Auteur : Tatiana Black
Livre : Harry Potter
Titre: Quand on veut, on peut !
Partie : 3 – Réalité et désillusions.
Genre : Mystery, Angst
Rating : PG – 13.
Spoiler : tome I à V
Disclaimer : les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartiennent pas et sont la propriété exclusive de JK Rowling. Je ne tire évidement aucun bénéfice de mes publications. En résum : rien est à moi sauf l'intrigue parce que c'est tout la très talentueuse JKR qu'à inventer (_) * jalouse *, je ne reçois pas d'argent (elle oui) * encore plus jalouse * (u_u') mais des review (^__^) *moins jalouse*.
Note de l'auteur : IMPORTANT !!! Étant donné que je me tracasse depuis le début de cette fic pensant que ce titre ne vaux pas deux mornilles, je vais le changer ! Cette fic (qui se terminera la partie prochaine si elle est en deux fics.) sera publié dur le nom de Réalités, Rêve, Illusion et Désillusions, la suite de cette fic sera ou publiée sous le même titre ou sous le titre Le bien était-il au cœur du mal ou le mal au cœur du bien ? Je vous laisse le choix. Dites-moi si vous préfère que je publie : 1) En deux fic dont les noms viennent d'être cit 2) en une fic qui aura pour titre Réalités, Rêve… 3) en une fic qui aurait pour titre Le bien est-il… 4) Ne rien changer, du moment que je continue d'écrire et que, si possible, je me taise et vous laisse lire ! Répondez, s'il vous plaît ! Je vous laisse.
Quand on veut, on peut !
Partie III – Réalité et désillusions.Tous parut alors tourné au tour de lui, lui donnant la nausée et redoublant encore ses maux de tête qui lui avaient parus être à leur paroxysme. Des lueurs paraissaient dansés devant ses yeux endoloris par cette soudaine clarté. Il les ouvrit lentement sans pour autant distingué ce qui l'entourait. Peut-être ne voulait-il tous simplement pas savoir où il se trouvait. Parce qu'il redoutait plus que tout de se réveiller à nouveaux dans se monde de malheur dont seul le nom suffisait à lui glacé le sang, à faire taire ses espoirs, à étouffer ses rêves.
- Je crois qu'il reprend consciences, dit une voix de garçon.
Harry garda les yeux à demi-clos, s'était la voix de Ron. Ron était vivant dans l'Autre Monde. Les voix qu'il voulait entendre étaient celle de ses parents et de son parrain. Pourquoi avait-il tant peur d'ouvrir les yeux ? Puisque le monde ou la joie existait était le bon, de quoi doutait-il ?
- Harry ? appela doucement une voix féminine.
Cette voix avait le plus beau des pouvoir celle de lui effacer toute crainte, celle de lui redonner confiance. Une voix protectrice qui venait le rassurer quand il faisaient des cauchemar, qui l'avait bordé, qu'il entendait chanter… la voix de sa mère. Une chaleur de bien être et de confiance s'instaura peu à peu dans son corps meurtrit par le chagrin. Il ouvrit les yeux, malgré la forte lumière qui contrastait tant avec les ténèbres de son âme.
- Est-ce que ça vas ? demanda doucement Amélia.
Il ouvrit complètement les yeux à présent habituer à la clarté ambiante. Il tenta de se relever mais nombre de paire de mains l'en empêchèrent.
A sa droite, il y avait Lily, Amélia, Hermione, Ron et Ginny puis, à sa gauche, Sirius, James et Remus. Mélodie était agenouillée derrière lui et avait placé la tête de Harry sur ses jambes d'après les instruction de Lily. Sa mère paraissait très inquiétait et elle vérifiait qu'il n'aie rien de casser se qui ne paraissait pas être le cas, malgré une douleur certaine à qui endolorissait ses membre.
- Comment te sens-tu ? demanda Remus.
- Je…qu'est-ce qu'il s'est pass ? demanda Harry avant de répondre quoi que se soit.
- Tu es tombé, dit Ron, heureusement, Sirius était assez près de toi et il a put te rattraper avant que tu ne t'écrase par terre.
- De quoi te souviens-tu ? demanda Amélia.
