Auteur : Tatiana Black

Livre : Harry Potter

Titre: Quand on veut, on peut !

Partie : 2 – entre rêve et réalité.

Genre : Mystery, Angst

Rating : G – 13.

Spoiler : tome I à V

Disclaimer : les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartiennent pas et sont la propriété exclusive de JK Rowling. Je ne tire évidement aucun bénéfice de mes publications. En résum : rien est à moi sauf l'intrigue parce que c'est tout la très talentueuse JKR qu'à inventer * jalouse *, je ne reçois pas d'argent (elle oui) * encore plus jalouse * mais des review^^ *moins jalouse*.

Situation :

Cette fanfiction est située quelque jours avant la rentrée de Harry en 6e. nous avons donc affaire à un Harry déprimé… enfin, pour l'instant.

Note de l'auteur: cette partie est encore un peu floue mais je ne peux pas vous révéler l'entière vérité maintenant. Quoi qu'il en soit, cette intrigue entre le monde réel et la réalité est un début, l'entièreté de la fic ne sera pas centrée la dessus, je n'en dit pas plus pour l'instant.

Quand on veut, on peut !

Partie II – Entre rêve et réalité.

Ils marchaient dans la rue principale à la recherche d'activité. Il faisait une chaleur étouffante et la plus part des habitants de Pré-au-lard préféraient rester chez eux pour être au frais. La rue était déserte et certain magasin avait fermé à cause de la canicule. Cela faisait déjà une demi-heure qu'ils tournaient en rond dans le village sorcier.

- C'est mortel ! s'exclama Ron.

- Oui, surtout qu'on ne peut même pas magasiner puisqu'on va demain au chemin de Travers, continua Ginny.

- Oui, je me réjouis d'acheter nos affaires scolaires ! s'exclama Mélodie.

- Harry, ta petite sœur n'est vraiment pas normale ! commenta Ron.

- Mais non, la défendit Hermione, s'est très bien de s'intéresser au cours !

- Oui, sauf que toi non-plus tu n'es pas normale, rétorqua Ron.

- Eh bien je préfère ne pas être normale, dit-elle.

- Et puis, commença Harry, je me réjouis aussi de recommencer les cours !

- Oh secours ! s'écria Ron, je suis tombé dans un monde de fous !!!

- Si tu cries tout seul comme ça au milieu de la rue, c'est toi le fous, lui fit remarquer Ginny.

- Bon, j'abdique.

- On a gagn !!!s'exclamèrent Ginny et Mélodie d'une seule voie en levant le poing en l'air en signe de victoire.

- Et si à la place de martyriser Ron, on allait au parc ? demanda Hermione.

- Non, pas au parc ! dit Ron, il faut économiser nos force pour cette après-midi.

- Qu'est ce qui se passe, cet après-midi ? demanda Harry.

- T'as du l'oublier. Ton père, Sirius et Remus nous ont promis une bonne partie de Quidditch dans le petit terrain du parc !

- Géniale !! C'est vrai, maintenant, je crois m'en souvenir !

- Avec nous deux aussi ! rappela Mélodie.

- C'est vrai qu'il faut t'entraîner, si tu veux entrer dans l'équipe, la taquina Ron.

- Puisque j'y suis, remarqua Ginny, il n'y a pas de raison pour que Mélodie n'y arrive pas.

- Na ! fit Mélodie en tirant amicalement la langue à Ron.

- Et qui sera le capitaine, cette année ? demanda Harry.

- 'sais pas.

- En fait, Harry, commença Hermione, j'espère que tu n'a pas oublier comment transplaner puisque tu passe ton permis demain…

- Oups… ça doit pas être très compliquer, non ? C'est comme le balais, ça s'oublie pas ! Non ?

- J'espère pour toi, vieux !

- Pourquoi est-ce que Harry aurait oublier comment transplaner en une nuit ? demanda Ginny, et puis il peut bien y arriver si même Fred et George l'ont fait !

- Euh… Harry a eu… hum… des petits problèmes, leur dit Ron.

- Petit ?!? s'exclama Hermione.

- Petits, certifia Harry.

- Pas si petit que ça! Répliqua-t-elle.

- Qu'est ce que t'a eu, grand frère ? s'inquiéta Mélodie.

- Trois fois rien, ne t'inquiète pas pour si peu.

- Harry…, commença Hermione.

