TITRE :
L'APPEL DE LA LIBERTE
RATING : TP
RÉSUME : Et si ils
avaient découvert les agissements du centre plus tôt. Et
si ils avaient eu le courage de s'avouer leurs amours et de le
suivre.
DISCLAIMER : Les personnages du Caméléon ne
m'appartiennent malheureusement pas. Je peux juste me vanter d'avoir
trouver l'idée de cette fic
NOTE DE L'AUTEUR : J' ai
quelques autres fics en préparation mais je ne suis pas
vraiment sur qu'elles soient intéressantes donc j'ai décidée
de publier celle-là ce sera comme une sorte de test pour voir
si j'ai les autres risquent d'être intéressantes ou non.
Ne faite pas trop attention aux fautes je ne suis pas vraiment une
pro de l'orthographe.
INDICATIONS : cette fic se situe juste
après la simulation que Miss Parker et Jarod on fait afin que
Jarod prenne conscience du sexe opposé et de la sexualité.
Bonne lecture! J'espère que cette fic vous plaira ! Plein de reviews please (même mauvaise)
Il
en avait plus que marre qu'on l'utilise comme cela. Il n'était
pas un jouet après tout ni encore moins un robot prêt et
au garde a vous a chaque fois qu'ils le lui ordonnaient. Tout cela il
l'avait appris la semaine dernière, ce fut un choc, une
révélation, elle lui avait appris, elle lui avait fait
ressentir des choses qu'il n'avait jamais ressenti auparavant et cela
n'était que le début mais il et elle l'ignoraient
encore...
Flash back
- Tu es une fille n'est ce pas ?
- En
effet.
- Comment t'appelles tu ?
- Mademoiselle Parker.
Et
voilà ces quelques mots prononçaient par des enfants
innocents qui ignoraient encore qu'une flamme venait de naître
et qu'elle les réchaufferait et protégerait toutes
leurs vies ...
Un peu plus tard
- Tu sais les filles sont
mures plus tôt que les garçons !
Des lèvres
qui se rapprochent pour enfin se frôler. Baiser encore anodin :
baiser encore enfantin. Mais ce baiser celle leurs destins et
malheureusement pour eux leurs passés les rattrapent.
Fin
du flash back
Retour dans une chambre un jeune garçon
s'affaire à déconnecter les caméras vidéos
qui se trouvent dans ce qui semble être sa chambre. Puis ayant
réussi son oeuvre, il sort de sa chambre et se dirige vers
l'ascenseur. Ne vous y trompez pas il sait très exactement ou
il va... il part rejoindre son coeur...
5 minutes, 10 étages
et 1 escalier plus tard il est enfin arrivé à
destination. Il n'a rencontré aucun problème en cours
de route, il toque doucement à la fenêtre de sa chambre,
cela aurait été beaucoup trop dangereux de passer par
la porte d'entrée. Et telle un Ange elle lui apparaît et
vient lui ouvrir.
- Jarod ! Mais qu'est ce que tu fait ici ? Tu
n'es pas censé être confiné au niveau souterrain
27, enfermé à double tour et sous surveillance vidéos
constante ?
- Si, bien sur, mais tu sais bien que ce n'est ni
une petite serrure, ni une petite camera de pacotille qui vont
m'arrêter et en plus il fallait que te parle.
J' ai
découvert des choses en fouillant dan les archives de ton père
- Quoi tu es rentré dans le bureau de mon père et
pour lui voler des informations en plus.
C'est inadmissible !
Comment as tu osé !
Il interrompit la jeune fille et dit
:
- C'est a propos de ta mère ou plutôt de son
soi-disant suicide.
La jeune fille avait blêmît
-
Qu'entends tu par soi-disant suicide !?
- Ta mère ne
s'est pas suicidée en réalité c'est ton père
qui l'a fait assassiner par un certains M. Cox. Et avec l'aide de M.
Raines ils ont maquillés cela en suicide.
- Non, je ne
peut pas te croire ! Tu ne racontes que des mensonges ! Je ne
devrais même pas te parler car mon père me l'as
interdit. Il m' a dit que je ne devais plus te revoir après la
simulation de l'autre jour. J'ai déjà enfreint son
autorité quand je suis venu te voir dans ta chambre ce
soir-là.
- Je sais. Mais si tu ne me croit pas peut être
que tu croira cela : c'est un dossier sur l'assassinat de ta mère
que j'ai trouvé dans le coffre-fort de ton père. Il y
explique tout : pourquoi il devait faire disparaître ta mère
car elle s'était rendu compte de ses agissements et qu'elle
voulait nous emmener loin de lui et loin du centre.
- Nous ...
-
Oui, nous. Elle avait prévu de nous emmener tout les deux !
-
Et pourquoi tout les deux ?
- Je ne sais pas ...
La jeune
fille parcourue le dossier de son père qui corroboré
parfaitement les dires de Jarod.
Au fur et à mesure qu'elle
tournait les pages des larmes coulaient de ces yeux.
Jarod
touchait par le désarroi de la jeune fille, la consola et la
prit dans ses bras, c'était comme si ce geste était
naturelle entre eux, comme si ils se connaissaient depuis toujours.
