Pseudo:les gars... désolée...

/Mes victimes, en larmes/ Non... Non!

Si... C'est Florinoir...

/Mes victimes/ NNNNNAAAAAAAAAAAN!

Titre: Niveau 7

Genre:Cross-over, UA pour certains, OOc pour certains aussi, blablabla...

Source: tout plein de trucs! Fin du chapître pour savoir!

Disclamer: Y en a qui sont a moi et qui le regrette profondément et d'autres non qui seraient bien tranquilles si ils ne m'avaient pas tapé dans l'oeil! Pareil, précision à la fin!

Notes: a décidé de mettre à rude épreuve mes nerfs fragiles, donc les dialogues seront entre parenthèses, désolée!


Le garçon fixa une petite seconde le torse contre lequel il s'était presque assomé en rentrant puis leva la tête pour réussir à apercevoir le visage de l'armoire à glace en tablier.

La-dite armoire à glace, qui le toisait, impassible, avec de surprenant yeux verts sous sa frange brune.

Heero recula un peu histoire d'éviter le torticolis et se retint d'assassiner l'employé. Mission: aspirine. Sans faire de victimes. Mission.

Il réitéra donc sa demande:

(Bonjour, j'aurais besoin d'aspirines. S'il vous plaît.

(Je vous amène ça.

Il vit du coin de l'oeil une autre barraque en manteau noir et lunettes de soleil l'observer avec un sourire goguenard. Heero ne put s' empêcher de lui envoyer son regard-de-la-mort-qui-tuerai-même-un-immortel. L'autre sourit plus largement, comme appréciateur. Le garçon se détourna, rageur avant de reporter son attention sur l'employé qui cherchait son médicament.

Depuis la fin de la guerre et son retour parmis les civils, le jeune homme se sentait extremmement stressé, anxieux. Il n'avait jamais fait parti des civils, sauf en infiltration. Il se retrouvait à dix-sept ans, seul, sans attâche et avec ordre de vivre comme n'importe qui.

D'où ses maux de têtes intenses.

Son voisin de palier, un angélique blond nommé Quatre qui était l'une des seules personnes avec qui il avait réussi à se lier l'avait alors poussé à sortir de son antre ne serait-ce que pour aller chercher de quoi se soigner.

Le grand brun maugréait. Apparament, il ne trouvait pas. Heero se massa les tempes. Foutue migraine!

(Kazahaya! Où sont les aspirines!

(Derrière le comptoir, tiroir D, comme d'habitude! Répondit une voix claire et pleine de vie venant du fond de la boutique.

(Si je te le demande, imbécile, c'est que je ne les trouve pas!

(Allons, les gosses, pas de scène de ménage, hahahahahahahaha! Ricana la montagne aux lunettes de soleil

Un reniflement indifférant et un glapissement outré lui répondirent, respectivement du jeune employé brun et de la voix du fond.

(Saiga-san, arrêtez de faire ce genre de remarques embarassantes! ET JE SUIS PAS UN IDIOT,RIKUO!

(N'hurle pas comme ça... Et je te dit que tu as dû les ranger ailleurs...Idiot...

(GAAAh! Raaaaah, c'est pas possible, tu vas voir!

A ce moment là, le propriétaire de la voix apparut, fulminant et se dirigea à grands pas vers le comptoir.

Un jeune homme fin de l'âge d'Heero et du grand brun, châtain clair, presque blond avec les cheuveux mi-long.

Le client crispa son poings contre son front. Bon sang! Un pic de douleur lui avait vrillé le crâne lorsque le garçon était apparu.

Ce dernier fouilla dans les tiroirs, avant de trouver la marchandise dans le rangement juste à côté...

(Rikuo, ne dis rien...

(Je n'en pense pas moins...

(RAAAAAAAH! T'AVAIS QU'A PAS TE BARRER LA NUIT OU ON DEVAIT TOUT RANGER,CRETIN!

(Ferme là et vas servir le client.

Le garçon fusilla une dernière fois son collègue des yeux avant de se retourner vers Heero qui arrêta de se massacrer les tempes malgrès la douleur pour prendre son médicament.

Ils se retrouvèrent face à face.

Kazahaya laissa tomber la boite d'aspirines, figé, ses grands yeux verts-mordorés grand ouverts.

Heero le fixait, ses orbes marines écarquillés, la bouche entrouverte.