- Écoute, lui dit Harry en la tirant vers lui et l'emmena à l'écart, je n'ai absolument pas envie d'y repenser. Je ne sais pas si tu peux imaginer ce qu'était de pareil souvenirs mais je préfère les oublier !

- Harry…

- Il n'y avait que terreurs, peines, souffrances, tristesses et haines, Hermione ! Alors je pense que tu peux comprendre que je ne veux ni en parler ni y penser et que je préfère oublier !

- Oui, je comprend Harry. Mais il faudrait peut-être que tu nous en parle, une fois…

- Non, ça ne servirait à rien puisque se monde était totalement faux. C'était des illusions, rien de plus, c'était imaginaire, ce monde n'a jamais exister !

- En toi, si.

- Non !Ce monde n'a jamais exister Hermione !! Et ce monde n'existera jamais !!!

- Hermione, les interrompit Ron, laisse le, ça ne sert à rien de vouloir se rappeler de choses qui n'existe pas. Vaut mieux ne plus penser à ça et faire comme si de rien était.

- Merci, Ron.

- Harry ? appela Mélodie, tu es sûr que ça va? Tu as l'air un peu pale. Tu ne veux pas qu'on rentre ?

- Non, merci. Ne t'en fait pas, je vais très bien.

Harry regarda sa petite sœur qui semblais s'inquiéter pour lui et la trouva vraiment mignonne. Il ne remarqua que maintenant qu'elle avait les yeux bleu de son père.

Le fait que Hermione reparle de cela lui laissait une impression étrange, comme une sorte de malaise. Cet ombre oppressante semblait planer à nouveau sur lui. Il eut comme un sentiment de doute. Des souvenirs très précis de se qui n'était pourtant qu'un mauvais rêve lui revenait. Il se souvenait de chaque détail de ses moments, de chaque paroles prononcée, des vêtements que portaient les autres. Des souvenirs si précis qu'ils paraissaient daté d'hier. Ses souvenirs paraissaient bien plus vivant que les flous évènements qu'on lui disait réels.

« Harry, s'il te plaît, Harry… je t'en supplie… reviens-nous. » dit Hermione, la voie chargée de larmes.

- Je suis désolé, Hermione. J'ai été brusque avec toi, dit-il en se retournant vers sa meilleur amie.

- S'est pas grave. Tu as de quoi être sur les nerfs.

- Non, mais je ne pensait pas te mettre dans cette état.

- Quel état ? demanda-t-elle en levant un sourcil.

- Tu sanglotais, je viens de t'entendre m'appeler.

- Je ne t'ai pas appeler, Harry…

- Non, je viens de t'entendre ! Tu m'appelais !

- Harry, je ne t'ai pas appeler et je n'ai pas sangloter.

- Mais, vous l'avez entendu ? demanda-t-il en se tournant vers les autres.

- Non, elle n'a rien dit Harry, confirma Ron.

- Mais, je l'ai entendu. je ne suis pas fous !

- Hermione n'a rien dit, répéta Ginny.

- Tu es sûr que ça vas, grand-frère ? lui demanda Mélodie.

- Je… je dois être un peu secouer… pas de quoi s'inquiéter. On n'en parle plus.

- Harry, si tu entends des voix…, commença Hermione.

- Non, j'entends pas des voix, j'entend ta voix. Et puis c'était… euh… une petite hallucination…

- Il faut en parler à maman, dit Mélodie.

- Non, en parle à personne. Personne n'a besoin de savoir puisque c'est passager.

- Harry…

- On en parle pas, ça vas passer, si ça se reproduit, on en parlera, ok ?

Ils se regardèrent tous ne sachant pas quoi dire, ni si s'était grave, ni la réaction qu'ils devaient adopter.

- Ok ? redemanda-t-il.

- Ouais, accorda Ron, mais s'il arrive quoi que se soit, on en parle tout de suite à tes parents !

- Si vous voulez. Ne me regarde pas comme ça, Hermione ! ça doit être dans le genre effets secondaires. Je n'en sais rien mais si tu aurais passer la nuit que j'ai passé, tu considérerais ça comme une jolie plaisanterie !

- D'accord. Mais s'il arrive quoi que se soit…

- Oui, je sais, la coupa-t-il.

- Il est bientôt midi, intervint Ginny en mettant fin à leur dispute imminente, vaudrais mieux y aller si on ne veux pas que Lily se fâche.

