Auteur : Tatiana Black

Livre : Harry Potter

Titre: Quand on veut, on peut !

Partie : 4 – Réalité et désillusions 2/2.

Genre : Mystery, Angst

Rating : PG – 13.

Spoiler : tome I à V

Disclaimer : les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartiennent pas et sont la propriété exclusive de JK Rowling. Je ne tire évidement aucun bénéfice de mes publications. En résum : rien est à moi sauf l'intrigue parce que c'est tout la très talentueuse JKR qu'à inventer (_) * jalouse *, je ne reçois pas d'argent (elle oui)  * encore plus jalouse *  (u_u') mais des review (^__^) *moins jalouse*.

Note de l'auteur : Je cherche toujours qu'en au changement de titre, celui-ci n'attire pas des foules. Si changement il y a, je ferais parvenir un e-mail à chaque lecteur dont j'ai l'adresse pour l'en informer. J'espère que cette partie vous plaira.

En se qui concerne la chambre de Sirius, si vous voyez à quoi ressemble le bureau de Fox William Mulder (X-Files), vous aurez déjà une bonne idée d'une partie de la pièce. Vous comprendrez en lisant ce qui suit...

RAR :

Phantme : Je ne pense effectivement pas que le nombre de mort s'arrête là, dans le livre de JKR, mais évidemment dans ma fic, se n'est pas fini. C'est vrai que cette vie devait être compliquée… Le but était évidemment qu'on ne comprenne pas tout de suite mais je suis contente de savoir que les lecteurs finissent quand même par comprendre^^. J'espère sincèrement que la suite te plaira.

Csame : Merci pour ton conseil, j'y réfléchis encore. J'espère que cette partie ta plue !

Herm'021 : oui, mais là ça doit devenir presque limpide ! j'espère que ça te plaira !

Kimazgork : Merci pour ce compliment ! Et bien pour l'instant le titre est inchangé mais j'y réfléchis. J'espère que la suite te plaira !

Merci pour vos review, je vous souhaite une bonne lecture !

Quand on veut, on peut !

Partie IV – Réalité et désillusions 2/2.

Un silence gênant régnait à nouveau et toutes les personnes avaient baissé la tête. Seul Harry regardaient ceux qui l'entouraient, lisant l'inquiétude dont était emprunt leur visages habituellement si joyeux. Il s'en voulait de leur avoir dit, d'avoir troublé cette vie magnifique qui régnait à la Licorne. Cette vie peut-être trop magnifique pour être réel. Lily fut la première à se lever. Elle mit les mèches rebelles qui tombaient devant ses yeux derrière ses oreille puis rompit le silence.

- Je vais faire des recherchent dans les archives de St. Mangouste et au près des spécialistes.

Les autres personne présente approuvèrent et James, Sirius et Remus se levèrent comme un seul homme.

- Je vais faire des recherches dans les archives du ministère, annonça James.

- Et moi dans celle d'Azakaban, continua Sirius.

- Je vais voir à la bibliothèque nationale de la magie d'Oxford, acheva Remus.

Ils prirent tous leur baguette, se préparant, sans adresser un regard à Harry qui sentit leur gêne face à lui. Il se leva le plus silencieusement qu'il pu et entreprit de se diriger vers les escaliers pour monter dans sa chambre. Quand il se leva, les quatre s'arrêtèrent dans leur préparatif et Lily alla devant Harry. Elle le regarda dans les yeux.

- Je te promet qu'on trouvera ce qui se passe, lui dit-elle tendrement en passant sa main dans les cheveux de son fils.

Devant son regard peu convaincu et si triste, elle le serra dans ses bras. Harry tenta un sourire pour la rassurer. Il se blottit dans l'étreinte si réconfortante de sa mère et la serra contre lui.

- Je t'aime, maman, lui murmura-t-il.

- Moi aussi je t'aime, mon ange. Je te promet qu'on trouvera.

Il lui sourit du mieux qu'il pu et la sorcière rousse transplana après avoir déposer un baiser sur le front de son fils.

- Ne t'inquiète pas Harry, on trouvera, lui dit Remus avant de transplaner à son tour.

Harry tenta d'assimiler au mieux qu'il pouvait se qu'on lui disait et se concentra sur la pensée que toutes ses personnes qu'il aimait tant avait raison et que se monde était réel.

- Viens là, Harry, lui dit James en allant vers la cuisine, suivit de Sirius.

Harry suivit son père et son parrain et s'assit sur une chaise en face d'eux. Le silence ne fut pas de longue durée et fut rompu par James.

- Ron et Hermione étaient-ils dans l'Autre Monde ? demanda-t-il.

- Oui, répondit Harry.

- Et ils avaient tous deux leur familles ? continua son père.

- Oui.

