Titre : Je ne t'appartiens pas
Auteur : ylg
Base : Claudine à l'école
Genre : sadisme
Couple : Claudine / Luce, et Fanchette entre elles deux.
Rating : PG / K+
Disclaimer : toujours à Colette, mais ça m'est égal, je ne voudrais pas de Claudine pour petite amie !
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Fanchette vient agacer Claudine dans sa lecture. Obstinément, la chatte blanche réclame ses caresses, se frotte à sa maîtresse. Si elle a de beaux yeux d'or semblables à ceux de Mlle Aimée, son attitude rappelle celle de la petite Luce, toujours à quémander des baisers qu'elle n'obtient pour ainsi dire jamais. Pour Fanchette, Claudine a toujours une caresse à donner, un compliment à susurrer pour satisfaire la soif d'amour. Contrairement à la jeune écolière, la beauté féline, elle, aura tout son content.
Peut-être parce que contrairement à Luce, si d'aventure sa maîtresse est d'humeur peu câline, Fanchette se fait entendre à coups de griffes. Là où la fillette renonce tristement à cajoler, l'animale exige impérieusement son dû. Elle s'assoira, souveraine, sur le livre de Claudine jusqu'à ce que la jeune fille reconnaisse son mauvais caractère et lui accorde un peu d'attention.
Claudine et Fanchette s'entendent à merveille, s'accordent dans leur sauvagerie. Quand elle obtient tout son soûl de câlineries, la chatte s'empare de la main qui la caresse et, de ses griffes, l'empêche de se retirer. De ses crocs, elle marque cette main comme sienne. Elle mordille, chatouille du bout des griffes, sans jamais faire vraiment mal, sans jamais laisser de blessure sanglante, mais tenant toujours cette main d'assez près pour l'empêcher de la quitter. Point besoin de trop en faire pour imposer sa volonté, il suffit de montrer clairement ce qu'elle veut et ce qu'elle peut faire.
Claudine aime sa chatte parce qu'elle est une bête sauvage, pas un simple tas de fourrure douce passif sous la caresse. Claudine aime bien sa petite Luce, aussi, parce que l'enfant se laisse traiter comme un chaton craintif entre ses pattes de fauve. Mais elle traite Fanchette d'égale à égale, parce qu'elles peuvent se mesurer l'une à l'autre, et traite Luce en animal domestique, parce que la pauvrette est incapable de mieux.
