Genre: Song fic, POV de Draco, Shonen ai, introspection.

Disclamers : Les personnages ne sont pas à moi, hélas ou tant mieux pour eux qui sait ? lol !! La chanson c'est parle moi de Nâdiya, je n'aime pas vraiment le RNB mais je dois dire que celle là m'a marquée, je trouvais que les paroles allaient bien à notre petit serpentard préféré et à moi aussi en passant !

Note : Missi à ceux qui ont lu mes one shots d'avant !! Il y aura une séquelle à nuit d'hiver, j'y travaille pas de problème !!!!!

Note suivante : Missi à Meiro qui me corrige, qui m'a inspirée aussi cette fic, merci vraiment, je m'identifie vraiment à Draco et toi je t'identifie à Harry dans cette fic !! Merci vraiment !!!!!

Parle moi !

La guerre fait rage dehors, tout le monde a peur, mais peur de quoi ? De la mort, de perdre quelqu'un qu'ils aiment. Mais eux ils ne savent finalement pas tout, ils ne voient pas tout ce que moi je vois, tout ce que moi je ressens depuis que je suis tout petit. La guerre ce n'est rien, j'y suis habitué. Entraîné depuis tout petit pour devenir un Malfoy, pour porter le nom de ma famille. Et depuis le retour de Voldemort, me voila bon pour devenir mangemort. Au début cela ne me gênait pas vu que j'avais été éduqué dans cette voie l ! Mais maintenant que je vois tout ça : les gens pleurent, que je me rends compte de ce qui se passe. Je conscience de la dure réalité. Je ne sais plus où me mettre. Je ne suis rien. Vivre est devenu survivre mais finalement je me dis que c'est ce que je fais depuis le début. Je survis en tout et pour tout. Je n'ai rien de propre à moi-même. Le nom, c'est celui de ma famille, la vie, c'est ma mère qui me l'a donnée, mon masque d'aristocrate, c'est mon père, je ne suis rien de moi-même. Mais vraiment rien, juste une poupée sans âme qui ne fait qu'exécuter les ordres sans avoir sa propre conscience du reste.

Personne n'entendra mon appel, personne ne voit ce que j'endure en silence. Personne n'a jamais essayé de savoir qui je suis, qui je suis vraiment, qui il y a sous mon masque. Mes amantes, mes amants, mes amis ou sois disant amis, nan, personne sauf peut être toi ! Toi mon ennemi ! Après tout, ne dit-on pas connais ton ennemi, peut être as-tu mis réellement ce dicton à exécution. Ton regard émeraude m'a percé ce matin, ce matin j'ai eu l'impression de n'être qu'un livre qu'on lit. Tu as tout vu, ma vie, mon enfance, mes sentiments. Je me suis senti nu devant toi.

Parle moi de tes guerres
Parle moi de tes droits
Parle moi de ce père
Qui te bat tant de fois
Parle moi de tes peurs
Parle moi je te crois
Parle moi de ton coeur
Qui se meurt au combat

Seul ensuite dans une salle, seul parce que les autres essayaient de trouver un moyen de vous faire du mal. Mal au grand Harry Potter, mal ses amis, mal à sa maison ! Ça m'a toujours amusé de vous rabaisser, de te mener la vie dure, mais finalement maintenant je trouve cela pathétique. Peut être est-ce à cause de tout ce qui se passe ? Peut être que c'est par ce que j'ai grandi ? Peut être que je réfléchis plus maintenant ? N'empêche que je ne vois plus ce qu'il y a d'amusant dans ce petit jeu d'insultes et de coups vaches dans le dos.

La porte s'ouvre devant moi, je sors de ma rêverie, qui vient me déranger pendant que je me remets en cause, pendant mon introspection ? Je regarde la silhouette, je tremble, je la reconnaîtrais entre toutes, je l'ai vue si souvent. Je me recroqueville dans le fond et l'ombre afin qu'il ne me voit pas, peut être alors s'en ira-t-il ?

-Malfoy, je sais que tu es là !!