- Alors, pourquoi tes deux meilleurs amis avaient une vie plus au moins normale et toi pas ? demanda Sirius qui avait compris ou voulait en venir son meilleur ami, tu ne trouve pas bizarre que tous ses malheurs ne t'aient affecter que toi et personne d'autre ?

- C'est à cause de la prophétie, répondit doucement Harry.

- La prophétie dit-elle que tous ceux que tu aimes doivent mourir ? demanda James.

- Non.

- La prophétie à aussi exister ici, Harry… même si on ne t'en a jamais beaucoup parlé. Et tu es vivant, ta mère et moi aussi, Sirius aussi.

- Mais…. Tous est parfait ici ! se défendit Harry.

- Je suis ravis d'avoir fait se que tous parents souhaitent, mais tout n'est pas parfait, continua James.

- Après se que tu as vu, commença Sirius, sûrement que tout doit te paraître parfait, mais tout ne l'ai pas. Tu as une vie normale d'adolescent. Tu as eu des notes bonnes mais – preuve que tout n'est pas parfait – tes notes en histoire de la magie et divination étaient plutôt catastrophique. Tu as le même défaut que ton père : dans tout Poudlard, la seule fille qui t'intéresse ne succombe pas au « charme Potter ». Cho Chang sort avec Cédric. Mélodie est adorable mais elle adore te chicaner et vos disputes sont parfois trop fréquente. Harry, ton niveau de vie est peut-être un peu au dessus de la moyenne mais tu es comme n'importe quel adolescent qui se respecte.

- J'ai agis comme un abrutit, lâcha-t-il en trouvant un soudain intérêt pour les plis de la nappe.

- On a jamais vécu ça, lui dit James, on ne te juge pas. Mais on voulais juste te montrer que tout était réel, ici. Bon, je vais aller faire ses recherches. Je te promet qu'on trouvera. Et, à nous quatre, on est les meilleurs ! acheva-t-il en faisant un clin d'œil à son fils avant de disparaître dans un pop.

Harry sourit mais il n'était pas difficile de voir que les paroles qu'il venait d'entendre ne l'avait que consoler à défaut de le convaincre. Sirius s'avança vers et fixa les yeux émeraudes de son filleule.

- Ce que t'a dit le Ron de l'Autre Monde était très convainquant et troublant, Harry. Mais n'oublie pas que leur but et de te faire revenir là-bas. C'est à toi que reviens la partie la plus difficile : leur résister. Je te promet qu'on fera tout notre possible pour te sortir de là au plus vite.

Harry lui sourit mais une autre idée lui vint en tête. Involontairement, son parrain venait presque de le convaincre de la véracité de l'Autre Monde. Il s'approcha de l'homme qui avait été à la fois son parrain, son père et son frère et le serra dans ses bras. Peut-être trop fort pour n'éveiller aucun soupçon mais cela lui était égale.  Il voulait s'imprégner de se moment autant qu'il en était possible. De sentir Sirius vivant, de pouvoir le toucher, d'entendre sa respiration, son cœur battre.

L'Auror lui fit un sourire rassurant avant de ne disparaître comme les autres dans pop.

Harry se dirigea vers sa chambre. Il monta les escaliers en regardant le couloire avec un grand intérêt afin de graver chaque détail dans sa mémoire. Il se trouva à nouveau dans ce petit corridor qui ouvrait sur plusieurs porte. Il s'avança jusqu'à la chambre de sa sœur et toqua à la porte.

- C'est qui ? demanda la voix chantonnante de Mélodie.

- Merlin, répondit Harry en rigolant.

- T'es pas drôle, Rirry, entre ! lui dit-elle.

Il entra dans la chambre, Mélodie était assise sur le tapis et discutait avec Ginny avant l'intervention de Harry. Les mûr de sa chambre était orné de sorcier qu'elle trouvait beau et de groupe de musique. Un grand poster des Bizzar'Sisters était accroché en dessus de son bureau. Elle avait un lit à baldaquin et une étagère sur la quelle de nombreux livres et objets magique ainsi que quelques jouets étaient posés. Un nombre impressionnant de peluche jouaient sur son lit.

- Tout s'est arrang ? demanda la petite sœur.

- Bien-sûr ! Si les Maraudeurs et maman sont sur le coup, tout ne peux que s'arranger ! dit-il en rigolant.

- Harry… tu mens aussi mal que papa, lui dit-elle.

- Tout c'est presque arranger mais il n'y a pas trop de soucis à se faire.

- Tu voulais me dire quoi ?

- Rien, je voulais juste te dire bonjour.

- Tu es sûre que tu va bien.

- Oui. Vous parliez de quoi ?

- Discussion de fille, lui dit Ginny, petit-ami, habit, derrière nouvelle de WitchMag.

- Euh… je crois que je vais vous laisser…

- A tous à l'heure, répondirent-elles en riant.

