Bonjour tout le monde,
Désolée pour l'attente, mais le chapitre était long à taper, et de plus, j'étais en vacances. Je ne fais pas de réponses aux reviews, car je vais uploader du bureau... Mais la prochaine fois, promis juré, vous aurez chacun un petit mot ! Ce chapitre sera très fidème à celui du livre, c'est normal, mais les changements viendront bientôt !
Bonne lecture !
Chapitre 5 : Le chemin de traverse
- Ou va-t-on trouver toutes ces fournitures ? demanda Hermione en parcourant du regard la liste fournie en même temps que la lettre d'inscription. Je ne vois pas où on pourrait acheter une baguette magique et des chaudrons...
- Je te l'ai dit, au chemin de traverse ! répondit le géant.
- Autre question : avec quel argent ? Je n'ai pas de revenu, et Oncle Dave ne m'a pas donné autre chose qu'une petite clé dorée qui ne doit pas valoir plus de deux shillings...
- Tu crois donc que tes parents ne t'ont rien laissé ? se mit à rire Hagrid. Cette petite clé dorée ouvre la porte de ton coffre à Gringott's. Tes parents avaient de l'argent de côté et une assurance vie. Le professeur Dumbledore a converti cet argent en gallion et t'as ouvert un compte. De plus, ton oncle t'a versé chaque mois une petite somme.
- Gringott's ?
- Par Merlin, j'oublie toujours que tu ignore tout de notre monde. C'est la banque des sorciers...
Hagrid expliqua à la jeune fille le système monétaire sorcier. Elle était à proprement parler fascinée. Hermione n'en crut pas ses oreilles. Son oncle lui avait viré de l'argent pendant plus de dix ans ! Elle décida de lui acheté un cadeau pour le remercier.
Le géant et la jeune fille déambulaient dans les rues de Londres. Soudain, Hagrid s'arrêta, et elle manqua de lui rentrer dedans. - Tu vois ce pub ? demanda-t-il en lui désignant du menton une petite batisse. C'est l'endroit le plus célèbre de Londres...
Hermione regarda le pub miteux. Personne ne semblait le remarquer à part eux deux D'ailleurs, si Hagrid ne lui avait pas montré, elle ne l'aurait pas remarqué. Mais comment un tel bouiboui pouvait être l'endroit le plus célèbre de Londres ? Seul les services d'hygiènes devaient l'avoir dans leurs registres. Hagrid pénétra dans le bar, suivi d'Hermione. A l'intérieur, des gens vêtus bizarrement étaient attablés et buvaient des chopes de bières, des verres de liqueur et autres boissons. Une sorcière fumait une longue pipe. Un homme de petite taille avec un chapeau melon parlait au barman chauve. Lorsque Hagrid s'avança, les conversations s'interrompirent, et les habitués saluèrent d'un signe de la main le géant. Tout le monde semblait le connaître.
- Même chose que d'habitude ? demanda le barman à Hagrid. - Pas aujourd'hui Tom, je suis en mission pour Poudlard... répondit le géant d'un ton sérieux en posant sa large main sur l 'épaule d'Hermione. - Par Merlin ! s'exclama le barman en regardant le front de la jeune fille. Hermione Granger... Mes hommages, mademoiselle...
Le barman contourna le comptoir et fit un baise-main à Hermione. Cette dernière rougit, voulant disparaître six pieds sous terre. Tom était visiblement ému par cette rencontre.
- Bienvenue miss Granger, soyez la bienvenue parmi nous, reprit-il.
Hermione ne savait quoi répondre. Hagrid lui souriait d'un air bienveillant. Soudain, le jeune fille fut entourée par tous les clients du bar qui voulaient lui serrer la main : pas une seule personne n'était restée assise. Hermione n'arrivait pas à entendre ce que lui disaient tous ces gens, puisqu'ils parlaient en même temps
- Miss Granger, je suis honoré de faire votre connaissance. Je m'appelle Dédalus Diggle...
- Oui, je vous ai déjà vu. Vous m'avez salué un jour dans la rue alors que je me promenais avec mon oncle.
- Elle se souviens de moi ! Vous avez entendu ? elle se souviens de moi ! s'exclama le sorcier l'air réjoui.
