Disclaimer : Tout l'univers d'HP est l'entière propriété de JK Rowling et de la Warner Bros, je ne fais aucun profit sur ce texte. Tout les persos lui appartiennent hormis le contenu de ce présent texte.

Note de l'auteur : Pour les personnes qui suivent mon autre fic '' Après tout le soleil se lèvera encore demain…'' mettant en scène Lily et les Maraudeurs, je vous informe que le 6 éme chapitre sera en ligne pendant les vacances, je n'ai pas été très inspirée ces derniers temps mais je vais me prendre en main. Je remercie d'ailleurs, en attendant les RAR, toutes les personnes qui ont l'éternelle patience de me suivre. Quant à vous lecteur, ne vous inquiétez pas vous pouvez lire ce chapitre tranquille, les 3 suivants sont près, il vous suffit de m'encourager pour poster les suivants ;)

Publicité : un peu d'égocentrisme : le référencement et ect… ni fait rien alors je viens à la source, là on l'on trouve le plus de fan : si vous etes fan de ce cher Sirius faites un tour sur mon site http/siriusfan.c.la il est tout nouveau et il a besoin de vouuuuus pour percer dans le monde très sélectif du Web, alors je compte sur vous pour faire du bouche à oreille…

Résumé : L'histoire commence la fin du 5 éme tome. Lorsque Sirius traverse le voile, il se passe quelque chose que peu de personnes n'ont envisagés…

- Harry, prends la prophétie, emmène Neville et va T-en d'ici ! je tout en me ruant sur ma cousine

Des lors s'acharna un terrible combat entre nous deux, certes Bellatrix semblait avoir subit durant son séjour à Azkaban un ramollissement du cerveau, car ces sorts étaient tout à fait inoffensifs et digne d'un première année de Poudlard. Mais je la soupçonnait déjà de vouloir m 'épuiser, c'était d'ailleurs difficile de penser qu'elle puisse réfléchir à ce point mais sur le moment ce fut la seule explication valable qui me passa par la tête.

Je lui envoyait un bon sort de cécité dans les dents, hehe , à ce jeu là j'avais toujours était le meilleurs, elle ne pouvait pas m'avoir.

Finalement cette petite ballade me dégourdirait bien les pattes. Mais je ne devais pas fléchir, mon unique objectif était de protéger mon filleul Harry, cette sale garce ne devait pas me détourner de lui.

Mais je ne résistais tout de même pas à me mesurer à elle, tout d'un coup, toute la rancœur et la haine que je ressentais pour ma famille remontait à la surface et j'avais envie de lui exploser sa jolie tête de mangemorte, j'aurai pris plaisir à voir sa cervelle éclabousser les murs gris de la pièce.

- Allons, tu peux faire mieux que ça ! hurlai-je

Je ne pouvais pas m'empêcher de rire, elle avait l'air si furieuse, si prévisible… Azkaban ne lui avait donc il rien appris ?

Elle me lança un autre sort, et un éclair me frappe en pleine poitrine, un sortilège d'éblouissement combiné à un sort qui m'était inconnu et qui puait la magie noire, je me sentis tomber à la renverse et un temps infini sembla s'écouler, tout semblait figer autour de moi, hormis la voix de Harry.

Il criait mon nom et aucun son ne sortait de la bouche. Je voulais lui répondre, lui dire que ce n'était qu'une petite chute, sans incidences mais les mots restaient coincé en travers de ma gorge. Après avoir chuté, je me retrouvé à genou sur le sol froid et mes mains glacées brassaient l'air pour attirer l'attention du fils de mon meilleur ami mort pour m'avoir fais confiance. Et voilà que je tombais dans le mélodramatique...

Et puis cette sale mangemorte qui regardais en ma direction, son sourire vainqueur sur ses lèvres me mis hors de moi, j'allais lui montrer comment je répondais à ce genre d'offense, elle allait la sentir passait ma colère. Je me mis debout et m'avança. Ce fut à partir de ce moment la que ma vie prit un tout autre tournant. C'est à partir de cet instant que j'ai pu recommencer ma vie, c'est à partir de cette seconde que ma vie changea et que je fis changer l'histoire. Une fois debout, il ne me fallut qu'une seule seconde pour voir la situation basculer. Je courus en direction de ma cousine, mes yeux fixant seulement ma cible et ma baguette pointée en direction de son cœur ( je doutais qu'elle en est un, mais les medicomages les plus célèbres avaient affirmée qu'un sorcier ne pouvait pas vivre sans cet organe vital, je supposait donc que si elle en avait véritablement un, il aurait dut se trouver là).

