Disclaimers complet (pas à moi) voir prologue.

Rating pour ce chapitre : PG13, voire PG15, pas plus . Nano lime.

Avertissements général, dédicaces et remerciements prologue aussi

Micis : toutes les personnes qui m'ont reviewée jusqu'à présent.

Micis généraux : coupines que j'aime et qui se reconnaîtront -)

L'histoire en elle-même : les G-Boys face aux conséquences de leurs actes et aux décisions qu'ils seront amenés à prendre. Chaque partie est basé sur un des Dix commandements et concernera plus particulièrement un pilote, même si les autres sont présents. Pour plus d'infos se reporter au prologue.

Important : Même si je prends appui sur des citations religieuses, ma fic ne l'est en aucun cas.

J'updaterai cette histoire à intervalles réguliers, mais pas aussi rapidement que les autres fictions en ligne.

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Chapitre IV : le repos du guerrier

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4ème commandement. Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour: c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié.

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Le stade, quelques minutes après les événements

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Elle avait pu sortir du stade sans encombres, se terrant dans les moindres recoins tel le rat dont elle avait affublé « Peacecraft ».

Se fondant dans l'ombre, évitant les soldats, en assommant quelques uns rapidement.

Plus personne ne devait mourir pour protéger cette garce.

Attendre dans le noir.

Attendre son heure....

Attendre pour manger.

Attendre que le coeur de sa mère reparte.

Attendre que le sang s'écoule de ses veines.

Attendre pour respirer.

Attendre.

Elle avait l'habitude.

Elle pouvait attendre pour l'éternité si c'était exigé.

Rien ne l'empêcherait d'accomplir son dessein.

Rien ne l'écartera de son but.

« L'éternit » fut de courte aujourd'hui : Réléna avait ouvert son cadeau...

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Elle haïssait les hurlements, la terreur des innocents... mais en l'occurrence là,

elle savourait.

La clameur du peuple enflait dans le stade, sonnait comme une symphonie à ses oreilles.

Elle ferma les yeux brièvement, se laissant enivrer des soupirs qui marquaient le commencement de sa vengeance.

La destruction de la Peacecraft était en marche.

Elle rit doucement et pensa, sarcastique :

« Il semblerait que je sois l'incarnation vivante des 7 péchés capitaux... à moins que je ne sois un être si faible qu'il doit puiser en la vengeance pour avoir une raison de vivre? Je ne crois en aucun Dieu, car aucune entité ne permettrait que j'existe. »

Elle ouvrit les yeux, son regard se fit fixe alors que ses pensées défilaient :

« Non, je ne suis qu'une chose. Une enveloppe charnelle sans âme qui a perdu sa dernière chance d'en acquérir une. Une femelle qui a retrouvé la boîte de Pandore et qui a laissé s'échapper l'espoir... »

Elle secoua la tête, sortant de sa transe.

Elle s'échapperait du stade en toute tranquillité, les soldats encore présent essayant de ne pas mourir écrasés par la foule.

L'heure n'était plus aux réflexions métaphysiques sur les pourquoi et comment de son existence.

La phase 1 de leur plan avait commencé.

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Recommencer à n'être qu'une femme au milieu de tant d'autres.

Courir comme les autres et sembler être affolée.

Faire comme la foule hagarde, mais se diriger vers un point précis...

Personne ne remarquerait une femme en rouge dans toute cette panique - Cet espèce de crétin souriant avait réussi à détruire son projecteur holographique...

Elle sourit. C'était encore plus drôle qu'elle ne le pensait. Elle ferait perdre ses illusions à Duo "Maxwell"... .

Il lui rendrait ce qu'elle n'avait jamais eu le temps, ni l'envie de posséder...

Elle anéantirait Réléna Peacecraft...

Et son existence n'aurait plus lieu d'être.

Enfin.
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Le stade était à présent derrière elle.

Plus qu'un rue et elle rejoindrait son véhicule.

Suffisamment près du stade pour sa fuite, suffisamment loin pour qu'on ne fasse pas le rapprochement entre l'emplacement de la voiture et la présence de la propriétaire dans le dit stade. A cette distance, elle aurait très bien pu rendre visite à quelqu'un, la voiture se trouvant à proximité d'un quartier résidentiel.

Un quartier qui n'avait pas encore été bouclé.

Il fallait à présent presser le pas sans se faire suspecter.

Le temps pressait.

« Je ne dois pas être ne retard à notre « rendez-vous » » pensa t-elle, un sourire ironique jouant sur ses lèvres pleines...

Elle s'arrêta net.

Toute à ses réflexions elle n'avait pas pris le temps de sentir.

Quelqu'un la suivait.

«Vargas se retournerait dans sa tombe s'il avait eu le loisir d'en avoir une » pensa-t-elle.

