Dark Sev : oui je sais le chapitre deux était court, mais je croit que c'est l'un des seul à être aussi court. En tout cas la fic, elle est très longue. Merci de la lire, j'espère qu'elle te plaira.

CHAPITRE III : QUEL VERITE ?

Les jours passèrent dans une sorte d'abattement. L'enquête faite par le ministère de la magie n'avait apporté aucun éclaircissement. Anna était bien morte noyée et rien ne prouvait qu'elle avait été attaquée, elle ne portait aucune trace de coup, ni de violence. La plus part optaient pour un suicide, en convenant pourtant que c'était bizarre. D'autres comme les weasley, Remus,... étaient sur que non, mais n'avaient aucun moyen de le prouver, ni aucune autre explications à proposer. Le voisinage de Sirius avait été interrogé. Etant des moldus et ne voyant pas la maison de Sirius il avait fallu un peu enjolivé l'histoire. Un jeune femme avait été retrouvée morte dans un ruisseaux pas très loin. Mais personne n'avait rien vu, rien entendu. Seul le voisin le plus proche s'était souvenu qu'il avait eu l'impression cette nuit la d'avoir perçu un cri, et qu'il avait conclu à un oiseau nocturne, une chouette sans doute.
Pour Harry et Ron, il voyaient ça plutôt comme un mauvais polar.
Plus les jours passaient et plus ils se doutaient que cette Anna devait travailler pour l'ordre du Phénix, il n'y avait pas d'autre explication. Les jumeaux avaient beaux harceler leurs parents, ils ne voulaient rien dire.
Le mois d'août arriva, et personne ne s'était encore remis de cette mort inexplicable. Peut-être que si la mort avait été explicable, tuée par un sorcier peut-être, un sorcier comme vous-savez-qui, alors tous le monde aurait pu admettre cette disparition, mais la, tous le monde vivaient dans une sorte de malaise profond, dont les Weasley évitaient maintenant de parler, de peur sans doute de transmettre leurs angoisses à leurs enfants.
L'angoisse, elle, ne quittait plus Harry, surtout depuis le jour ou il avait entendu Mr Weasley dire qu'il avait l'impression "que le maison portait malheur".
Plus tard, les Weasley décidèrent de tenter quelque chose pour se changer les idées. Pourquoi pas un voyage ? Le changement d'air avant la rentrée ferait le plus grand bien à tous le monde. Ils cherchèrent la destination qui leurs semblait offrir le plus grand dépaysement, et proposèrent le Népal. Les jumeaux (qui étaient partis précipitamment de Poudlard l'année précédentes) déclarèrent que c'était impossible : Il avaient trouvé une vielle boutique sur le chemin de traverse et voulaient s'en servire pour créer leur magasin de farces et attrapes. Ils ne pouvaient pas partir de peurs qu'on leurs volent leurs idées. Quant à Ron et Harry, il ne voulaient pas partir et trouvèrent comme prétexte qu'ils avaient encore pas mal de devoir à faire pour Rogue et que cela leurs étaient impossible également de partir pour le moment. Mrs Weasley n'était pas d'accord sur le fait de les laisser seules. Mais Mr Weasley essaya de la convaincre et tint bon cette fois. Il lui démontra par a + b qu'ils étaient assez grand pour se débrouillé tous seuls.
Il fut convenu qu'un contact téléphonique serait garder entre huit et dix heures pour dire que tout allait bien, étant donné le décalage horaire, cette heure convenait à tous le monde.
Mrs Weasley fit mille recommandations et partirent.
Et ce n'est qu'un fois partis que les jumeaux expliquèrent la vraie raison pour la quel ils n'étaient pas partit.
- Fred et moi avons correspondu avec un sorcier allemand, il possèdent plein de choses qui nous est encore inconnues pour notre magasin de farce et attrapes. Cela tombe bien que maman et papa sont partis, nous allons pouvoir nous y rendre et ramener quelques de ces choses extraordinaire. Mais, attendez, cela nous "ennuient" de vous laisser tous seuls, vous n'avez encore de seize ans. Le mieux, dit-il c'est que vous alliez chez l'un ou l'autre membre de l'ordre.