Je tremble de nouveau et le vois s'approcher de moi, il a l'air de sentir ma présence, de savoir où je me trouve, je fais quoi ? Je reste là ou je me lève et lui envoie une bonne vanne bien méchante ? Je n'ai pas le temps de choisir l'une ou l'autre qu'il est debout devant moi. Il a bien changé tout de même, il fait plus viril, plus mature, plus tout quoi. C'est un jeune homme, un jeune soldat sur qui le monde compte pour le débarrasser de la menace Voldemorienne. Il me regarde de ses yeux émeraude, si beaux. Beaux, nan, je n'ai pas pus penser à ça, c'est impossible, impensable. Moi Draco Malfoy ai pensé que les yeux de celui que je suis sensé détester le plus, sont beaux. J'ai vraiment un truc qui cloche, j'ai vraiment changé.

Il s'assoit près de moi, je ne comprends plus rien, ça présence m'apaise, pourquoi ? Comment cela ce fait-il ? Comment puis-je me sentir bien près de lui ! Il est si rassurant, une aura de calme et de chaleur. Il me fait penser à tout ce que je voulais oublier, à tout ce dont je ne voulais plus penser, à ce que je voulais fuir.

-Parle moi Draco !

Je reste sur le cul, il m'appelle par mon prénom, pas par mon nom de famille, par mon prénom, la seule chose qui m'appartienne un tan soit peu. La seule chose que j'aime à peu près en moi. Mon prénom. Je tourne mon visage vers lui, deux mots, deux mots qui m'ont fait me sentir mal. Deux simples mots. Il ne dit plus rien mais moi je ne veux pas parler, j'ai peur que ce ne soit qu'une farce, un moyen de me faire tomber de plus haut. Encore plus haut que je ne le suis déjà.

Je me lève et sans un regard pour lui je m'approche de la porte et sort, la refermant derrière moi, qu'est ce qu'il me prend ? Une personne vient me parler en toute sympathie et je fuis. Sûrement que je ne suis pas apte à parler, sûrement. Je reste pensif en retournant dans ma maison.


Blotti sans bruit
Le long du couloir
Là ou la lumière
Se perd et s'égare
Tu te replis
Perdu dans le noir
Suppliant l'homme
Qui te tue du regard

Je le regarde, nan, je ne veux pas, je ne veux plus, nan !! Pourtant je suis sensé être à Poudlard, pas au manoir, tu ne peux pas m'atteindre. Pardon, nan pas ça. Il s'approche de moi de sa démarche féline, un Malfoy dans toute sa splendeur, ce que je ne serais jamais, jamais je ne pourrais être aussi méchant que lui, faire autant de mal, tuer et en sourire, devenir le valet de quelqu'un, ma vie que mère m'a donnée m'appartient à présent même si tu me dis que ce n'est pas le cas, que je devrais lui en être reconnaissant, je ne le suis pas, je la hais pour ça justement. Je n'aurais jamais voulu naître si c'est pour subir tout ça.

Tu me regardes de ton sourire sadique, tu as encore une idée pour moi, je n'ai pas été le meilleur, je me suis fait battre par Hermione Granger en note, par Harry Potter en Quidditch. Tu n'es pas content, tu m'en veux, tu n'es pas fier de moi. La fierté et l'honneur, c'est cela un Malfoy, ne pas plier sous les races de faibles, être toujours au top, ne pas se faire marcher sur les pieds, être un prince, respecté, adulé. Et si je ne le voulais plus, si tout cela m'énervait, entendre parler de moi comme d'un mangemort, entendre parler de moi comme d'un homme à femme, comme d'un tombeur, comme d'un Malfoy, le prince des serpentards. Si je ne le voulais tout simplement plus, juste être moi-même, juste pouvoir crier au monde entier que je ne me soumettrai jamais à Voldemort, que je ne ferai jamais rien contre Harry Potter, que je veux juste mourir ou être moi même. Etre aimé pour ce que je suis et non pas pour ce que je montre.

