Auteur : Tatiana Black

Livre : Harry Potter

Titre: Réalité, rêve, illusion et désillusion…

Partie : 8 – Duels.

Genre : Mystery, Angst

Rating : PG – 13.

Spoiler : tome I à V

Disclaimer : Les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartiennent pas et sont la propriété exclusive de J.K. Rowling. Je ne tire évidement aucun bénéfice financier de mes publications.

Résumer Général : En plus de la prophétie, Harry a plus de pouvoir qu'il ne pensait… beaucoup plus… Il ne sait pas de quoi il est capable. Et la magie est liée aux émotions… ou le mènera la mort de la dernière personne qui le reliait à la vie ?

Note de l'auteur : Bonjour. Je sais, j'avais dit que mes fics viendrais plus régulièrement et rapidement mais ce n'est pas encore ça… (pourquoi ai-je l'impression de continuellement répéter les mêmes choses ??) Mais maintenant que les cours ont recommencer, j'aurais plus de régularité (du moins, je l'espère). Et de toute façon, je travailler mieux sous le stress… Bref, j'espère que cette partie vous plaira !!!

Remerciement à ma bêta-lectrice et amie, Sinwen qui a le grand courage (elle est à Gryffondor, contrairement à moi…) de corriger une bonne partie de mes fics !!!

Enjoy…

Réalité, rêve, illusions et désillusions…

Partie VIII – Duels.

Harry ouvrit lentement les yeux. Quelque chose était étrange. Différent. Il ne savait pourquoi il s'état réveiller. Ce parut être la première fois depuis plus deux mois – hormis les deux semaines passées à la Licorne – qu'il ne se réveillait pas en sueur, après avoir revu… ça gorge se noua à cette pensée. Mais étrangement, se matin, il se sentait bien. Il s'assit, s'adossant contre le mur froid de pierre. La pièce était encore noyée dans l'obscurité. Il regarda sur sa droite, Remus paraissait dormir paisiblement, bien qu'il n'arrive qu'à distinguer que faiblement les traits du lycanthrope dont le lit était à l'autre bout de la pièce.

Harry respirait calmement, il n'avait plus souvenir d'avoir été aussi paisible depuis sa quatrième année. Quelque chose dans l'air l'apaisait sans qu'il ne sache ce que c'était. Il ne savait pas ce qui l'avait réveiller non-plus. Il ne connaissait pas l'origine de se soudain bien-être mais su l'apprécier à sa juste valeur. Il avait l'impression qu'une présence bienfaisante habitait cette pièce. Un doux parfums paraissait avoir envahi la chambre qu'il occupait avec son Mentor. Il se sentit fatigué mais ne voulait pas céder. Il ne voulais pas endormir. De peur de revoir la scène du Ministère. C'était une peine qu'il préférait s'éviter. Il préférait profiter de cette nuit sans mauvais rêve.

Il fixait distraitement une fissure sur une des planche du plafond. Afin de ne pas s'endormir, il tenta d'occuper son esprit. Les sujets ne manquait pas… mais il se pencha sur la manière dont il tenterait de vaincre Lord Voldemort. Cette phrase paraissait dérisoire et laissait une expression amère sur son maigre visage. Comment pourrait-il le vaincre ? Il aurait pu y arriver ; il aurait eu une faible chance de victoire, presque inexistante, si il n'y aurais cette armée qui faisait barrage. Des Géants, des Détraqueurs, tant d'autres créatures dont il ne soupçonnait jusqu'à l'existence. Il plongea sa tête dans ses mains, signe de désespoir. Il se sentait si petit au milieu de tous ce qui l'entourait. Pourtant, il représentait à lui seul l'Éspoir du monde sorcier.

Il ne parvint pourtant pas à pousser ses réflexions plus loin. Son esprit s'embrumait. Cette douce odeur qui le calmait et le rassurait lui donnait l'impression qu'il pouvait dormir sans craindre la nuit et ses démons. Cette odeur était sucrée, sans être écœurante. Il ne parvenait à mettre ni un nom, ni un visage sur cette odeur, pourtant il savait l'avoir connu, autrefois.