- Ouais, t'a raison, on y vas, dit Harry.

Les cinq adolescents se résolurent à rentrer à la Licorne. Se qui venait de se produirent obsédait pourtant Harry et l'inquiétait bien plus qu'il ne le montrait. Cette voix, la voix d'Hermione, il l'avait bien entendu, il n'avait pas rêver. Cette même voix semblait si triste, comme la voix de quelqu'un qui pleure, mais elle était si douce, elle parlait si doucement… Elle ressemblais au ton que prenne les gens quand ils parlent aux mourants. Cette comparaison le fit frissonner, elle lui fit surtout rappeler cet affreux monde, là ou tout n'était que malheur. Comment se monde pouvait-il rejoindre sa réalité, la réalit ? Il tentait de ne plus penser à sa et de se concentrer sur se qu'il vivait à présent. Il avait vu combien le malheur et le désespoir pouvaient être grand, il devait à présent se réjouir et savourer chaque instant. Il regarda autour de lui, s'il arrivait à trouver ne serai-ce qu'un souvenir, un seul qui appartienne à cette vérité, il ne douterait plus. Il regarda le jardin et se souvint que quand il était petit, il jouait à cache-cache avec Mélodie. Heureux de se souvenir de faits joyeux, il en chercha d'autre. En face de sa maison, il y avait une vielle sorcière qui habitait dans cette petite maisonnette, il y avait quelque années. Une fois, lui et Ron s'étaient introduit dans sa demeure pour voir si la rumeur était vraie : si son chat n'avait qu'un œil et trois oreille et la rumeur s'était avérée exacte. Il sourit en se souvenant la manière peu futile avec la quelle ils avaient passé par dessus la rambarde.

Il rentra dans sa maison accompagné des quatre autres. Un doux parfum de nourriture vint lui caresser le nez, faisant souffrir son estomac qui commençait déjà à se faire entendre.

- Déjà rentrer ? J'espérait que vous arriviez à l'heure, mais avec cinq minutes d'avance, c'est un exploit ! plaisanta Lily, il ne s'est rien passé, au moins ?

- Que veux-tu qu'il se passe en une demi-heure, maman ? demanda Harry en lui souriant.

- Avec toi et Ron ? Un bon milliard de choses !

- Merci ! dit Ron faussement vexé.

- Hermione, il ne t'ont pas trop mené la vie dure ? Tous s'est vraiment bien pass ?

- Oui, mentit-elle.

- Bien. James et Sirius ne vont pas tardé à arriver.

Harry sourit et tenta de penser à un souvenir vécu avec eux. Le premier souvenir qui lui vient, fut un très ressent. C'était le jour de sa majorité, il y avait quelque jour de cela. Ses parents, Remus et Sirius s'étaient dépasser. Presque toute les sixième année de Poudlard – comprenez par là, sauf les Serpentard – et toute l'équipe de Quidditch de Gryffondor avait été invités. La fête s'était terminée dans le plus grand désordre mais avait été géniale et avait réjouie tout le monde. Son père lui avait acheter une cape d'invisibilité – malgré les nombreuse protestation de sa mère Sirius lui avait acheter un balais Remus un équipement complet de Quidditch et le nécessaire à balais le plus complet et Lily une chouette rien qu'à lui qu'il avait nommé Athéna.

- Les souvenirs me reviennent ! murmura Harry discrètement à ses deux ami.

- Génial, s'enthousiasma Ron.

- Venez déjà vous installer à table, leur dit Lily.

- Tu as besoin d'aide ? demanda Hermione.

- Non merci, ma chérie. Ron, tes parents viendront se soir, ils vont souper ici.

- Chouette !

- Harry, pas trop stressé pour demain, demanda Remus en s'asseyant.

- Euh… un peu, oui… un peu beaucoup, même…

- Ne t'inquiète pas ! S'est simple comme tout !

Il y eu un pop caractéristique des transplanage et James et Sirius apparurent. James alla embrasser Lily puis se dirigea vers la salle à manger.

- Alors, comment va le jeune adulte ? demanda-t-il en passant sa main dans les cheveux de Harry, les décoiffant encore plus qu'ils ne l'étaient  l'origine.

- Très bien !

- Et ma princesse ? demanda-t-il en prenant Mélodie dans ses bras et l'embrassant.

- Super bien, papa ! s'exclama-t-elle.