- Je volais, en cherchant le Vif et…
Harry marqua une pose. Il était tous là, tous tellement inquiet. A quoi servait le fait de leur dire se qu'il s'était pass ? Pourquoi revivre par le souvenir tant de peine ?
- Et ? demanda James, visiblement très inquiet.
- Et… rien.
- Absolument rien ? demanda Remus, suspicieux.
S'il il y avait bien quelque chose de particulièrement agaçant chez Remus Lupin, s'était bien le fait qu'il ressentait des choses, qu'il percevait les sentiments et ressentiments mieux que quiconque. Remus savait qu'il mentait, peut-être ferait-il mieux de leur dire la vérité. Après tout, ce malaise ne pouvait être du qu'à des Détraqueurs, il pouvait bien le leur dire ! mais le faire sur un ton léger, ne pas affoler tous le monde pour trois fois rien…
- Comme ce matin, avoua-t-il, s'il vous plaît, avertissez-moi la prochaine fois que les Détraqueurs décident de faire une promenade de santé à Pré-au-lard.
- Il n'y a eu aucun détraqueur, dit Hermione dont la voix tremblais.
- Qu'est ce qui s'est passé ce matin ? Quel rapport avec les Détraqueur ? demanda James dont la voix trahissait sa panique.
- Harry s'est…inconsciemment créé un monde d'effrois due à la présence des Détraqueur et de leur alliance passée avec Voldemort, lui annonça Remus.
- Quoi !?! s'exclama Sirius, se… Fudge ! On lui avait bien que c'était inutile ! On lui avait bien dit qu'on tenait la situation en main ! Mais non, môsieur à voulu commander, môsieur le ministre savait mieux que nous ! Des Détraqueurs dans un village sorcier ! Et les conséquences ? Il n'y pas penser, bien sûr !! Trop occuper à redoré son blason !!
- Sirius ! intervint Lily avec colère, ça ne sert à rien de pester contre Fudge, s'il est coupable ,tu l'es autant !
- Pardon ? Tu sais très bien que j'ai une horreur innommable de ses truques ! Et tu crois que je me serrais éclaté à amener ses choses en sachant que sa pourrait porter préjudice à mon filleul ??
- Non, je dit que si tu était moins arrogant – même si se n'est qu'en apparence – si tu te montrerais moins sûr de toi, les autorité aurait pu croire que vous aviez vraiment la situation en mains ! Mais on ne peux être sûr de rien, avec toi ! s'emporta-t-elle.
- Arrêtez ! intervint James, ça ne sert à rien de chercher un coupable !
Harry sentait sa tête qui allait explosé. La dispute ente sa mère et son parrain n'arrangeait strictement rien. Il ne supportait pas devoir les gens qu'il aimait se disputer – à plus forte raison, lorsqu'il en était la cause. Ça réaction était-elle excessive ? due à une confrontation de tel ampleur avec Le Malheur ?
- Harry, commença calmement Remus, puisque les détraquer n'étaient pas là… est-ce que tu as une idée de se qui aurait pu déclencher ton « retour » dans ce monde ?
Il resta de marbre. Il se souvenait très bien. La voix de Remus. Cet voix triste. Cet voix qui lui causait comme on cause à quelqu'un qui est sur son lit de mort. Cet voix qui lui parlait de ses parents, de Sirius… morts. Cet voix qui lui parlait de puissance. Qui lui parlait de Voldemort. Mais qui, au sommet de l'aberration, lui avait parlé d'Espoir. Bien que se monde n'existait pas, l'espoir n'en aurait jamais fait partie…
- Harry, commença Hermione, est-ce que tu as entendu…
- Oui, la coupa-t-il avant qu'elle n'en dise trop.
- Entendu quoi ? demanda Lily.
- Une voix, répondit-il sur un ton aussi neutre que possible.
- Une voix ? répéta Sirius.
- Oui, ce matin, j'avais entendu la voix d'Hermione. Mais elle n'avait rien dit. C'était une voix triste, désespérée, reflétant parfaitement l'Autre Monde.
- C'était encore ma voix ? demanda la jeune fille avec une once de culpabilité.
- Non. Cette fois, j'ai entendu Remus.
