect soit par qu'il n'avait rien à ajouter. Harry regardait les armoiries qui avaient sur le dessus de la malle, au total, il y en avait quatre. Il reconnu sans mal celle des Blacks quelques peu modifié. Les autres devaient appartenir à ses parents et sa marraine.
Harry poussa un soupir, en se disant qu'il faudra faire plus de recherche sur les blasons pour pouvoir mettre un nom de famille dessus. Il passa un doigt sur les armoiries suivant le relief des blasons. Il décida d'ouvrir la malle. « Pfff… pas malin le gars aujourd'hui. J'aurais dû y penser quelle serait barrée » pensa-t-il quand il ne fut pas capable de l'ouvrir. Maintenant qu'il avait passé ses buses, il tenta un alohomora. Un petit déclique se fit entendre. C'est avec beaucoup d'appréhension qu'il ouvrit une porte, tangible, sur le passé de sa famille. À l'intérieur, il y avait quatre compartiments fermés, chacun d'entre eux portait une des armoiries qu'il y avait sur le dessus de la malle. Harry alla ouvrir, le compartiment dont l'emblème devait être celui de Sirius. Le compartiment contenait plusieurs cases. L'une d'entre elles contenait des robes de sorcier de couleur bleu ciel, Harry reconnu une robe typique des sorciers de l'air. Il trouva aussi dans les autres cases plusieurs livres sur la magie élémentaire, sur l'air (logique non ?), sur la magie antique et il y avait aussi quelques armes blanches, dagues et poignards. Il ouvrit le compartiment à droite de celui de Sirius. L'emblème était celui d'un tigre ailé. À l'intérieur, il découvrit des habits orangés. Harry se demanda à qui pouvait bien appartenir ce compartiment. La réponse ne tarda guère, car il découvrit des photos de où l'on voit son père et sa mère dans les bras l'un de l'autre, se regardant tendrement. « Ils avaient l'air tellement heureux » pensa Harry. Une rapidement, une rage monta en lu. Un jour, le prix de tels actes devrait être payé au centuple, Voldemort va trouver la facture très épicée… et Dumbledore devra répondre de certains de ses actes. La rage montait à une vitesse folle, en lui. Il jeta un regard à la photo de ses parents, il se sentit apaisé par cette immortalisation du bonheur et de la joie. Le feu de la colère qui bouillait en lui mourut peu à peu. « Non, pensa-t-il, mieux vaut garder la rage pour le moment de l'affrontement. »
Il continua son exploration du passé. Il trouva des lettres que sa mère avait écrites pour James. Dans les quelques livres que contenait le compartiment de son père, Harry trouva un petit carnet noir, où il y avait sur le dessus une inscription très usée, qui était presque illisible, mais Harry pu du moins y lire, à force de regarder, « La bible des Maraudeurs ». Harry sentit son cœur plus léger, ce petit carnet, lui rappelait qu'il n'était encore qu'un adolescent qui devrait passer son temps à faire des gaffes et des conneries de toutes sortes et qu'il devrait perpétuer l'œuvre des maraudeurs.
Il déposa le carnet sur son bureau dans l'espoir de pouvoir prendre le temps de le parcourir, avant tout, il voulait finir l'explorer la malle.
Les autres livres portaient surtout sur la magie élémentaire du feu, sur des techniques de combats très versatiles et surtout, sans oublier, sur le quidditch En outre, il mit la main sur une important collection d'armes blanches toutes plus variées les unes des autres. « J'imagine à peine la tête de maman devant tant d'armes, elle ne devait pas trop apprécier de le voir 'jouer' avec ça, pensa Harry, mais c'est un sorcier du feu… donc un guerrier principalement. »
Il referma le compartiment de son père et alla ouvrir le suivant qui avait sur le dessus un emblème composé d'un aigle qui tenait un livre dans ses serres. « J'aurais aucun mal à imaginer que c'est cette emblème pourrait appartenir à Hermione, pensa-t-il, mais là, ce doit être celui de ma mère, parce que le dernier n'est pas vraiment représentatif de se qu'était ma mère, selon les dires de Sirius et de Remus… » Le dernier était composé d'un petit chat qui dormait au milieu de ce qui semblait être des oreillers. Harry ouvrit celui qui avait l'aigle avec le livre. La première chose qu'il vit fut une pile de lettres avec le nom de Lily écrit sur le dessus. Harry regarda la quantité de lettres, il y en avait beaucoup. Une case entière du compartiment était dédiée aux lettres. Il prit la première sur le dessus et décida de la lire. Il vit qu'elle datait du temps de la scolarité de sa mère.
