Chapitre 10 : Coup de théâtre pour Harry (jvous jure avant c'était de la gnognotte !)

Recevoir ces faire-parts avait eu un effet tout à fait différent sur Harry. Il était d'avantage triste et renfermé sur lui-même, sachant que la personne avec qui il aurait voulu en avoir était morte. Il n'avait plus le cœur à l'amour. Il était seul chez lui, ne mangeait plus, ne faisait plus rien, à part regarder la star academy 5 d'un air absent.

C'est en regardant Miranda (sa préférée) chanter qu'il prit une décision : il ne pouvait pas rester comme cela, sans rien faire, refermé sur lui-même. Voldemort était toujours en vie, et Harry ne pourrait avoir de repos tant que ce serait le cas. Il se décida donc à partir à sa recherche. Il rassembla quelques affaires, des provisions, et se mit en route. Ne sachant où commencer à chercher, il décida d'aller se renseigner auprès de Dumbledore. Après tout, il, enfin elle l'avait toujours aidé. Il se rendit donc à la maison que partageaient Ron et Alberte, et leur fils Jamba. Ce fut Ron qui ouvrit la porte.

-Harry ! Quelle bonne surprise ! Entre je t'en pris !

-Bonjour Ron. Mes félicitations pour votre enfant !

-Merci beaucoup. Viens, le salon est par ici.

Ils entrèrent dans une salle spacieuse et s'installèrent dans un des nombreux fauteuils.

-J'ai appris la mort de Pansy, je voulais te présenter mes condoléances, dit Ron.

-Merci.

-Alors, qu'est-ce qui t'amène ?

-Eh bien, en fait je voulais parler à Dumbledore.

-Alberte ? Elle s'occupe du bébé, attends, je vais la chercher.

Il monta à l'étage, et quelques minutes plus tard Dumbledore descendit.

-Harry ! Comment vas-tu ?

Harry fut stupéfait en voyant les changements de Dumbledore (en effet, il / elle avait la poitrine beaucoup plus abondante qu'avant).

-Je vais bien. J'aurais besoin de tes informations, je suis à la recherche de Voldemort.

-Vraiment ? Oh et bien je n'ai plus eu de nouvelles depuis un moment, mais j'ai reçu sa dernière carte postale il y a un mois.

-Sa carte postale ? s'étonna Harry.

-Oui, il a prit quelques vacances. Attends que je la retrouve… Ah ! La voilà.

La carte postale était la photo d'une région montagneuse du Nord de l'Angleterre. Harry lut ce qui était écrit dessus :

Cher Albus Dumbledore,

J'ai été très heureux d'apprendre ton mariage. De mon côté, tout va bien. Je suis parti en fugue amoureuse avec Queudver, et nous sommes très heureux. Evidemment, je ne peux te révéler l'endroit précis où je me situe, mais la carte devrait te donner une idée suffisante pour donner les indications à ton hibou.

Je t'embrasse,

Lord Voldemort.

Etait jointe une carte précise de la région avec une grosse flèche verte lumineuse pointée vers une région caverneuse indiquant « JE SUIS ICI ».

-Je peux la garder ? demanda Harry.

-Bien sûr. Les informations sont un peu vague mais ça devrait te guider un peu.

Harry repartit, la carte en main. Il transplana dans les montagnes, non loin de la région caverneuse, et se mit à chercher. Le soir tombait, il décida donc de se réfugier dans une caverne pour la nuit. Il fit un petit feu, se fit cuire des chamallows, et s'endormit dans un duvet beaucoup trop confortable et chaud pour n'avoir pas été magique.

