Disclaimers, genre, rating, couple : si vous êtes là c'est que vous savez dans quoi vous êtes tombés XD, sinon faut voir au début !

Micis ! A tous ceux qui m'ont fait un coucou et qui ne sont pas désespérés parce que, euh, ça fait plus d'un an que je n'ai pas updaté soldats ? Ulala comme dirait Homer Simpson.

Pardon très fort, le prochain arrivera plus vite ! Mais bon, c pas comme si non plus j'avais disparu de la circulation, hein ? C'était du bien voulu, pas pu me remettre aux corrections.

Je n'oublie pas mes fics anciennes, non, non, la preuve j'ai terminé le venin !

Pardon encore et c'est pour vous tous, ceux qui avez attendu avec autant de patience cette partie.

J'espère que ça vous plaira !


9ème commandement. Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.

¤

Justice : 6ème et dernière partie !

¤

Douches de l'Eglise Sainte Catherine, 6H50

¤

¤

Zechs s'était dirigé, une mini lampe torche en main et un poids mort dans les bras, vers la minuscule salle de bains que lui avait montré ce poids vivant quelques heures auparavant.

A l'intérieur, il y avait une armoire à pharmacie avec à l'intérieur une trousse rouge contenant un nécessaire de survie.

Il avait fouillé en allant se doucher, précédemment. Elle le savait, bien sûr, mais il savait que ce lieu ne lui indiquerait rien de plus sur ses objectifs.

Les terroristes n'avaient pas de cachette secrète pour tout, ils faisaient dans le simple de temps en temps.

Et Shaman était douloureusement simple et subtilement compliquée. Pourquoi un nécessaire de survie quand on est si déterminé à mourir ?

Parce qu'on a une mission à accomplir et que jusqu'à preuve du contraire, on n'a aucune certitude que mort on accomplira sa destinée.

¤

Il ouvrit rapidement l'armoire à pharmacie, récupéra le kit et y posa la bible codée, afin qu'elle ne soit pas mouillée.

Puis il entra dans le cabinet de douche tout habillé et peu importait. Il aurait besoin d'eau pour nettoyer ses plaies.

Quand elle se réveillerait.

Si toutefois elle se réveillait et jusque là une chose était sûre : on ne pouvait pas réveiller ce qui n'était pas en sommeil.

Il espérait qu'elle dormait très fort.

Il se sentait des aspirations de Saint Thomas et espérait que Shaman soit la réincarnation de Lazare.

Il se faisait sourire d'ironie. A l'ère de la science-déesse, il en référait aux dieux-espoirs.

Sans jamais y croire.

Quand on avait autant de sang sur les mains, on se prenait pour dieu.

Et on se retrouvait avec les conséquences, sans les épaules.

Et une volonté et une conscience d'homme.

Sa force.

Son tombeau.

¤

Il déposa la trousse et la lampe-torche près de lui, et fit asseoir la jeune femme dans le petit cabinet de douche propre aux carreaux fendus, blancs salis par le temps, mais blanc.

Puis il la déshabilla, ôtant sa combinaison de cuir rouge.

Il voyait à présent sa peau d'ébène, ses seins ronds et pleins, sa taille fine, ses hanches…

En la retournant sur le dos, il vit son immense tatouage noir représentant une panthère noire toutes griffes dehors.

Il vit son épaule complètement défoncée, les cicatrices et écorchures, certaines anciennes, d'autres très récentes.

Il vit des impacts de balles, vérifiant rapidement si celles-ci avaient un vis-à-vis. Il y avait bien une entrée et une sortie, montrant qu'il n'y avait aucune balle à l'intérieur.

Cela aurait dû être rassurant, mais non.

Le cœur avait bien cessé de battre.

Il la coucha à moitié, délicatement sur le carrelage froid,

prit le temps de lui caresser le visage…

Et lui fit un massage cardiaque

puis un bouche à bouche efficace.