Harry referma la porte en souriant, il était tenté de faire un tour dans toute la maison, pour que des souvenirs – à défaut d'en avoir – se créés.  Il toqua à la porte de la chambre d'ami qu'occupait Ginny et Hermione. Personne ne répondit alors il entra. Les murs étaient beige et le sol était de parquet foncé. La chambre était très bien entretenue et il y avait deux lits de bois. Un grand bureau sur le quel plusieurs livres et rouleau de parchemin était posé, et une grande bibliothèque familiale. Il referma la porte après avoir graver le plus de détail dans son cerveau.  Il toqua à la chambre de Ron, encore une fois, personne ne répondit. Il entra. Cette chambre contrastait avec celle des filles par son manque d'ordre ou plutôt, son désordre ordré, selon Ron. Un lit en hauteur sous le quel il y avait un grand bureau était contre le mur. Des joueurs de Quidditch étaient aussi afficher. Des habits jonchaient le sol de manière aléatoire et dans un coin, ses affaires d'écoles étaient entassées à la hâte. Harry referma la porte après avoir fait le même rituel. Il s'apprêta à mon à l'étage puis après hésitation, il fini par monté.

La première chambre qu'il ouvrit fut celle de ses parents. Il y entra regardant attentivement chaque détail. Sur la commode, bon nombre de photos était disposée. Il en connaissait quelque-unes.  Il y avait celle du mariage de ses parents, entouré de Remus et Sirius, il y en avait une ou il n'avait pas plus d'un an, dans les bras de sa mère que son père tenait par la taille. Il y en avait une autres ou il souriait, il devait être âgé de six ans et donnais la main à une Mélodie qui n'avait pas plus de deux ans. Plusieurs photos des Maraudeurs à Poudlard étaient là. Il y en avait une ou James resplendissait, sous le Grand Chêne, donnant la main à Lily. Il regarda attentivement chaque photo de la pièce et la quitta avant d'entrer dans celle qui appartenait à Remus et Amélia. Celle-ci était extrêmes rangée, à l'image de la Serdaigle qu'était la jeune femme. Il ne s'attarda pourtant que peu de temps dans cette chambre puis entra dans celle de Sirius. La pièce était étonnement rangée. A droite de la pièce il y avait un grand lit ainsi que l'armoire à habit. La pièce était séparée en deux par un paravent et de l'autre côté de celui-ci,  c'était plus un bureau qu'une chambre. Son parrain était sans-doute là seule personne de la maison à pouvoir rivalisé avec Ron côté désordre. Un grand bureau de bois massif était posé sous la fenêtre. Une grande carte de l'Angleterre était accrochée au mûr avec des punaise accrochée ainsi que certains points qui se déplaçaient seuls. Des ouvrage étaient entassé aléatoirement sur l'étagère et des parchemin et journaux jonchaient le sol et son bureau. Il n'y avait qu'un endroit sur le bureau que les papier n'encombrait pas. Là où étaient disposés plusieurs cadre. Les photo représentaient les maraudeurs – mais, comme chez son père, aucune ne contenait Peter – Lily, Harry et Mélodie. Une représentait Sirius, souriant avec celle que Harry prit pour Nadia, sa dernière conquête. Il regarda longuement la chambre de son parrain puis fini par retourner dans la sienne qu'il ferma à clé. Il ne voulais pas réfléchir mais ne voyais pas comment y réchapper. De plus, l'attitude qu'il venait d'avoir ne faisait que certifier ses craintes.

« N'oublie pas que leur but et de te faire revenir là-bas. », c'était se que lui avait dit Sirius. Mais si se monde avait vraiment été créé parles détraqueur, les personnes y vivant n'auraient pas de volonté propre, ne chercheraient pas à le faire venir. Un univers alternatif ? se serait trop simple. Comment était-il possible que le monde dans le quel il était actuellement soit le vrai puisqu'il était se dont il avait toujours rêver. Il n'avait jamais rêvé d'une vie parfaite, il avait juste rêver d'une famille. De sa famille.

Il connaissait la vérité. Elle lui faisait peur mais l'acceptait. Pourtant il ne voulait pas retourner un monde de souffrance alors qu'il avait enfin ce qu'il recherchait. Pouvait-il abandonné ses amis ? Sirius l'avait bien abandonné, lui. Il se raidit et les paroles de Remus lui revinrent en tête. « Tu n'a pas le droit de nous abandonné en prétextant que Sirius  t'a abandonné. Tu sais que c'est faux. Non-seulement il ne t'a pas abandonné mais il ne l'a pas voulu. » Mais comment pouvait-il ne serais-ce qu'envisager un retour dans un monde de malheur alors qu'il avait à ce moment même tous se qu'il désirait ? Il savait qu'il ne pourrait pas vivre tranquillement alors que ses amis, ceux qui existaient vraiment, étaient en danger. Était-ce égoïste de vouloir rester là-bas ? N'était-ce pas égoïste de leur part de lui demander de revenir là où il avait tout perdu ? Mais jamais il ne pourrait vivre sachant la vérité.

