Auteur: Miyuki Kurigawa

Genre: Drama pour le moment!

Raiting: Anciennement G ...

Résumé: Ah ben, l'histoire vient de commencer .. si allez trois p'tits mots: Yuki a surpris une conversation, entre deux jeunes gens, à son insu, et le prend pas terrible terrible. Plus tard, il repassa devant la chambre de la jeune fée du logis ...

Bonne lecture!


Ne nous décourageons pas


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Chapitre Premier: Là où tout finit, tout commença

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A travers l'entrebaîllement de la porte, Yuki scrutait l'obscurité, et plus précisemment, la fine silhouette qui dormait, dans son lit, paisiblement. Il était passé devant et voyant la porte ouverte, il avait voulu la refermer, mais des paroles amers lui étaient revenues en mémoire, et il n'avait pu s'empêcher d'y penser... Et voilà que maintenant, il ne savait plus quoi faire... Pourtant ...

Tohru ... Ma précieuse Tohru ... Tu m'as vraiment donné toute ta gentillesse et ta chaleur, sans aucune retenue, toute cette présence humaine qui nous avait tant manqué, dans notre passé... C'est à mon tour de souhaiter que tu sois la plus heureuse maintenant, tu le mérites, plus que n'importe qui ici. Pourtant ...

Pourtant, je ne m'empêcher mon cœur de se serrer chaque fois que j'y penserai, chaque fois que je te verrai, avec Lui. Peu importe le temps que ça prendra, je m'y plierai ... Mais ça fait si mal ...

Il finit par refermer doucement la porte, et se dirigea vers sa chambre, l'âme tourmentée.

Le lendemain, le Chat se réveilla d'humeur un peu bougonneuse, tandis que Tohru, avec son énergie habituel, l'accueilla avec son sourire habituel qui fit vaciller le cœur du chat.

- Bonjour Kyô-kun? Tu as bien dormi? Ce sera bientôt prêt!

- M'ouais ...

Il s'avança vers Tohru et la frappa doucement sur le haut de la tête.

- Ah, mais !

Il se retourna vers elle, et lui fit un petit sourire. Un vrai. Emplit de tendresse. D'autres diront d'amour, de bienveillance. Après un moment de surprise, elle le lui rendit, les joues légèrement rosies. Il alla s'asseoir à sa table, et la tête éperdue, elle le regarda faire, avant de retourner à ses fourneaux.

Le repas fut étrangement silencieux. Yuki gardait la tête baissée sur son plat, Kyô lançait de temps à autres des coups d'oeils, Tohru, elle naviguait entre Yuki, qui semblait ne pas aller bien, et Kyô, qui lui faisait sans cesse repenser à hier soir. L'écrivain lâcha une bombe au milieu de ce joyeux silence de messe:

- Eh bien, j'vous trouve bien silencieux.

Les deux garçons se tendirent immédiatement.

- Vous n'auriez pas fait quelque chose tous les deux en toute intimité ?

BAFFE!

- Il n'a vraiment aucune considération! S'exclamèrent-ils ensemble.

Ils se jettèrent un regard noir et détournèrent la tête. L'écrivain se la tint un bon moment.

Au grand étonnement de tous, Kyo félicita de lui-même la cuisinière, et Yuki, qui jusque là n'avait rien dit non plus, afficha une mine plus sombre et annonça, repoussant son bol à moitié plein:

- Excusez-moi, j'ai des choses à faire ce matin, je vous laisse.

- Oho, y'aurait-il quelque chose qui tracasserait notre merveilleux Yuki?

Le sus-nommé ferma le shoji en le claquant violemment.

- Je me demande ce qu'il a, il me paraît bien ailleurs aujourd'hui.

- Rah, mais arrêtez de vous en faire pour ce satané rat! Y'a quelque chose qui le contrarie et alors? S'il ne veut pas nous en parler, ce ne sont pas nos oignons, qu'il reste dans son coin, ça m'est bien égal!

Tohru ne put s'empêcher de paraître inquiète, et elle rangea tristement la table.