Je jetais alors un sortilège d'attaque puissant que j'avais longuement étudié pendant ma formation d'auror, qui remontée certes à il y a une éternité mais j'avais été alors major de ma promotion avec James.

Mais tout à coup, tout changea. Il n'y avais plus rien.

La salle où se déroulait la bataille était vide. Et il n'y avait d'ailleurs plus aucune trace de l'affrontement, hormis la statue de Venus de Milo la sorcière borgne qui venait de s'écrasait en milles morceaux, touchée par le sort que je destinais à Bellatrix.

Ils avaient déserté. Quelque chose ne tourné assurément pas rond. Comment pouvait-il être possible que la vingtaine de personnes présentes, mangemorts, élèves et membres de l'ordre avaient aient put disparaître sous ses yeux ? Plus aucune trace d'un quelconque présence. Comme si toute l'assemblés avait transplannée dans le but de me laisser entièrement seul. Mais c'était impossible. Bellatrix ne serait pas partie. Elle serai resté, pour finir ce duel. Elle me devait un duel depuis bien longtemps et partir en plein de dedans ce n'était pas du tout elle, c'était fourbe mais ce n'était pas ''digne'' d'une Black.

De toute manière est ce digne tout simplement d'abandonner, en pleine bataille un de ses partenaires ? Où étaient les autres ? Et où étais je ?

Je venais de réaliser quelque chose de tout à fait extraordinaire. Je me trouvais au département des mystères, moi Sirius Black, criminel recherché, tout seul dans la chambre de la mort, où une atmosphère tout à fait mystérieuse régnée et je venais de remarquer quelques chose d'irréel. La statut borgne devait se trouvait, actuellement , à Poudlard, gardant le passage secret du troisième étage mais elle était ici, devant moi en mille morceau.

Je réfléchissais alors à toute vitesse pour trouver une explication tangible à la situation bancale où je me trouvais.

Premièrement, si la statue de la Venus de Milo n'était pas encore à Poudlard mais ici, elle devrait être remise sur pied dans l'immédiat,j'avais donc intérêt à la réparer tout de suite si je ne voulais pas avoir d'ennuis, parce que je les sentais venir. S'il y a une chose que j'ai bien appris à sentir venir, ce sont les ennuis que je m'attire irrémédiablement. Et la ça sentais très fort.

Et deuxièmement le boucan que je venais de faire aller sans doute attirer du monde et il ne valait mieux pas que je me fasse remarquer sinon, il se peut qu'il y est des retombé sur mon matricule, et surtout sur mon matricule de prisonnier évadé.

Alors je m'approchais des restes de la statue et d'un puissant sort de réparation, je la remis debout. Elle me lança d'ailleurs un regard lancinant, et si elle avait eut encore ses deux bras, je crois bien qu'elle m'aurait fait un geste obscène.

J'entendis alors des bruits de pas dans le couloir et je me pressais à mon tour de me transformer sous ma forme canine et de me cachait derrière l'arcade que je venais d'apercevoir.

Ce voile m'intrigua tout à coup, ma forme canine semblait attiré par cet artefact magique et elle me rappelait quelque chose, j'étais presque sur que si je me trouvais sous forme humaine, j'aurai put mettre un nom sur cette chose mais je fut brutalement ramener à la réalité lorsqu'on m'enserra par le cou.

- Regarde Longdubat, je t'avais bien dit que j'avais entendu le voile bouger !

L'homme svelte qui m'étrangler presque me secouer tout en pointant du doigt l'arcade et en s'adressant à une femme assez jeune, blonde et qui tenait fermement sa baguette dans sa main gauche.

Tu crois que cette pauvre bête a put arriver par le voile ? répondit Longdubat.