Le blond se mit à trembler de plus en plus violemment,devant s'appuyer sur le comptoir pour ne pas s'effondrer.

Le brun serait les poings, les phallanges blanchies.

Ils ne s'aperçurent même pas que les deux collosses s'étaient rapprochés d'eux intrigués et inquiets, n'entendirent pas leurs appels, leurs questions.

Les deux garçons portèrent soudain les mains à leurs têtes alors qu'un flash brutal les saisit:

Courrir, perdre le souffle, courir, s'echapper, fuir fuir plus jamais ça non ne pas se faire rattrapper jamais les branches qui giflent la douleur partout dans leurs corps dernière chance. Regards qui se croisent, mains qui se serrent

... Mort.

(... K... Kaze.

(... Kyô?

Le brun hocha lentement la tête. Il avait une énorme boule dans la gorge et si mal au crâne...

Bon Dieu. Un autre survivant.

(Oy, Kazahaya, que...

Le blond fixait le petit brun d'un regard troublé. Soudain il eut un petit sourire, tremblant, alors que le désespoir et l'incrédulité envahissaient ses prunelles.

(C'étaient pas des cauchemars... Murmura-t-il

Puis il s'évanouit, serrant convulsivement ses mains.

(HOY, IMBECILE!

Rikuo se précipita pour soutenir le garçon inconscient avant de regarder Heero avec colère et incompréhension.

(Mais qui es tu!

Le jeune homme sursauta alors et avant que Rikuo ou Saiga ait pu faire un geste, se précipita vers la sortie, hagard.

(Que s'est-il passé? Intérrogea alors un être androgyne au visage mystérieux sortant de l'arrière boutique.

Saiga encore un peu débousolé, répondit à l'homme:

(Le gamin est tombé dans les pommes après avoir vu un client, un jeune brun aux yeux bleus foncés très froids. Ils avaient l'air aussi choqué l'un que l'autre...

Le type a appelé Kazahaya, "Kaze", et lui a dit "Kyô"... Ajouta Rikuo soutenant toujours le blond en le regardant d'un air préoccupé.

Dans son inconscience, le garçon ne cessait de gémir doucement en se tordant les mains, un air de pure souffrance et de peur sur les traîts.

(Le petit est sorti du magasin comme si il avait le diable à ses trousses avant qu'on ait pu lui demander quoi que ce soit...

Kakei s'acroupi à la hauteur du visage crispé de Kazahaya.

(Le passé...

(Quoi?

(C'est le passé qui revient...

Rikuo n'aimait vraiment pas la mine soucieuse de son employeur. Il voulu lui demander plus d'explications mais l'homme ne lui en laissa pas le temps.

(Rikuo, ramène Kazahaya dans l'appartement, installe le bien puis revient.

Le brun obeit, sachant depuis longtemps qu'il fallait suivre les ordres de Kakei.

Il transporta son colocataire jusque dans sa chambre et le coucha. Il le regarda un moment murmurer des plaintes incohérentes et se tordre les mains. Quelque part il s'inquiétait pour lui, et n'aimait pas le voir dans ce genre d'état...

Il ôta doucement une mèche du visage tourmenté et chuchota pour lui seul:

(Qu'est ce qui te met dans cet état... Ce garçon? Pourquoi...

Après une dernière caresse sur la joue du jeune évanoui, il redescendit.


Heero courut jusqu'à son appartement, ferma la porte et se laissa glisser sur le sol.

Tout un flot d'émotions le traversait, tourbillonait.

Joie, soulagement, regrets, souffrances, douleur...Peur.

Joie et soulagement de revoir l'un des leurs en vie.

Regret de l'avoir mit dans un tel état, apparament, Kaze avait enfoui tout ça au fond de lui jusqu'à oublier...

Souffrance car le revoir lui avait lui aussi remit en tête des choses qu'il aurait préféré effacer de sa mémoire.

Peur... Parce qu'il avait un très mauvais pressentiment...


L'inspecteur brun au regard vert intense et gouailleur pour l'instant concentré souleva le ruban jaune en montrant sa plaque suivi de son cohéquipier.

L'équipe de déminage avait fini son travail et était en train de remballer. Les deux policiers s'avencèrent jusqu'à un grand homme blond-vénitien qui discutait avec quelques hommes.

(Dee, Ryô, venez par ici, dit-il en les apercevant.

Il les entraîna un peu à l'écart pour leurs faire un topo de la situation.