¤

- 1

¤ pression poitrine ¤

- 2

¤ pression poitrine ¤

- 3

¤ pression poitrine ¤

¤ souffle poumon ¤

¤

Rien

¤

- 1

¤ pression poitrine ¤

- 2

¤ pression poitrine ¤

- 3

¤ pression poitrine ¤

¤ souffle poumon ¤

¤

Rien

¤

- 1

¤ pression poitrine ¤

- 2

¤ pression poitrine ¤

- 3

¤ pression poitrine

¤ souffle poumon ¤

¤

Rien

¤

- Réveilles-toi ! Allez reviens !

¤

- 1

¤ pression poitrine ¤

- 2

¤ pression poitrine ¤

- 3

¤ pression poitrine

¤ souffle poumon ¤

¤

Rien

¤

- Reviens.

¤

Une voix grave,

Habituée à être entendue, obéie.

Une voix grave ignorée au fin fond d'une prison.

¤

Rien

¤

- Allez….

¤

Une voix calme, calme…

De longs cheveux blonds et une poupée brune.

Une poupée-terroriste.

Un soldat-marionnette.

¤

Rien

¤

- Tu m'as tiré de là jadis.

¤

Un soldat-marionnette qui a cassé ses fils.

Une poupée-terroriste qui les a tirés, ces fils, pour le tirer d'affaire.

Pour le plonger un peu plus dans l'enfer.

Mais il était le diable. Il était déjà brûlé, il n'avait pas peur du feu.

Rien

¤

- Je ne te laisserais pas mourir

¤

Un soldat-pinocchio à qui on avait menti et qui avait menti aussi.

Une poupée-terroriste si forte, si forte…

Si morte.

¤

Rien

¤

- Je ne te laisserais pas.

¤

Un soldat-pinocchio qui pour une fois était franc.

Même s'il savait qu'il briserait cette poupée pour connaître la vérité.

Et que cette poupée le briserait aussi, sans un regard en arrière, peut-être avec quelques remords.

Mais il préférait honnêtement ne pas avoir à le faire.

Il en avait besoin vivante.

Il la voulait vivante et quelque part.

Il la voulait tout court.

¤

Rien

¤

- Reviens.

¤

- 1

¤ pression poitrine ¤

¤

- Aller

¤

Il est calme…

Il fait bouger son corps, jolie petite poupée.

¤

- 2

¤ pression poitrine ¤

¤

- Aller…

¤

La pression monte tout doucement, tout tout doucement…

Elle ne se réveille pas.

Jolie petite poupée…

¤

- 3

¤ pression poitrine ¤

Jolie petite poupée brisée…

¤

- ALLEZ !

¤

Un hurlement écho, un hurlement court dans une douche, dans une église abandonnée.

Abandonnée de tous, Shaman, l'aliénée, le génie, l'écorchée, l'énigme, se meurt dans cette chambre froide, humide et blanchie par la lampe-torche.

Zechs s'était dirigé en aveugle

¤ pression plus forte sur la poitrine ¤

¤ souffle ¤

Rien

¤

Puis…..

Un battement.

Deux battements.

Toux imperceptible.

Sifflement de la respiration.

Le cœur était reparti

Mais rien n'était gagné

Elle était nue.

Il faisait froid.

Elle était blessée

et ne devait pas s'endormir.

Encore.

Et il découvrit un impact caché, près du foie.

Il ne se rappelait pas avoir vu l'impact de sortie.

Vivre allait faire mal, très mal.

Il ouvrit le kit et en sortit un mini champ stérile sur lequel il déposa compresses, médicaments/drogues, seringues, scalpels, mini écarteurs, fil et sérums physiologiques, aiguilles, alcool.

¤

Le soldat-pinocchio se fait Gepetto.

Encore faudrait-il que la poupée veuille vivre.

Il fallait qu'il se fasse fée bleue.

¤

¤

Zechs dit, doucement, lui caressant le visage.

Elle était fiévreuse, bien trop fiévreuse.

¤

- C'est bien, c'est bien

Maintenant il faut ouvrir les yeux »

¤

Il la redressa un peu, ouvrit le robinet, puis dirigea le jet d'eau froide sur son visage.

Puis reprit

- Ouvres les yeux.

¤

Rien

¤

- Ouvre les yeux ma belle, je sais que tu m'entends.