Yuki était resté derrière la porte coulissante. Il avait entendu.

Yuki, tu peux me dire .. quand ça ne va pas.Je voudrais que tu puisses te confier à moi ...

Aussi aberrant que ça pouvait lui paraître, les mots s'insinuèrent dans son esprit et il du admettre, que peut-être le chat avait raison ...

Il sortit dehors, sans prendre le soin de se couvrir, sous la timide chaleur qui régnait, et se dirigea vers son jardin. On ne le revit pas de la matinée.

Shiguré était dans son bureau à réfléchir au moyen d'embêter -encore- son éditrice , et kyô aidait gentiment Tohru à faire la vaisselle. Elle, ça faisait trois fois qu'elle nettoyait le même verre, le regard perdu dans le vague, à fixer les arbres qui commençaient à se balancer sur leurs pieds, ballotés par un vent de plus en plus glacial.

- Tohru?

- ...

- Tohru!

- AAAhh quoi qu'est-ce qu'il y a!

- Moi rien, mais toi, tu m'a l'air un peu ailleurs.

Elle ne répondit rien gênée. Le chat prit son menton dans sa main et le tourna vers lui. Ce qu'il allait dire allait lui arracher les lèvres, mais il était plus dur de la voir se ronger les sangs ainsi pour cet imbécile de rat que de lui souffler ce qu'elle voulait faire.

- Ecoutes ... Si tu t'inquiètes tant pour lui, va le retrouver. Vous serez tranquille et vous pourrez discuter.

Tohru leva les yeux. Ainsi,il avait deviné juste. Bah, ça ne devait pas être dur non plus.

- Je ne sais même pas où il est. Mais il devrait rentrer pour le midi, alors je vais tâcher de ne pas m'en faire! J'ai des courses à faire aujourd'hui, tu veux bien les faire avec moi? Demanda-t-elle soudain joyeuse.

D'habitude, c'est Yuki qui m'accompagne, mais s'il a besoin d'être seul un moment, alors je respecterai mon choix, je n'ai pas à le forcer à parler. Je ne sais pas ce qu'il a, mais ça m'angoisse... Beaucoup.

Cet idiot de rat, s'il savait tout le mal qu'il pouvait lui faire en cet instant ... Quel sombre imbécile!

Il lui caressa affectueusement les cheveux.

- Tu t'en fais beaucoup trop. Il reviendra comme s'il ne s'était rien passé.

Tohru lui sourit timidement. Elle aurait bien aimé se pelotonner dans ses bras pour se réconforter, mais c'était chose impossible, alors elle prit sur elle, posa le verre qui était bien propre, et accompagnée de Kyo se dirigea vers la supérette du coin.

Durant le chemin, ils parlèrent de tout et de rien, leurs cheveux dansant sur leur tête au gré du vent qui se faisait violent par rafales. A leur retour, le Rat n'était toujours pas rentré.

- Ah, ça y est vous êtes enfin rentré? S'exclama Shiguré. J'ai une de ces faims!

- Je vous comprends, je vais m'empresser de préparer le déjeuner!

Et elle se dirigea guillerette vers la cuisine, son lieu de méditation agrégé. Le chat alla dans le salon à côté de son cousin, et attendit distraitement.

- Vous avez été bien long tout les deux, ne me dis pas que ..

- Oh ça va l'écrivaillon, ferme-là, pas un seul mot, pas un seul commentaire! Ca ne concerne que moi et Tohru ce que nous avons fait !

- ...

- QU'EST-CE QUE C'EST QUE CE SOURIRE IDIOT, HEIN?

Tohru rigola toute seule. Ca les rassurait de les entendre à côté d'elle. Elle avait l'impression de les avoir tout tout près d'elle, dans son cœur, et qui le faisait battre chaque jour si fort.

C'est bien comme ça que je l'aime ...

Si seulement Yuki avait été là aussi, tout aurait été ... parfait.

Elle tourna encore un moment le bœuf au curry puis elle l'amena sur la table.

