Auteur : Kyochan… De quoi je me répète ? C'est pas un peu normal ? - -''
Base : dois-je vraiment continuer à dire que c'est Saiyuki ? lol
Disclaimer : (vérifie que Sanzo n'est pas dans les parages) ouff… Bon, les perso de Saiyuki ne sont pas à moi, mais si Sanzo veut venir, il peut, c'est quand il veut !
CLIC
Kyochan : mais d'ou tu sors a chaque fois !
Sanzo : je pense que tu n'as toujours pas comprit…
Réponse aux reviews : bon, comme je vois, j'ai pas mal de reviews ! je suis contente ! et donc, je vais encore vous répondre ! bon, même s'il n'y en avait qu'une, j'orais répondu, mais ca, faut pas le dire, chuuut !
Greynono : bah je crois déjà tout t'avoir dit je sais pas quoi dire d'autre… à bientôt ? vive la suite de tes fics ? lol bizzz
Kestrel21 : et bah, pour Saly, je suis comme toi… vraiment, je ne sais pas, au début, je ne l'aimais pas du tout, mais en fin de compte.. lol, je sais je suis bizarre ! j'espere que la suite ne va pas te decevoir, j'ai voulu faire un chapitre qui est assez « calme » enfin… vui, calme - -'' j'espere que ca ne va pas te paraître tiré par les cheveux… parce que ca ne l'ai pas ! en fait, j'ai des idées, mais je n'ai pas trop le temps d'aller jusqu'au bout, donc je me contente de rester a la surface pour ne pas m'embarquer dans un truc impossible a s'en défaire… chacun son choix : ) . Pour Gojyo, j'aime bien le voir dans le rôle de la personne qui casse les gens, jusqu'à notre povre bonze… Saly a un mauvais caractère, elle n'a pas le droit de faire mal a sanzo et hakkai… mais ça… c'est toute l'histoire, lol ! pour les fautes, je crois en avoir fait moins la… tu me diras ? Tu veux être ma béta-lectrice ? Je suis très nulles en orthographe donc… bon apres ce chapitre pour te répondre, bizzz lol
Kokoroyume : euh… pi etre que sanzo est OOC.. mais bon, j'essaye de respecter le caractère des perso, mais voilà, en meme temps, je veux les pousser à bout, ces bouts de choux lol pour saly… qui sait ! (moi… mais ca tout le monde le savait lol) et vui, saly cache un truc… mais je dirais rien de plus, na ! voilà la suite ! bizz et merci !
Mlle machiavelli : voilà la suite ! j'espère que tu vas aimer bizzz
Seilin : j'ai essayé de ne pas être trop, trop sadique pour ce chapitre, c'est plutôt un calme avant la tempête… donc voilà, mais je te préviens, je suis TRES sadique, et le chapitre deux n'est pas mon maximum, justement, je le trouvait un peu fade… j'espere ne pas t'avoir décu pour ce chapitre … sinon, pour l'alcool, je sais, je sais, mais bon, j'ai déjà vu des gens (je ne dirais pas, c'est ma vie privée !) qui on dit des choses dont ils ne se souvenaient plus le lendemain ni apres… et l'alcool en trop grande quantité provoque chez certaines personnes des troubles de la mémoires (n'est ce pas ?) donc, j'ai voulut faire ca.. et pis vui c'est pour l'histoire bizzz ps : la suite risque d'être horrible, fais attention a toi grand sourire tres sadique
Note de l'auteur : bon bah voilà, comme je disais dans certaines réponses aux reviews, ce chapitre n'est pas poussé sur le sadisme, mais c'est surtout un chapitre pour poser les choses, faire un petit « bilan » sur la relation des deux beaux garçons et je n'ai pas vraiment eu les idées pour le sadisme à cause de mes cours ! mais ca va, mes poussées de sadismes sont revenues, voir ma nouvelle fic intitulée « il aurait fallu le dire avant… Gomen… » ! bon, j'arrête mon blabla, je vous laisse lire ! bizzzzz
Quand Hakkaï se réveilla, il dût remettre toutes ses idées en place. Saly était prés de lui et se collée contre son torse. Vu comme cela, elle semblait fragile, et inoffensive. Mais il savait que ce n'était qu'en apparence. Il soupira et Saly se réveilla. Elle le fixa dans les yeux et il vit une nouvelle fois la tristesse qu'il avait vu l'avant veille.