Il paru alors entendre un murmure. Très léger et très doux. Comme une mélodie chantée tendrement. Cette voix était douce, rassurante, il avait l'impression qu'elle le protégerais. Cette pensée était pourtant idiote… une voix ne pouvait le protéger. Mais il ne pouvait s'empêcher de se sentire bien, bercer par ces sensation heureuses, cette odeur et ce son.

Il fini par sombrer dans les bras de Morphée…

Le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel alors que Harry se réveilla. Il ouvrit lentement les yeux, ayant de la peine à s'habituer à la carté qui régnait dans la pièce. Habituellement, il se levait à l'aurore et les rayons du soleil n'étaient pas encore assez fort pour le gêner. Comprenant ce que cela signifia, il se redressa d'un bon.

- Harry ? Est-ce que ça va ? s'inquiéta Remus, se levant du fauteuil qu'il occupait et posant la Gazette afin de se diriger vers le Survivant.

- Je… , Harry s'interrompis.

D'après la clarté de la pièce, il devait être passé onze heure du matin. Les événements pour le moins étranges de la veille au soir lui revinrent en tête. Il remarqua qu'il s'était réveiller calmement, les rayons du soleil réchauffant son visage. Que ce qu'il avant tant craint ne s'était pas produit. Il se rendit aussi conte qu'il était confortablement installer sous ses couverture alors que cela faisait depuis leur arrivée au Chaudron Baveur qu'il ne cherchait plus aucun confort avant de s'en dormir.

- Harry ? s'inquiéta Remus, remarquant l'air désemparer et interrogateur de celui qu'il protégerais au péril de sa vie.

- C'est… est-ce que c'est toi qui m'a recouvert ? demanda-t-il.

- Non. Tu était déjà sous tes couvertures, quand je me suis réveiller.

- Quel heure est-il ? s'empressa de demander le Survivant, en laissant tout juste le temps au lycanthrope de terminer sa phrase.

- Entre onze et quart et onze heure et demi, lui répondit calmement Remus, se demandant ce que cherchait à comprendre le jeune homme.

Harry secoua la tête, comme pour chassé toutes les questions qui le harcelait depuis son réveil. Il était presque midi ; ils n'avaient que trop traîner. Le Survivant se dirigea rapidement vers l'armoire pour y prendre un jeans, un T-shirt ainsi qu'une robe de sorcier mais avant qu'il n'ait eu le temps d'entrer dans la salle de bain, Remus l'interpella :

- Les entraînements ont été plus éprouvant, hier. Il est normale que tu aies eu besoin de récupérer.

Harry acquiesça vaguement de la tête. bien-sûr, le fait d'avoir perdu une matinée entière d'entraînement n'était pas pour lui plaire, et loin de là, mais quelque chose s'était passé le soir même, quelque chose que Harry ne parvenait pas à expliquer.

Il prit une douche rapide ; il leurs avait fait perdre bien assez de temps. Ils étaient en guerre – une guerre muette, pour l'instant, mais elle n'en était pas moins déclarée – et il était l'une des pièces maîtresse du destin. Cette position ne lui laissait nul loisir de faire la grâce matinée ou de s'interroger sur une odeur ou une voix. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de penser au réconfort qu'il avait ressentit, à la chaleur qui avait envahi son maigre corps, à tranquillité mais surtout à se sentiment de sécurité. Comme si rien n'aurait pu l'atteindre.

Harry sortit rapidement de la salle de bain, près pour de nouveaux entraînements, de nouveau combats. En le voyant prêt, Remus mit sa baguette dans sa poche mais au lieu de transplaner comme il l'aurai habituellement fait, il fixa Harry et chercha à rencontrer le regard du Survivant qui se dérobait.

- Qu'est-ce qui te tracasse, Harry ?