Sans doute, et c'est bien embêtant, j'aime pas tuer les bêtes, mais j'espère que bien que tu ne m'empêcheras pas.

Tu ne va pas faire ça, Podmore ? Ce n'est qu'un pauvre chien errant.

Et je me demande bien comment il a fait pour errer dans le Département des mystères, quelqu'il soit.

Ce n'est qu'un chien, il n'est pas encombrant, puis surtout il ne parlera pas. Que penses-tu qu'il pourra dire sur le futur ? S'il te plait. Ne tue pas cette pauvre bête. Franck adore les animaux, je le prendrai chez moi. Il ne voyagera pas si ça peut te rassurer.

Longdubat, tu es consciente que tu auras une dette envers moi ?

Jacky dira au ptit de venir degnomer ton jardin. Puis-je e promet que le chien sera muet comme une tombe elle lui fit un clin d'œil parole de Langue de Plomb !

OK, prend le ton chien mais gare à toi, je n'ai aucune responsabilité dans cette affaire.

Podmore parti par la porte de derrière avec un dernier regard pour sa collègue puis me laissa en sa charmante compagnie. Si je n'étais pas censé être un chien.. Ha lala et qui dit qu'une vie de chien c'est bien ? Hein ?

Une chose est sure, maintenant c'était une certitude. La seule Mme Longdubat ayant la quarantaine et que je connaissais, se trouver depuis 14 ans au service Pathologie des sortilèges, allongée sur un lit d'hôpital et elle n'en ressortirai sans doute jamais. Une seule conclusion s'offrait à moi, je venais de faire un sérieux bond dans le passé.

- Eh bien mon chienchien, je dirai que tu l'as échappé belle ! Je ne l'aurai sûrement pas laisser faire, ah je lui aurai jeter un sacré sort de tarentallegra puis un bon coup sur le flanc et paf, dans les orties.

Voir la grand-mère de Neuville en beauté fatale et défenseuse des animaux semblait presque irréel mais l'imaginer entrain de taper un collègue de boulot avec ses talons aiguilles me mettait tout de suite plus à l'aise et je me permis d'imaginer tout ce que la situation impliquée.

Elle avait parlé de son fils Franck sans aucune amertume dans la voie et je me laisser croire qu'il était encore sain d'esprit. En d'autre terme, j'avais atterri quelque part, je ne sais comment mais à une époque différente. Et si Franck était un jeune jouvenceau, et bien il était très probable que Lily et James soit en vie.

Cette pensée me réjouie fortement et je me permis donc quelques aboiements pour montrer ma joie. Elle sembla elle aussi bien le prendre.

Je vois que tu es content de faire parti de la famille, viens on va sortir d'ici, ce n'est pas l'endroit idéal pour discuter.

Ah parce qu'elle pensait qu'on allait parler en plus ! Et c'est pas elle qui disait que personne n'arriverai à me sortir les vers du nez ? de toute manière, je n'avais rien à dire.

Je la suivis donc et après avoir parcouru plusieurs longs couloirs, nous débouchâmes près de la statue de la Fraternité magique. Puis un éclair foudroyant me frappa. Mon cerveau fonctionnait à toute vitesse et je me rappelais d'une de mes visites au ministère. J'y étais venu en juin 78 avec Remus. Il venait d'avoir 17 ans, et il devait se faire enregistrer sur le registre des ''bêtes dangereuses'' puisqu'il venait d'atteindre sa majorité. James et moi l'avions accompagné pour le destresser un peu et j'avais jeter ce jour là, un gallion dans la fontaine, mais ce n'était pas n'importe lequel, mon père me l'avait donné en main propre et il était à l'effigie de Salazar Serpentard, autant dire que c'était une pièce inesssssssstimable, du moins pour mon père . Je l'avais donc jeté par dessus bord.

Alors que Miss Longdubat parlé avec la réceptionniste, je m'approchais de la fontaine et me pencha pour essayer de trouver ce vieux gallion. On pouvait dire que les gens n'étaient pas très superstitieux, la fontaine était presque vide…( à moins que les techniciens de surfaces ne prennent très à cœur leur boulot en ces années là ;)) Aucune trace de ce fameux gallion, il devait toujours se trouver dans une de mes poches ou dans une vieille malle de mon père, du moins à cette époque.