Elle se sentait bien dans ces bras comme si rien ne pouvait lui
arriver jamais.
Elle se détendit peu a peu et quitta
l'étreinte si chaleureuse du jeune garçon.
-
Qu'allons nous faire ?
- Réaliser les dernières
volontés de ma mère.
- Pardon ?
- Oui, nous
allons partir loin de ce centre, loin de cette vie comme elle le
voulait. Et tout les deux !
- Mais tu n'y penses pas comment
vivrons nous ? Âpres tout nous n'avons que 15 ans !
-
C'est simple. Non !
- Ah bon ? fit le jeune garçon qui
ne voyait toujours pas ou la belle brune voulait en venir.
- Oui,
n'es tu pas un Caméléon après tout
- Si,
bien sur que j'en suis un et puis !
- Donc tu peux prendre
n'importe qu'elle identité n'est ce pas ?
- Oui, et
alors cela ne nous avances à rien car même si je peux
exercer tout les métiers possibles et inimaginable ce n'est
pas cela qui va me faire vieillir.
- Pour un Caméléon,
Jarod, tu es bien long à la détente, je trouve.
Il
te suffira de trafiquer les comptes du Centre pour obtenir tout
l'argent qui nous sera nécessaire ainsi que tout les papiers
dont nous risquerons d'avoir besoin.
- Oui, mais si cela venait à
ne plus fonctionner.…
- Alors tu jouerais en bourse ou aux
jeux. Bref tout ce que tu pourra faire de derrière
l'ordinateur de notre maison.
- Notre maison ?
- Ben, oui,
il faudra bien que l'on dorme quelque part. On ne va tout de même
pas dormir sous les ponts.
- Et comment
fera t'on pour que quelqu'un de saint d'esprit nous loue un
appartement ?
- On paiera quelqu'un qui prendra notre place auprès
de l'agent immobilier : un intermédiaire qui signera les
papiers et rencontrera les personnes à notre place. Tu
acceptes alors ?
- Oui, c'est d'accord.
- Bien, prépare
tes affaires et rejoins moi au niveau - 1, ensuite on s'enfuira par
la bouche d'aération qu'Angelo nous a montrait à la
mort de Faith.
- Et Angelo ? On ne l'emmène pas avec nous
?
- Non, de toute façon Angelo ne risque rien ici et puis
il nous sera plus utile ici : il nous servira d'indic. On ne sait
jamais au cas ou ils retrouveraient notre trace.
Et quand on dans
quelque années si tout va bien on reviendra le chercher et on
détruira ce satané complexe comme ma mère le
voulait. Ce Centre et l'oeuvre du Diable et non de Dieu et c'est un
démon qui le contrôle. Et quand arrivera ce jour
j'exterminerais ce démon pour tout le mal qu'ils nous a fait.
Mais on reparlera de cela plus tard pour l'instant il vaut mieux
qu'on se dépêche de filer avant qu'il ne remarque t'on
absence.
- Oui, tu as raison. Je te rejoins donc dans une
demi-heure.
Melle Parker ?
- Oui, Jarod ?
- Je... Je
t'ai... Je t'aime.…
- Moi aussi je t'aime Jarod : c'est comme
si je t'avais toujours connu et que nous étions fait l'un pour
l'autre.
- C'est pareil pour moi mon Ange fit il en l'embrassant
passionnément mais ils durent se séparer rapidement
l'appel de la liberté ne pouvant attendre davantage.
Une
demi-heure plus tard nos deux tourtereaux se faufilaient à
travers les nombreux circuits d'aération du Centre en
direction de la sortie, de la liberté et de leur délivrance.10
minutes leur suffit pour atteindre le bout de ce labyrinthe et
déboucher à l'air libre : ils étaient libres à
présent, heureux d'être ensembles et content de
commencer une nouvelle vie à deux. Ils abandonnaient leurs
passés derrière eux et se dirigeaient maintenant
ensemble vers l'avenir.
Gros plan sur deux bureaux du Centre sur
lesquels est posé une note
La première est écrit
d'une écriture fine et stylisé et dit : J'ai suivi
votre conseil Sydney : je suis mon coeur. Merci pour tous vous avez
remplacé mon père ces dernières années.
JAROD
Et la deuxième plus courte ne comporte que quelques
mots : ADIEU, père ! signé A. Parker
La scène
se termine avec deux enfants assit sur une plage devant une énorme
cascade le jeune homme passant une bague au doigt de la jeune fille
et la jeune fille accrochant au cou du jeune homme une chaîne
sur laquelle trône également un anneau argenté.
En se rapprochant on peut les entendre parler :
- Je promet de
t'aimer pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse comme dans
la pauvreté, dans joie comme dans le malheur, jusqu'au ce que
la mort nous sépare.
- Mon ange j'étais mort avant
de te rencontrer et je suis née le jour ou tu m'a aimé.
Je
jure solennellement devant Dieu et les Hommes aujourd'hui de t'aimer
et de te chérir dans la joie comme dans le malheur, dans la
prospérité comme dans la maladie, pour le meilleur et
pour le pire jusqu'au ce que la mort nous sépare
Ils n'y a
rien de plus beaux que deux enfants qui se jurent un amour éternel
sous les etoiles
THE END