L'ancien élève de Poudlard paru surpris par la question du loup-garou. Il pensait bien qu'il avait agis un peu précipitamment ce matin, mais pas au point que Remus se rendent compte que quelque chose l'intriguait. Il allait répondre que tous allait bien, comme à son habitude, mais il se retint, cette-fois si. Il fuit son regard. Il lui dirait la vérité. Cette chose ferais sans-doute partie des rares sujets dont il pouvait en parlé avec Remus sans risquer de mettre son ami en danger. Deux ambres rencontrèrent deux émeraudes.

- Remus… as-tu entendu… des vois, ce soir ?

- Des voix ? répéta-t-il sans aucune moquerie dans la voix mais avec intérêt, comme l'avait espérer Harry.

- Plutôt, une voix. C'était plus n murmure en fait. Comme quelqu'un qui chantonnait.

- A quoi ressemblais cette voix ? demanda Remus, s'asseyant sur le bras d'un des fauteuil, visiblement très intéressé par ce que Harry lui disait.

- Euh…. Elle était douce et… apaisante. Très calme, aussi.

- Tu l'entendais comment ? Comme quelqu'un qui parle à tes côt ? Dans ta tête ?

- Je ne sais pas… c'était comme si le chant avait rempli toute la chambre en étant en même tant là, présent, mais en même tant très lointain. Mais il n'y avait pas que cette voix. Je sentais un parfum aussi.

- Un parfum ? Maintenant aussi, tu le sens ?

- Non. Je me suis rendu comte de l'odeur du parfum un peu avant d'entendre cette voix.

- Tu serais me dire comment était-ce parfum ?

- Il était très doux, me mettait en confiance et… tu crois que ça a un rapport avec l'autre monde ? Qu'ils veulent que je retourne là-bas.

- Harry…, commença Remus.

Le lycanthrope avait toujours un peu peur d'abordé des conversation concernant le monde idyllique que Harry s'était créer. Le Survivant l'avait bien noté mais n'aurais su lui en vouloir. Il n'aimait pas faire Harry se rappeler de se qu'il avait abandonné pour les sauver, et il n'aimait parlé de se que, Harry l'avait deviné, il aurait voulu connaître…

- Ce monde, reprit-il, n'a pas sa volonté propre… si tu as raison, c'est que tu te créer inconsciemment ses sensation pour t'indiquer comme bon chemin la voie qui te mènera à tes illusions.

L'ancien attrapeur de Gryffondor baissa la tête. Son Mentor avait raison, évidemment. Mais ça lui en coûtait beaucoup de l'admettre.

- A moins que ce ne soit aussi un peu de la réalité…, supposa évasivement Remus.

- Comment ça ?

- La chanson, comment allait-elle ?

- Quoi ?

- Tu te souvient sans-doute de l'air de cette chanson, non ?

Bien que n'ayant pas compris où est-ce que son ancien professeur voulais en venir, Harry s'exécuta , se concentrant sur ces si douces sensation qu'il avait ressentit le soir même.

Petit à petit, cette voix lui revenait en tête. Son ton, son calme, sa beauté… puis il se concentra sur la mélodie. Elle était si douce est si jolie. Harry pourrait l'écouter pendant des heures sans ne jamais s'en lasser. Elle paraissait apaiser son cœur, le guérire. Harry fit encore plus attention à ce que la voix chantait. Puis, petite à petit, il chantonna avec elle cette mélodie qui l'intriguait tant.

Au bout d'un moment relativement court, Remus sourit. Il reconnaissait cette aire. C'était la même mélodie. Il la connaissait pour l'avoir si souvent entendu pendant ces années qui avaient été les parmi les plus belles de sa vies. C'était la chanson. que chantait Lily à Harry pour qu'il s'endorme, quand celui-si avait un peu plus d'un an. Elle tenait le poupon dans ses bras en une étreinte typiquement maternelle et marchait doucement en rond, dans la chambre du bambin. Tout en marchant, elle le berçait lentement en un mouvement lent et doux de ses bras. Et elle chantait. Toujours le même air. C'était si beau que même James, Sirius et lui – quand ils étaient présent – se taisaient pour écouter. Et Harry finissait toujours par s'endormir paisiblement, atteignant le pays des songes.