Donc si je tenais compte des éléments que je disposais, je ne pouvais pas encore bien me situer, mais je devais être tomber en plein dans le premier règne de Voldy. Si franck Longdubat qui est ( ou était ?) de la même promotion que moi, trouve le temps de s'amuser à la baballe et que nous n'avons pas encore dépasser les années 80, on doit se trouver dans les années 75, et la première envie que j'avais eut tout à l'heure, autrement dit de repartir tout de go en plein dans la bataille pour m'assurer que Harry allait bien venait de s'envoler. J''allais pouvoir revoir James et le prévenir. Le prévenir que sa vie basculerai du jour au lendemain, qu'il allait connaître des moments de bonheurs merveilleux mais que quelqu'un allait tout anéantir, que tout ce qu'il aurait pris du temps à construire tombera en ruine et qu'il pourrai faire quelque chose pour changer ce destin.

Mais l croirai t'il seulement ? Lui Sirius Black, déchus, James ne serait sûrement pas capable de me reconnaître même en m' imaginant avec 25 ans de plus, je ressemblais à une vulgaire loque humaine et mon âme aussi décharnée que mon corps. J'avais échoué.

Puis avais-je seulement le droit de m'incruster et de tout changer, est ce que mon égoïsme était-il assez fort pour briser plus de vie qu'il n'en aurait eut si James Lily n'était pas mort et que Harry eut anéanti Voldemort ?

Mais que faire alors. De vrai je rester ici, dans une époque qui n'est pas la mienne, avec à proximité des être chers qui vont voir leur vie basculer dans les année à venir alors que tout pourrai être éviter aujourd'hui ? Quelqu'un m'a envoyé ici, quelqu'un à décidé de me donner une seconde chance. Peut être saurai-je me faire pardonner, de toutes les fautes que j'ai commises, que j'ai put commettre, peut être qu'ils me pardonneront.

En attendant La mère de Franck est assez active, elle bouge de partout, pff, je me rappelais pas d'elle comme ça. Si j'avais su que c'était une langue de Plomb ! Et franck qui nous disait que sa mère était styliste pour la marque Cocita Canel, c'est pour ça que James n'a pas eut de réduction sur la robe de mariée de Lils.

Ça y est la langue pendue reprend du service et m'emmener D… seul sait où. C'est pas que je lui suis pas reconnaissante de la mort qu'elle ma évitait mais il faudrait que je trouve un moyen pour m'évincer de sa compagnie. Je n'ai pas envie de jouer au bon chien de garde et que Franck me flatte l'encolure sinon je serai tenté d'aller en parler à sa petite amie.

Voilà qu'elle nous fait débarquer sur le chemin de Traverse, c'est le bon endroit pour fausser compagnie à quelqu'un. Si je reviens un jour à la ''maison'' je toucherai deux mots de ces mots à propos de ça à la grand mère de Neuville, pour la remercier.

Alors qu'elle se penche sur une vitrine de magasin de vêtements, qui se trouve comme par hasard être une des succursales de Cocita Canel, je pique un sprint à travers les dédales du chemin de traverse, remplis de sorciers stressés par une bonne journée de travail et j'essaie de me frayer un chemin vers l'auberge Porquépic qui aurait du ouvrir l'été de ma rentrée en quatrième année à Poudlard. Peut être la trouverai-je ouverte et accueillante. Alors que je m'engageais de nouveau dans une des rues principales, j'aperçus de loin Minerva McGonagall, la situation était tout à fait différente qu'elle l'avait été précédemment avec la mère de Franck, la femme que j'avais sous les yeux se trouve être ma rechignante prof de métamorphose et la voir avec vingt ans de moins était vraiment bizarre. Elle avait le même visage sévère, les même traits tiré, seul sa coiffure n'étais pas la même, elle avait les cheveux épars sur les épaules, n'était pas à Poudlard, elle avait dut se permettre quelques libertés.