Hermione continuait de serrer les mains qui se tendaient à elle. Une jeune homme au teint pâle s'avança, visiblemene nerveux et mal à l'aise. Hermione le scruta un moment. Il était dévoré de tics.
- Professeur Quirrell ! s'exclama Hagrid. Hermione, je te présente ton future professeur de défense contre les forces du mal.
- Bonj... bonjour G.. Granger... V... v... vous ne p... pouvez p... pas savoir à... à quel point je s... sui heureux d... de vous rencontrer.
- Les défense contre les forces du mal ? demanda Hermione.
- Oui, c... c'est ma matière.. Mais j.. je pense q.. que vous n'en n'auree p.. pas besoin ! dit-il avec un petit rire nerveux. V.. vous êtes v... venu acheter v.. vos fournitures ?
Hermione acquiesça.
- Je v.. vous laisse, j'ai un liv... livre sur les v.. vampires à acheter. Je v.. vous revoie à P.. Poudlard, Granger !
Il sortit du bar, au grand soulagement de la foule, qui n'avais pasl'intention de laisser ce professeur accaparer Hermione. Mais Hagrid attrapa la jeune fille en déclrant qu'ils devaient y aller, ayant beaucoup de chose à acheter. Le géant emmena Hermione hors du bar, dans une petite cours mal entretenue et crasseuse.
- Je t'avais prévenue que tu étais célèbre ! se mit à rire Hagrid en voyant l'air de la jeune fille. Même le professeur Quirrell était tout tremblant. Enfin, c'est pas un critère... Il tremble pour tout et n'imporet quoi. Tant qu'il faisait des recherches dans ses livres, ça allait, mais depuis qu'il est allée dans les forêts allemandes, il apeur de tout, même de son ombre ! Voyons, où j'ai mis mon parapluie...
Hagrid fouilla un instant dans ses poches puis sortit l'obket convoité. Il contempla le mur miteux qui se dressait devant eux, compta les briques et tapa trois fois sur l'une d'entre elle Un trou apparut dans le mur et Hagrid invita Hermione à s'y glisser. Devant eux, une rue gigantesque s'étalait à perte de vue.
- Bienvenue sur le chemin de traverse ! s'exclama hagrid avec un sourire.
Hermione était ébahie. Des dizaines de boutiques, aux étalages inattendus, n'attendaient que la visite de la jeune femme. Le géant sourit de l'excitation de la jeune fille.
- Allons à gringott's chercher ton argent... dit-il en marchant.
Hagrid et Hermione entrèrent dans l'établissement. des dizaines de gobelins s'afffairaient. hagrid s'approcha du comptoir.
- Bonjour, dit-il à un employé. Miss Granger est venue prendre un peu d'argent dans son coffre. Et pour moi, j'ai une lettre du professeur Dumbledore, au sujet de vous savez quoi, dans le coffre 713...
Hermione fronça les sourcil. Que pouvait cacher le directeur de Poudlard ? Le gobelin prit la clé d'Hermione et tous empruntèrent un petit chemin. Hagrid devint vert quand ils montèrent dans un chariot. Après quelques minutes dans ce qui s'apparentait à un grand huit, ils s'arrêtèrent devant un coffre que la créature ouvrit avec la clé d'Hermione. Des tas d'or reposaient depuis des années. Hermione prit une poignée de pièce, Hagrid lui assurant que ce serait largement suffisant pour couvrir ses frais pour l'année.
Ils reprirent le wagon pendant un long moment, descendant dans les profondeurs de la terre. Ils firent uns econd arrêt devant un coffre immense, presque majesteuux. Mais à la différence de celui d'Hermione, il n'y avait pas de serrure. Le gobelin passa sa main devant la porte, et elel disparut. A l'intérieur, un petit paquet kraft d'aspect assez minable. Hermione haussa les sourcils quand Hagrid le mit dans sa poche.
- Tu ne parles de ça à personne, Hermione, s'il te plait, demanda Hagrid une fois sorti de la banque.
La jeune fille acquiesça et le demi géant la déposa devant un magasin de vêtement.