Tu t'approches encore plus me faisant reculer contre le mur, contre le mur froid des cachots du manoir, je peux encore, même si c'est un rêve, sentir la pierre froide et dure dans mon dos et la douleur des nombreuses fois où tu m'as frappé, des marques qui ne s'en iront pas. Tu me hais pour ce que je suis, tu me hais parce que je ne suis pas comme tu le voudrais, tu me hais par ce que je ne suis pas la docile petite poupée, tu me hais tout simplement parce que je suis moi et pas ton fils.

J'ai mal, le premier coup tombe, pas de crie, rien, juste un regard vide, puis un second et encore et encore, ça tombe, je ne dis rien puis je me retrouve couvert de sang, la douleur revient, je la sens en moi, partout, j'ai peur tout d'un coup, je pleure en silence mais pleure tout de même alors tes coups redoubles. « Un Malfoy ne doit pas pleurer, un Malfoy ne doit pas être faible. » « Je fais ça pour ton bien Draco, pour que tu deviennes plus fort ».

Mais bien sûr, je te crois comme pas possible, j'ai de plus en plus mal et pourtant ça devrait être un rêve mais ça fait si mal. Je supplie à présent et ça redouble, je ne dois pas être faible mais je ne peux m'empêcher de pleurer et de l'implorer d'arrêter, j'ai trop mal. Ton regard si froid que j'avais appris à reproduire, je sais ce qu'il fait, je sais ce que ressentent les autres lorsque je le leur fait, ils ressentent un sentiment d'impuissance, qu'ils ne sont rien, rien d'autre qu'un ramassis de merde informe qui ne mériterait même pas qu'on le touche. Ce regard je l'ai perdu en même temps que je perdais mon âme de Malfoy.

Le nombre de fois où ma mère est venue nettoyer mes blessures en me parlant doucement, seules fois où elle a été gentille, je sais qu'elle m'aime mais mon père est trop fort, trop important, trop puissant pour qu'elle se dresse contre lui physiquement. Je sais qu'elle a rejoint l'ordre du phénix, l'ordre d'Harry Potter, elle m'a souvent propos de la rejoindre. Famille déchirée en deux, deux cotés, deux choix, aucun de satisfaisant. Lequel choisir, je pencherais pour celui de la lumière mais je ne veux pas faire la guerre. Je préférerais être juste moi, neutre, ne plus avoir mal.

Encore un coup, je hurle, ça fait si mal, j'ouvre les yeux, ma vue est floue, où suis-je ?

Parle moi des journées de pluie
Parle moi de ce qui fait ta vie
Parle moi des milliers de cris
Qui hante ton corps et te meurtrit
Parle moi petit à petit
Parle moi encore quand tout se dit
Parle moi un peu je t'en prie
Parle moi Parle moi Parle moi

Tout redevient clair petit à petit autour de moi, je vois les murs sombres de la salle de classe où j'ai trouvé refuge, le dallage froid, par contre ce qui n'est pas normal, c'est ce sentiment de chaleur, de bien être. Ce n'est pas normal. Je prends totalement conscience, c'est un corps chaud contre le mien, un corps musclé et rassurant. Une odeur, une odeur masculine et mystérieuse. Je pose ma tête contre l'épaule ainsi offerte, je sais qui c'est. J'ai l'habitude d'être près de lui et de savoir où il est afin de l'embêter le plus possible, du moins avant. Je me demande bien pourquoi il est ici ? Et surtout ce que je fais dans ses bras ?

Il a du m'entendre crier, il va se moquer, il a trouvé comme ça un nouveau moyen de ruiner ma réputation de Serpentard froid, arrogant, méchant. Je suis faible, faible c'est tout.

-Parle moi Draco, s'il te plait !

Je relève doucement la tête, encore ces deux mots, ces deux mots qui m'ont fait fuir la première fois, mais là je vais avoir un soucis pour ça. Harry me tient dans ses bras et ne veut pas me laisser partir. Puis-je lui faire confiance ? Puis-je vraiment avoir confiance en quelqu'un ? Où est ce que lui aussi veut profiter de moi ? Veut-il ma richesse ? Mon pouvoir ? Mon aide ? Ou tout simplement veut-il vraiment que je lui parle ? Me soulager dans ses bras, tout lui raconter ?