La vue de mon ancienne directrice de maison ne devait pas me détourner d'avantage de mon but, qui à ce moment précis, était de trouvé un endroit où manger, me soigner, et dormir. Et j'allais oublier : de réfléchir. Mc Gonagall rentra dans un magasin et je l'a perdis de vue. Je décidais alors de tenter ma chance au Porquépic et me transforma avant de franchir la porte de l'auberge. Mon apparence n'était pas trop négligée, si on ne regardait pas ma barbe de trois jours et l'état de mes vêtements amochis par la bataille. Je pointa ma baguette sur le cagot qui se trouvait sur le trottoir et le transformais en manteau, l'histoire de ne pas faire trop mauvaise impression.

Je franchis le seuil de l'auberge, et jeté un regard circulaire à l'

ensemble des tablées, essayant de reconnaître quelques visages

familiers. Je me dirigeais alors vers le bar quand on m'apostropha:

- Vous cherchez quelqu'un jeune homme?

- Je cherche surtout une chambre à louer.

- Ah, eh bien, il ne nous reste qu'une seule chambre de libre, mais

si ça ne vous dérange pas de dormir dans la chambre où on

séjournait les Bizzar's Sister, et bien je vous la loue.

- Combien demandai- je, sceptique.

- 14 gallions la nuit.

- J'aimerai bien voir ça s'il vous plait.

- Mais bien sur, suivez-moi.

Le vieil homme replet me dirigea vers un couloir éclairé par deux torches et ouvrit une porte en bois d'ébène, je m'engageais à sa suite dans la chambre.

Si les Bizzar's Sister avaient séjournées ici, moi j'étais un homme

libre! On peut pas dire que c'était de la grande classe, mais de toute

manière ça fait bien longtemps que je ne me permet de ne plus être très exigent,on fait avec ce qu'on a.

Ce lit et ce bureau me conviendront aisément pour réfléchir à la situation

- 8

-12

-10

- adjugé!

Je redescendis en bas pour commander un repas chaud puis remontais dans ma chambre avec mon jus de firewhisky et mon ragoût de sanglier. La bataille et ce retournement de situation m'avait creusé une grande faim. Tout un coup je réalisais que ce retour dans le passé m'accordé un privilège de plus, en effet, ça faisait plus de 16 ans que je n'avais pas fréquenter des civils sous ma forme humaine ailleurs que dans la maison de ma mère et ça me faisait un drôle d'effet. 16 longues années que je n'ai pas vécu en « communauté », moi Sirius Black qui ne pouvait pas supporter de rester tout seul et claustrophobe à souhait, j'ai même eut peur l'été dernier de devenir comme Snape, aussi renfrogné et refermé.

Ici, je n'avais plus aucun soucis d'identité, à part qu'il allait falloir que je me trouve une si je devais rester ici. Mais plus aucune peine ne pesait sur ma caboche, je pouvais circuler librement, courir dans la rue, louer un balai de Quidditch et aller faire un ptit tour, fumer un pétard si j'en avais envie, parce que là, dans le moment j'étais tellement euphorique que j'aurai bien aimé goûter une de ces bonnes omelettes aux champignons magiques dont Remus avait le secret.

Ici je n'étais pas Sirius Black ou plutôt un simple numéro d'immatriculation, je n'étais rien, seulement moi, pas d'identité et surtout aucun préjugé. Si j'en avais envie, je pouvais aller m'exiler dans un autre pays et refaire ma vie tout de suite. Sans aucun passé, seulement un avenir meilleur.

Mais mes préoccupations étaient tout de même tout autre au moment précis pendant lequel je pensais aussi à toutes les conneries auxquels je pense. ( NdA: mon cerveau est épuisé à force de gymnastique dans ce genre)

Au lieu de partir loin de mon Angleterre natale, je pouvais rester ici et trouver un moyen de rencontrer mes amis sans qu'il n'y est d'incidence sur mon présent, ou bien devrai je dire futur.

Seulement les voir de loin, de toute manière, il ne me reconnaîtrai pas, il n'y aurait aucun risque à ne revoir que leur visage, nous revoir tous ensemble, heureux. Heureux mais ignorant, heureux et innocent. Tout innocent.