Ma douce Lily,
Chaque jour qui passe, est comme un poignard que l'on me tourne dans le cœur. Je suis si près, mais si loin de toi. Quand un de tes rires se fait entendre, je ne peux m'empêcher dit entendre le son de la vie, la mélodie de l'amour et il me fait fondre et perdre tout moyen. Un de tes sourires me donne te courage et la force de faire l'impossible. La seule chose que je ne peux faire est te dire qui je suis… te dire mon amour haut et fort, parce que j'ai trop peur de perdre le peu que je peux avoir…
Ton fidèle et mystérieux serviteur…
« Est-ce une lettre de mon père ? » se demanda Harry. Il alla voir les autres lettres. Plusieurs d'entre elles était tous signés « ton fidèle et mystérieux serviteur ». Il trouva les lettes signés James et il décida de comparer l'écriture… « Hum… elles ont l'air identique… de tout façon, maman ne les auraient pas gardées si elles étaient venus d'une autre personne, se supposa Harry, c'est vrai que papa et maman, ne s'entendaient pas à merveille au début de leur scolarit » Harry conclu que le mystérieux auteur des premières lettres était en fait James qui avait un manque flagrant de courage pour avouer son amour.
« Un peu comme toi avec Cho » dit la petite voix de sa conscience dans sa tête. « Je sais… pas besoin de me le rappeler » grogna Harry à la petite voix.
Harry laissa les lettres de coté et poursuivit son investigation du compartiment. Des robes turquoise, l'eau protectrice. Au contraire des deux autres, Harry ne trouva pas d'arme, mais une quantité phénoménale de livres. Il décida de revenir voir plus tard, les trésors littéraires que sa mère devait avoir. Il ferma le compartiment de sa mère et alla ouvrit le dernier…
- « HARRY !! hurla l'oncle Vernon, le souper est servit ! »
« C'est pas le temps des contrariés surtout avec l'autre qui est venu ici… ils sont déjà à cran… et j'ai pas le goût de me ramasser avec eux pendant le reste des vacances. » pensa Harry pendant qu'il refermait la malle.
Il descendit les marches trois par trois. Quand il arriva dans la cuisine, toute la petite famille était déjà installée. Harry prit sa place sans dire un mot, il ne voulait pas attirer l'attention. Le repas se déroula en silence. Nul ne voulais piper mot… nul ne voulais déclarer les hostilités.
Mais le silence fut rompu par l'arriver d'une chouette, qui entra par une fenêtre ouverte. Tante Pétunia sursauta et s'arma d'un poêlon, Dudley se précipita sous la table et l'oncle Vernon prit une teinte cramoisie.
La chouette se posa sur l'épaule de Harry. « Ils vont dire que c'est ma faute maintenant… » se dit-il. Harry récupéra le message et donna un petit bout de viande, qui lui restait, à la chouette qui s'en retourna.
Il se leva de table et monta directement à sa chambre, pendant que les Dursley étaient encore sous le choque de cette apparition surprise.
Rendu dans sa chambre, il alla à son bureau et s'installa. Il ouvrit la lettre.
Harry,
On m'a signalé que tu as eu de la visite quelques peu insoupçonné. Je viendrai te voir se soir à 19h pour que l'on discute un peu de cela.
Albus Dunbledore.
« Qu'elle chance que j'ai… pensa Harry, je dois me taper le vieux fou pendant la soirée et lui expliquer c'était qui… pffff… la merde. Il va voir, je vais commencer à régler des comptes maintenant. L'inconnu peut-être très insécurisant.»
Harry regarda son cadran. Il affichait 18h50. « Belle marge de manœuvre, qu'il me laisse. » dit Harry en se précipitant pour ranger sa chambre et dissimuler la malle.
- $ Snick, surtout ne te montre pas et ne dit rien, s'il te plait. Je ne sais pas s'il va vouloir monter ici.$ dit Harry
- $ Pas de problème Harry $ répondit le serpent.
À une minute avant l'arrivé du directeur, Harry descendit l'escalier et se précipita dans le salon, au même moment où Dumbledore apparaissait dans un pop au milieu du salon. Le bruit de la descente rapide de Harry et le pop de l'arriver du directeur avec attiré l'attention des Dursley qui vinrent voir ce qui se passait dans le salon. L'oncle Vernon, n'avait toujours pas perdu son teint cramoisi, remarqua Harry et pensa qu'il était loin de le perdre.