Un sourire mélancolique aux lèvres, Remus releva son regard miel vers Harry et lui dit ce que représentait cette douce ritournelle. Le Survivant ne cru d'abord pas se qu'il entendait. Ce souvenir n'était donc pas un faux souvenir créé par la Licorne mais un souvenir qui lui tait revenu grâce à la Licorne. Il sourit. Jusqu'à ce jour, le seul souvenir qu'il avait de la voix de sa mère était ses suppliques déchirantes aux Seigneur des Ténèbres, alors qu'elle n'avait voulu que protéger son fils. A présent, il avait un souvenir heureux. Un souvenir pour lequel il valais la peine de se battre. Un souvenir qui, s'il parvenait à ses fins, rejoindrais bientôt la réalité qu'il contait retrouvé à la fin de la guerre où lorsque mourra l'Espoir.

- J'y pense, Harry, commença Remus, tirant le Survivent de ses pensées, tu as reçu du courrier.

Harry prit la lettre qui était posée sur le bureau. Il n'avait pas besoin de l'ouvrire pour savoir qui la lui avait envoyée et d'où elle venait. La seule personne à faire ceci était Hermione et il lui était plus que reconnaissant. Il s'apprêta à l'ouvrire puis la reposa, il aurait le temps de la lire plus tard. Il y avait des choses plus importante maintenant.

- Lis-là, lui intima son professeur, tu ne parviendra pas à te concentré, si tu te demande se qu'il y est écrit, argumenta-t-il, sachant que c'était le seul moyen pour que Harry se décide à le faire.

Le jeune homme pris la lettre et s'assit sur un des deux fauteuil de la pièce, alors que Remus reprenait place sur l'autre, attendant son protéger. Harry ouvrit précautionneusement la lettre, brisant le saut de cire rouge. Les lettres étaient propres et soignées et il n'eut pas besoin de regarder la signature pour voir que ce qu'il avait supposé était exacte : cette lettre venait de sa meilleure amie. Il entrepris de la lire :

Poudlard, le 3 juillet 1996.

Cher Harry,

Je t'avais promis de t'écrire pour te raconter les nouveautés à Poudlard : c'est ce que je fais, n'ayant pas reçu de réponses négatives.

Plusieurs choses sont nouvelles. Les option ; J'ai bien-sûr continuer l'Arithmentécie et les Runes Antiques mais j'ai aussi pris parmi mes options Duel, Duel Renforcé et DCFM Renforcé. Les DFCM sont devenus obligatoire et des cours supplémentaire (cours du soir, si tu préfère), ont été mis sur pied pour nous permettre d'être préparé le mieux possible à se qui risque d'arriver. Enfin, Dumbeldore met toutes les chances qu'il peut de notre côté. Ron a arrêté la divination (ce qui est une très bonne chose, si tu veux mon avis) mais à ce qu'il parais Trelawney n'a jamais prédit autant de mort de toute sa carrière !

En ce qui concerne le professeur de Défense Contre les Forces du Mal, c'est une professeur. Elle a l'air normale – autant que possible, vu que c'est Dumbeldore qui l'a engagé – et pas dangereuse – ce qui est plus louche… . C'est Elizabeth Hope. Elle s'est présentée comme ayant été Auror avant de postulé pour le poste de prof de DCFM. Comme « les candidats ne se bousculaient pas aux portes » et qu'elle était qualifiée, Dumbeldore l'a engagée. Elle a dit être « ravie de travailler pour Dumbeldore et plus pour cet incapable de Fudge ! ». a première vue, elle a l'aire bien. Elle est de « Sang-mêlée » sa mère est une sorcière et son père est… comme moi. On l'a vu plusieurs fois parlé avec le professeur McGonagall, se qui est bon signe. Mais, avec Ron, on va quand même se renseigné sur cette Miss. Hope dans les archives du Ministère, dès que possible.