- Alors moi aussi je vais bien ! Ah, je meurs de faim ! s'exclama-t-il, on mange bientôt ?

- Deux minutes, chéri.

- À propos de manger, Lily, commença Sirius, est-ce que tu pourrais rajouter un couvert se soir ?

- Une nouvelle conquête, Sirius ? demanda l'intéressée.

- Non, s'est toujours Nadia.

- Se sera ton record ça, mon cher Padfoot, une semaine, s'est ça ?remarqua Remus.

- Primo, ça fait deux moi, une semaine et trois jours et secondo, se n'est pas mon record puisqu'il est de passé un an !

- Un an, un moi, quatre jour, cinq heur, dix-sept minute, vingt-trois seconde et trente-six centième, le charia James.

- Hilarant, Prongs, mais ce n'est pas que je ne trouve rien de sérieux, c'est que je ne veux rien de sérieux !

- D'un romantisme écrasant, dit Lily en arrivant avec les plats quelle faisait volé devant elle.

- Ce que je trouve étonnant, commença Remus, s'est que tu trouves encore des fille! Tu avait fait tout Poudlard, tu as du faire tout le ministère et ça m'étonnerai pas de savoir que tout Londres sorcière de ton âge à passer dans ton lit… comment fais-tu ?

- Révéler mon secret ?!? Mais es-tu tombé sur la tête Moony ?

- Pas tout Poudlard, remarqua Lily.

- Pardon, Lily est la rescapée, se corrigea Remus.

- Pas faute d'avoir essayer, remarqua Sirius en haussant les épaule et en jetant en coup d'œil en coin à James.

- QUOI ? s'exclama celui-ci.

- Tu part au quart de tour, Prongs ! s'en amusa Sirius.

- Oh, et puis Padfoot fait ce qu'il veut tant qu'il maîtrise toujours aussi bien les sortilège d'insonorisation, remarqua Remus.

- Beurk ! s'exclama Mélodie, Parrain, tu ne peux pas parler de ça quand je ne suis pas là et en tout cas pas à table !

- Elle a raison, remarqua Lily en regardant Remus, alors, comment c'est passé votre journée au travail ?

- Très bien, s'exclama James, tellement bien qu'…

- On nous a donné trois jour de congés, le coupa Sirius.

- Je voulais le dire moi !

- T'es trop lent, mon cher Prongs.

- Comment ça se fait ? demanda Harry.

- Puisqu'on a arrêté le dernier Mangemort qui s'affichait comme tel – cette chère Bellatrix – on nous a remercié, répondit Sirius.

- Et étiez-vous obligé d'amener des Détraqueur ici ? demanda Lily.

- Bien-sûr que non ! s'exclama James, mais ils ont insister, de quoi faire peur ont autre éventuels Mangemorts. Alors que moi et Sirius,

- Sirius et moi, le coupa Hermione.

- Bref, on tenait évidemment parfaitement la situation en main vu qu'on ai les meilleurs !

- Attention, James ! s'exclama Ron.

- Quoi ? demanda-t-il en s'inquiétant.

- Ta tête va explos ! Elle recommence à enfler !!

Toute la table rigola devant cette magnifique intervention de Ron.

- Désolé, dit Lily, j'ai oublier de lui donner sa potion contre la mégalomanie.

- Merci chérie, tu m'aide vraiment, se plaignit James alors que toutes les personnes présente était écroulée de rire sur la table.

- Bref, commença Lily en se reprenant, si je comprend bien, je suis la seule à travailler, demain ?

- Eh oui, le monde est injuste ! dit Harry.

- Fais le malin, la rentrée approche…, le menaça-t-elle gentiment.

- Tu aurait du faire prof, si tu voulais des vacance, lui dit Sirius, comme Moony !

- Ce n'est pas pour les vacances, que je fais prof, corrigea-t-il.

- C'est pour les étudiante de septième ? demanda Sirius.

- Ça se serait ta raison, Padfoot…

- Ou autrement, continua Sirius sans prêter attention à la remarque de son ami, tu fais comme Amélia : tu fait un enfant comme ça tu sera en congé maternit ! N'est-ce pas Mrs. Lupin ?

- Je te donne mon congé, mais balade-toi avec un ventre pareil, lui dit Amélia.

- Non, tout bien réfléchis, je veux travailler !

- Ça s'est une bonne idée, intervint Mélodie, une petite sœur ou un petit frère !!!

