J'AI FINIE SA Y EST ! je vous annonce que le mal le bien est a présent terminer !
donc voilà le chapitre 19 j'éspère qu'il vous plaira ! les prochains chapitre suivrons toute les deux semaines !
disclamer : les personage et l'histoire ne sont pas a moi ! (c'est bien dommage ! )résumer : harry c'est plonger dans des tonnes de bouquin pour une raison mystérieuse !
Chapitre 19 : liberté des enfants.
Pendant des semaines et des semaines, Harry resta plongé dans les livres, oubliant la vie, oubliant de se nourrir, mais bizarrement jamais d'aller se coucher...
Les moments qu'il passait nu dans les bras de son amant étaient les seuls moments de plaisir qu'il s'offrait...
Une seule pensée le hantait à chaque minute, libérer les enfants d'Eémer...
Toujours à la même place, allongé sur le tapis moelleux devant la cheminée, Harry était encore penché sur le premier livre du savoir, il avait appris beaucoup en le feuilletant, celui là et bien d'autres, de plus en plus de livres s'entassaient par terre.
Le jeune homme avait noirci des dizaines et des dizaines de rouleau de parchemin...
Il soupira et posa sa plume, il frotta ses yeux fatigués, le tableau s'ouvrit, lui rendant le sourire.
Qu'elle ne fut pas sa surprise de voir entrer à la suite de son amant, Remus Lupin, Harry se leva et se jeta dans les bras de son ami :
« Remus, ça me fait tellement plaisir de te voir ! »
« Moi aussi mon grand ! Et je crois que tu seras encore plus heureux quand tu verras ce que je t'apporte ! »
Le sourire du jeune homme s'élargit :
« Du chocolat ! »
Remus se mit à rire, Severus à l'écart les regardaient, ils étaient si complices, si amis,
« Accepter sa famille, je n'ai plus vraiment le choix, je suppose »
C'est la réponse du loup qui tira le professeur de ses pensées :
« Non pas du chocolat ! Quoi que j'en aie, si tu en veux, mais ceci te fera sûrement oublier ta gourmandise ! »
« C'est moi que tu traites de gourmand, toi qui a toujours des sucreries dans les poches et... »
Harry ne put finir sa phrase, il avait cessé de rire, le coup de baguette de Remus avait fait apparaître le second livre du savoir.
Incrédule Harry le regarda un long moment et le saisit :
« Comment as tu fait ? Remus comment l'as tu trouvé ? »
« J'ai cherché ! »
Le survivant déposa un baiser sonore sur la joue de son ami qui se mit à rire, il jeta un regard heureux à son amant et fonça se réinstaller sur le tapis. Avide il ouvrit le livre...
Et il resta là, ainsi, trois jours durant, oubliant même de rejoindre son amant dans leur lit, ne s'arrêtant que parce que le sommeil le gagnait...
Ron et Hermione passaient maintenant souvent le voir dans les cachots, Severus ne s'étonnait à présent plus de leur présence.
Le soir le directeur se joignait souvent a eux, même si Harry bien trop plongé dans son travail ne participait que rarement à la conversation.
Il n'avait toujours pas osé parler de ce qu'il faisait, il avait trop peur que ça échoue, il ne voulait pas leur donner de faux espoirs.
Engourdi, Harry se leva et s'étira, ses yeux tombèrent sur l'horloge, c'était l'heure du repas du soir, il passa une main dans ses cheveux, tentant de se recoiffer.
Il descendit bien vite, et comme à chaque fois qu'il entrait quelque part, le silence se fit dans la pièce, il traversa la grande salle rapidement et jeta un regard à son amant.