Sur un ton un peu plus joyeux, je peux te dire que certaine chose ne change pas et ne changeront sans-doute jamais : Ron sur-protège Ginny qui a un nouveau petit-copain ; Colin Criver va en finir avec mes nerfs à force de « où est Harry ? » ; Peeves prend un malin plaisir à faire peur aux élèves, Rusard redouble en férocité et encore un tas de choses.

Entre ton absent et celle de Fred et George, le morale n'est pas au plus haut dans la tour… surtout que, à ce que j'ai cru comprendre, les élections pour l'équipe de Quidditch sont sur le point de commencer et ça s'annonce catastrophique ! Lee (c'est lui le nouveau Capitaine et il désespère de ne plus être avec les jumeaux) risque de pété un câble !

Je te laisse, il est tard et j'ai encore beaucoup de devoirs à faire.

Avec toute mon amitié, on pense très fort à toi,

Hermione.

PS : Ron te salue aussi (là, il fait ces leçons, il est occupé).

Harry reposa la lettre de son amie, un sourire aux lèvres. Bien-sûr, que Ron lui en veuille et lui face la tête l'attristait. Il ne croyais d'ailleurs pas une seconde au fait que Ron ne lui ait rien écrit à cause des devoirs. Par contre, il avait été fort surpris par le fait que Hermione Granger, dit miss-je-sais-tout, lui écrive une lettre avant même de faire ses propres devoirs. Il se demandait presque si ce n'était pas une blague de la jeune fille. Et qu'en plus, elle se soit renseignée sur la situation de l'équipe de Quidditch ! Bien-sûr, elle avait toujours assisté aux matchs pour l'encourager mais elle ne s'y était jamais vraiment intéressée

Il rangea la lettre dans le tiroir de sa table de nuit, avec la lettre précédente. Il enquêterais, lui aussi, sur cette miss. Hope. Bien qu'il n'y ait que peut de risque qu'elle soit dangereuse – vu qu'il n'était plus à Poudlard – mais il préférait ne pas faire courir, à ses camarades, un quelconque risque. Après tous, Dumbeldore avait le chic pour engagé des professeur de DCFM plus fous et dangereux les uns que les autres – sauf Lupin, bien-sûr, et Ombrage, qui lui avait été imposée.

Il secoua la tête pour chasser la nostalgie qu'il commençait à ressentir puis se leva et pris sa baguette, prêt pour translpaner.

- Les nouvelles sont bonnes ? demanda Lupin.

- Elles le sont. Dis-moi, Remus, tu ne connaîtrais pas une certaine Elizabeth Hope, par hasard ?

- Ce nom me dit rien, pourquoi ?

- C'est leur nouveau professeur de défense. C'était par simple curiosité.

- Tu ne devrais pas te faire du soucis. Je pense que Dumbeldore a fait son choix de manière très méticuleuse.

- Comme pour Rogue, j'imagine ? demanda ironiquement Harry.

Remus prit une bonne inspiration avant de s'apprêter à servir le même discoure à Harry mais celui-ci sortit de la chambre et s'engagea dans le couloir, rapidement suivit par Remus.

Le Survivant n'était vraiment pas fier de se qu'il faisait, de la réaction qu'il avait face à Remus. Il savait que lycanthrope n'avait pas tous à fait tord, concernant Rogue mais il savait aussi qu'il n'avait pas totalement raison. Et après tout ce que le maître des potions lui avait fait subire pendant ses cours, Harry trouvait sa réaction plus que justifiée. Mais plus encore, il ne pouvait s'empêcher de penser que si Rogue aurait agis différemment, l'année précédente, Sirius ne serait peut-être pas mort. Il se donna des baffes mentalement, il ne devait pas penser à ça.