Je sortis alors mon « portefeuille » de ma poche, je gardais toujours sur cette pochette en cuir, je n'y mettais que rarement de l'argent, puisque je n'en avait pas grand besoin. Mais j'y gardais toujours quelques photos de nous. Des maraudeurs et du temps propice aux bonnes blagues, à la rigolade et aux conneries.

Je regardais nostalgiquement ces images lorsque ce que je vis sur l'une des photos me frappa de plein fouet. Je venais de trouver quelque de très intéressant. C'était une photo prise en 6 éme année à Poudlard, pendant les vacances de Noël, il y avait James, Remus, Peter, Lily et ses deux amies dessus. Mais une personne de plus était sur la photo, notre professeur de Défense contre les forces du Mal de l'époque. Il s'appelait Daniel O'Brians et venait d'Ireland d'après ces dires, on avait fait des recherches sur lui toute l'année comme pour chaque professeur de Défense contre les Forces du Mal, et on avait apris plein de chose, mais c'était surtout lui qui nous avais pris des choses. Il m'avait appris beaucoup et je lui devais aussi beaucoup puis il avait disparu du jour au lendemain, comme il était venu. Aucunes explications.

Je n'avais pas revu cette photo depuis un certain temps et je ne me rappelais même pas avoir mise cette photo dans mon portefeuille mais la providence était ici synonyme de clémence parce que je savais enfin ce que j'allais faire ici. L'homme sur la photo, c'était moi.

Et cette affirmation entraîna aussitôt plein de nouvelles certitudes dans ma tête (NdA: Comme dans celle de l'auteur, y a plein d'effervescence tout à coup), si j'étais déjà venu auparavant, enfin vous voyez ce que je veux dire, la question temporelle est très complexe et j'aimerai pas me lancer dans cette aventure alors je vais essayer d'être clair et concis: si je me rappelais déjà de mon autre moi du passé qui avait été prof DCFM, cela voulez sans doute dire, que mon autre moi ayant déjà fais ce que j'avais fais il y a vingt ans de cela quand j'avais 15 ans et bien cela signifiait que j'avais contribué à construire le futur, c'est a dire mon présent. En clair, ça voulait dire que ce que j'allais faire n'allait être sans répercussion puisque le futur était déjà écrit puisque je l'avais déjà vécu et que lorsque j'avais 15 ans, et bien 20 ans dans le futur, j'atterrissais déjà 20ans en arrière, donc pas de problème. Voila un petit cour sur la question temporelle.

Cette découverte impliquait donc que j'allais être obligé d'aller m'adresser à ce cher Albus Dumbledore pour avoir le poste de défense contre les forces du mal, et ce qui était assez rassurant c'était que je n'allais avoir aucun problème pour l'obtenir puisque je suis sure d'avoir le poste, hehe!

Dernier problème: l'identité. Il y a encore 20 minutes j'étais fixé là dessus, mais maintenant il me fallait régler le problème et vite. Déjà je savais que mon n om d'emprunt serai Daniel O'Brians mais quelles références devrais-je fournir et quant au certificat de naissance ou au diplôme... Il allait falloir frauder un peu, travail de maraudeurs.

Dans l'immédiat, j'avais surtout besoin de savoir quel jour nous étions pour pouvoir me situer et savoir quand est ce que je rentré dans le jeu.

J'allais m'assoire devant le bureau on tapa à la porte. Je me levais ouvrir.

- B'soir Est ce que vous avez bsoin de queque chose, msieu?

Parques, le patron venait de m'envoyer le garçon d'étage qui tituber légèrement et qui avait sûrement abuser un peu de la bouteille et sur le coup je le remerciai mentalement, lui demander la date exacte de ce jour passerai sûrement plus facilement que s'il était sobre.

- Oui, tu pourrais peut être m'aider, lui répondis-je.

- Ah, ouais? bvou voulez vraiment quelque chose?

- Seulement si tu te sens capable!

- Pas de blême je suis cap de faire ce que vous voulez!

- Alors mon garçon, peux-tu me dire quel jour nous sommes?

- Ben le 21 avril msieur!

- Ah, très bien, mais de quelle année mon grand.

- ben 2021, Msieu!