¤

Rien

¤

- Je ne te laisserais pas mourir, même si je vais te faire mal.

¤

Rien

¤

Il lui caressa les cheveux, passa de l'eau sur le visage

Les seins

Nettoya les blessures.

Ferma l'eau et pris les compresses, les imbiba d'alcool.

Elle frissonna.

Elle pouvait revenir.

Elle ne le voulait pas.

Il se concentra sur les plaies à soigner, ne regardant pas la visage trop beau pour être mort.

¤

- Reviens ma belle.

¤

Un silence.

Le bruit des gouttes sur l'émail, sur les carreaux.

Blancs, blanc sale.

Un bruit de grotte, de cachette secrète, d'égouts.

Une odeur de sang frais et une odeur aseptisée aussi.

La jeune femme murmura d'une voix très faible

- Pas….belle en espagnol ¤

¤

Vivante.

Il fallait la garder.

La garder

Le reste du dialogue se fit en espagnol, il avait appris à Los Demones.

Bien appris sa leçon.

Zechs continua, essuyant le scalpel dans l'alcool :

¤

- Reviens.

- Por favor… je veux mourir…laisse-moi mourir.

¤

Une larme de Shaman

¤

- Jamais.

- Pitié…

¤

Une deuxième larme

¤

- Non ma belle. Tu m'as sauvé, je te sauve.

- Je… sauvée… si je meurs…

¤

Un baiser sur les lèvres, très tendre

Des cheveux mouillés, ceux de Zechs.

La robinetterie est mauvaise, très.

Le scalpel caresse la peau du foie.

¤

- Je pourrais te tuer mais il faut que tu vives.

- …

- Reviens. Il faut te soigner et finir ta mission.

¤

Une troisième larme.

¤

- Laisse moi mourir…

- …

- … Inutile…

- …

- … Idiote… depuis… début.

¤

- Pourquoi ne te bats-tu pas pour savoir ? La Shaman que je connais aurait cherché à comprendre plutôt que de se laisser aller. »

- 'ne me connais pas….'

¤

Il fallait la soigner.

Il fallait lui ôter cette balle.

Il la sentait du bout de sa lame.

Elle n'était pas enfouie profond, mais elle était là.

Et la fièvre augmentait aussi, dangereusement.

¤

- C'est vrai. Je ne te connais pas. Mais je sais que ce n'est pas toi. Tu n'es pas comme ça.

- …

- … ne comprends pas…'suis…

- lâche.

¤

Il fallait l'ôter, vite, cette balle.

Mais il fallait qu'elle le veuille.

Il fallait lui donner envie de vivre.

Il en avait besoin aussi, malgré l'attirance.

Mais il ne la ferait pas vivre malgré elle, même s'il était devenu Gepetto.

Il fallait que la marionnette vive à présent et s'envole.

Mais pas trop haut, il fallait qu'elle reste sous contrôle, sous ses doigts, que les fils s'emmêlent.

Mais quand elle serait pleinement confiance, ce contrôle serait tout aussi mort qu'elle l'a été.

¤

- …

- Je sais que le fait que Vargas ait été avec son assassin te choque.

- Laisse-moi mourir…

- Mais Réléna l'a quand même fait tuer.

- …

- Je pensais que tu voulais la confondre. Tu n'assisteras pas à sa chute si tu meures.

¤

Un ton presque paternel.

Il ferait presque un pater s'il savait prier.

Mais prier qui ?

¤

- Plus…d'importance.

¤

Une quatrième larme et une pointe qui encercle la plaie, la balle perdue dans un corps trop rigide.

Un corps qui a trop mal pour saisir où est la plus grande douleur.

Et Zechs enfonce doucement la lame car il ne peut plus attendre plus, parce que la pression sanguine se fait plus faible et que le pouls s'endort.

Il sent le cri dans son corps trop tendu, mais ses yeux sont sur la plaie et non sur le visage, encore.

On apprend à soigner les plaies les plus dangereuses, sans être médecin quand on est qui ils sont.

A soigner sans anesthésiant, à faire corps avec la douleur, à l'apprivoiser pour ne pas qu'elle rende fou.