-Parle moi Draco, parle moi je t'en prie, parle moi !

Et si vraiment il voulait me connaître, après tout ce que je lui ai fait, après tout ce que je lui ai fait endurer ? Après tout c'est ma famille qui est en cause si Sirius Black, son parrain, est mort, c'est de ma faute si je lui ai fait vivre un enfer. Tout est de ma faute, décidément je ne sers vraiment à rien. Je ne suis rien, rien du tout.

Il passe sa main le long de mon bras, il me regarde doucement, son regard est si intense, il semble vraiment vouloir m'aider mais pourquoi faut-il que j'y sois réticent ? Il est la première personne à venir vers moi pour autre chose que ce que je fais apparaître. Il veut me connaître, moi, mais pourquoi s'intéresser à moi ? Je ne suis rien, rien. Je me dénigre maintenant, quand je dis que j'ai changé, moi le beau et séduisant Malfoy, je me dénigre, je ne mérite même pas que tu poses ton regard sur moi. Je suis un raté.

-Draco, je veux vraiment que tu me parles, ça te fera du bien. Je ne te veux ni bien ni mal, je veux juste savoir ! Parle moi de toi, parle moi !

Et si, et si je faisais l'expérience, si ça ne marche pas, si je n'arrive pas à lui parler, si il me fait un coup bas après, si j'ai encore fait une erreur, alors je le referais. Je rejouerais avec la mort comme je l'ai fait, je rejouerais avec ce mince filet qui me sert de vie, je le retenterais.

Parle moi de tes guerres
Parle moi de tes droits
Parle moi de ce père
Qui te bat tant de fois
Parle moi de tes peurs
Parle moi je te crois
Parle moi de ton coeur
Qui se meurt au combat

Je te parle, je me vide, je fais un ménage dans mon esprit comme si tu étais une pensine. Je déballe tout ce qui fut ma vie. Tout ce que j'ai fait, tout ce à quoi j'ai cru, tout ce que je fais croire sans jamais me révéler tel que je suis vraiment.

Mes défauts, mes qualités bien que je n'en ai pas beaucoup, enfin tu me dis le contraire, mais je parle toujours. Je n'ai jamais dû autant parler. Je te raconte mon rêve, je te parle des préceptes Malfoyien. Je te parle et parle encore.

Tu me dis que tu me crois, tu me dis de continuer que ça me fait du bien. Mais je ne peux m'empêcher de me demander ce que tu veux en retour. Tout le monde veut toujours quelque chose en retour, rien n'est gratuit. Que veux-tu Harry en échange ?

Tu me dis rien, juste m'entendre parler, me voir me soulager, me voir aller mieux, que je ne sois plus l'ombre de moi-même.

Peut-être dis tu la vérité, peut-être me mens tu ? Mais dans tous les cas te parler me fait du bien. J'aime être ainsi dans tes bras protecteurs, j'aime me sentir autrement que comme je suis sensé l'être. J'aime ce sentiment de liberté, de chaleur, j'aime tout simplement être ainsi dans tes bras, contre toi.

Tu es étrange Harry, tu fais naître en moi un drôle de sentiment, une drôle de sensation, je pense que ce n'est pas bon, qu'il ne faut pas. Je ne te parle pas de ça, je continue de te parler de moi et tu veux tout savoir. Je suis nu devant toi, un livre ouvert, comme l'autre jour dans la grande salle.

Je te vois sourire à mes mimiques, je te vois devenir sérieux quand je parle de ce que m'a fait mon père, je te vois retenir tes larmes lorsque je te parle de mourir, que je ne sers à rien. Pourquoi tant de sentiments te traversent-ils pour moi ? Pourquoi es-tu ainsi Harry ? Pourquoi ? Pourquoi ? Trop de questions, beaucoup trop ! Ne pas réfléchir, juste se soulager, juste se confier, juste enfiler les mots les uns à la suite des autres.