- Tu peux y aller toute seule ? Après ces maudits chariots de l'enfer, j'ai besoin d'un remontant... A tout de suite !
Hagrid partit à grandes enjambées en direction du chaudron baveur. Hermione, intimidée, entra dans la boutique de Mme Guipure. Cette dernière était une petite sorcière l'air fort sympahtique.
- C'est pour Poudlard ma petite ? Demanda-t-elle avant qu'Hermione n'eut le temps de dire bonjour. J'ai tout ce qu'il te faut. Il y a un de tes futurs camarades qui est en train d'essayer son uniforme.
Hermione tourna la tête et remarqua un garçon au teint pâle, le nez en pointe, qui se tenait sur une chaise tandis qu'une employée faisait quelques ajustements. Madame Guipure installa Hermione sur un deuxième tabouret et lui passa une robe de sorcière pour ensuite prendre des mesures.
- Salut, dit le garçon en la dévisageant. Tu vas à Poudlard ?
- Oui, répondit Hermione.
- Père est parti m'acheter mes livres tandis que Mère est allée me chercher une baguette magique. Ensuite, je pense convaincre Père de m'acheter un balai. Je trouve inadmissible que les premières années n'aient pas le droit d'avoir leur propre balai. Et toi, tu as un balai ?
- Non, répliqua Hermione, qui commençait à en avoir par dessus la tête des balais.
- Tu joues au Quidditch ?
- Non plus, répliqua Hermione, qui se fichait éperdument de ce qu'était le Quidditch.
- Moi oui, enchaîna le garçon. Mon père pense que ce serait un scandale si je n'étais pas sélectionné dans l'équipe. Tu sais dans quelle maison tu seras ?
- Je n'en sais rien, répondit-elle, sans montrer sa déconcertation.
- En fait, on ne peut pas être sur avant d'être sur place. Personnellement, je suis certain d'être à Serpentard. Toute ma famille y a été. Et puis, tu imagines, se retrouver à Poufsouffle ? Je préfèrerai partir de suite.
Hermione se retint de lui dire qu'elle souhaitait de tout coeur qu'il soit justement à Poufsouffle quand le garçon se mit à ricaner.
- Regarde-moi ce drôle de bonhomme ! Dit-il en pointant du doigt la vitrine de la boutique.
Hagrid l'attendait à l'extérieur du magasin, deux grosses crèmes glacées dans les mains. Hermione lui sourit.
- C'est Rubéus Hagrid, répliqua Hermione, en prenant un ton vengeur, heureuse d'apprendre à ce garçon suffisant quelque chose qu'il ne savait pas. Il est le gardien des lieux et des clés de Poudlard.
- Ah oui, c'est une sorte de domestique. Un espèce de sauvage qui vit dans une cabane. Il paraît qu'il se soûle souvent et que, quand il est ivre, il tente de faire de la magie et met le feu à son lit.
- Je le trouve très sympathique, répliqua sèchement Hermione.
- Si tu veux, ricana le garçon. Tu es avec lui ? Où sont tes parents ?
- Ils sont morts, répondit Hermione d'un ton qui coupait court à la conversation.
Le garçon partit dans un long monologue, exprimant le souhait que seuls les enfants de sang purs soient admis à Poudlard. Il dut lui poser des questions, mais elle n'écoutait pas.
- Tu m'écoutes quand je te parle ? S'énerva le garçon.
- Oh, excuse-moi... répliqua Hermione qui n'était pas du tout désolée.
- Je te demandais si tes parents étaient des sorciers et comment tu t'appelais...
- C'est bon mademoiselle, vous pouvez y aller ! S'exclama joyeusement la couturière en faisant descendre Hermione du tabouret.
Hermione donna rapidement une poignée de pièces à la couturière puis sortit du magasin, tandis que le garçon lui disait : « On se reverra à Poudlard ! ». Hermione prit la glace que Hagrid lui tendait. Elle ne parla pas de sa rencontre avec le garçon prétentieux. Elle se fichait éperdument de ce qu'il lui avait dit. Sauf peut-être de son opinion au sujet des enfants dont les parents ne sont pas des sorciers. Elle dissimula son inquiétude tandis que le géant l'emmenait à la librairie. Là, elle devint comme folle. Hagrid riait tandis que la jeune fille parcourait les rayons en courrant, prenant plus de livres qu'il était nécessaire. Les bras chargés de volumes, ils achetèrent ensuite le nécessaire à potion, les objets pour l'astronomie.