- Merci, Sirius…, murmura Lily.

- Mais de rien, et puis James serait ravi, hein Prongs ?

- Euh… sais pô.

- Bah il est pas contre, en tout cas !

Et la conversation du repas partit sur un débat que Lily tenta de contourner par tout les moyen ce qu'elle réussis à faire au bout de vingt minutes en ramenant sur le tapis le "Sujet Sirius", autrement dit, son incapacité à gardé une relation durable malgré les nombreuses protestation de ce dernier. La conversation dévia ensuite sur le "laissez-aller des adolescent d'aujourd'hui" moment que Harry, Ron et Hermione choisirent pour sortir de table vite suivit par Ginny et Mélodie car la conversation avait du s'étendre jusqu'au pré-ado.

Aux alentour de trois heure de l'après-midi, alors que les cinq jeunes sorciers jouaient à une gigantesque bataille de carte magique et que Ron menait la partie, suivit de près par sa sœur – la victoire étant, selon lui, génétique – puis Hermione et ensuite Mélodie que Harry laissait soi-disant gagné vu qu'il était dernier… c'était donc à se moment là que Remus, Sirius et James vinrent les chercher pour la partie de Quidditch tant attendue.

Ils arrivèrent dans le parc de Pré-au-lard, et se préparèrent au match. Harry était encore très exister à cette idée mais son bonheur déproportionner commençait à diminuer car tous se qu'il voyais lui semblais de plus en plus normale et d'autre souvenir – dont certain bien moins drôle comme un mémorable sermon de sa mère sur le fait que les Serpentard, contrairement à se qu'avait pu penser son père, n'étaient pas des souffre-douleur – lui revenaient en mémoire.

- Bien les jeunes, commença Sirius, vu que qu'on a perdu l'habitude, on a le droit à dix minutes d'entraînement avant que le match commence. Vous, vous rester gentiment assis là. Ok ?

- C'est de la triche, remarqua Ron.

- Non, c'est l'avantage de l'âge, lui répondit Remus, et il y en a peu, alors on en profite.

- Et puis en plus, argumenta James, on vas vous laissez nos place respective. Alors prenez ça pour une mise en forme. Et Moony va profiter d'être gardien pendant un petit moment, Sirius d'être batteur et moi attrapeur, après on vous léguera nos rôle.

- Ça me semble correcte, admis Hermione.

- La Dame a dit, conclu Sirius en s'envolant.

Les trois maraudeurs lâchèrent toutes les balles et ils jouèrent tous les rôles de l'équipe à la fois tout en privilégiant le leur se qui ne leur laissa pas une minutes de répit.

- Vieux ? Mon œil, oui ! s'exclama Ron, à chaque fois que je les vois, je suis impressionner !

- Moi aussi, dit Harry avec émerveillement.

- Lily, comment ça se fait qu'ils n'ont jamais fait partit d'une grande équipe ? demanda Ginny.

- Eh bien… pendant la guerre, c'était un peu impossible, tout le monde du sport était en suspend, et puis on s'est marié et on a eu Harry alors James a préférer faire priorité à la famille.

- Et Sirius ? demanda-t-elle.

- Eh bien, sans James, se n'était plus drôle. Tu vois pour eux, tous est un jeux. Ils ont tord, bien-sûr. Mais ils sont tellement heureux qu'on ne peux pas leur en vouloir.

- Et pour Remus ?

- Comme pour Sirius, mais je pense qu'il n'a jamais envisager de carrière sportive. Il préfère se qui est plus stable et il adore enseigner à Poudlard.

- Je vois. Je ne les pensaient pas aussi doués !s'exclama-t-elle.

- Oui…, continua Lily d'un air rêveur, j'adore voir James quand il est sur son balais… sa jambe ne lui pose plus un problème, il est vraiment libre… on dirait presque que son balais fait partit de lui…

Les trois meilleurs ami restèrent cinq bonnes minutes dans les airs faisant une manifestation étonnante de savoir-faire. Même quelque passant s'arrêtait pour voir cette démonstration époustouflante.