Il se promit de ne plus jamais agir ainsi envers Remus. A cause de lui, le Lycanthrope avait du refuser un post à Poudlard. A cause de lui, Remus était aussi enfermer dans cette solitude alors qu'il avait été bien assez seul tout au long de sa vie. Mais plus que ça, il n'était pas le seul à souffrire, Remus aussi souffrait. Mais lui, contrairement à Harry, ne faisait part de ses peines au Survivant, il ne lui faisait pas porter le poids de son chagrin comme Harry le faisait. Et Harry n'était pas seul, malgré se qu'il croyait et disait, malgré la distance, Harry avait toujours le soutient de ses amis. Les lettres de Hermione le prouvaient. Il avait encore ses amis, la famille Weasley et bien-sûr Remus. Mais le loup-garou, lui, qu'avait-il ? Bien-sûr, il y avait l'Ordre. Mais tout l'Ordre était tellement insignifiant, comparer à l'amitié. Non, Remus était seul, bien plus que lui. Remus n'avait que lui, en fait. Que lui, Harry Potter, le Survivant. Il n'avait qu'un fardeau qui l'avait contraint à l'exil et qui, au lieu de lui venir en aide et partagé sa peine, lui soumettait sa propre peine. Non, cela ne se passerait plus comme ça. Harry en fit le serment. Et avec celui-ci, un autre. Celui de vaincre. Vaincre pour que Remus puisse enfin trouver le bonheur au quel il avait droit. Vaincre pour voir son Mentor et Protecteur sourire.

Ils sortirent de l'auberge et débouchèrent sur l'allée principale de la célèbre rue. Une grande excitation paraissait régné, quelque chose n'allait – de toute évidence – pas bien. Harry et Remus se frayèrent un chemin parmi la foule, les sorcier paraissait s'amasser autour de Gringotts, des Aurors transplantait et se dirigeait vers l'entrée de la banque.

- Qu'est ce qui se passe ? demanda Lupin à un homme âgé de la trentaine qui discutait avec un autre Auror.

- Ah, Lupin ! On a reçu un appel concernant une attaque de Mangemorts à Gringotts. Toute les entrées sont fermées, personne n'a pus transplaner. J'espère que tu amène de l'aide avec toi, parce qu'on aura besoin…

- Et les gobelins ?

- Aucun signes d'eux.

- Tu crois qu'ils auraient finalement rejoins Tu-Sais-Qui ?

- Je ne l'espère pas. Parce que de plus en plus de créature magiques ont l'air de grossir ses rangs et que ça ne me plait vraiment pas.

- Merci pour les infos, Oz.

- Pas de problème. Si tu peux nous aider, ce n'est pas de refus !

- Vous pouvez compter sur moi.

Harry était rester discret, il n'avait de loin pas envie qu'un – qui plus, un Auror – ne crie haut et fort la présence du Survivant en ces lieux. Il jeta un regard à Remus qui venait de saisir sa baguette afin d'entrer dans l'action avant de lui un glisser :

- J'y vais, je ne serais pas long.

Le Survivant transplana et se retrouva rapidement à l'intérieur de la banque. Il ne fut pas trop difficile de trouver l'endroit où agissait les malfaiteurs, il ressentait leur présence. Plus il s'approchait d'eux, plus sa cicatrice le brûlait. Habituellement, ce n'était pas une bonne nouvelle mais cette fois-ci, il en fut contant.

En moins de cinq minutes, il parvint à attraper un wagons qui menait à travers les nombreux labyrinthe du bâtiments. Par quelconque volonté ou une chance insolente, le wagon qu'il prit le conduit directement vers les Mangemorts. A sa plus grande surprise, ils étaient tous réunis dans son coffre et les gobelins paraissaient le leur avoir ouvert sans la moindre contestation. Harry savait ses créature très intelligentes, si elles avaient voulu fuir, il y serait parvenu. Ce qu'avait supposer celui que Remus avait appeler Oz s'averrait exacte : Les Gobelins avaient désormais rejoint le Seigneur des Ténèbres.

Par il ne savait quel folie, il s'avança à découvert. Il n'avait pas peur. Pas le moins du monde. Et, il le savait, seul Voldemort pouvait mettre fin à ses jours. Bien-sûr, ses sbires pouvaient lui faire mordre la poussière mais ils ne pouvaient l'éliminer.

Un sourire sardonique s'inscrivait sur ses lèvres alors qu'il arrivait à la hauteur des larbins du Mages Noir.