- Il ne manque plus que la baguette magique. Et c'est chez Ollivander que nous la trouverons ! s'exclama Hagrid en ouvrant la porte d'un magasin assez sombre dont la facade n'avait pas dû être entretenue depuis Matusalem.
Hermione contempla les multiples étagères sur lesquelles des milliers de boîtes reposaient, certaines devant être stockées depuis des années, attendant un propriétaire.
- Bonjour... murmura une voix douce.
Hermione sursauta. Monsieur Ollivander se trouvait juste à côté d'elle. Timidement, elle lui rendit son salut.
- Oui, oui, Hermione Granger... Je m'attendais à vous voir... Alors, c'est ici que...
Le propriétaire de la boutique éfleura du doigt la cicatrice d'Hermione.
- Je vous dois mes excuses. C'est moi qui est vendu la baguette responsable de cette cicatrice, il y a plusieurs années déjà. 33,75 centimètres, bois d'if. Une baguette très puissante... Si j'avais su ce qu'elle ferait en sortant d'ici...
Ollivander l'observa quelques minutes et Hermione sentit sa gêne grandir.
- Approchez-vous... tendez votre bras droit... finit par dire le fabriquant de baguette.
Hermione s'appliquait à faire ce que lui disait Ollivander tout en jetant des coup d'œil inquiet à Hagrid. Ce dernier observait la scène en souriant.
- Je vois... vous allez être une cliente difficile... Prenez celle-ci : 25 cm, bois de chêne, nerf de dragon. Allez-y, faite le geste.
Hagrid agita rapidement le poignet. La jeune fille fit la même chose, mais l'homme lui retira la baguette de la main aussitôt.
- Non.. ce n'est pas ça... Essayons celle-là : 20 cm, bois de sapin, crinière de licorne.
Hermione refit le geste, mais Ollivander lui arrache l'objet.
- Je me demande si...
Il partit en arrière boutique. La jeune fille s'approcha du géant, l'air désespéré.
- Ne t'inquiéte pas, Hermione. Monsieur Ollivander a toujours réussi à équiper ses clients.
L'homme revint plusieurs minutes plus tard avec une boite l'air fort ancien.
- Essayez celle là : bois de houx, plume de phénix, 27,5 centimètres. Souple, facile à manier.
Hermione prit la baguette puis fit le geste. Aussitôt, une gerbe d'étincelles rouges et or sortirent de la baguette. Hagrid applaudit.
- Félicitations ! s'exclama Ollivander. C'est très bien, mais en même temps très étrange.
Il reprit la baguette qu'il remit dans sa boîte. Hermioen fronça les sourcils.
- Pourquoi avez-vous dit que c'était étrange, monsieur ? demanda-t-elle.
- Je me souviens exactement de chaque baguette que j'ai vendue, miss. Or, le phenix qui a fourni la plume de votre baguette en a donné une autre. Et cette autre plume fait partie de la baguette qui vous a fait cette cicatrice...
Hermione déglutit difficilement.
- Souvenez-vous miss Granger, c'est la baguette qui choisit son sorcier, pas l'inverse. Vous êtes appeler à faire des grandes choses. Après tout, Vous Savez Qui a fait des grandes choses, terribles, terrifiantes, certes mais quelle envergure !
En sortant du magasin, Hermione avait l'impression d'avoir prit une douche glacée. Hagrid raccompagna Hermione chez elle et lui donna son ticket de train.
- Ton billet pour Poudlard, dit le géant. Surtout, ne l'oublie pas. Bon, à bientôt !
Hermione contempla son billet. Voie neuf trois quart ?
- Hagrid ! Il y a un problème... Il n'y a pas de...
Mais Hermione s'interrompit : Le géant avait disparu.
Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui ! La suite quand j'aurais fini de la taper ! Pour me donenr le courage de le faire, rien ne vaut quelques bonnes reviews ! lol
Bisous
Link
Désolée pour l'attente, mais le chapitre était long à taper, et de plus, j'étais en vacances. Je ne fais pas de réponses aux reviews, car je vais uploader du bureau... Mais la prochaine fois, promis juré, vous aurez chacun un petit mot ! Ce chapitre sera très fidème à celui du livre, c'est normal, mais les changements viendront bientôt !
Bonne lecture !
Chapitre 5 : Le chemin de traverse
- Ou va-t-on trouver toutes ces fournitures ? demanda Hermione en parcourant du regard la liste fournie en même temps que la lettre d'inscription. Je ne vois pas où on pourrait acheter une baguette magique et des chaudrons...
- Je te l'ai dit, au chemin de traverse ! répondit le géant.
- Autre question : avec quel argent ? Je n'ai pas de revenu, et Oncle Dave ne m'a pas donné autre chose qu'une petite clé dorée qui ne doit pas valoir plus de deux shillings...
- Tu crois donc que tes parents ne t'ont rien laissé ? se mit à rire Hagrid. Cette petite clé dorée ouvre la porte de ton coffre à Gringott's. Tes parents avaient de l'argent de côté et une assurance vie. Le professeur Dumbledore a converti cet argent en gallion et t'as ouvert un compte. De plus, ton oncle t'a versé chaque mois une petite somme.
- Gringott's ?
- Par Merlin, j'oublie toujours que tu ignore tout de notre monde. C'est la banque des sorciers...
Hagrid expliqua à la jeune fille le système monétaire sorcier. Elle était à proprement parler fascinée. Hermione n'en crut pas ses oreilles. Son oncle lui avait viré de l'argent pendant plus de dix ans ! Elle décida de lui acheté un cadeau pour le remercier.
Le géant et la jeune fille déambulaient dans les rues de Londres. Soudain, Hagrid s'arrêta, et elle manqua de lui rentrer dedans. - Tu vois ce pub ? demanda-t-il en lui désignant du menton une petite batisse. C'est l'endroit le plus célèbre de Londres...
Hermione regarda le pub miteux. Personne ne semblait le remarquer à part eux deux D'ailleurs, si Hagrid ne lui avait pas montré, elle ne l'aurait pas remarqué. Mais comment un tel bouiboui pouvait être l'endroit le plus célèbre de Londres ? Seul les services d'hygiènes devaient l'avoir dans leurs registres. Hagrid pénétra dans le bar, suivi d'Hermione. A l'intérieur, des gens vêtus bizarrement étaient attablés et buvaient des chopes de bières, des verres de liqueur et autres boissons. Une sorcière fumait une longue pipe. Un homme de petite taille avec un chapeau melon parlait au barman chauve. Lorsque Hagrid s'avança, les conversations s'interrompirent, et les habitués saluèrent d'un signe de la main le géant. Tout le monde semblait le connaître.
- Même chose que d'habitude ? demanda le barman à Hagrid. - Pas aujourd'hui Tom, je suis en mission pour Poudlard... répondit le géant d'un ton sérieux en posant sa large main sur l 'épaule d'Hermione. - Par Merlin ! s'exclama le barman en regardant le front de la jeune fille. Hermione Granger... Mes hommages, mademoiselle...
Le barman contourna le comptoir et fit un baise-main à Hermione. Cette dernière rougit, voulant disparaître six pieds sous terre. Tom était visiblement ému par cette rencontre.
- Bienvenue miss Granger, soyez la bienvenue parmi nous, reprit-il.
Hermione ne savait quoi répondre. Hagrid lui souriait d'un air bienveillant. Soudain, le jeune fille fut entourée par tous les clients du bar qui voulaient lui serrer la main : pas une seule personne n'était restée assise. Hermione n'arrivait pas à entendre ce que lui disaient tous ces gens, puisqu'ils parlaient en même temps
- Miss Granger, je suis honoré de faire votre connaissance. Je m'appelle Dédalus Diggle...
- Oui, je vous ai déjà vu. Vous m'avez salué un jour dans la rue alors que je me promenais avec mon oncle.
- Elle se souviens de moi ! Vous avez entendu ? elle se souviens de moi ! s'exclama le sorcier l'air réjoui.