Il regarda le loup-garou qui n'avait pas cillé mais qui paraissait pris dans sa réflexion, quelques rides se dessinaient aux coin de ses yeux et un creux se formait sur son front.
- Comment ? Puisqu'il n'y avait pas de Détraqueur ? demanda Ron en disant se que tous le monde pensait.
- Eh bien…, commença Lily en tentant de trouver une explications, peut-être que c'est des remords et que ses voix vont venir par vague et vont finire par disparaître…
- Non, intervint Sirius, se serait trop… « simple ». Il doit y avoir quelque chose d'autre. Harry, il va falloir que tu nous dise se que tu ressens quand tu passe d'un monde à l'autre. Que tu nous dise comment tu perçoit tous ça.
- Avant, intervint James, on te ramène à la maison et on te donne quelque chose pour que tu aille mieux, tu es très pâle.
- Ma tête est sur le point d'explosé, expliqua Harry avec un léger sourire, qui se voulait indifférent, au coin des lèvres.
Il se levèrent tous, aidant Harry qui marcha en prenant par l'épaule James et Sirius. Le groupe de sorcier – qui s'étaient rassemblés tout autour d'abord pour voir le superbe match qui s'annonçait passionnant puis par curiosité et pour savoir se qu'avait eu le fils des célèbres Potter – se dissipait petit à petit, laissant les habitant de la Licorne passer.
Ils rentrèrent tant bien que mal jusqu'à la Licorne. Nombre de passant s'arrêtait de causer en voyant ce célèbre groupe avec un air si inquiet. Par un manque de chance certain, Rita Skeeter était au trois ballais et les vit passé. Elle les suivit jusqu'à chez eux sans rien pouvoir en tirer. Elle finit par interviewer tous les sorciers ayant été témoin de la chute de jeune Potter.
Une fois rentrer, ils s'assirent tous autour de la grande table de la salle à manger. Lily alla dans la cuisine pour préparer de la camomille. Elle servit une tasse à Harry et à James et Sirius qui paraissaient avoir du mal à rester calme.
- Ron, Hermione, Ginny, Mélodie, montez dans vos chambre, s'il vous plaît, demanda calmement Lily.
- Maman !!!! s'exclame Mélodie avec une mine fort contrariée.
- Oui, on va parler à ton frère, c'est très important.
- Il n'y pas de raison qu'on monte, nous !! s'exclama Ron.
- C'est vrai ! s'emporta Hermione.
- C'est une discutions d'adulte ! argumenta Lily.
- Papa ! dit la petite en regardant son père avec des yeux suppliant.
- Euh… demande à ta mère, répondit James qui avait encore l'aire sous le choque.
- Parrain ? demande-t-elle en se tournant vers Remus.
- Ce sont des choses sérieuses, Mélodie. On en parlera avec vous plus tard.
- Sirius ! demande-t-elle dans un dernier espoir en regardant le concerner.
- Je ne décide rien.
- Allez, en haut ! ordonna Lily.
Mélodie et Ginny montèrent alors que Ron et Hermione ne bougèrent pas.
- Nous, on reste, affirma la jeune fille.
Harry approuva d'un léger signe de la tête et but une gorgée de thé. Lily finit par s'assoire autour de la table, à côté de James. Un lourd silence s'installa durant le quel chacun se posait des question sur se qui venait de se passer, sur la signification qu'avaient ces évènements ainsi que sur leur conséquences.
- Qu'est ce que tu ressent, maintenant ? demanda Remus en rompant le silence.
- De la culpabilité, répondit Harry à la surprise des autres. Voyant leur air déconfit, il entre prit de se justifier, j'ai… j'ai assommé Remus…, finit-il dans un ton d'excuse.
- De quoi ? demanda Sirius qui paraissait avoir manquer une partie de la conversation.
- Oui… dans l'Autre Monde, il voulais me parler et m'expliquer mais… je l'ai assommé.
- Il voulait sans-doute te convaincre que se monde d'effrois était réel. Tu n'a pas de reproche à avoir, intervint Amélia.
- Je sais mais…
- Eh bien, dit Remus en lui coupant la parole, si ça peut te rassurer, je ne t'en veux pas du tout d'avoir assommer une image de moi qui voulait t'encrer dans un monde pareil ! Enfin… j'espère que ce monde ne sont pas tes envies les plus sombres…, dit-il avec un demi sourire.