- C'est prêt!

-A table! Reprit joyeusement Shiguré.

Tohru disposa les assiettes, et arrivée à la quatrième, elle marqua un temps d'hésitation. Il n'était toujours pas rentrée. Elle posa l'assiette et jeta un œil dans le hall d'entrée. Non, ses chaussures n'étaient pas là. Il n'était pas rentré. Où pouvait-il être. Ils mangèrent en silence, soudain gêné par la tristesse qui émanait de Tohru.

Kyô maudit intérieurement son cousin pour oser faire une aussi grosse peine à tohru qu'elle ne méritait pourtant pas.

L'après midi fila, et alors qu'elle faisait les cent pas devant le vestibule elle releva la tête, pour regarder le soleil décliner à travers la fenêtre.

Je n'aime pas ça...

Elle eut soudain une drôle d'impression, comme si quelque chose dans cette pièce ne devait pas s'y trouver, qu'il n'avait pas lieu d'être ...

- Yui ... est sorti sans manteau ...

Il est si fragile!

Elle se leva prestemment, sous les yeux étonnés du chat et du chien, traversa la maison, enfila ses chaussures et son manteau, et celui de Yuki sous le bras, partit là où il avait le plus de probabilité d'y être.

Son jardin.

Là où ils venaient ensemble, si souvent.

Réprimant un frisson sous le vent de plus en plus mordant, elle s'orienta dans la forêt, connaissant par cœur le chemin, l'ayant foulé tant de fois avec lui. Son souffle se voyait fugacement. Elle se mit à marcher vite, très vite.

Yuki!

Pourquoi est-tu parti comme ça?

Pourquoi nous as-tu tourné le dos?

Ses pas martelaient le sol le plus vite qu'elle pouvait.

Ses bronches ...

Pourquoi n'y fait-il pas attention! Suis-je si idiote!

Plus vite, encore; le paysage défilait sous ses yeux effrayés en un fondu rouge orange branquebalant. Ses pieds rebondissaient sur le chemin, éclaboussant le bas de ses chausettes au rythmedes flaques qu'elle croisait.

Tu n'es pas raisonnable!

Elle arriva enfin au jardin. Mais en même en scrutant les environs, elle ne vit pas trace du rat. La panique monta sa poitrine à retardement, s'insinuant en elle comme un serpent.

Yuki, où est-tu?

Elle sentit une larme monter à ses yeux. Elle aurait donné tant pour le voir apparaître devant lui, souriant, en train de s'occuper tranquillement de ses protégés, oui, elle aurait donné n'importe quoi ...

Elle commença à faire demi tour rapidement, pour repartir en vitesse vers la maison de Shiguré, pour les prévenir. Il fallait qu'ils l'aide, qu'ils le retrouvent. Son regard s'embua mais pourtant, dans le temps éphémère que dura son glissement de regard, elle aperçut quelqu'un, allongé là dans l'herbe, profondément endormi, presque caché par les fourrés, près d'une pierre grise qui émergeait de la terre tel le nez sur la figure. Une silhouette un peu frêle, presque féminine .. L'angoisse grandissant, elle fit un pas en sa direction, et lorsqu'ele reconnut les mèches grises, elle ne put contenir un sanglot et se précipita sur le corps.

- Yuki ! YUKI !

Penchée sur lui, les yeux rivés sur les siens, qui étaient clôts et immobiles. Elle déploya le manteau sur lui, en proie à la panique la plus complète, imaginant le pire. Elle ne put contenir un flot de larmes qui se déversa sur ses joues rougis par la course et le froid. Derrière arrivait Kyo au pas de course, et Shiguré.

Pourquoi ...

Kyo eut mal, très mal au cœur en voyant la scène. Tohru pleurait sur le corps de Yuki, inconsolable, en proie aux pires frayeurs, refusant la réalité. Elle ne voulait pas le voir s'arrêter de sourire. Ni de se mettre en colère, ni d'être ému. Elle voulait le voir encore marcher. Elle voulait ...

est-tu parti?