Remus renvoya un cognard qui lui fonçait dessus et réussi à faire dévier le souaffle que venait de lui envoyer Sirius. Celui-ci envoya le cognard qui l'avaient pris pour cible au bout opposé du terrain avant de rattraper un souaffle que lui passait James qu'il envoya vers les buts mais que Remus intercepta de justesse.  Sirius et James se regardèrent et comprirent tout de suite se que l'autre avait pensé. Sirius fonça du plus vite qu'il pu et envoya les deux cognard sur Remus, au même instant, James lui envoyait le souaffle. Moony pu éviter le deux cognard mais le souaffle passa quand même marquant un magnifique but. À peine ceci eu été fait que Sirius attira l'attention de James en lui montrant une petite balle dorée qui volait près du sol. Alors que James fonçait vers le sol, Sirius envoyais tous ce qu'il pouvait sur Remus et trois cognard et un deux souaffle passèrent, il retint tous les autres fois que Sirius lui envoya les trois balles. Quand James eu rattraper le vif après un super piqué, ils ratterrirent et allèrent vers les autres.

- Bien, commença James, je suis en plaine forme ! On peut y aller.

- Allez-y quand même gentiment avec les enfant, leur demanda Lily.

- On en a pas besoin ! s'indigna Ron.

- On verra, dit Sirius avec un faux sourire sadique au coin des lèvres.

- Avant qu'on recommence, j'ai juste un petit truque à te dire, Lily, dit James en l'étreignent dans ses bras, on pourrait essayer d'avoir un autre enfant, se soir… non ?

- James, tu sais que je ne veux pas et on en parlera une autre fois, de plus je ne suis pas en ovulation…

- Et alors, ça ne coûte rien d'essayer ? dit-il en lui faisant un clin d'œil.

- C'est quand vous voulez, les interrompit Sirius.

Ils décolèrent tous et allèrent au milieu du terrain. Ils étaient tous les dix: Harry en tant qu'attrapeur, Ron en gardien, James et Sirius en batteur, Remus, Ginny et Mélodie en tant que poursuiveurs. Hermione, Lily et Amélia préféraient regardé le match et arbitrer en cas de malentendu.

Hermione donna le coup de sifflet et lâcha quatre balles.  Ginny attrapa le souaffle et l'envoya à Mélodie qui le passa à Remus. Sirius renvoya un cognard qui se dirigeait vers Ron. Harry se plaça en hauteur pour avoir une vision d'ensemble. James empêcha un cognard d'arriver sûr Remus qui venait de repasser le souaffle à Ginny qui tira dans le premier cercle mais que Ron rattrapa.

« Harry », commença Remus d'une voix très calme mais qui ne cachait pas sa tristesse, « Je ne sais pas où tu es, maintenant, mais je me l'imagine. L'endroit où tu te trouve ne peut-être que mieux qu'ici. Mais tu n'a pas le droit de nous abandonné en prétextant que Sirius  t'a abandonné." Harry commen4ait à sentire que 4a tête lui tournait, il regarda Remus mais celui-ci venait de lancer un souaffle que Ron ne rattrapa pas à temps. Il tentais de ne pas écouter cette voix, de ne faire comme si de rien était. Il n'y arrivait pourtant pas, seul son son paraissait le ramener dans cette état de profonde tristesse. Et cette voix parlait de Sirius, de sa mort… il n'était pourtant jamais mort! Pas dans se monde! Pas dans le vrai monde! Mais la voix continuait. "Tu sais que c'est faux, non-seulement il ne t'a pas abandonné mais il ne l'a pas voulu. Tu dois revenir Harry. Tu n'a pas le droit de nous abandonné. Parce que s'est pour le bien que se sont battu tes parents et Sirius. Parce que tu es le seul qui peut nous sortir de là." Cette voix continuait à résonner dans sa tête, ignorant tous les efforts qu'il faisait pour s'en séparer. Cette voix qui parlait de faits affreux qui ne s'étaient pas produits, de fait donc il avait peur et plus que tous. Mais la voix de Remus continuait à lui parler alors que ça tête tournait et qu'il sentait qu'il n'allait pas tardé à perdre conscience. "Tant qu'il y aura de l'espoir, tu te dois de te battre, même si s'est injuste. Tu pourra abandonné, quand il n'y aura plus aucun espoir, mais se n'est pas encore le cas… quand se sera le cas, tu pourra repartir pour être là où tu es. Mais pour l'instant, il faut que tu te batte, il le faut. On a tous besoin de toi. Bats-toi ! »