Cette dernière remarque lança un froid. D'autant plus que Remus était habituellement celui qui gardait son calme et son sérieux. De le voir faire de l'humour dans un instant pareil alors que tous était sérieux n'eut pour effet que d'accentuer le grave de la chose.
- Franchement, Moony, c'est pas le moment ! s'exclama James.
- Et c'est toi qui me dit ça, marmonna Remus.
- Bon, dit Sirius en revenant sur le sujet, à part de la culpabilité, qu'est ce que tu ressens ?
- Du doute, dit-il en baissant la tête.
Il savait que ce qu'impliquait cette réponse était plus que grave mais elle était vraie. Il doutait, il ne savait plus qu'elle était la réalité, en qui ou en quoi croire. Aucune logique ne paraissait exister ou au contraire, trop de choses paraissait logiques, dans les deux mondes confondus. Il regarda ses proches qui le dévisageaient avec de l'incompréhension, de la compassion mais surtout de la peur. En les voyant ainsi, il douta. Peut-être qu'il n'aurait-il jamais du leur dire ceci ? peut-être que faire comme si tous allait bien aurait été plus judicieux ? Peut-être que tous se serait arranger petit à petit de sois-même ? Mais ce qui venait de se passer le persuadait qu'il devait en parler. Si Sirius ou quelqu'un d'autre ne l'aurait pas rattraper, il serait mort.
Personne ne rompit le silence qui se faisait de plus en plus pesant alors il se décida à le faire. Il pensait qu'il serait plus judicieux de faire le récit de tous se qui s'était passé, de cet Autre Monde, de ses souvenirs si précis des voix de Hermione et Remus. De cet étrange impression que cette vie qu'il menait était trop belle, trop floue, comme un conte. De cet boule dans la gorge qui se formait en évoquant cet univers de souffrances… Il devait le faire. Il devait leur dire. Il devait tous leur raconter.
- Dans cet Autre Monde, commença-t-il alors que le silence parut encore plus pesant et que tous les regard se tournèrent vers lui, je n'avait aucun souvenir d'ici, aucun doute. C'était comme si rien de tous ce qu'il y a ici n'avait exister. Je vivais chez la Tante Pétunia et l'Oncle Vernon. Mes parents étaient morts, tué par Voldemort quand j'avais un an. Tous ça à cause de Peter. Sirius s'était fait accuser à la place du traître. Il a été enfermé à Azkaban.
Il marqua une pause pour reprendre contenance. Il savait que Sirius était là, en face de lui mais évoquer ses autres souvenirs le rendait fous. Ravivait se mal être, cet envie de se venger, cet envie de crier sa peine, cet envie de pleurer – tous simplement. Le silence était encore plus dense et Harry reprit une profonde inspiration, but quelque gorgée de camomille avant de reprendre son récit.
- Je ne vous raconterais pas se qui s'est passé année par année une fois entrer à Poudlard si ce n'est que chaque année – sauf en troisième ou j'ai rencontrer Sirius, Remus et Peter – j'ai du affronter Voldemort. dans cet Autre Monde, je n'avais rien. Enfin, c'est faux, il y avait toujours toi, Remus. Il y avait aussi Ron et Hermione. Mais c'est tous. Il n'y avait rien d'autre, vous vous êtes tous fait tuer petit à petit et sous mes yeux. Je sais que j'avait peur que Voldemort tue encore l'un de vous, du peu qui avait survécu…
On entendait plus que la respiration calme des personnes présente. La voix de Harry était basse, grave à peine plus audible qu'un murmure. Personne ne l'interrompit, les nom d'Azkaban et de Voldemort les plongeaient à eux seul dans un effrois presque complet. Leur propre mort les mettaient mal à l'aise. Harry avait tous ses souvenirs, ils étaient tous en lui et il avait réussit à sourire… il fini le contenu de sa tasse et reprit son récit. Tous savaient qu'il manquait le moment où il était revenu dans cette réalité.