Harry saisit sa baguette et la regarda fixement. Le sortilège d'oubliette était si simple. Il le lancerait sur les autre puis sur lui. Ainsi, il pourrait avoir cette vie à la quelle il aspirait tant, cette vie à la quelle il avait droit. « Je n'arrive pas à croire que tu nous aie tous abandonné pour un monde qui n'existe pas ! » Ce que lui avait dit son meilleur ami lui revint en plein fouet. Pourtant il prévoyait de le faire, d'oublier se monde de malheur. Se monde qui se détruisait depuis trop longtemps déjà. Se monde qui le détruisait. Se monde qui détruisait tous ceux à qui il tenait.

S'il restai ici, toutes ses personnes qui comptaient tant pour lui mourraient. Peut-être arriverait-il à empêcher pareil chose en revenant ? Mais jusqu'à présent, c'était lui qui avait été la cause de leur mort. La cause de la mort de ses parents, de la mort de Sirius. Il ne voulait pas repenser à ça, il ne voulait pas croire en la mort de ceux qui étaient si important pour lui. Pourtant ils l'étaient, mort. Et les autres mourraient encore plus certainement s'il ne faisait rien que s'il tentait quoi que se soit. Mais il ne vouais pas. Il ne pouvait pas. Il n'en avait plus la force. Il pointa sa baguette sur lui-même pour se jeter le sort d'oubliette puis la laissa tombé à terre. Il n'en était pas capable. Il le fallait pourtant. Après, il serait libérer. Il ne se souviendrait de rien. Après, tout irait bien. Il serait entouré. Il y aurait sa mère et son père qui avait aussi une belle petite fille du nom de Mélodie, Sirius, Remus marier à Amélia qui attendait un enfant, Ron et Hermione, Ginny aussi. Tous. Ils seraient tous uni et heureux à la Licorne. Heureux à jamais, les voix le laisseraient tranquilles. Il aurait oublier.

« Harry, tu me manques. Reviens, on a besoin de toi. » dit la voix d'Hermione.

Il ne voulais plus faire attention au voix. Pourquoi le harcelait-elle ? Ne comprenait-elle pas qu'il voulait être heureux ?

« Harry, »commença Ron, « il faut que tu nous revienne, vieux »

Harry mit sa tête sous un des coussins de son lit. Il ne voulait plus rien entendre, mes les voix continuait malgré tout.

« On a tous besoin de toi, Harry » lui dit Lupin.

Il commença à crier, pourquoi sa propre voix couvre les autres. Couvre ce qu'il ne voulait pas entendre. Ne prenant plus aucune attention au fait qu'il pouvait alerté ceux qui étaient rester ici.

« Il faut que tu te réveille » supplia Ginny.

Le Survivant n'en pouvait plus. Malgré tout ses efforts, les voix persistaient à se faire entendre. Il prit une chaise puis la lança violemment contre le mur pour extirpé sa rage. Le meuble se brisa.

« Reviens, Harry. » implora Hermione.

Mais il ne voulais pas revenir! Il ne voulait pas se souvenir ! Il voulait que ce monde soit le vrai ! Il voulais être en paix, comme tout adolescent de son âge !

« Je t'en supplie, ne nous laisse pas tomber » continua Ron.

- FOUTEZ-MOI LA PAIX !!! VOUS ÊTES FICITF !! VOUS N'EXISTER PAS !! LAISSEZ-MOI TRANQUILLE !!!

Il cria jusqu'à ne plus avoir de voix mais rien n'y faisait. Toutes les voix parlait en même temps, se mélangeant. Elles étaient toutes suppliantes, implorantes, tristes et faibles. Mais c'était des voix que Harry ne voulais pas entendre, qu'il ne voulait plus jamais entendre. Des voix qu'il préférait à jamais oublier.

Il sentit ses jambes trop faible pour supporter son poids, tout entour de lui commençait à tourner alors qu'il criait désespérément pour échapper au Malheur.

- NON ! LAISSEZ-MOI ! JE NE VEUX PAS !! NON !!!

Les image se confondait et devenait floue. Son corps tomba sur le sol dans un bruit sourd, se cognant la tête. Le décore de sa chambre disparaissait doucement alors qu'il continuait à s'époumoner en disant qu'il ne voulait pas, que se monde était le vrai, qu'il ne voulait pas…

À suivre…

J'espère que cette partie vous à plus. Que vous n'aimiez pas ou que appréciez, laissez-moi un review, s'il vous plaît.