Kyo se rapprocha doucement de Tohru et lui mis les mains sur les épaules.

- Tohru ...

Elle continua de sangloter, d'un air piteux.

- Ca ...

les mots restèrent bloqués en travers de sa gorge.Il la tira doucement à lui, toujours par les épaules, et la tint ainsi, le plus près possible de lui, tandis qu'hypnotisé par le malheur, ils fixaient encore Yuki allongé là, immobile.

Pourquoi nous-as-tu tourné le dos? POURQUOI?

Les mots hurlaient dans son cœur, l'empoignant dans une main de fer. Shiguré se dirigea lentement vers eux, et prit Yuki dans ses bras. En silence, ils retournèrent à la maison, où l'ambiance s'était alors beaucoup, beaucoup refroidie, et assombri.

Shiguré, à tout hasard, apella Hatori. Le ton soudain sérieux de l'écrivain étonna beaucoup le docteur, qui n'en avait pas l'habitude, et il arriva le plus tôt qu'il pouvait à la maison.

Mais qui aurait voulu croire, cet après-midi là, le diagnostic que rendit le docteur? Qui?

Le Chat devait se réjouir de la mort du rat, ce traître qui l'empêcha de se présenter comme convenu à la soirée organisé par le Dieu.

Kyo ne disait rien. Il n'était pas heureux, ni extatique. Il n'était pas fâché, il n'était pas démonté. Il contemplait juste le visage très pâle, qui semblait simplement assoupi.

Tohru tremblait près du chat, hoquetant sous le flot de larmes qu'elle avait versé. Quelle étrange chose était-ce que de perdre un être cher. Comme si, dans le noir en montant un escalier, on s'attendait à une dernière marche, alors qu'il n'y en a pas, et le pied chût, inlassablement, dans le vide, pour rencontrer brutalement la surface du sol.

Tant qu'on ne touche par terre, on ne veut pas croire que la marche n'existe pas. Et pourtant ...

Hatori se recula lentement du corps. Il se retourna vers Shguré, Kyo, et Tohru, mais ne dit rien. Comme honteux, il détourna son regard quand il croisa celui de Tohru. S'il pouvait lui dire le contraire, si seulement il pouvait ...

Il se mit devant Shiguré, et de sa voix grave, encore plus froide qu'à l'ordinaire, lui dit doucement:

- Il va falloir prévenir ... Akito.

- Je pense qu'il est déjà au courant.

Tohru se leva alors en pleurant de plus belle, et sortit de la chambre en précipité, et se dirigea là où ses pas voudraient bien l'emmener. Le chat s'élança aussitôt à sa suite.

- Je ne pense pas ...

Les jours qui suivirent furent dur. Il fallait accepter qu'il manquerait toujours quelqu'un dans la maison. De temps en temps, les vieux réflexes revenaient, et Tohru mettait quatre assiettes au lieu de trois. Quand ça lui arrivait, elle avait un sursaut, puis, en souriant, comme si elle apercevait encore le sourire de Yuki, l'enlevait, et la rangeait à sa place. D'autres fois, elle allait dans le couloir, et s'écriait:

- Yuki, le dîner est prêt!

Ce n'est que le silence qui lui fit comprendre combien ses paroles étaient inefficace contre le vide.

D'autres fois encore, en marchant dans le couloir, le matin, elle le voyait fugitivement au bout du couloir, habillé de ses chemisiers habituels, la regardant avec tendresse, et lui murmurant des mots qu'elles avaient de plus en plus de mal à comprendre. Son cœur s'alourdissait de jour en jour.

Mais elle ne devait pas se laisser démonter.

- Après tout, nous, nous sommes encore ensembles, et nous devrons continuer à vivre ensemble! Partager des choses, des rires... des sourires... mais aussi nos peines... nos regrets .. nos souvenirs ... nos moments de joie .. Tout ce qui pimente une vie et fait qu'on l'apprécie. On a encore la chance de pouvoir y goûter, alors profites-on en!