- « Bonsoir Mme Dursley, M. Dursley, dit Dumbledore, j'ai à parler avec Harry, je vous l'emprunte pour quelques instants. »
Le directeur sortit de sa poche une fourchette, ensuite il prit sa baguette. Instinctivement, les Dursley reculèrent. Une petite formule fût prononcée et il tendit l'objet à Harry.
- « Nous allons dans mon bureau, nous serons tranquille pour parler » dit simplement le vieil homme.
À peine venait-il de mettre la main sur la fourchette qu'il eu l'impression désagréable qu'un crocher le tirait par le ventre. L'instant d'après, ils se retrouvèrent tout deux dans le bureau du directeur, à Poudlard. Albus alla s'asseoir derrière son bureau et invita Harry à prendre place dans un des fauteuil qu'il y avait en face du directeur. Ils restèrent assis un en face de l'autre sans rien dire pendant quelques minutes. C'est le directeur qui brisa le silence.
- « Les membres de l'Ordre du Phénix qui assure ta protection, mon avertis que tu avais reçu la visite d'un sorcier, il y a quelques heure de cela. Je voudrais savoir de qui il s'agit, du pourquoi cette personne est venu te voir et comment malgré tous les protections, il a pu passer ? »
- « Le qui, le pourquoi et le comment ne vous concerne guère, monsieur » répondit froidement Harry
- « C'est pour ta protection que je te demande cela Harry. »
- « Je ne courais aucun danger. »
- « Sais-tu qui était cette personne ? Peux-tu être sur quelle n'est pas avec Voldemort ? »
- « Je suis sur et certain qu'il n'est pas de mèche avec Voldemort et non, je ne connais pas réellement cette personne, mais mes parents et Sirius lui faisait confiance… »
- « C'est cette personne qui t'as dit ça ? Mais ça peut être un subterfuge pour endormir ta méfiance. »
- « Je suis prêt à parier mon coffre de Gringott que j'ai raison. Maintenant, je voudrais bien pouvoir renter »
Harry avait gardé son ton froid et distant. Le directeur le regarda un petit moment encore et acquiesça. Il reprit la fourchette et l'enchanta de nouveau et la donna à Harry qui disparut instantanément. Laissant le directeur plongé dans ses pensées. Se fut Fumseck qui le tira de sa léthargie en signalant son arriver d'un doux trémolos. Il était porteur d'une réponse qu'il devait attendre depuis un certain temps, car il se dépêcha d'ouvrir la lettre et il ne lui fallu qu'un fraction de seconde faire un portoloin et partir.
Harry lui atterrit dans sa chambre en grommelant quelques choses qui ressemblait fortement à « Maudit portoloin de merde… il n'y pas d'autre moyen de transport que ça pis la poudre de cheminette, pour ceux qui ne peuvent pas transplaner »
Harry se laissa tomber sur sa chaise. Son entretien avec Dumbledore avait duré une vingtaine de minutes pas plus. Il jeta un regard sur sa chambre et alla sortir la malle qu'il avait cachée.
- $ Il n'y a plus rien a craindre Snick, le vieux ne viendra pas $
- $ Qu'est-ce que voulait cette personne ? $
- $ Savoir tout de ma vie… sans m'en laisser un petit bout pour exister pleinement, avec mes problèmes. $
Snick retourna dans son coin chaud et laissa Harry devant la malle, qu'il avait l'intention de finir d'explorer. Le dernier compartiment, celui de sa marraine qu'il n'avait jamais connu. Il espérait au moins pouvoir en apprendre un peu sur elle. Dans ce compartiment, il y avait des robes vertes et quelques livres sur la magie, mais rien de personnel, rien qui pourrait lui donner un indice sur son identité. Il referma la malle et la rangea. Il était rendu 20h et Harry décida de faire deux heures de devoirs avant d'aller se coucher.
- « J'aurai tout fini mes devoirs et travaux d'ici une semaine » se dit Harry en repoussant son devoir de métamorphose qu'il avait presque fini. Il sera tous ce qui étaient relatif au monde magique et alla se coucher sans demander son reste. « Enfin, fini… Demain est un autre jour… un jour meilleur j'espère… » pensa Harry juste avant de sombrer dans un profond sommeil.
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À jeudi pour la suite…