Ron et Hermione avaient déjà commencé à manger, ils lui sourirent :
« Salut Harry ! »
« Salut vous deux ! J'ai faim ! »
La jeune fille le regarda, amusée et lui tendit les plats :
« Ca ne m'étonne pas, tu ne te nourris que de cochonneries depuis que tu as le second livre ! En fait, c'est la première fois que tumonte en trois semaines... »
La bouche pleine, Harry se dépêcha d'avaler :
« J'ai presque terminé l'antisort ! Si seulement j'avais le dernier livre il me manque plus que la dernière phrase... »
La préfète souriait, elle allait parler quand la voix de son petit ami l'en empêcha :
« J'ai pas tout compris là, Harry ! »
Alors que le survivant engouffrait une autre fourchette de purée, Hermione soupira et expliqua :
« Chaque sortilège a son contraire, pour le trouver, il faut connaître la composition du sortilège... »
Comme Ron les regardaient toujours bizarrement, Harry ajouta :
« Faisons comme si la composition du sortilège, c'était les phrases qui le compose, plus le sort est complexe, plus il y a de phrases, pour créer un antisort il faut trouver le contraire de chaque mot... »
Il inspira et but du jus de citrouille :
« Donc la composition du sort qu'a crée Eémer a été inscrit dans un bouquin, avec beaucoup d'autres sorts très puissants, pas tous très mauvais, mais la plupart ! Pour que personne ne puisse créer d'antisort, ce bouquin a été caché dans trois autres... »
Il regarda Ron pour être sur que celui ci suivait :
« Ca fait que dans le premier livre, il y a les premières phrases du sort dans le second les suivantes et dans le dernier... »
Ron fièr de lui le devança :
« Dans le dernier les dernières phrases ! »
« Voilà ! »
Le jeune homme fronça les sourcils :
« Mais si c'est si simple de créer l'antisort, pourquoi personne ne l'a fait avant ? »
Hermione secoua la tête :
« D'un : ce n'est pas ''si simple'' tu ne vois pas tout le travail qu'Harry a accompli ? Deux : ce n'est pas tout de créer l'antisort, il faut avoir la force de l'exécuter... »
Elle regarda Harry comme pour lui demander si il pourrait le faire et celui ci se mit à sourire.
Et puis ils discutèrent de tout et de rien, ils riaient, le survivant sentait sur lui le regard de son amant, il tourna discrètement la tête sur lui et lui sourit...
Il sursauta, envoyant une gicler de purée sur la robe Dean, quand Dobby apparut juste a coté de lui :
« Bonsoir monsieur Harry Potter ! »
Les élèves s'arrêtèrent de manger, étonnés de voir un elfe de maison dans la grande salle :
« Bonsoir Dobby ! Que me vaut le plaisir de te voir... »
« Monsieur, Dobby a trouvé monsieur ! »
Le cœur d'Harry se mit à battre plus vite, il se leva, bousculant la table reversant tout ce qui s'y trouvait, il s'agenouilla près de l'elfe celui ci se mit a sourire et agita la main.
Il apparut alors le dernier livre du savoir, Harry l'attrapa, d'un geste il débarrassa la table, il devait le faire et il devait le faire maintenant...
Il s'installa dessus et fit un demi cercle avec son doigt, sous le regard étonné de tout les élèves, un cercle blanc apparut sur la table entourant le survivant.
Le dernier livre du savoir flottait devant lui les pages se tournaient et enfin, il trouva la bonne...
C'était maintenant où jamais il inspira longuement, ferma les yeux et fit apparaître d'énormes bougies autour de la table, tous les élèves s'étaient levés, tout le monde l'observait, alors qu'il se concentrait.
Et puis il ouvrit vivement les yeux, faisant sursauter quelque première année, l'air commença à se charger de magie et d'électricité, un bruit assourdissant s'éleva dans l'air.
Un vent glacé souffla avec force, toutes les chandelles de la grande salle s'éteignirent, plongeant la salle dans une obscurité inquiétante, la seule source de lumière était les énormes bougies qu'Harry avait invoquées...
La panique envahissait peu a peu les élèves et puis la voix du survivant couvrit le bruit sourd, le bruit du vent, et les murmures inquiet :
« Viens à moi Eémer Alish affronte ici et maintenant ton destin... »
Au nom évoqué, certains élèves avaient laissé échapper un cri horrifié, mais ils furent étouffés par le vrombissement de la salle, la voix dure et sèche d'un homme se fit entendre mais il était impossible de savoir d'ou venait cette voix :
« Qui est tu pour m'invoquer ainsi, jeune prétentieux ? »
Un sourire se mit à flotter sur les lèvres d'Harry :
« Celui qui mettra fin à ton sortilège... »
Le survivant leva une main, le livre flotta jusqu'à lui, il en détacha une page et la déchira. Au rythme des mains d'Harry un fantôme apparut flottant dans le cercle tout près du jeune homme, le visage de l'apparition semblait perdu et inquiet, le sourire du survivant s'élargit encore :
« Te voilà enfin ! Finissons en alors, beaucoup d'enfants attendent ce moment... »
Sans même qu'ils ne s'en rendent compte, dans la salle un groupe se forma.