Hermione continuait de serrer les mains qui se tendaient à elle. Une jeune homme au teint pâle s'avança, visiblemene nerveux et mal à l'aise. Hermione le scruta un moment. Il était dévoré de tics.
- Professeur Quirrell ! s'exclama Hagrid. Hermione, je te présente ton future professeur de défense contre les forces du mal.
- Bonj... bonjour G.. Granger... V... v... vous ne p... pouvez p... pas savoir à... à quel point je s... sui heureux d... de vous rencontrer.
- Les défense contre les forces du mal ? demanda Hermione.
- Oui, c... c'est ma matière.. Mais j.. je pense q.. que vous n'en n'auree p.. pas besoin ! dit-il avec un petit rire nerveux. V.. vous êtes v... venu acheter v.. vos fournitures ?
Hermione acquiesça.
- Je v.. vous laisse, j'ai un liv... livre sur les v.. vampires à acheter. Je v.. vous revoie à P.. Poudlard, Granger !
Il sortit du bar, au grand soulagement de la foule, qui n'avais pasl'intention de laisser ce professeur accaparer Hermione. Mais Hagrid attrapa la jeune fille en déclrant qu'ils devaient y aller, ayant beaucoup de chose à acheter. Le géant emmena Hermione hors du bar, dans une petite cours mal entretenue et crasseuse.
- Je t'avais prévenue que tu étais célèbre ! se mit à rire Hagrid en voyant l'air de la jeune fille. Même le professeur Quirrell était tout tremblant. Enfin, c'est pas un critère... Il tremble pour tout et n'imporet quoi. Tant qu'il faisait des recherches dans ses livres, ça allait, mais depuis qu'il est allée dans les forêts allemandes, il apeur de tout, même de son ombre ! Voyons, où j'ai mis mon parapluie...
Hagrid fouilla un instant dans ses poches puis sortit l'obket convoité. Il contempla le mur miteux qui se dressait devant eux, compta les briques et tapa trois fois sur l'une d'entre elle Un trou apparut dans le mur et Hagrid invita Hermione à s'y glisser. Devant eux, une rue gigantesque s'étalait à perte de vue.
- Bienvenue sur le chemin de traverse ! s'exclama hagrid avec un sourire.
Hermione était ébahie. Des dizaines de boutiques, aux étalages inattendus, n'attendaient que la visite de la jeune femme. Le géant sourit de l'excitation de la jeune fille.
- Allons à gringott's chercher ton argent... dit-il en marchant.
Hagrid et Hermione entrèrent dans l'établissement. des dizaines de gobelins s'afffairaient. hagrid s'approcha du comptoir.
- Bonjour, dit-il à un employé. Miss Granger est venue prendre un peu d'argent dans son coffre. Et pour moi, j'ai une lettre du professeur Dumbledore, au sujet de vous savez quoi, dans le coffre 713...
Hermione fronça les sourcil. Que pouvait cacher le directeur de Poudlard ? Le gobelin prit la clé d'Hermione et tous empruntèrent un petit chemin. Hagrid devint vert quand ils montèrent dans un chariot. Après quelques minutes dans ce qui s'apparentait à un grand huit, ils s'arrêtèrent devant un coffre que la créature ouvrit avec la clé d'Hermione. Des tas d'or reposaient depuis des années. Hermione prit une poignée de pièce, Hagrid lui assurant que ce serait largement suffisant pour couvrir ses frais pour l'année.
Ils reprirent le wagon pendant un long moment, descendant dans les profondeurs de la terre. Ils firent uns econd arrêt devant un coffre immense, presque majesteuux. Mais à la différence de celui d'Hermione, il n'y avait pas de serrure. Le gobelin passa sa main devant la porte, et elel disparut. A l'intérieur, un petit paquet kraft d'aspect assez minable. Hermione haussa les sourcils quand Hagrid le mit dans sa poche.
- Tu ne parles de ça à personne, Hermione, s'il te plait, demanda Hagrid une fois sorti de la banque.
La jeune fille acquiesça et le demi géant la déposa devant un magasin de vêtement.