«Je ne sais pas qui tu es mais tu vas rejoindre tes ancêtres au pays où le soleil ne se lève jamais »

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Elle se retourna subitement.

Personne.

Elle se mit en position de combat, ongles effilés en avant, coude gauche en arrière, poing gauche serré.

Personne.

Elle tourna la tête de droite à gauche, veillant à ne jamais baisser sa garde.

Un bruit sur sa gauche, très léger.

Elle fit partir son coude comme un flèche, sans se retourner.

Son coude ne rencontra que du vide.

Personne

Idiote!

Tu te comportes comme un être humain alors que tu n'es qu'un animal.

As-tu oublié tout ce qu'on t'as appris chienne?

« Fille de chienne? »

Non

Un sourire sauvage naquit sur ses lèvres.

Ne jamais se fier à l'évidence.

Elle regarda devant elle...

puis balança sa jambe sur toute sa longueur,

Jambe droite tendue telle une danseuse

Danse avec la mort

La pointe de sa chaussure atteignit le coeur

Le projecteur holographique de son assaillant se brisa dans un petit crack

Le sourire s'élargit

Quelques gouttes de sang coulèrent..

Une image se forma alors.

Le sourire se figea

Son ennemi n'était plus invisible

Son ennemi était...

Stupeur.

- Toi?

- Comme on se retrouve, « Silver »

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Elle allait répliquer quand elle entendit des bruits de pas qui se rapprochaient.

« Hijo de p! J'ai perdu trop de temps avec ce coňo » pensa-t-elle.

Réfléchir vite.

« Je pourrais le tuer en silence, mais les pas se rapprochent trop vite.

Et ils le verront.

Et ils m'empêcheront d'accomplir ma vengeance.

Je ne veux pas les tuer.

Je veux que personne d'autre ne paie.

Je ne peux pas échouer maintenant »

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Les pas se rapprochaient : elle regarda son ennemi d'un air mauvais... et déterminé.

« Tu t'es mis en travers de ma route : tant pis tu vas mourir » disaient ses yeux argentés  à présent presque noirs.

Des pensées vaines.

Son assaillant avait une solution toute trouvée.

Au moment où les passant atteignaient la rue où ils se trouvaient, il donna un coup de poing dans le ventre de « Silver » qui surprise entrouvrit les lèvres pour aspirer de l'air et se courba légèrement.

Il en profita pour la porter et la plaquer contre le véhicule...

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Lorsque les passants arrivèrent dans la rue ils ne purent voir qu'une forme délicieusement féminine avec des cheveux extrêmement longs couchée sous un homme aux cheveux longs coiffé d'une casquette de base bal – « c'est bien un homme si c'est une femme elle a trop de muscles » - qui lui roulait un patin à lui décoller les amygdales.

Tout du moins c'est ce que pensait l'un d'entre eux.

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Il étaient trois.

Le second du groupe se demanda s'il n'y avait pas une tentative de viol.

La carrure de l'homme le dissuada même de tenter quoi que ce soit.

Et au vu du regard salace d'un de ses compagnons et la perplexité de l'autre, ils étaient trèèèèèès loin de la bravoure et de la chevalerie.

Le troisième pensa que l'aspiration de force vitale par voie buccale devait être prohibée... .

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Les trois hommes regardèrent encore la main bronzée de l'homme se perdre sur les courbes délicieuses de la femme en rouge.

L'inconnu lui leva une des jambes et se mit à se frotter à elle doucement, sensuellement, de plus en plus vite, au rythme de ses baisers langoureux.

Un bruit de succions et de langues emmêlées sans équivoques excitèrent le « public » au plus au point.

Un début d'érection émergea de leurs pantalons respectifs…

- Garyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy? Peterrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr? Annnnnnnndrew? Où êtes vous?

Les trois interpellés répondirent sans réfléchir : « Oui maman? » et là vous vous dîtes que je suis tarée ndlr

- Je vous ai vu passer par ma fenêtre, dépêchez vous de rentrer! C'est dangereux dehors on a attenté à la vie de cette pauuuuvre présidente Peacecraft : dépêchez-vous! Comment avez-vous pu ne pas en entendre parler ?

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Les trois imbéciles furent tentés d'ignorer leur mère et de continuer à voir le show.

Après tout ils avaient 42,43 et 44 ans, ce n'était pas parce qu'ils habitaient encore chez leur mère qu'ils en étaient au point d'avoir un couvre feu.

Euh si. Ils avaient bien un couvre-feu.

Merdum.

ET leur mère les avaient vu passer!

Alors c'était le show ou une séquence humiliation en pleine rue par maman

Choix cornélien...

Hmmm le show en valait la peine : ils pouvaient mourir heureux... avec maman pas de femme à la maison.

- Gaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaary ?

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Gloups.

Le dit Gary préconisa à ses frères de rentrer afin que ne cesse les cris du monstre.