(A 9h45, une xplosion a eu lieu sur le plateau E, où aurait normalement dû se dérouler le tournage de la scène du film. Il y a eu un changement de dernière minute, heureusement... Deux victimes, deux bléssés graves et deux légers, tous des techniciens. Selon les démineurs, la bombe est artisanale, une nouveauté dont la recette circule sur internet... Il y a beaucoup d'allées et venues, ça pourrait être n'importe quels visiteurs.

(Mouais, en gros, le big bordel,quoi.

(Il n'y a aucunes justifications, une lettre de fan, un employé lésé...

(Nous sommes en train de chercher... Ce film réunit Morgan Freeman, Johnny Deep et deux acteurs japonais peu connus encore ici mais très célèbres dans leurs pays. J'aurais besoin de vous pour les interroger, justement.

(Okay, on y va, Ryô?

(Je te suis. A plus tard, commissaire Barclay.

Les deux inspecteurs arivèrent vers le coin où les secouristes avaient installés les victimes. Bien que l'explosion ait eue lieu sur un autre plateau, l'onde de choc s'était fait ressentir jusqu'ici. Ils repérèrent Morgan Freeman et Johnny Deep que JJ Adams et Drake interrogeaient avant de se diriger vers deux hommes, un blond qui enlaçait possessivement un brun tenant sur son front une compresse tâchée de sang.

(Kato, pour la énième fois, je vais bien!

(Mais tu t'es pris la caméra sur la tête quand même! J'ai le droit d'être inquiet!

(Kato...

Le brun releva légèrement la tête vers son compagnon, révélant un visage aux traîts aigus et des yeux perçants.

En voyant cela, Dee eut un petit sifflement discret:

(Décidément, je vais finir par croire que tous les Japonais sont gatés par la nature! Le blond est pas mal du tout non plus...

Il se baillona soudain et se retourna vers Ryô avec un air contrit mais fronça les sourcils.

Son collègue châtain s'était figé, le regard rivé sur l'acteur brun.

(Ryô? Hey! Qu'est ce que tu as! Ryô, réponds bordel!

Les deux acteurs se tournèrent et virent les deux inspecteurs, Dee secouant son collègue qui les fixait, en état de choc.

Et instantannement, Kyosuke Iwaki se retrouva dans le même état que le policier châtain.

Il se rapprocha lentement de Ryô, ignorant les appels inquiets de Kato et les regards méfiants de Dee.

Mal peur horreur désespoir non pas de sentiments cris coups résister pleurs mort mal mal MAL!

(... Iie... murmura l'acteur en portant les mains à ses tempes.

(Ce... Ce n'est pas ...possible... gémit le policier en tremblant.

Et tout deux soufflèrent alors, ne se quittant pas des yeux:

(... C'était donc vrai...

Avant de sombrer dans le néant, rattrapés par leurs compagnons respectifs, saturés de souvenirs pénibles...


(Mon amour, ma beauté divine, mon ange, ma...

Si tu crois m'avoir avec tes compliments foireux Jack Delunes, tu te fourre le doigts dans l'oeil jusqu'au cul! Tu ne m'a pas appelé hier, je veux savoir pourquoi! >>

(Francesca, écoute...

Rah! Si c'est comme ça je préfère raccrocher avant qu'on se dise des choses désagréables! Et laisse moi te dire que tu es mort dès que tu me rejoint!>>

L'instant d'après Jack se retrouva en tenant bêtement le téléphone qui sonnait. Il se prit la tête entre les mains et soupira exagérément. Il se laissa tomber sur sa valise presque remplie et attrapa le billet d'avion qui l'emmènerait retrouver sa chère et tendre à New York. Autrement dit, qui le conduirait à l'échaffeau. Francesca était très possessive, jalouse et rancunière...

Ils s'étaient rencontrés dans leur lycée, il y a deux ans de cela et ne se quittaient plus depuis ce temps là. Jack était quequ'un de tranquille et discret, sans en être effacé pour autant et Fracesca était une magnifique et plantureuse brune aux brillants yeux sombres dotée d'un caractère emporté et extraverti et d'un accent italien à couper au couteau. Elle était allé rejoindre son frère ainé, un New-yorkais, pour les vacances et avait ordonné à son petit ami de la rejoindre dès qu'il aurait fini de travailler.