- Peu avant la reprise de la 6e, j'ai du retourné au QG de l'Ordre du Phœnix, à Grimault. Je suis entrer dans la chambre de Sirius. Il y avait une couche poussière qui recouvrait la pièce. Quelque trace de pats un peu plus récent. Tous les objets étaient encore à leurs places, personnes n'avait encore touché à se qu'il restait. La porte de l'armoire était ouverte et j'avait vu que des robes de sorciers y pendaient encore tristement. Je me souviens… les volet étaient fermés. Il y avait quelque rayon de soleil qui passait par les fissures. Je me suis couché sur le lit. Et c'est là… là que tous est devenu bizarre. Le vent s'est mit à souffler dehors, j'ai sentit une grande force en moi et beaucoup trop de sentiments qui me faisaient tourné la têtes. Et je me suis réveiller.
Harry marqua une nouvelle pause. Il était lui même étonner par les détails, il s'en souvenait si bien, il pouvait se revoir avancer dans cette chambre. Mais son récit n'était, une fois de plus, pas terminer. Tous paraissait retenir leur souffles en appréhendant se que dirait le jeune homme. Ils savaient que tous se jouerait là. Que la vérité qu'allait leur dire Harry changerait sans doute tous – peut-être pas irrévocablement, mais pour longtemps. Le temps paraissait être suspendu, le silence lourd, on entendait pas un bruit dans cette maison habituellement si plaine de bruit, de rires, de cris de joies. Non, aujourd'hui il y avait de la peur, de la peine. Une ombre planait sur la Licorne. Harry reprit en tentant de se calmer du mieux qu'il pouvait.
- Quand je me suis réveiller ici aucun souvenir ne m'est revenu. Comme si je ne connaissait rien de ce monde. Je n'ai encore presque pas de souvenirs. Tous est si flou… comme un rêve, un très beau rêve dans le quel je voudrait vivre mais ses voix me rappellent se que je me souviens comme une réalité… Ses voix sont si triste. Elle me parlent comme si j'était sur le point de mourir. J'ai peur. Peur de mourir. J'en ai peur mais je l'ai si souvent espérer dans l'Autre Monde. Je sait qu'à chaque combat avec Voldemort, j'espérais secrètement qu'il me tue…Peut-être pas au début mais par la suite, j'ai tellement voulu qu'il l'emporte sur moi. Mais il n'y arrivait pas. Alors je me battait, je me battait, toujours plus loin, toujours plus dure, toujours plus de morts, toujours plus d'ombre. Et j'était toujours le seul qui me relevait.
Il marqua une pause et personne ne rompit le silence. Méditant sur se qu'ils venaient d'apprendre. Harry tentait de contenir ses larmes et sa rage. Tant de sentiments se bousculaient dans la tête de celui qui avait été appeler le Survivant dans un monde de morts. Il reprit une dernière fois.
- Ici, tous est magnifique, je n'ai aucun mauvais souvenir, aucun souvenir tout cour. Tous est merveilleux, vous êtes tous vivant. Je n'ai pas de cicatrice, je n'ai pas de douleur qui me réveille en sueur la nuit. Je n'entends plus toutes ses voix appartenant à des gens mort qui n'existent plus qu'au travers de moi. Je ne…
Il n'acheva pas sa phrase. Il en avait assez dit, il en avait trop dit. Il en avait dit plus que les autre ne le supportait. Mais il y avait pourtant une dernière chose. Chose qu'il avait sous-entendu tous du long mais qu'il n'avait pas clairement dit. Une dernière chose qui ne laissait que des illusions à son auditoire. La chose sans doute la plus difficile à dire, à avouer… mais une chose si vrai. Il se resservi une tasse de Camomille et la but d'une traite ne faisant pas attention à sa langue que brûlait le thé, au regard pesant des autres sur lui, à lui.
- Tous ce que j'ai toujours voulu, dans l'Autre Monde. En faite tous se dont j'avait pu rêver, c'est ici. C'est vous. C'est cette maison, c'est cette vie. J'ai l'impression… - non, j'ai presque la certitude que malgré se que je voudrais croire… c'est ici que je devrais appeler « l'Autre Monde »…
Le silence parut encore plus dense, les regards encore plus peiné, apeurer et il n'avait pas tout dit. Il restait la dernière preuve. Cet chose qui le convainquait.