Un soupir résigné, à fendre les pierres puis ils partirent

Les « amants » n'avaient pas boug

Gary pouvait remercier sa mère : ils venaient d'échapper à une mort quasi-certaine.

« Silver » n'aurait pas toléré ce traitement une minute de plus

Une fois les bruits de pas au loin, elle essaya de frapper son assaillant : en vain.

Elle ne pu dégager que ses lèvres des siennes

Et quelles lèvres...

Elles l'avaient presque brûlée.

Ils se regardèrent dans les yeux....

Le bleu se noyant dans le gris.

Le gris se fermant au bleu.

Fin de la noyade.

Instinct.

Négligence.

Coup de genou.

Plus de souffle.

Oeil pour œil.

Respiration pour respiration.

Mais plus de bouche à bouche...

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L'homme aux cheveux longs s'effondra aux pieds de « Silver », inconscient.

Elle voulut partir sans se retourner...

Elle se retourna

Elle porta la main à sa bouche

Elle le voulut...

Elle serra les poings

Elle faillit le faire....

Elle ferma les yeux...

Mais elle ne le fit pas.

Imbécile…

Si elle croyait en Dieu elle l'aurait maudit.

Elle le porta, le mit dans son véhicule, attacha sa ceinture et entrepris de fouiller ses poches.

Un hôtel parfait.

Elle le reconduirait...

Puis irait à son rendez-vous ô combien important.

Elle s'autorisa à toucher le visage de l'homme

Autorisation?

Etrange...

Tant de perfection faisait mal aux yeux

Peut-être mal au coeur...

Mais avait-elle encore un cœur ?

Du bout des doigts.

Du bout des griffes…

A peine un effleurement.

Quelques nano secondes…

Puis son regard se durcit.

Mais s'était-il seulement adouci?

Elle ôta sa main vivement.

Attacha sa propre ceinture.

Et démarra.

« Ne me fais pas regretter de t'avoir sauver la vie jadis...

Milliardo Peacecraft. »

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Sur L3

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Bureau du Colonel Trowa Barton

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Pov de Trowa

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Je suis dans mon bureau à recevoir encore et encore des appels des conseillers de Réléna,

de Réléna elle-même,

de Wufei,

de ministres puis encore de Réléna...

Je passe mon temps à recevoir des appels.

Lâchez-moi…

Je n'attends qu'un seul coup de fil.

Un seul.

L'obtiendrais-je un jour?

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Je suis si fatigué...

Quelqu'un avait choisi aujourd'hui, jour de l'anniversaire du sacre de la Présidente Peacecraft, pour lui faire une bonne grosse frayeur. D'après les images vues à la télé si elle - ce grand truc informe ressemblait vaguement à une femme - avait vraiment voulu la tuer elle serait déjà morte.

Elle était trop près.

Rationnellement parlant il fallait arrêter de faire un plat avec ce qui s'était passé.

Les vingt mille coups de téléphone que j'ai reçus sont tout sauf utile ou constructif.

ça ne leur a servi qu'à se donner l'illusion d'un certain contrôle.

Cela fait pas avancer les choses mais rassure.

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Non, Il fallait se concentrer sur ce qu'il restait à faire.

Voir les indices qu'il y avait sur place.

Mais je ne m'inquiète pas outre mesure si tant est que je puisse m'inquiéter pour Réléna.

Heero, Wufei et Duo sont là-bas.

Sans vouloir leur accorder un surplus de crédit, ce détail pèse beaucoup dans la balance.

Tous les responsables de la sécurité des colonies doivent se présenter sur L5 pour une réunion extraordinaire.

Seuls Quatre et moi sommes encore manquant.

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Quatre...

Si cet « attentat manqu » comme les journalistes l'ont déjà nommé avait pu faire quelque chose de bien pour moi c'est ça :

me permettre de revoir Quatre.

Me donner une raison.

Tout du moins un prétexte.

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Quand j'y pense...

Il était évident que quelqu'un tente d'assassiner Réléna aujourd'hui.

Comme tous les ans...

Mais les six responsables de la sécurité Terre-Colonies en même temps n'avaient jamais été utiles.

Il faut un début à tout.

Trop de pouvoir tue le pouvoir... car il donne envie d'avoir ce que les autres n'ont pas.

L'herbe n'est-elle pas plus belle dans le jardin de son voisin?

Oui?

Non?

Peu importe.

Tout est une question de perception.

Apparemment soit quelqu'un avait décidé de soit faire une bonne grosse farce à Réléna,

soit ce quelqu'un lui a montré qu'il pouvait l'avoir à n'importe quel moment...

intéressant.

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Je ne sais pas qui c'est mais il dérange mes plans.

Il les dérange et il m'arrange.

Ce soir j'aurais dû continuer ma mission et protéger l'ambassadeur de la Terre en visite sur L3.