SALY : Hakkaï ? Euh… Désolée, j'ai mal à la tête…
Elle se leva et le regarda.
SALY : tu devrais aller voir tes amis, dépêches toi, voir s'ils sont morts ou pas… Je t'autorise à rester avec eux autant de temps que tu le veux, si ça peut te détendre…
Elle alla dans sa salle de bain et Hakkaï attendit. Quand elle sortit, elle fut surprise de le voir.
SALY : qu'est-ce que..
HAKKAI : à quoi tu joues ?
SALY : … Laisses tomber, et vas prendre une douche. Dans ma salle de bain. J'ai de l'eau chaude. Profites en, je ne serais pas aussi gentille tout le temps…
Elle s'en alla et Hakkaï prit sa douche. Il cessa de se poser toutes les questions qui l'assaillaient quand l'eau chaude coula sur son corps. Après avoir passer 2 jours à prendre des douches très froides, l'eau chaude était un véritable délice ! Il resta longtemps sous la douche avant de se souvenir de Sanzo et des autres. Il fallait qu'il aille voir s'ils étaient tous en vie ! Il coupa l'eau a contre cœur, et remarqua enfin qu'elle était légèrement parfumée. Il sortit de la douche et remarqua que ses vêtements avaient été remplacés par des propres, et que ses anciens avaient disparut. Un mot était posé. « Chère victime, je sais à quel point tu dois souffrir, donc c'est pour cela que j'ai décidé de te donner un coup de main. Tes vêtements sont en sécurité, je les lave. Fais attention à Saly, elle n'est pas stable. Je t'en dirais plus au moment venu, le moment où nous nous rencontrerons. Je te dis à bientôt, chère victime. ». Hakkaï avait beau retourner le mot dans tous les sens, il ne voyait aucunes marques qui pourraient informer sur son auteur. Il plia le mot avec beaucoup de soin et s'habilla avec les vêtements. Il savait qu'il pouvait faire confiance en cette personne, même s'il n'en comprenait pas les raisons qui le poussaient à ressentir ça. Il glissa le mot dans une de ses poches et se précipita à l'infirmerie. Là, il se stoppa avant d'entrer. Il avait peur. Il inspira longuement et entra. Goku se jeta dans ses bras en pleurant.
GOKU : Hakkaï !
Gojyo le regardait d'une manière bizarre.
GOJYO : désolé mon vieux…
Hakkaï ne pouvait se résoudre à regarder Sanzo. Il avait vraiment trop peur. Il serra Goku dans ses bras puis ce dernier s'écarta. Hakkaï se releva, et tourna la tête vers Sanzo. Ce qu'il vit lui coupa le souffle. Sanzo était couché sur le lit, et semblait dormir. Il se précipita sur lui et le secoua.
HAKKAI : Sanzo, réveilles toi, c'est moi, Hakkaï !
GOJYO : Hakkaï ; arrêtes, tu vas t'énerver pour rien…
HAKKAI : Sanzo… Pourquoi ne te réveilles-tu pas ?
GOKU : il est dans le coma !
Hakkaï en eut le souffle coupé. Non, il n'était pas mort, mais…
HAKKAI : que puis-je faire pour lui ? Gojyo ? Que puis-je faire ?
GOJYO : … espérer, mon vieux… Espérer…
Hakkaï se coucha aux côtés de Sanzo et le prit dans ses bras. Goku ne cessait de pleurer et Gojyo le prit par les épaules.