Le lendemain, il se remit en route, serrant fortement sa baguette dans sa proche, prêt à réagir à tout attaque subite. Il fouilla une, puis deux, puis trois cavernes, et ne trouva rien. Fatigué, il s'assit contre la paroi d'une autre caverne, et se sortit un sandwich. Puis soudain, il lui sembla entendre des gémissements venant de l'intérieur de la caverne. Interloqué, il ne bougea pas, sa main tenant le sandwich, la bouche ouverte pleine de morceaux à moitié mâchés. Il sortit la carte, et s'aperçut qu'il était exactement à l'endroit où pointait la flèche. Il rangea la carte, sorti sa baguette, et se leva. A pas lents, il avança dans la caverne, suivant les gémissements, guettant tout mouvement. Les gémissements devinrent plus fort, mais Harry n'était pas sûr que c'était parce qu'il s'était rapproché. A un tournant de la caverne, pourtant, il les vit. Ils étaient là, dans une position relativement étrange, Voldemort, son pire ennemi, et Queudver, le traître de ses parents. Il se figea. Eux aussi. Quelque chose d'étrange se passait dans la tête d'Harry, il n'osait pas bouger.

Il l'ignorait, mais quelque chose de tout aussi perturbant se passait dans la tête de Voldemort. Tout devenait clair pour lui. Il aimait les hommes résistants, qui se battaient, qui étaient fort, avec une belle saucisse, pas ceux avec un vermicelle rikiki ! D'autant plus que celui là était venu par crainte et faiblesse…

…Ti aaaamoo e chiedo perdoooono
Ricordi chi sooooooono
Ti amo ti amo ti amo ti amo

Ti aaaaamoo ti amo ti aaaamoo

Ti amo ti aaaaaamoo

Ti amo ti amo ti amo ti amo…

Voilà ce qu'il se passait dans la tête de Voldemort. Il lâcha Queudver sur place, et se jeta sur Harry.

Mais Harry, lui, n'était pas d'accord du tout (Queudver non plus d'ailleur). Il le repoussa, écoeuré.

-Qu'est-ce que tu essayes de faire là ? demanda-t-il avec le même air que si on lui avait demandé de manger une chaussette portée pendant 15 jours consécutifs à faire du sport dans des chaussures non aérées et qu'on avait laissé pourrir, leur donnant une couleur verdâtre.

-Harry… Je t'aime ! lui déclara Voldemort.

-Pas moi ! T'as tué mes parents ! Et t'a même voulu me tuer, je sais pas si tu te rappelles ?

-Oui, j'avoue. Mais tu sais ce qui t'a sauvé ?

-L'amour ? dit Harry sur un air dédaigneux.

-Oui ! Mais j'ai compris aujourd'hui ! Ce n'était pas l'amour de ta mère ! C'était le mien ! Ma baguette refusait d'agir contre mes sentiments !

-Uh !

Harry ne semblait pas très convaincu. Il avait à peu près cette tête là : oÔ

-C'est ridicule !

Ce n'était pas Harry qui avait prit la parole. C'était Queudver. Il les observait depuis un moment, la bouche grande ouverte dans un ébahissement incrédule et révolté.

-Je n'en supporterais pas d'avantage ! Je m'en vais !

En disant cela, il commença à ramasser ses vêtements éparpillés un peu partout dans la caverne. Voldemort ne fit aucun geste et ne dit aucun mot pour le retenir. Il regardait Harry en bavant. Harry, lui, était très gêné par tout ça, et assez agacé. Il était venu ici pour tuer Voldemort, et non seulement il le surprend lui et Queudver dans une position avec laquelle il était sûr qu'ils ne faisaient pas une partie de ping-pong (mais peut-être un twister invisible ?) et qu'il aurait préféré ne jamais voir de sa vie (bah oui, c'est qu'il est fragile notre petit Harry !), et en plus, maintenant, il ne pouvait même plus le tuer ! Bah oui attendez, il n'allait pas tuer quelqu'un qui était tombé sous son incroyable charme ! (Quoi me dîtes pas que vous l'auriez fait vous ? Non me sortez pas des excuses à deux balles genre il a tué ses parents ! Sérieusement, vous l'auriez fait vous ? C'est vrai ! Vous êtes monstrueux ! C'est dégueulasse le pauvre ! S'attaquer à un homme sans défense et amoureux ! Han je suis choquée ! … bon si je revenais à l'histoire là ? ). Donc, Harry était très déçu, il ne pouvait même plus le tuer !