- Tu peux y aller toute seule ? Après ces maudits chariots de l'enfer, j'ai besoin d'un remontant... A tout de suite !
Hagrid partit à grandes enjambées en direction du chaudron baveur. Hermione, intimidée, entra dans la boutique de Mme Guipure. Cette dernière était une petite sorcière l'air fort sympahtique.
- C'est pour Poudlard ma petite ? Demanda-t-elle avant qu'Hermione n'eut le temps de dire bonjour. J'ai tout ce qu'il te faut. Il y a un de tes futurs camarades qui est en train d'essayer son uniforme.
Hermione tourna la tête et remarqua un garçon au teint pâle, le nez en pointe, qui se tenait sur une chaise tandis qu'une employée faisait quelques ajustements. Madame Guipure installa Hermione sur un deuxième tabouret et lui passa une robe de sorcière pour ensuite prendre des mesures.
- Salut, dit le garçon en la dévisageant. Tu vas à Poudlard ?
- Oui, répondit Hermione.
- Père est parti m'acheter mes livres tandis que Mère est allée me chercher une baguette magique. Ensuite, je pense convaincre Père de m'acheter un balai. Je trouve inadmissible que les premières années n'aient pas le droit d'avoir leur propre balai. Et toi, tu as un balai ?
- Non, répliqua Hermione, qui commençait à en avoir par dessus la tête des balais.
- Tu joues au Quidditch ?
- Non plus, répliqua Hermione, qui se fichait éperdument de ce qu'était le Quidditch.
- Moi oui, enchaîna le garçon. Mon père pense que ce serait un scandale si je n'étais pas sélectionné dans l'équipe. Tu sais dans quelle maison tu seras ?
- Je n'en sais rien, répondit-elle, sans montrer sa déconcertation.
- En fait, on ne peut pas être sur avant d'être sur place. Personnellement, je suis certain d'être à Serpentard. Toute ma famille y a été. Et puis, tu imagines, se retrouver à Poufsouffle ? Je préfèrerai partir de suite.
Hermione se retint de lui dire qu'elle souhaitait de tout coeur qu'il soit justement à Poufsouffle quand le garçon se mit à ricaner.
- Regarde-moi ce drôle de bonhomme ! Dit-il en pointant du doigt la vitrine de la boutique.
Hagrid l'attendait à l'extérieur du magasin, deux grosses crèmes glacées dans les mains. Hermione lui sourit.
- C'est Rubéus Hagrid, répliqua Hermione, en prenant un ton vengeur, heureuse d'apprendre à ce garçon suffisant quelque chose qu'il ne savait pas. Il est le gardien des lieux et des clés de Poudlard.
- Ah oui, c'est une sorte de domestique. Un espèce de sauvage qui vit dans une cabane. Il paraît qu'il se soûle souvent et que, quand il est ivre, il tente de faire de la magie et met le feu à son lit.
- Je le trouve très sympathique, répliqua sèchement Hermione.
- Si tu veux, ricana le garçon. Tu es avec lui ? Où sont tes parents ?
- Ils sont morts, répondit Hermione d'un ton qui coupait court à la conversation.
Le garçon partit dans un long monologue, exprimant le souhait que seuls les enfants de sang purs soient admis à Poudlard. Il dut lui poser des questions, mais elle n'écoutait pas.
- Tu m'écoutes quand je te parle ? S'énerva le garçon.
- Oh, excuse-moi... répliqua Hermione qui n'était pas du tout désolée.
- Je te demandais si tes parents étaient des sorciers et comment tu t'appelais...
- C'est bon mademoiselle, vous pouvez y aller ! S'exclama joyeusement la couturière en faisant descendre Hermione du tabouret.
Hermione donna rapidement une poignée de pièces à la couturière puis sortit du magasin, tandis que le garçon lui disait : « On se reverra à Poudlard ! ». Hermione prit la glace que Hagrid lui tendait. Elle ne parla pas de sa rencontre avec le garçon prétentieux. Elle se fichait éperdument de ce qu'il lui avait dit. Sauf peut-être de son opinion au sujet des enfants dont les parents ne sont pas des sorciers. Elle dissimula son inquiétude tandis que le géant l'emmenait à la librairie. Là, elle devint comme folle. Hagrid riait tandis que la jeune fille parcourait les rayons en courrant, prenant plus de livres qu'il était nécessaire. Les bras chargés de volumes, ils achetèrent ensuite le nécessaire à potion, les objets pour l'astronomie.