- La dernière chose que j'ai pensé avant de me réveiller ici. Après avoir sentit cette puissance en moi, après le vent qui soufflait si fort… la dernière chose que j'ai pensé, recroqueviller sur le lit de Sirius s'est… : Tous ceci est faux ! ça ne peux pas être vrai ! C'est forcément faux.
Le silence à nouveaux. Mais mêlé à se silence, tellement d'anxiété. Comment réagir face à pareil confidence ?
- Je… , commença timidement Amélia alors que tous le monde se tournait vers elle, je ne connais pas grand chose au Détraqueur… mais…
« Salut vieux, »commença Ron sur le ton de la conversation même si on percevait dans sa voix une profonde inquiétude. Harry ne voulait pas entendre. Il se boucha les oreille et ferma les yeux fort, très fort, tellement fort qu'il en avait mal… « J'ai souvent eu l'air un peu stupide… mais je n'ai jamais parler à quelqu'un qui dormait… » sa voix voudrait être sur le ton de la plaisanterie mais quelque chose dans son timbre le trahissait.
- Harry ? l'appela Sirius.
- J'entends Ron, murmura-t-il.
- Et, il dit quoi ? demanda timidement Ron.
- Si tu nous relate tous se qui ai dit. On pourra comprendre, dit Remus.
- Et le fait de t'occuper t'empêchera de t'évanouire, ajouta James.
Harry hocha timidement la tête attendant que Ron recommence à parler.
« Tu sais, tu refait la Une des journaux. La Gazette se donne à cœur-joie. Si s'était juste pour un coup de pub, tu peux revenir, c'est réussi ! » Sa voix, encore une fois, se voulait légère et plaisante mais Harry entendait les sanglot masquer qui ne tarderaient sans-doute pas. il répéta approximativement se qu'ils avait entendu sous l'oreille plus qu'attentive de son auditoire. « J'ai entendu se qu'ont dit Remus, Dumbeldore ou les Médicomage de St. Mangouste… » reprit-il avec, cet fois, une tristesse très présente. « Je ne veux pas les croire ! Je ne peux pas croire que tu nous aies tous abandonnés ! Que tu vis dans un autres monde ou le malheur n'existerait pas ! Je ne peux pas dire que je te comprends… personne ne peut vraiment te comprendre – Hermione a beau dire ce qu'elle veut… . Mai j'ai aussi seize ans cette année ! Et j'en ai mare de ce psychopathe mégalomane qui fait mourir tous ceux qui nous entoure ! J'en ai mare de devoir me demander si demain je serais encore vivant au lieu de me demander comment est-ce que je pourrais demander à Hermione de sortir avec moi ! J'en ai mare d'être confronter à a la mort ! J'en ai mare des secrets qui sont tous autour de nous que les adultes nous cache ! Mais je sais Harry…Je sais que tu en a encore plus mare que moi, que tu as subis bien pire. Tellement pire que je ne peux pas me l'imaginer. Et pour être franc, et j'en ai même pas envie… » Ron marqua une nouvel pause. Cependant plus courte que les autres et reprit : « Je te connais, Harry… Tu es si courageux ! Si…Gryffondor ! Et je n'arrive pas à croire que tu nous aie tous abandonné pour un monde qui n'existe pas ! Ou tout est faux ! J'arrive pas à le croire ! Je ne veux pas le croire ! Mais tu vois, tout peux s'arrêter Voldemort – et j'arrive à prononcer son nom – peut mourir. Mais pour ça, on a besoin de toi ! Après, tous sera bien ! Et ce monde qu'à ce qu'il paraît tu imagines, tu pourra le créé ici !! Il sera vrai !» silence… puis, « Et en plus… » reprit le rouquin avec – encore une fois – une once d'humour. « Tu ne veux quand même pas voire Malefoy gagner la coupe de Quidditch ? Tu ne veux quand même pas loupé le prochain tournoi ? »
La voix se tu. Harry finit de relater se qu'il avait entendu. Un nouveau silence plana dans la Salle à manger. Cette voix…, Harry l'a croyait de plus en plus…
À suivre…N'oubliez pas de m'envoyer une review et de répondre à ma question! Merci d'avance!!