Bon ce n'est pas tout, mais pendant qu'on blablatait ensemble et que Harry réfléchissait, Queudver s'était tiré, ce qui laissait Harry seul avec Voldemort.

-Bon euh… Je crois que je vais partir.

-Non ! Ne me laisse pas Harry ! Tu es mon seul amour !

-Euh, c'est super, mais je te pardonne pas pour tout ce que tu m'as fait.

-Mais qu'est-ce que je t'ai fait pour mériter ça ? demanda Voldemort, sanglotant.

-Alors commençons par le début… Tu as tué mes parents, tu as essayé de me tuer…

-Essayé ! Mais je n'ai pas réussit hein ! l'interrompit Voldemort

-Tu as de nouveau voulu me tuer quand j'étais en première année…continua Harry comme si rien ne l'avait interrompu.

-Mais c'est Quirrel qui essayait ! Moi je ne faisais que lui donner l'ordre ! répondit Voldemort pour essayer de se défendre.

-Oh oui et ça c'est beaucoup plus pardonnable ! rétorqua Harry ironiquement.

-Mais oui ! Je ne pouvais pas le faire, j'étais bloqué par mes sentiments…

-Euh… Peu importe, ton souvenir a voulu me faire tuer par un basilic en deuxième année…

-Ah non ! C'était mon souvenir, pas moi ! Tu peux pas m'en donner la responsabilité !

-Et tu as de nouveau essayé de me tuer en quatrième année !

-Mais non, je ne t'ai rien fais !

-Tu as tué Cédric !

-Non, c'était Queudver. Mais je m'excuse pour ça. Je sais que tu l'aimais.

-C'était le meilleur ! se mit à sangloter Harry.

-Je suis désolé, répondit Voldemort, en lui tapotant l'épaule doucement.

-OUIIIIIINNNNNNNN ! laissa échapper Harry avant de fondre en larmes.

Voldemort le prit dans ses bras pour essayer de le consoler en lui caressant doucement les cheveux.

-Hey ! s'écria Harry en s'éloignant de Voldemort, réalisant soudain. Me touche pas ! Je tomberais pas dans ton piège !

-Ce n'est pas un piège voyons !

-Vade retro satanas !

-Satanas ?

-Oui Satanas !

-Mais non ! Tu verras, je vais te convaincre.

Voldemort tenta de séduire Harry, comme le ferait tout bon Sim: il commença par lui parler de ses passions. Puis il lui fit un petit compliment, que Harry prit par chance très bien. Voldemort reparla de ses passions avec Harry, puis ils s'enlacèrent. Et ainsi de suite. Voldy en vint à embrasser le jeune balafré. Il lui offrit une peluche. Et Harry commença à tomber amoureux. Lorsqu'il fut sûr que son bien-aimé fut de bonne humeur et en amour fou avec lui, Voldemort lui demanda s'il voulait vivre avec lui. Et Harry, séduit donc en à peu près une demi-journée, à la Sims, et qui n'en avait même pas ras-le-cul d'avoir passé la journée à se faire draguer par une espèce de momie décomposée, accepta de bon cœur. Un nouveau couple était né.
Les deux amoureux s'installèrent alors dans une caverne, appelée couramment « la caverne du vice », et y restèrent de nombreuses années afin de procéder à leur passe-temps favori à tous les deux : le ping-pong.

Non je plaisante Nous ne pouvons pas vous révéler à quelle activité ils se livrèrent alors pour ne pas choquer les enfants qui nous regardent (fin qui nous lisent hein c'est pareil) nous ne ferons que préciser que cette activité n'avait rien d'une partie de ping-pong héhé.