Les enfants Eémer était probablement les seuls à comprendre ce qui ce passait vraiment leur yeux était emplis de peur, de rage, mais aussi d'espoir :
« Crois tu pouvoir, morveux, briser mon sortilège ? »
« Oui je le peux... »
Le survivant se mit à sourire de nouveau, il attrapa une bougie qui flottait près de lui et en versa sur la table, d'un geste de son doigt la cire prit feu...
Il prit un à un les morceaux de papier déchiré et les brûla en récitant une étrange formule dans une langue oubliée.
L'esprit, le fantôme ou l'espèce de souvenir qu'était maintenant Eémer semblait se débattre contre un ennemi invisible, alors que de ses bras il tentait de le chasser il hurla :
« Tu ne peux pas faire ça, tu ne peux pas mettre fin à des années et des années de bonne éducation... »
Imperturbable Harry continuait de résister, et une voix, une toute petite voix s'éleva dans l'air :
« C'est Harry Potter, il peut ! »
Hermione tourna la tête et vit la jeune Serdaigle qui avait parlé, dans son regard brûlait un feu incroyable, elle leva les yeux sur les autres élèves tout près de la jeune fille, ils formaient un groupe assez conséquent et dans leurs yeux, brûlait le même feu. La préfète se pencha et chuchota à Ron :
« Se sont les enfants Eémer... »
Son petit ami ne prit même pas la peine de regarder, il fixait son meilleur ami, qui récitait toujours le contre sortilège d'une voix claire et forte.
Alish se débattait sans relâche contre son ennemi invisible et puis l'horreur se peignit sur son visage comme si il voyait la mort arriver vers lui :
« Non, non, non, mes enfants, j'ai fait ça pour votre bien... »
Les larmes coulaient sur son visage fantomatique, alors qu'il fixait des choses invisibles aux yeux des autres.
Brusquement Harry leva les yeux de la cire en feu, sa voix se déforma quand il prononça la dernière phrase de l'antisort.
L'homme sembla entouré par une bulle, il hurla de douleur, faisant naître sur le visage des enfants éduqués par sa méthode un sourire ravi.
Sourire qui s'élargit quand la peur envahit les yeux de leur bourreau.
Il hurla de nouveau, une explosion résonna sur les murs de la grande salle et Eémer Alish disparut dans une explosion retentissante, ne laissant qu'une poussière grisâtre...
La salle redevint silencieuse...
Mais personne ne bougea, tout le monde regardait Harry, sauf les enfants Eémer qui continuaient de fixer un espace à présent vide, comme si ils avaient du mal à croire que c'était vrai...
Harry reprit conscience peu à peu, son premier geste fut de se retourner pour fixer son amant, toujours à table, abasourdi, comme les autres professeur Severus le fixait, son regard était intense, brûlant de fierté et de désir.
Engourdi, le survivant se leva sous le regard des enfant Eémer, la jeune Serdaigle qui s'était adressée à son bourreau s'approcha alors de lui, la voix tremblotante, les larmes au yeux, elle murmura :
« Qu'est ce que ça veut dire : contrairement pour nous ? »
« Hé bien vois tu, j'ai préparée moi même la formule que tu as entendu, j'ai fait le contre sort, ça veut dire qu'à partir de tout de suite... chaque fois qu'une personne tentera d'utiliser le sortilège qu'a crée Alish, ça se retournera contre lui ou elle ! »
Comme la jeune fille le regardait sans comprendre, ou peut être sans y croire il ajouta :
« Le sortilège marchera, mais sur celui qui aura jeté le sort, l'eau se déversera sur lui... »
La jeune fille se mit à sourire comme tout les autres.
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Le maîtres des potions entra des ses appartements, persuader d'y trouver son amant. Et le jeune homme était bien là, endormi sur le canapé, ses lunettes posées sur son torse, vacillèrent légèrement quand il remua. Comme si il avait senti sa présence, Harry ouvrit les yeux et lui sourit :
« Salut... »
Le professeur observa le jeune homme un moment, ses pensées et ses sentiments se bousculaient dans sa tête :
« Je ne pensais pas que tu réussirais, j'ai douté de toi... »
Le survivant passa sa main sur la joue de son amant :
« Moi aussi ! Je ne pensais pas y arriver... »
Il s'étira et bailla :
« Quelle heure est-il ? »
Aucune réponse ne vint :
« Severus ça va ? »
Il fixa l'homme assis près de lui, celui ci murmura :
« Harry je... je ne suis pas doué pour ce genre de chose... »
Le cœur du survivant se mit à battre plus vite et la peur étreignit son ventre, il attendit sans un mot :
« Ecoute je ne ferais pas de grande déclaration, je ne sais pas dire merci et je ne tiens à pas une grande effusion pleine de larmes... Mais ce que tu as fait pour moi, pour le monde, je ne l'oublierais pas... »
La gorge nouée, Harry se pencha sur son amant et déposa ses lèvres sur les siennes, doucement, amoureusement sa main effleura sa joue dans un moment de tendresse intense.
