Drago, après s'être pris le lampadaire dans la gueule, était parti en courrant. Il ne voulait pas revoir Harry après la façon dont il l'avait humilié devant Voldemort, et devant tous les gens de rue quand il s'était pris ce beau poteau lumineux qui n'avait rien demandé. (ndla : bah ui, si je répétais lampadaire ça faisait répétition. arf) Il s'arrêta au coin de la rue, caché par un mur, pour calmer son point de côté (ndla : po très sportif le bonhomme !).
Il avait la certitude qu'Harry avait rendu Roger au zoo. Quel lâche ! Abandonner leur enfant ! C'est très vilain ! Et s'ils se remettaient ensemble plus tard, et qu'ils revoulaient un enfant ? Ils ne pourraient pas reprendre Roger ! Oh puis, ils pourraient prendre autre chose, pour changer. (ndDrago : penser à essayer avec une autruche)
Il attendit que son point de côté ait disparu et se remit en route. Il ne devait pas traîner, il était en mission spéciale pour Voldemort. Il avait la grande tâche d'assassiner. Dumbledore. Eh oui, c'était une grande tâche et très importante, mais Drago mangerait du gorgonzola périmé pour Voldemort, alors assassiner Dumbledore, c'était rien !
Quand il fut proche de pré-au-lard, il se mit une cape d'invisibilité - il ne fallait surtout pas qu'il se fasse repérer. Il se glissa jusqu'à poudlard et marcha à pas feutrés dans les longs couloirs sombres. Le silence régnait dans le château. Tout était calme. Il n'y avait aucun élève (ndla : bah ui c logique ! c'était les vacances d'été !). Pas de fantômes qui erraient, pas de professeurs.
PROUT !
Drago se boucha le nez et attendit, immobile, pour voir si quelqu'un l'avait repéré. C'est bon, personne ne venait. Il se remit en marche, espérant que cette ignoble odeur de gorgonzola ne le trahirait pas. Il arriva jusqu'à la gargouille qui menait aux escaliers. Elle ne pouvait pas le voir ! Comment donner le mot de passe ? D'ailleurs il ne connaissait même pas le mot de passe. Comment entrer alors ? Une idée lui vint soudain. Un autre « PROUT » lui échappa et la tête de la gargouille chancela, asphyxiée par l'odeur immonde émanant du pet si bien placé. Drago n'eut qu'à légèrement forcer le passage pour entrer et monter les escaliers le plus silencieusement du monde.
Il entra dans le bureau en poussant délicatement la porte qui était déjà entrouverte. Dumbledore leva la tête. et ne vit rien, bien évidemment, Drago étant sous sa cape d'invisibilité. Mais s'il ne l'avait pas, il aurait pu voir un homme ému devant la scène magique qui s'offrait à lui.
Dumbledore était plongé dans une activité des plus intéressantes : il s'épilait le saucisson ! Car lui, ce n'était plus une saucisse qu'il avait, mais un saucisson ! Eh oui, carrément ! Il faut savoir que s'il faisait ça, c'est parce que McGonagall n'aimait pas les hommes trop poilus. Et oui, avais-je oublié de le mentionner ? Notre cher Dumbledore était marié avec McGonagall.
Quoiqu'il en soit, la robe du directeur était relevée sur toute sa jambe jusqu'à son saucisson. Beau saucisson que c'était d'ailleurs (ndla : dsl). Et à côté du saucisson il y avait les deux patates ! Mais avec vraiment une forme de patate je vous jure ! (ndla : ça peut faire un bon repas tout ça. ;-))Et tout cela le rendait terriblement... séduisant. musique lady marmalade
Drago laissa tomber sa cape d'invisibilité par-terre et se rua sur son directeurouchinet d'amour (ndla : Drago adore les surnoms).
-Drago ? Qu'est-ce que tu fais là ? dit le directeur en remettant sa robe sur sa jambe dénudée.
Drago ne pouvait parler. Il avait la voix coupée devant une scène tellement. attirante !
-Je... je vous aime, déclara-t-il enfin.
-Oh ! Drago ! s'écria Dumbledore. Je croyais que tu ne m'avais pas remarqué!
Sur ce, il se précipita sur Drago et lui fis des poutous partout ! (ndla : oui ! même là où vous pensez !)
Je ne vous dit pas qu'ils en ont fait, des choses ! Ils sont restés toute la soirée enfermés dans le bureau à se faire des trucs. assez cochons. En tout cas ils semblaient inspirés (ndla : qui leur avait passé le livre du Kama Sutra ? èé). Mais il faut dire ce qui est, Drago aimait toujours Harry, mais Dumbledore était une passade pour l'aider à guérir de sa blessure. Il savait que ça ne durerai pas, ce qui ne l'empêchait pas de ressentir des sentiments très forts à son égards et dans ces instants de pur plaisir qu'il partageait en ce moment avec lui.