Finalement ce n'était une si bonne idée que ça et il m'aurait été plus facile de lui demander la Gazette qu'autre chose et c'est ce que je fis.

Il remonta 10 minutes plus tard avec le journal en main et repartis sans attendre son pourboire.

Nous étions bien 21 avril mais de l'année 1976. Nous étions actuellement 5 éme année et nous allions bientôt passer nos buses. Et notre professeur de Défense Contre les Forces du Mal venait de faire une dépression nerveuse depuis quinze jours, tout semblait en ordre pour que je débarque.

Il fallait absolument que je me mette à bosser un peu et surtout à mettre en ordre mes papiers.

Je ne m'inquiété pas trop pour mes futurs cours parce que je me rappelais encore que nous considérions O'Brians comme un de nos meilleur professeur de Défense contre les Forces du Mal parce que ces cours étaient très instructifs, c'étais bien moi ça, toujours le meilleur de partout ;) Tiens je suis sur que Servilus aurait été vert de rage de savoir que j'étais prof de Défense contre les Forces Du Mal et que surtout, je lui ai enseigner le noble art du duel, haha!

J'ai pris deux jours de repos, j'ai put bien réfléchir et me voila prêt à affronter mon passé! Papier en règle, si je puis dire, tête bien pleine, comme toujours, tête sur les épaule. ( NdA: Elle est tellement enflée qu'elle reste collée à ses épaules)

Voila, je suis né en Ireland et j'inventerai ma vie sur la route.

Inventer ma vie, c'est une chose dont j'ai longtemps rêver, ne pas avoir eut à porter mon nom l'aurait aidé et m'aurait même peut être éviter le pire des courroux mais il en fut autrement et aujourd'hui je tenais les rennes de ma vie.

Pour régler mon compte, je comptais sur mon cher père, j'allais lui vider son compte, il allait pas le sentir venir! Grâce à mon empreinte magique d'homme majeur, j'avais aucun problème s'il me prenait l'envie de dévaliser sa bourse, aussi je m'étais permis de faire quelques achats la veille: Quelques livres de Sorts d'attaques et de défense, des livres de métamorphose,des fringues et une malle, juste pour donner l'impression que j'avais tout une vie derrière moi.

Je me dirigeais ainsi vers Poudlard, bagages en poche, j'arrivais devant la grande grille du Collège et je ne me sentais aucunement nostalgique parce que la dernière fois que j'avais quitté Poudlard c'était il n'y a encore pas Longtemps.

Je traversais tout le parc ou je croisais quelques jeunes gens entrain de profiter du beau temps puis je franchis alors les portes de Poudlard et m'enfonça dans les dédales du Collège priant pour que le chemin menant au bureau de Dumbledore ne soit pas usité dans le moment mes amis et moi même.

Quand j'eut enfin atteint la statue barrant l'entrée à son bureau, je le vis, me faisant un signe de la main à l'autre bout du couloir.

J'attendis alors qu'il arrive à ma hauteur, mais mon cœur ne cessait de taper très fort dans ma poitrine parce que je savais que mon avenir allait être changé et je ne savais pas à quel point j'avais raison.

Note de l'auteur : J'espère que ce ''prologue'' vous plus et surtout que vous etes impatients de connaître la suite ;) et si justement vous la voulez, je vous conseil de m le faire savoir, comme ca après, j'estimerai si je met ou pas le second chapitre. Je rigole bien sur. Mais je suis sure, que vous , qui écrivez des fan fictions aussi, connaissaient la satisfaction que l'on éprouve lorsqu'on ouvre sa boîte mail et qu'on y découvre plein de gentils messages ou bien de belle critiques acerbes ;) tout ça pour dire, que ça ne prend pas beaucoup de temps que d'écrire ne serait ce qu'u petit mot. Sans doutes moins de temps que celui que j'ai prit pour écrire ce chapitre….

Libre à vous, c'est vous et votre conscience ;) le principal, c'est que le chapitre vous est plus, du moins je l'espère…

Dernière chose, n'oubliez pas de passer sur mon site ;) http/siriusfan.c.la

Et je remercie aussi Ambre Amberson qui me supporte ! faut pas oublier ;)