Le survivant inspira :
« Puisque on en est là, j'ai quelque à te demander... »
Il le regarda, surpris, alors le jeune homme demanda :
« Et après ? »
« Et après quoi ? »
Il inspira :
« Dans quelque mois, l'école est finie... je devrais quitter cet endroit probablement pour toujours... »
Il laissa a son amant le temps de se rendre compte de ce que ça impliquait :
« Que va-t-il se passer alors ? »
Severus soupira :
« J'ai pensé à ça ! A présent que tout est terminé tu devrais réfléchir à ton avenir... »
Harry fronça les sourcils :
« Ce qui veut dire ! »
La colère perçait presque dans la voix du professeur :
« J'ai l'âge d'être ton père je ne... »
« Stop ! Si c'est pour me resservir tout ce que j'ai déjà entendu, c'est pas la peine, viens-en au but ! Tu veux savoir si j'ai l'intention de te quitter ? Non alors si tu veux t'en aller, ne prend pas des excuses comme celle-là ! Si pour toi il ne s'agissait que d'une aventure : dit le ! Pour moi c'est sérieux ça l'a toujours été, si ce n'est pas ton cas, je m'en remettrais, j'aurais du mal... Mais je survivrais, alors ne prend pas de gants, ne te cache pas derrière des excuses bidons ! Et si tu as commencé cette phrase pour me donner une chance de m'en aller, n'espère pas trop... Ce n'est pas ce que je veux ! »
Severus le fixa enfin dans les yeux :
« Que veux tu ? »
Le jeune homme inspira et réfléchis un long moment c'était pourtant une question simple que veux tu...
« Je ne suis sûr de rien, j'ai du mal à mettre de l'ordre dans mes idées, mais je sais une chose, je veux rester près de toi... »
« Alors reste... »
Presque sauvagement ils se jetèrent l'un sur l'autre, probablement pour se prouver tout l'amour qu'ils n'arrivaient pas à exprimer...
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Le sourire aux lèvres, Harry entra dans le bureau du directeur, celui ci était debout face à la fenêtre, à peine le jeune homme avait-il passé la porte que Fumseck se mit à chanter :
« Moi aussi je suis content de te voir Fumesck ! »
Le vieil homme se mit à sourire :
« Harry ! »
Le survivant releva la tête, il y avait tellement d'émotion dans la voix du professeur :
« Est ce que ça va monsieur ? »
Il eut un petit rire :
« Oui, pardonne à un vieil homme sa sensibilité ! J'étais là, je regardais le parc et je me souvenais de la première fois que tu y es entré, je savais déjà que tu accomplirais de grandes, de très grandes choses ! »
Albus s'installa à son bureau et soupira :
« Tu étais si jeune, encore si innocent, aujourd'hui j'ai un homme devant les yeux, un homme pour qui j'éprouve le plus grand respect... »
La gorge d'Harry se noua alors que l'homme se levait pour contourner le bureau, et s'asseoir près de lui :
« Je suis si fier de toi que ça méritait d'être dit ! »
Un bref instant le directeur serra son élève contre lui, le survivant tenta d'inspirer fortement pour ce donner une contenance, et déjà Albus reprenait, la gorge aussi nouée que celle de son élève :
« Je suppose que tu n'as pas envie de reprendre les cours n'est ce pas... »
Harry avala difficilement sa salive :
« Non pas vraiment ! »
« J'ai une proposition à te faire dans ce cas... »
a suivre...comment avez vous trouver la fin d'alish ? et la petite discution de sev et d'harry ? et DUMBY mon pove dumby va !
le chapitre 20 faisant 35 pagesword j'ai désider de le découper en 3 donc : prochain chapitre le 17 ou peu être le 16/12 vu qu'une amie passe me voir le 17 (si tu lis sa gros bisous ! )