- Il ne manque plus que la baguette magique. Et c'est chez Ollivander que nous la trouverons ! s'exclama Hagrid en ouvrant la porte d'un magasin assez sombre dont la facade n'avait pas dû être entretenue depuis Matusalem.
Hermione contempla les multiples étagères sur lesquelles des milliers de boîtes reposaient, certaines devant être stockées depuis des années, attendant un propriétaire.
- Bonjour... murmura une voix douce.
Hermione sursauta. Monsieur Ollivander se trouvait juste à côté d'elle. Timidement, elle lui rendit son salut.
- Oui, oui, Hermione Granger... Je m'attendais à vous voir... Alors, c'est ici que...
Le propriétaire de la boutique éfleura du doigt la cicatrice d'Hermione.
- Je vous dois mes excuses. C'est moi qui est vendu la baguette responsable de cette cicatrice, il y a plusieurs années déjà. 33,75 centimètres, bois d'if. Une baguette très puissante... Si j'avais su ce qu'elle ferait en sortant d'ici...
Ollivander l'observa quelques minutes et Hermione sentit sa gêne grandir.
- Approchez-vous... tendez votre bras droit... finit par dire le fabriquant de baguette.
Hermione s'appliquait à faire ce que lui disait Ollivander tout en jetant des coup d'œil inquiet à Hagrid. Ce dernier observait la scène en souriant.
- Je vois... vous allez être une cliente difficile... Prenez celle-ci : 25 cm, bois de chêne, nerf de dragon. Allez-y, faite le geste.
Hagrid agita rapidement le poignet. La jeune fille fit la même chose, mais l'homme lui retira la baguette de la main aussitôt.
- Non.. ce n'est pas ça... Essayons celle-là : 20 cm, bois de sapin, crinière de licorne.
Hermione refit le geste, mais Ollivander lui arrache l'objet.
- Je me demande si...
Il partit en arrière boutique. La jeune fille s'approcha du géant, l'air désespéré.
- Ne t'inquiéte pas, Hermione. Monsieur Ollivander a toujours réussi à équiper ses clients.
L'homme revint plusieurs minutes plus tard avec une boite l'air fort ancien.
- Essayez celle là : bois de houx, plume de phénix, 27,5 centimètres. Souple, facile à manier.
Hermione prit la baguette puis fit le geste. Aussitôt, une gerbe d'étincelles rouges et or sortirent de la baguette. Hagrid applaudit.
- Félicitations ! s'exclama Ollivander. C'est très bien, mais en même temps très étrange.
Il reprit la baguette qu'il remit dans sa boîte. Hermioen fronça les sourcils.
- Pourquoi avez-vous dit que c'était étrange, monsieur ? demanda-t-elle.
- Je me souviens exactement de chaque baguette que j'ai vendue, miss. Or, le phenix qui a fourni la plume de votre baguette en a donné une autre. Et cette autre plume fait partie de la baguette qui vous a fait cette cicatrice...
Hermione déglutit difficilement.
- Souvenez-vous miss Granger, c'est la baguette qui choisit son sorcier, pas l'inverse. Vous êtes appeler à faire des grandes choses. Après tout, Vous Savez Qui a fait des grandes choses, terribles, terrifiantes, certes mais quelle envergure !
En sortant du magasin, Hermione avait l'impression d'avoir prit une douche glacée. Hagrid raccompagna Hermione chez elle et lui donna son ticket de train.
- Ton billet pour Poudlard, dit le géant. Surtout, ne l'oublie pas. Bon, à bientôt !
Hermione contempla son billet. Voie neuf trois quart ?
- Hagrid ! Il y a un problème... Il n'y a pas de...
Mais Hermione s'interrompit : Le géant avait disparu.
Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui ! La suite quand j'aurais fini de la taper ! Pour me donenr le courage de le faire, rien ne vaut quelques bonnes reviews ! lol
Bisous
Link