Pour moi la moitié de ce que je te raconte est stupide, ce ne sont que des gamineries, du moins pour moi, et toi tu m'engueules parce que je ne devrais pas penser ainsi, que je ne devrais pas dire ça !! Je souris moi aussi devant toi qui essaies de me protéger de moi-même.

Parce qu'aujourd'hui au fond de ta chambre
Tu refais le lit de tes mains qui tremblent
Pense que demain quand tu seras grand
Tout peut changer demain peut te surprendre
Tu ne peux pas rester seul ici
Ne jamais abandonner ta vie
Tu ne peux pas t'enfermer dans l'oubli
Pour plus que jamais tu ne supplies

Je suis dans ma chambre, cela va faire combien de temps que je te vois en cachette, que je te parle ? Tu m'écoutes attentivement, me consoles, me crois, ne remets aucune de mes paroles en doute. Tu es toujours là, moi qui croyais que tu me laisserais, que tu te moquerais ouvertement de moi, nan, tu m'écoutes, toujours là près de moi.

Je t'ai entendu me protéger de tes amis, dire qu'ils ne me connaissaient pas, que peut être je n'étais pas comme ils le pensaient. J'ai souris à ces gestes, j'ai souris car tu étais là pour moi. Tu l'as vu d'ailleurs.

Aujourd'hui, je suis mieux, bien mieux, je ne suis plus seul, je ne suis plus rien, je suis juste moi.

Aujourd'hui tu m'as de nouveau protégé d'insultes, aujourd'hui tu as fais le pas que je n'espérais pas, que je ne voyais pas venir et qui pourtant m'a fait vraiment plaisir. Tu es venu, m'a tendu la main, je l'ai prise sans attendre.

A quoi j'ai pensé en la prenant, à ça, que je n'allai plus être seul, que je n'aurai plus besoin de m'enfermer dans une salle pour pleurer, pour me remettre en question. Que j'avais tout simplement une personne à qui parler, une personne qui prendrait soin de moi.

C'est rare, n'est ce pas, peu de gens sont comme cela, peu de gens sont là pour les autres. Ils ne voient que leur petit problème sans chercher à savoir ce qu'ont les autres. Ils se font tout simplement une idée sur une personne, tient celle-ci est comme ça. Moi on me prenait pour un serpentard, un méchant gamin qui haïssait les Gryffondors, Harry Potter et les moldus. Bon nombre s'en mordront les doigts quand ils me verront main dans la main avec leur sauveur, avec mon sauveur traversant les couloirs en souriant, celui qui a su m'expliquer ce que voulais dire amitié, confiance, amour, vivre.

On ne sait pas de quoi l'avenir sera fait, on ne sait pas si nous survivrons à la guerre, si tout tiendra, si nous aurons un futur, mais je sais une chose : c'est que tant que tu seras là, j'y seras, tant que tu vivras, je vivrai.

Parle moi de tes guerres
Parle moi de tes droits
Parle moi de ce père
Qui te bat tant de fois
Parle moi de tes peurs
Parle moi je te crois
Parle moi de ton coeur
Qui se meurt au combat

Finalement ma mère m'a donné la vie, je suis mort et ressuscité, et cette nouvelle vie je ne la doit qu'à une personne : Harry.

Fin

Yami : Et voila dédicace à Meiro, ma super bêta que j'adore !!! Aku : Une super fic déprime pour la route, histoire de se défouler !

Draco : Et c'est encore moi qui trinque !!

Yami : Toujours, t'es mon choupi chou que j'adore !!!!

Draco : tout de même !!

Meiro (murmurant à l'oreille de Draco pour que ni Yami, ni Aku n'entendent) : Tais-toi ! Elle est en période déprime : si tu te plains trop tu vas avoir droit à une death fic ! Estime-toi encore heureux : t'as quand même un happy end !

Draco : Gloups !

Aku : Bon alors ben voila, une ch'tit review histoire de savoir ce que vous en avez pensé ??

Kisu !!!