Mais, voyant qu'il ne venait pas à leur dîné aux chandelles qu'elle lui avait si tendrement préparé, McGonagall décida d'aller chercher Bubus chéri dans son bureau. Elle dit le mot de passe à la gargouille qui ne réagit pas. Elle était morte ! (OO) c'était bizarre... (oO) étrange... (Oo) bref pas normal (re OO).
Elle monta les escaliers quatre à quatre, et s'arrêta brusquement quand elle entendit des bruits douteux dans le bureau. Elle poussa la porte doucement, redoutant ce qu'elle allait découvrir.
-Oh ! s'écria-t-elle, une main sur le coeur, en trouvant Dumbledore et Drago dans une position... pas très orthodoxe.
Elle partit en courant, et Dumbledore laissa Drago sur place. Il la suivit jusqu'à l'endroit où était prévu le dîné, toujours en courant le plus vite qu'il pouvait.
Quand il arriva dans la salle, elle avait empoigné un couteau et s'apprêtait à se l'enfoncer dans le coeur.
-Non ! ne fait pas ça ! cria Dumbledore
-Et qu'est-ce qui m'en empêcherait ? répondit McGo. Ton amour ? Je sais bien maintenant que tu ne m'aimes plus !
-Peut-être mais Drago voulait savoir si ce serait possible un truc à trois.
-Oh ! s'écria McGonagall d'un air profondément choqué et meurtri avant de s'enfoncer le couteau dans le coeur.
-Bah, je dirai à Drago que c'est non alors. On se revoit demain ? OH MON DIEU ! ELLE BOUGE PLUS ! dit le vioque en la secouant. OH NON ! QU'EST-CE QU'IL C'EST PASSE ? (ndla : pas lent du cerveau cui là au moins.)
Drago arriva en courrant.
-Qu'est-ce qu'il se passe ?
-Elle... elle... ELLE EST MORTE !
-SUPER ! PU DE DEVOIR DE METAMORPHOSE ! FAISON LA FETE !
Et ils se mirent alors à danser le french-cancan.
Bon, la fête, c'est bien, mais il faut bien organiser l'enterrement tout de même ! Alors ils envoyèrent des faire-part à tout le monde (avec des ballons, des chapeaux pointus et turlututu dessus) en leur annonçant la triste et regrettable nouvelle. Aucun détail sur comment cela est arrivé, bien entendu. La lettre laissait entendre qu'elle s'était suicidée comme ça, sans raison, alors qu'elle menait une vie parfaite. Enfin bon, chacun sa version.
Quelques jours plus tard avait lieu l'enterrement. Tout le monde avait l'air atterré (ndla : et pourtant c'est pas eux qu'on enterre !). Il y avait beaucoup de larmes (ndla : forcées), beaucoup de tristesse (ndla : simulée) et une longue cérémonie (ndla : ennuyeuse)(ndvoix-intérrieur-de- l'auteur : hey ! ya pas que des conneries dans un enterrement !)(ndla : ah bon ?)(ndvidla : j'abandonne)(ndla : tenace là fille au moins)(ndvidla : revenons à l'histoire, tu veux bien ?)(ndla : bonne idée)
Donc, tout le monde pleurait partout et s'effondrait de douleur devant la perte d'un être cher. N'empêche que toutes ces formalités n'empêchèrent pas Harry de rendre jaloux Drago en lui montrant bien qu'il s'était trouvé quelqu'un. Drago, lui, n'avait rien a montrer, Dumbledore refusant d'ébruiter leurs aventures tant que la nouvelle de la mort de McGonagall ne sera pas oubliée.
Il était vraiment jaloux, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas peloté de fille. Et il en voulait lui, des gros nichons, et tout ce qui va avec ! Oui, il aimait bien Dumbledore. Mais il savait que ça ne durerai pas. Il décida pourtant de ne rien lui dire tant qu'il ne serait pas sûr de lui, et qu'il n'aura pas trouvé la femme lui convenant.
Et c'est à ce moment là, en sortant du cimetière, qu'il aperçut la femme idéale. Une femme forte, puissante, dominatrice, qui aimait sûrement les trucs sado-maso autant qu'Harry. La femme parfaite quoi. Et elle se tenait devant lui, toujours ravissante, avec son bandeau rose telle une langue de crapaud dans ses cheveux, s'harmonisant si bien avec sa coiffure si bien travaillée (ndla : tu parles, elle a pas du se les laver et se les brosser depuis 2 ans, rien de vraiment exceptionnel.). Et cette femme c'était. Ombrage.