¤

- Elle a fait arrêter puis assassiner Vargas.

- Salaud…hijo de puta…Vargas.

¤

Du venin dans la voix.

Du fiel dans le corps.

Du mépris dans le sang, le sang maudit.

Et Zechs poursuit la conversation, puisqu'elle ne semble pas s'évanouir de douleur.

Il fallait l'opérer maintenant, car il n'y aurait pas de plus tard avec La Présidente.

Elle voulait sa tête.

Il soigne.

Elle sue.

Elle hurle en silence et tremble de tension.

Sa respiration s'entrecoupe.

C'est animal.

C'est presque sexuel, presque masochiste, presque.

Il avait la femme-animal sous la main.

Au fur et à mesure qu'elle parlait, même peu, bougeait, même peu, elle redevenait de chair, quittant son enveloppe de plomb.

La chair attire et Merquise n'est qu'un homme.

¤

- Tu ne veux pas savoir pourquoi ? J'ai failli mourir et toi tu m'as sauvé.

- …

- Tu m'as donné la possibilité de savoir pourquoi. Je ne sais rien encore mais à la fin de l'opération, je connaîtrais le plan de Réléna.

- …

¤

Certains médicaments calmaient la douleur morale.

Celui qui apaisera et tuera un peu plus Shaman sera la vérité.

Et la vengeance.

Cela tombait bien, ils étaient tous logés à la même enseigne.

Lui le premier, le sang trahi.

Loi du talion.

¤

- …

- Et tu auras le fin mot de l'affaire, tu en sauras plus sur toi-même.

- …

¤

Il l'avait trahie, celle qu'il appelait encore sa sœur, des années auparavant, quand il passait pour mort.

Quand il portait un masque.

Il se sentait hamster dans la roue qu'était la vie.

Il briserait cette roue aussi sûrement qu'il briserait la roulure,

Celle qu'il appelait encore sa sœur avant qu'elle ne le jette dans la gueule du loup.

¤

- La mort est douce…mais ta vie est précieuse. M'est précieuse. Et tu le sais. Ne demande rien, ne dis rien que tu ne saches déjà.

¤

La pointe s'enfonce encore, caresse le fer et l'extrait.

Savoir comment tuer montrait comment sauver, aussi.

Le corps nu sue encore, crie de l'intérieur.

La balle glisse, vite.

La plaie est recousue presque aussi vite.

¤

- Seis (Zechs en Espagnol)

¤

Un cœur bat vite, très vite.

Un cœur qui murmurait de trop.

Qu'il en ait besoin ou non, qu'il ait à l'éliminer quand il n'en aurait pas besoin ou non, il restait quelque chose entre eux.

Et il la regarde cette fois, dans cette douche, chambre froide, à la lueur d'une lampe torche.

Il la regarde et elle a toujours les yeux fermés, refusant encore quelques instants de regarder la réalité en face.

¤

- Reviens.

- ...

¤

Une cinquième larme.

Vargas l'avait-elle autant déçue ?

Ou était-ce autre chose ?

Un baiser sur ses lèvres blessées, coupée par les coups.

Une légère caresse de la langue.

Et une demande-ordre.

¤

- …

- por ti, por mi… y por tu hermano.

- No… hermano…

¤

Une sixième larme

Qui hermano ?…

Duo ?

Elle ouvrit les yeux.

Et tomba dans du sombre.

Du bleu un peu flou, plus foncé que dans ses souvenirs.

Plus foncé que quelques heures auparavant.

¤

Zechs sourit avant de dire :

¤

- C'est bien. Garde les yeux ouverts je t'emmène dans la chambre pour finir de te soigner et te couvrir aussi, tes vêtements sont inutilisables.

¤

Les yeux gris brillaient.

Mais les larmes étaient taries.

Les dents étaient serrées et le regard…

¤

- Je te hais.

- Moi aussi.

¤

Elle ferma les yeux.

Il l'embrassa encore.

¤

- Je te hais.

- Je te hais plus encore.

¤

Il ôta son haut et la recouvrit, puis il rangea le kit et se leva pour jeter le mini champ stérile et les ustensiles inutilisables.