Le chat et le chien l'avaient écoutés, mais même malgré la force de ces mots, ils eurent tous les trois bien du mal à sortir de leur torpeur muette pendant ces trois derniers jours.

Au lyceé, les rumeurs allaient bon train. Certains se demandaient simplement où avaient pu disparaître si vite le Prince, d'autres pensaient qu'il était parti loin d'ici. Le fan club était en effervescence et Saki eut plus de travail à faire en quelques jours à peine qu'en deux ans pour éloigner les pimbêches de sa précieuse Tohru.

Tohru se doutait qu'Akito été fou de rage, mais peut-être aussi et surtout ivre de douleur et de tristesse. Les autres maudits avaient été mis au courant, eux aussi. La tristesse d'Hatsuharu lui fit énormément de peine. Elle s'était promis d'aller le voir un jour, pour parler avec lui. En toute simplicité. Momiji était bien moins enjoué qu'avant. Ayamé avait perdu sa superbe et rare était les moments où il se laissait aller à sa grandiloquence. Hatori devint un peu plus froid. Hiro et Kisa furent secoués par l'évenement, comme des enfants qui font face pour la première fois à la cruelle vérité, qu'ils n'étaient pas éternels et qu'ils mourraient tous un jour ou l'autre. Ritsu, Kureno, Kagura, Rin ... Tous ceuix l'avaient cotoyés plus ou moins longtemps dans le passé avaient été plus ou moins sonné.

Elle étendait le linge. Le temps s'était radouci, et un vent, agréable, soufflait les fleurs de cerisiers jusque dans la maison. En mettant les draps, elle chantonnait gaiement, une chanson entendu plutôt dans la matinée. Au fur et à mesure qu'elle étendait les draps, serviettes, et autres affaires, des flash fugaces s'imposèrent à ses yeux. Elle s'interrompit, secoua la tête avec véhémence.

Non! Je ne dois pas ... me laisser aller...

Elle reprit sa chanson et continua son œuvre. Mais hargneux ils l'englobaient, et lui rapellait les meilleurs souvenirs qu'elle avait pu avoir à ses côtés.

Elle finissait de mettre un drap sur la barre.

''Attends, Tohru, je vais te donner un coup de main!

Il était arrivé par derrière, sans qu'elle s'y attende, et posant ses mains sur les siennes, l'avait aidé à hisser le drap.

Merci Yuki!

Ce sourire là, elle ne l'oublierai jamais. C'était si rare de voir tant de joie et de tendressse pétiller en même temps dans ses yeux violets. Elle aurait pu continuer à le regarder, si une serviette rebelle ne s'était pas laissé emporter et l'avait attaquée de plein fouet. Yuki avait bien ri, et elle aussi. Son rire était si doux.''

Elle suspendit son geste, et ramena à elle le drap trempé. Le tenant entre ses bras, elle se remémora bien malgré elle le soir où elle l'avait trouvé. Il semblait simplement assoupi, dans un profond sommeil, que rien n'aurait pu troubler, un sommeil sans douleur, sans frayeur. On aurait pu croire qu'il allait se réveiller d'un moment à l'autre, sans y faire attention.

Il aurait ainsi pu lui dire ce qui avait voilé son cœur, ce jour funeste. Pourquoi était-ce allé si vite et si étrangement.

- ...

Une larme chut lentement de sur sa joue. La seule et unique. Se forçant à reprendre son travail, elle essaya de rechanter, mais le cœur n'y était vraiment plus.

Mais ma principale qualité est de ne jamais me décourager. Alors, ne vous inquiétez pas trop pour moi!

A suivre!

Bon .. ce n'est pas très gaie (et je sens que je vais me faire torpiller par les fans de Yuki ) mais ce soir là j'écoutais "Regrets", de Malice Mizer, qui l'avait composé suite à la mort du chanteur. Alors je me suis laissé un peu emporté, c'est facile quand on a les idées un peu noires. Mais gardez espoir, le temps arrange toujours tout o

A la prochaine!

NemesisTycoon