L'ambassadeur Chael aurait dû faire un discours, puis prendre le shuttle pour aller à la fête organisée en l'honneur de Réléna et lui souhaiter un joyeux anniversaire, avec un discours de réussite, joie, prospérité, etc...

Désespérant.

Merci je ne sais qui de m'avoir éviter ça.

L'ambassadeur, « alerté et profondément ému » comme il l'a si bien dit m'attend pour prendre le shuttle.

Avant de me rendre à l'aéroport j'appelle Catherine.

Je compose son numéro.

Merde.

J'ai oublié l'espace d'un moment qu'elle était morte.

Morte pendant une représentation au cirque.

Une dague en plein cœur.

Elle avait bougé sur la cible.

Elle n'aurait pas dû.

Elle m'avait remplacé.

Je n'étais pas l

Elle était si lasse...

Elle « devait le faire pour les enfants »

Une sorte de space-thon.

Et j'étais en mission...

J'espère qu'elle repose en paix.

Moi, depuis ce jour je n'ai jamais retrouvé le repos

Si tant fut que je le connu un jour...

Je suis si fatigué... fatigué de tout

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Oui en y réfléchissant le repos... je l'ai quand même connu

pendant la guerre aux côtés de mes compagnons d'arme

qui devinrent ce qui se rapproche le plus d'une forme... d'amis.

J'ai connu mon premier sourire avec Quatre.

Mon premier éclat avec Heero.

Après... je ne me rappelle plus vraiment.

Depuis que je me suis sacrifié pour Quatre ma mémoire est très sélective.

Je ne me rappelle qu'une chose

Ma lassitude

Je n'ai envie que d'une chose :

Quatre

J'ai perdu tout contact amical avec lui depuis que je suis sorti de l'hôpital

Je ne le vois que dans le cadre du travail.

Dans ces réunions stratégiques

Il me regarde sans me voir

« Bonjour Trowa »

« Au revoir Trowa »

Et entre les deux : mission

Il a oeuvré tout ce temps à la reconstruction et à la sécurité de sa colonie.

Le connaissant, il a du travailler sans relâches.

Pourtant, on parle plus de la reconstruction de L5 que de L4.

Il faut dire que c'est plus exploitable politiquement parlant de voir ce que la guerre a détruit et de voir les hommes reconstruire....

Que de voir un homme tenter de reconstruire presque seul, ce que lui seul a détruit.... à cause de la guerre.

Il porte seul le poids de ses erreurs...

et il éloigne tout ce qui lui rappelle son action.

Et il m'a éloigné de ce fait

De ce fait, seulement ?

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Je l'aime et il ne le sait pas

Tout du moins il le sait, il a son don donc il le sait, et il choisi de l'ignorer

Il a eu un amant, je le sais, pendant nos réunions il arborait le sourire de l'homme qui avait eu je ne sais pas pour l'amour,

mais du sexe assurément.

Un sourire félin, lascif.

Un sourire qui me donnait envie de le prendre sur le champ.

Ou qu'il me prenne tout simplement

Qu'il me prenne...

Et qu'il me garde

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Je raccroche le téléphone : en rentrant sur L3 je déposerai des fleurs sur la tombe de Catherine.

Je te fais une promesse ma sœur :

en rentrant j'auraiavec moi le coeur de Quatre et je me serai perdu dans son corps.

Peut-être irais-je jusqu'à son âme...

Peut-être me rendra-t-il la mienne.

Peut-être m'aime-t-il...

aussi.

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Je suis fatigué de laisser faire,

fatigué de ne jamais me reposer

sur mon cœur.

C'est la plus puissante et la plus destructrice des armes :

Il permet de vivre.

Et quand il s'arrête :

tu meurs.

Je suis un mort en sursis, je vis sans coeur

je vis sans sourire.

Je m'en accommodais avant

mais c'était...

avant.

J'ai toujours attendu des occasions.

J'ai pris la vie et l'identité de Trowa Barton.

Je me suis servi de la guerre pour sortir du gouffre.

Aujourd'hui je me sers de Réléna.

Ce soir je récupérerai ma vie.

Ce qui aurait dû être la vie…

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Je sors du bureau.

Je me dirige vers le shuttle.

Je me dirige vers un destin

que je vais provoquer.

Je sens quelque chose sur mes lèvres

un frémissement

le début...

peut-être la fin.

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fin du Pov

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fin du chapitre IV valaaaa!

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La semaine prochaine vous aurez le chapitre V avec Quatre…

Except the unexpected

Silver hein ? Vous pensez la cerner ne serait-ce qu'un peu…

mah tant mieux

Méfiez-vous de ce que vous lisez et ne prenez absolument rien pour acquis.

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J'espère que ça vous a plu ! Il ne se passe rien en apparence parce que le commandement dit de se « souvenir du jour du repos »

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Mithy .