Le jeune homme lâcha un deuxième soupir. Son vol était tôt dans la matinée. Il caressa l'écrin dans lequel était la bague qu'il offrirait à son amie puis la rangea dans son sac, bien à l'abri.

Il se mit ensuite en tenue de nuit, avala ses somnifères et se coucha, espéreant ne pas faire de cauchemards. Ces temps-ci, même ses cachets ne l'aidait plus à les repousser...

Il se demanda un instant si c'était un mauvais présage avant de se traîter mentalement de crétin et fermer les yeux.


(Monsieur?

(Oui?

(Nous avons récupéré toute la base de données concernant le projet Niveau7.

(Parfait. Lancez la recherche. Il nous les faut vivants.

TBC...


Réponses aux gentils rewieveuses!

Lynn E.R. Aerama: Ma première rewieuveuse pour cette histoire! Je te remercierais jamais assez!

Shamandalie: Merci pour les encouragements! Voili un petit peu de suite et la présentation des persos!

Nicole Pavlovna: Merci de la lire! Au passage je doit te remercier pour la rewiew de They loved!

Encore merci à vous lectrices adorées!

/Rikuo/ La ferme, baka, t'es pas une star...

Tu veux vraiment échanger avec Kazahaya?

/Rikuo/...

Bref, ben faites moi savoir vox avis, si vous avez le temps!


/Flo/ Beuh, c'est parti pour une longue fic... Bref, présentation, comme convenu!

Tout d'abord, mes originaux, Jack Delunes et Tyler Donovan, que vous pouvez trouver dans Les aléas du lycée!

/Ty et Jack saluent et vont se positionner comme les miss France, avec le sourire con en moins, faut pas charrier non plus.../

La magnifique Jade Nahima, inventée spéciallement pour cette fic!

/Jade/ Je tues le premier connard qui mate!

Passons aux personnages crées par d'autres et que je vole sans aucunes hontes!

/Public/ Booooouuuuuuuuuuuuuuuh!

De Lawfull Drug, de CLAMP:Kazahaya Kudo, Rikuo Himura, Kakei et Saiga ainsi que leur pharmacie!

/Kazahaya/ Veuuuuuuux paaaaaaaaaaaaaaas!

/Rikuo/ Aaa, urusei... Si tu t'étais renseigné avant de dire oui à la folle qui te proposais un job...

/Kakei, grand sourire qui fout la trouille/ Ca va être déduit de ta paye...

/Saiga/ Hahahahahahaha!

De Kizuna, de Kazuma Kodama: Ranmaru Samejima et Kei Enjoji, ainsi que leur appartement!

/Kei/ Oses toucher à Ran et je te tues!

/Ran/ Trop tard...

De Gravitation, de Maki Murakami : Shui'chi Shindou, le groupe Bad Luck, et Yuki Eiri!

/Shui'chi/ Je suis avec mon Yukiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!

/Yuki/ C'est quoi ce bordel encore...

De Fake, de Sanami Matoh : Randy Ryô Mc Clane, Dee Latener, Rose Barclay, Vicky et le commissériat!

/Ryô/ Florinoir, je ne voudrais pas que vous soyez trop méchante...

/Dee/ TOUCHE A MON RYORIENQUAMOI ET JE TE PLOMBES!

/Vicky/ Moi d'abords!

De Haru Wo daitera, de Youka Nitta: Kyosuke Iwaki et Yoji Kato!

/Iwaki/ Kato, arrête de me déshabiller, ce n'est pas le moment, NOUS SOMMES EN PUBLIC!

/Kato/ M'en fout!

De Georgeous Carat, de Yuu Higuri : Florian Rocheforts, Noël, Noir alias Rei Balzac Courland et Laila!

/ Noir/ N'abimez pas mes précieuses améthystes!

/Florian/ Irrécupérable...

De Gundam Wing, de la Sunrise and cie: Heero Yuy, Quatre Raberba Winner, et pis sans doute les autres!

/Heero/ T'as encore trouvé le moyen de me mettre!

/Quatre/ Allah, pourquoi moi aussi!

De Love Mode de Yuki Shimizu : Sakashita Izumi et Takamiya(c'est quoi son prénom déjà!)!

/Izumi/ POURQUOI MOI!

/Takamiya/ Je peux te consoler si tu veux...

Y en à d'autres qui vont peut-être venir, mais en gros, vous avez mes principales victimes!Mwahahahahahaha! Que la fête commence!