- Ce n'est pas très poli, ça… volé l'argent des autres.

La masse d'homme et de femmes en robes noires se retournèrent vivement au son d'une voix inconnue.

- Ne me dites quand-même pas que votre Maître à des problèmes financier…

- Tu payera ton insolence, jeune fous ! s'exclama une voix qu'il ne reconnu pas.

- Ce qui n'est pas gentil, c'est de ne pas m'avoir inviter, continua Harry sans prendre garde à la menace du sorcier, c'est vrai… je m'entraîne dur, moi !

- Si tu veux t'amuser Potter, commença une voix qui lui rappelait vaguement quelque chose, on va jouer avec toi…

A Suivre…

esquive un expelliarmus

Hihi, j'adore ça, je ne pourrais jamais m'en empêcher, c'est si jouissif que de couper les parties dans se genre de moment…. esquive un stupefix Oui, je suis sadique ! mais si vous me dites que vous ne l'aviez pas encore compris, je ne vous croirais pas !!!

Bref, les RAR, avant que vous ne finissiez par m'avoir !

G()st : C'est sûr que ce n'est pas vraiment une vie mais je ne crois pas que c'est ce qu'il cherche, maintenant. Histoire de renforcer la solitude, c'est sûr que ça n'aide pas mais il est persuader que c'est le meilleur moyen de protéger les autres, donc…. J'espère que cette part. t'a plue !

Kimazgork : Ouais, c'est sur que c'est plus pour débutant. Mais je ne pense vraiment pas que la puissance soit si positive (hormis les mages… simple curiosit : une histoire de jeu de rôle, ces mages ?)

U.$.Hermy : ça fait bizarre d'entendre le terme « mage blanc » parce que ce qui me sers de cerveau l'assimile automatiquement à Gandalf… C'est sur que pour le Patronus, c'est mieux de voir la vie en rose la berceuse risque d'ailleurs d'aider à sa. Et si ses souvenirs ne réveille que maintenant c'est justement parce qu'il voyait un peu trop en noir. Mais pour l'instant il voit vraiment pas qu'est-ce qu'il y a de bien dans sa vie, le p'tit riry. Retournez là-bas ? non, il a trop peur que Tu-Sais-Qui n'attaque l'école dans le but de l'avoir, lui, et que d'autres personne n'en paie les conséquences. J'espère que cette partie t'as plue ! Merci pour tes reviews !

Mavrok oeildragon : Il y a eu un rayon de lumière !!!!!! Ok, pas grand chose, mais venant de moi, c'est énorme… ahem, merci beaucoup pour tes compliments, ils me vont droit au cœur ! j'espère que cette fic continuera à te plaire !!!! (ah part 4a, non, je ne suis pas humaine, mais il faut ne le dire à personne… et en plus je suis Serpentard, ça explique bcp de choses)

Sinwen : WAGUEUH !!!!!!!!!! mais non que je ne menace plus ton Mumus, s'est juste pour te faire mousser et 4a marche à tout les coups et c'est tous normale que se soit typique des Serpents vu que c'est ma maison et que j'y suis particulièrement bien. Tu peux le faire tomber amoureux de qui tu veux, l'autre prétentieux suffisant, arrogant, crétin, idiot, puéril, stupide… tu en veux encore d'autre ? Bref, merci beaucoup !

Solar : Merci , j'espère que tu continuera à l'appréciez !

Moonytoon : merci beaucoup !!! tes reviews m'ont vraiment fait plaisir ! j'espère que cette fic continuera à te plaire ainsi. Ce qui est sur, c'est que ça continuera à être y sombre… qui est-ce que ça surprend ???? hum… bref merci pour tout ! (je répondrais plus précisément à tes reviews par mail séparer)

J'espère que ça vous a plus : le prochain chap sera plus long et il y aura de l'action !!!!

IMPERO : ENVOYEZ-MOI DES REVIEWS !!!

PS : eh oui, les auteur s'abaisse vraiment parfois…