Il en profita pour récupérer la bible discrètement dans l'armoire.

Il revint vers elle, et, cachant la bible sous l'énorme trousse et comptant sur ses blessures pour ne pas relever la nature de l'objet, il la porta vers la chambre.

Si elle avait pu, elle se serait un peu accroché à son cou. Là elle profitait de sa chaleur.

Pour le moment elle avait besoin de contact.

Juste un peu.

Juste ?

Il n'y avait aucune justice pour les gens comme elle, pourquoi l'avait-elle oublier ?

¤

- Je te… hais…

¤

Après elle redeviendrait elle-même.

Même si elle détesterait à tout jamais qui elle était vraiment, plus, bien plus qu'elle ne se haïssait auparavant.

Sa stupidité aussi.

Et…

¤

- Hais-moi si ça te galvanise. Si ça ne te fait pas perdre de vue notre objectif.

¤

Elle avait une mission, ne devait pas ne penser qu'à elle.

Elle devait savoir la vérité, même si elle était si près de la quiétude.

Elle ne lui devait rien et là, elle lui devait tout, même les souffrances.

Il ne l'avait pas soigné par altruisme mais il l'avait fait.

¤

- Mon objectif. Tu as raison.

- …

- Mais n'oublie jamais que je ne te dois rien. Je ne t'ai rien demandé et je marcherais sur ton cadavre si je le dois. Gracias.

- Alors nous sommes quittes. Je ne t'avais pas demandé de m'épargner ce jour-là. Et je suis prêt à faire la même chose, Shaminta… De nada...

¤

L'or de Vargas…

¤

- Ne m'appelle plus jamais comme ça.

¤

La mort était féminine par nature, elle l'était par la voix.

La voix d'une femme blessée.

Il lui avait rappelé qu'elle n'avait pas droit à ça.

Qu'elle n'avait aucun droit.

Elle lui en voudrait jusqu'à la mort de lui devoir la vie.

Mais grâce à cette vie, elle serait le bourreau de la chienne.

Et elle lui ferait cracher le morceau avant de cracher sur son tombeau.

Merci, Merquise, de lui avoir rappelé pourquoi vivre.

En attendant ses blessures lui faisaient un mal de chien.

Mais chaque chose en son temps.

D'abord la chienne,

ensuite, ses larbins.

Mais avant d'agir… elle aurait tous les tenants et les aboutissants.

Elle s'était crue préparée et s'était faite avoir comme une débutante.

Elle réfléchirait avant de tuer.


12H30 heure de L5 Shuttle de la Winner Inc, le même jour

¤

4 ex pilotes de Gundam

1 espion

1 pilote de Shutlle

et le matricule 4444-56789 embarquaient pour la Terre

¤

Réléna riait aux éclats en voyant par visiophone Shaman habillée en prisonnière.

En orange.

Avec ses cheveux en arrière et ses fers aux pieds.

Ses menottes aux poignets.

Elle avait gagné.

Elle ne pouvait pas se permettre de la laisser à terre.

Il fallait l'emmener sur Terre.

Pour l'éliminer.

Pour savoir ce qu'elle savait.

Puis les éliminer tous.

¤

Shaman était restée inexpressive face à Réléna à travers l'écran.

Quand la communication s'interrompit,

elle fit un micro-sourire

Si la Présidente Peacecraft avait mieux regardé.

Elle aurait vu que la jeune femme

portait

la même natte que

Duo

Maxwell

Shinigami lives comme dirait l'autre.

Yeah

Caramba

¤

¤

Tsuzuku.

Fin du chapitre IX


Explication dans la première partie du chapitre X !

Vala ! Vous l'aurez attendu longtemps celui-là, j'espère qu'il vous aura plu.

Dans la prochaine partie vous comprendrez un peu plus certaines choses… attention on partira dans une phase avec des rebondissements en plus.

C'est que c'est le dixième commandement et qu'on se rapproche de la fin… même s'il y a encore tout plein de parties encore !

Et ne vous fiez toujours à rien XD

A peluche'

Mithy ¤soldate XD¤