- Tu parle, dit Ron, on va allez chez Rogue, comme ça y nous fera faire les petit esclaves chez lui. Ou alors chez Lupin, ça devrait être cool, sauf les jours de pleine lune, ou on devra s'enfuir comme des lapins. Ou plutôt chez Fol Oeil, ça devrait être amusant, tu ne trouve pas Harry ?
- Oui en effet. Et puis le téléphone, il faut que l'on soit la.
- Harry, dit Fred, tu es un sorcier oui ou non ? Alors c'est toi de ta tête. Il suffit d'ensorceler le téléphone et il sonnera prêt de toi partout ou tu vas. Tu sais en plus j'ai entendu dire que les moldus avaient des téléphone portable. Arrange toi pour qu'il en devienne un.
Harry et Ron étaient un peu en colère contre les jumeaux, mais avec aux, il n'y avait pas grand chose à faire, seul leurs idées comptait.
Rester seul n'effrayait pas Harry et Ron, mais bon autant faire culpabiliser les jumeaux.
- Vous êtes des sacrés lâcheurs, leurs dit Ron.
Eux bien sur, ils plaisantaient.
- C'est notre force... En tout cas, vous ne dîtes rien aux parents.
- Comme si on étaient du genre à tout répéter.
Une fois les jumeaux partis, Harry et Ron se sentirent libre.
- C'est formidable d'avoir la maison pour nous tous seule, tu ne trouve pas Harry. On va pouvoir fouillé, par exemple, fouiller les placard. On découvrira peut-être des trucs sur cette Anna.
- On ne devrait pas Ron, si tes parents l'apprennent. Dit Harry, qui avait pourtant une folle envie de découvrir qui était Anna.
- Ne t'en fait pas y remarquerons rien. Un coup de baguette magique et ni vu, ni connu.
Harry se laissa donc entraîner dans la chambre des Weasley.
Ils trouvèrent un stock de photos ancienne, les personnages des photos bougeaient et leurs adressait des grand signe de la main. La plus part représentait les membres de l'ordre à l'époque.
Harry vit une photos de son parrain plus jeune, il devait avoir un vingtaine d'année, il se trouvait devant Square Grimmaurd. La maison qui "portait malheur". Mr Weasley avait-il dit cela pour plaisanter ? Sur le moment Harry n'avait pas l'impression. C'était-il déroulé autrefois un drame dans cette maison ?
Avant même d'avoir pris conscience des ses propres idées, Harry avait pris un décision, il ira las-bas. Et il voulait y aller seul. Ron pourrait rester la pour le téléphone. De plus, il sentait un danger et ne voulait pas y entraîner son meilleur amis. Et surtout, il avait l'impression que cette histoire le concernait et pas Ron. Bien sur, cela allait être difficile de le convaincre de rester la tout seul.
- Ron, je vais me rendre seul à Square Grimmaurd.
- Quoi, dit-il en lâchant le paquet de photos qu'il était en train de regarder. Il n'en est pas questions, c'est trop dangereux. Et si Tu-sais-qui-t'attrapait.
- Je me camouflerait.
- Non, Harry je te laisserait pas y aller tout seul.
- Ron, s'emporta Harry, dont les crise de colère lui prenait de plus en plus souvent depuis la mort de Sirius. J'y vais seul un point c'est tout. Il s'agit de la maison de mon parrain, cela me concerne.
- Je vais quand même pas rester ici tout seul.
- Utilise la poudre de cheminette et rend toi chez Hermione.
- Mais...
- Ron s'il te plait, ensorcelle le téléphone et vas-y. Si je trouve quelque chose je te le dirais.
- Mais si il t'arrive quelque chose, tu imagine ...
- Ne t'inquiet pas, en plus j'emmène Hedwige avec moi au cas ou.
Ron n'était pas convaincu, mais il savait qu'Harry ne lâcherais pas.
- Bon, dit-il mais ne reste pas trop longtemps.
- Non, un jour ou deux tout au plus. Et ne dit rien a Hermione.
- Je lui dit quoi ?
- Je ne sais pas. Mais je suis sur que tu trouvera quelque chose.
Sur ce, Harry pris sa valise et Hedwige et partit sur son balais.
Il était quand même inquiet de voyager seul. Ce n'était pas prudent de se rendre las-bas, surtout que l'on y avait retrouvé un cadavre. Mais il fallait qu'il découvre la vérité.