Harry ouvrit les yeux, il regarda autour de lui avec étonnement. Il ne comprenait plus rien. La pièce dans la quelle il se trouvait était petite et les murs étaient d'un blanc délavé. Le mobilier était pauvre car il n'y avait qu'une table de chevet ainsi que le lit sur le quel il était couché. À coté de lui, Remus était assis sur une chaise. Il avait les yeux rougis et était plus pâle qu'à son habitude. Harry ne comprenait rien, il y avait quelque seconde, il était sur son ballet entrain de chercher le vif des yeux. Il paraissait maintenant être à St. Mangouste, cette chambre était semblable à celle qu'avait occupé mr. Weasley l'année précédente. Il se résonna vite pensant que Mr. Weasley n'avait jamais eu à faire à un serpent puisque tous ça faisait partie de ce monde d'effrois qui n'était que pur illusions. Mais peut-être que des détraqueurs s'étaient rendu une fois de plus à Pré-au-lard, il aurait donc perdu conscience et se serais replongé dans se monde de malheur ? toutes ses hypothèse lui donnait la migraine. Il ne voulais qu'une chose, se réveiller.

- Harry ? est-ce que ça vas ? demanda doucement Remus, comme s'il avait peur de le brusquer.

- Non, ça ne vas pas parce que vous ne me laissez pas tranquille ! Parce que j'aimerais bien reprendre ma vie comme elle était avant que ses imbéciles de détraqueurs ne se pointes devant chez moi !

- De quoi est-ce que tu parles ?

- De cette saloperie de monde qui me pourri l'existence, voilà de quoi je parle ! Je ne sais même pas pourquoi je réponds à tes questions puisque tu n'existe pas, Remus ! Que rien de tous ceci existe !

- Harry… c'est le monde réel, ici…

- Non ! C'est faux ! Un monde fait que de malheur ne peut pas être réel !

- Harry, c'est pourtant vrai, dit en posant sa main sur l'épaule de Survivant.

- NON !!!!

Alors qu'il hurla, une boule parut émané de lui, un aura d'ombre l'entoura et cette puissance éjecta Remus contre le mur de la triste chambre. Sans prendre attention à l'état de Remus qui avait perdu conscience, Harry se prit la tête entre les mains, les genoux replié contre son torse, se balançant légèrement d'en avant en arrière.

- Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller, Je veux me réveiller…

Des larmes coulaient sur son pâle visage. Il avait l'impression que ça tête allait explosé, une migraine d'une incroyable puissance s'emparait de lui. Comme si les détraqueurs savaient qu'il avait compris leur supercherie et qu'ils ne voulaient pas qu'il ne s'en échappe une fois de plus. Pourtant, il ne se ferais plus avoir. Sa vie, il comptait bien la reprendre là où il l'avait laissé avant que tout ceci ne commence. Il ne s'avouerais pas vaincu de si tôt…

À suivre…

RAR :

Csame: eh bien je me réjouis d'avoir un avis plus précis venant de toi car je trouve que tu es très douer et il est toujours très utile de recevoir des critique de la part de quelqu'un qui a plus d'expérience. J'attend impatiemment la suite de tes 2 fics!

Herm'021: Je crois que si Harry n'a rien demander ce n'était pour ne pas attiré des soupçons en inquiétant encore plus les autres et il devait être sonné. J'avais peur en pensant que la réalité était un peu trop évidente mais je suis contente de constaté que ce n'est pas le cas! J'ai publier hier la suite des 2 autres!

Petites sorcières: eh bien, la réalité est peut-être la rowlinguienne, tu l'apprendra dans la prochaine partie ou la suivante, d'ici là… mystère… j'ai effectivement vu cet épisode de Buffy mais je t'avoue ne pas y avoir penser. Cependant, c'est proche de ça. Ce n0'est pourtant pas un univers parallèle à proprement puisque.. mais non, tu verra en même temps que les autre ;-p! le fait qu'on ne parle nul part du Harry de CE monde devrait te mettre sur la piste et pour le titre, celui de la fic ou celui de la partie, ils ne veulent pas tt à fait dire la même chose…

Kimazgork: Toujours fidèle au poste, merci beaucoup! Merci, j'espère que ça te plaira toujours autant!

Phantme: toi aussi, fidèle au poste, ça me fait très plaisir!! Eh bien j'espère que cette partie ne sera pas trop tordue et n'embrouille pas trop les choses^^

Note de l'auteur: J'espère que ça vous à plu! N'oubliez pas la petite review, siouplé^^