GOJYO : calme, le singe…
GOKU : mais… Mais… Sanzo…
GOJYO : c'est Sanzo, ducon, il va pas mourir…
Mais il avait du mal à se persuader lui-même. Goku cessa de pleurer et regarda Hakkaï serrer Sanzo contre lui, et sa douleur augmenta. Gojyo le serra contre lui et il recommença à pleurer. Hakkaï ne faisait même plus attention aux pleurs de Goku et aux paroles réconfortantes de Gojyo, tout ce qui lui importait, c'était cette peau qui était contre lui, la peau de l'être qu'il aimait le plus, la peau de Sanzo. Il voulait que tout cesse, il voulait repasser une nuit avec lui, il ne voulait plus sentir la peau de Saly, il voulait celle de Sanzo… Il l'embrassa dans la partie du cou qui lui était offerte, et murmura à l'oreille de Sanzo :
HAKKAI : « tu sais que tu me manques de trop pour rester dans cet état… Reviens-moi… »
Soudain, Sanzo ouvrit difficilement les yeux. Il tourna la tête vers Hakkaï, et une fois l'étonnement passé, il lui caressa doucement la joue. Hakkaï ouvrit les yeux, qu'il avait fermé après avoir murmuré, et son cœur fit un bond. Sanzo était non seulement réveillé et lui souriait. Il le vit s'approcher de lui et sentit ses lèvres effleurer les siennes, doucement, timidement, ne voulant pas le presser. Hakkaï se lâcha et l'embrassa fougueusement, sous les yeux riant et pleins de larmes de Goku, et amusés de Gojyo.
GOKU : ouais !
GOJYO : comme tu dis, le singe !
Quand le baiser s'arrêta, Hakkaï se prit un coup de la part de Sanzo.
HAKKAI : Sanzo… ?
SANZO : imbécile, et moi qui pensais que tu voudrais aller doucement au début !
Il éclata de rire, suivit d'Hakkaï. soudain…
HAKURYU : Pyu Pyu !
HAKKAI : Hakuryu !
SANZO ; rhaa, c'est pas vrai… Un dragon et 2 imbéciles gâchent tous mes plans de retrouvailles avec Hakkaï…
HAKKAI : et quels étaient-ils ?
Sanzo le fixa intensément dans les yeux.
SANZO : devines !
Hakkaï lui sourit, et se leva. Sanzo grogna et remarqua soudain qu'il avait une migraine horrible.
SANZO : ah non… Quelqu'un aurait de l'aspirine…
GOJYO : ça, je sais pas… Tu crois qu'il y en a dans une infirmerie ?
Gojyo le regarda, moqueur.
SANZO : sale cafard rouge…
GOJYO : tu vas te mettre à faire du singe toi maintenant !
GOKU : eh, je t'ai rien demandé !
GOJYO : tient, tu te sens visé, le singe ?
GOKU : je suis pas un singe !
GOJYO : ah nan ? Et t'es quoi, dis-moi ?
SANZO : SILENCE !
Hakkaï sourit devant la scène quotidienne. Il en oublierait presque Saly, mais le simple fait de sentir la lettre dans sa poche le ramenait à la réalité. Cette lettre lui avait offert un certain réconfort un moment, mais là, elle lui rappelait la situation actuelle, et ça le minait.
SANZO : Hakkaï ? Tu penses à quoi ?
HAKKAI : ah, euh, non, rien, Sanzo, reposes-toi !
SANZO : … Oubliez pas où nous sommes. Et dans quelle situation. Nous devons partir.
HAKKAI : je mourrais.
SANZO : elle n'oserait pas se tuer elle-même ! A moins que…
HAKKAI : tu l'as vu, en tant qu'esprit, mais tu l'as vu…
SANZO : …
Gojyo et Goku baissèrent la tête, sans demander ce qu'il s'était passé. Il y avait des choses qu'ils préféraient ne pas savoir.
SANZO : Hakkaï, je ne sais pas quoi faire… Dis-moi un truc, même impossible, même de mourir, et je le ferais… Si c'est ce que tu veux…
HAKKAI : … Ne meurs pas. Et ne fais rien… Attends-moi… Je ne serais pas long, juste 4 jours…
SANZO : 4 jours sans toi… Tu te rends compte un peu de ce que tu me demandes!
HAKKAI : le problème, c'est que je ne sais pas non plus quoi faire. Et j'attendrais, moi aussi. Que ces maudits jours se terminent. Que cette fichue semaine se finisse. Nous ne pouvons rien faire, malheureusement…
Sanzo voulait se lever, mais son mal de crane le plaqua contre son lit. Hakkaï ne voulait pas le regarder. C'était trop dur.
SANZO : Hakkaï regardes-moi. Je ne supporte pas ça, surtout avec la migraine que je me tape depuis mon réveil…
Hakkaï ouvrit une armoire à pharmacie et en sortit de l'aspirine. il se retourna et passa la boite à Sanzo qui en profita pour plonger ses yeux dans ceux d'Hakkaï, sachant que celui-ci ne pourrait pas détourner les yeux. Et effectivement, Hakkaï ne pouvait pas se résoudre à abandonner les yeux de Sanzo quand ceux-ci fixaient les siens. C'était plus fort que lui.
SANZO : écoutes-moi, Hakkaï…
HAKKAI : bon, je dois y aller, sinon, je vais me faire punir. Reposez vous bien.
SANZO : ne vois tu pas que je n'arrive pas à savoir quoi faire ? Ne vois tu pas que je souffre ? Je suis obligé de rester dans cette chambre maudite, sans toi, j'ai un super mal de crâne, j'en ai marre…
Hakkaï se retenait pour ne pas éclater.
SANZO : je t'aime, moi.
Là, ce fut trop.
HAKKAI : stop, j'en ai ras le bol…
SANZO : pardon ?
HAKKAI : c'est toujours, moi, je, je, je, je, et moi, je suis où dans l'histoire ? C'est pas toi qui est obligé de baiser Saly chaque nuit, c'est pas toi qui te fais frapper par elle, c'est pas toi qui porte son cœur, c'est pas toi qui est l'esclave dans l'histoire ! Toi, contentes toi de dormir, et surtout, te plains pas ! Je préfèrerais que tu sois à MA place !
Il s'en alla en claquant la porte. Il marcha quelque minute et, dans un couloir assez sombre, il s'arrêta, et se mit à pleurer. Il sentit une main se poser sur son épaule.
VOIX : chère victime, ne t'inquiètes pas, ton moine ne t'en veut pas… Il s'aperçoit jusqu'où il a été… Et le regrette sincèrement… Vas le voir, Saly ne sait pas que tu es partit de là-bas, malgré ta sortie distinguée !
Hakkaï se retourna pour dire merci mais il n'y avait personne. Il sourit, et alla à l'infirmerie. là, avant d'entrer, il écouta à la porte.
SANZO : je suis un imbécile…
GOJYO : c'est pas nouveau…
SANZO : la ferme..
GOJYO : eh, je ne fais que t'approuver, mon vieux…
SANZO : … si tu veux.
GOJYO : pour une fois, mais une fois n'est pas coutume, t'habitues pas, moine stupide.
SANZO : c'est bon, enfonces pas le couteau dans la plaie…
GOJYO : c'est quoi cette phrase de merde ?
SANZO : j'en sais rien…
Hakkaï entra, et Sanzo se leva si précipitamment qu'il eut un vertige et dût se rasseoir de force.
GOJYO : acte d'une extrême imbécillité, mais si vous voyez autre chose le caractérisant, faites moi signe…
SANZO : la ferme ! Tch…
HAKKAI : Sanzo, je m'excuse…
SANZO : nan, c'est à moi de m'excuser. Je ne pensais qu'à moi, j'étais un petit peu trop nombriliste….
GOJYO : phrase de moi, je peux être fier d'avoir apprit un truc à ce moine corrompu…
CLIC.
GOJYO : bon, j'ai rien dit, continue…
SALY : non, je ne pense pas. Hakkaï va venir avec moi.
SANZO : pas avant ça.
Il se leva, et embrassa fougueusement Hakkaï devant Saly. Celle-ci ne dit rien, interdite. Puis, ce fut l'explosion de colère.
SALY : sors d'ici tout de suite toi ! ET CE BONZE ET MOI NOUS ALLONS AVOIR UNE PETITE DISCUSSION !
SANZO : IL N'EST PAS A TOI, QUAND TU AURAS COMPRIT CA, TU AURAS TOUT COMPRIT !
SALY : LA FERME, JE NE T'AI PAS AUTORISE A PARLER !
SANZO : JE FAIS CE QUE JE VEUX !
La volonté des deux était énorme, ainsi que la puissance de leur colère. Gojyo pensa, une seconde, que le bonze avait enfin trouvé quelqu'un à sa hauteur, vis à vis colère, mais songea ensuite à la sécurité du singe et d'Hakkaï. Il les prit à l'écart et sortit avec eux de l'infirmerie.
GOJYO : Hakkaï, écoutes moi…
GOKU : nan, Gojyo ! Sanzo a dit que non !
GOJYO : il faut bien qu'il le sache, c'est le seul qui peut faire quelque chose !
GOKU : et toi, tu sais comment il peut réagir si nous lui disons !
HAKKAI : euh.. Parlez pas comme si je n'étais pas là, je n'aime pas ça…
GOJYO : Hakkaï, on doit te dire que…
HAKKAI : que ?
GOKU : Gojyo…
Gojyo cessa de parler, puis s'énerva.
GOJYO : à quoi bon le savoir si on ne peut rien lui dire, merde !
Il frappa le mur de son poing, espérant sans doute le casser. Ce qui n'arriva bien sûr, pas.
GOKU : calmes-toi, Gojyo…
SANZO : MAINTENANT, TU ME FAIS VRAIMENT CHIER, BARRES-TOI, LAISSES-NOUS SI TU NE VEUX PAS CLAMSER !
SALY : LA FERME ! JE TE SIGNALE QU'IL EST VENU DE LUI-MÊME NOUS TUER !
SANZO : ARRÊTES DE DIVAGUER, JE T'AI DECOUVERTE ! ET CROIS-MOI, QUAND JE REUSSIRAI A TE FAIRE LÂCHER, JE TE TUERAI DE MES PROPRES MAINS !
SALY : ESSAYES ! LE PAUVRE PETIT MOINE NE PEUT RIEN FAIRE, CA EXPLIQUERAIT LE POURQUOI DE CETTE COLERE !
GOJYO : elle ne comprend pas que c'est dans la nature de ce moine de s'énerver ?
HAKKAI : mais…
VOIX : chère victime… Viens, vas là-bas, dans le couloir… Une porte s'ouvrira et tu entreras. Après, le moment de notre rencontre viendra enfin…
Hakkaï se retourna, personne. Il vit un couloir, et une porte s'ouvrit.
HAKKAI : je reviens…
Mais il vit que Gojyo et Goku étaient trop occupés à écouter la dispute de Saly et de Sanzo pour lui accorder de l'attention, surtout que ceux-ci en étaient venus aux mains, presque. Hakkaï alla vers la porte ouverte et, après être entré dans la pièce, ferma la porte.
VOIX : je t'attendais… Je me refusais à partir, juste pour t'attendre…
HAKKAI : pourquoi ?
VOIX : pour que tu comprennes ce qu'il se passe ici… Et le pourquoi de ton découragement insensé… Tes amis le savent… Et je vais te le révéler…
