Auteur : Cassiopée

Livre : Harry Potter

Titre: Réalité, rêve, illusion et désillusion.

Partie : 15 – Les ténèbres appellent aux ténèbres.

Genre : Mystery, Angst

Rating : PG – 13.

Spoiler : Tomes I à V

Disclaimer : Les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartiennent pas et sont la propriété de J.K. Rowling. Je ne tire évidement aucun bénéfice financier de mes écrits.

Résumer Général : En plus de la prophétie, Harry a plus de pouvoir qu'il ne pensait… beaucoup plus… Il ne sait pas de quoi il est capable. Et la magie est liée aux émotions… ou le mènera la mort de la dernière personne qui le reliait à la vie ?

Résumé du chapitre précédent : Harry sait à présent lancé l'Avada. Remus est mort (c'était annoncé dans le résumer général depuis le début, je viens de m'en rendre compte. Ok, au début, c'était pas lui mais... enfin voilà... -.-'), ayant succomber aux efforts fait pour aidé Harry. Harry est face à Voldemort, le combat a commencé. Ron et Hermione savent, grâce au pendantif enchanté par Hermione, que le combat a commencé. Ils le rejoignent avec Fumseck et l'épée de Goldric Gryffondore. Les professeurs et préfets vont se réunir, Poudlard connaîtra aussi une bataille. Il ne sera pas le seul...

Note de l'auteur : Voici le dernier chapitre. Il sera plus long que les précédents et que se que je pensait et sera plutôt intense... Un épilogue terminera réellement cette fic. Merci de m'avoire encouragée tout du long, et j'espère que vous apprécierez la suite et fin de la fic autantque possible.

Je tiens avant tout à m'excuser pour le retard et les mois d'attente. Mea culpa! j'espère que vous me pardonnerez :'( je promets de faire tout ce que je peux pour que l'épilogue arrive plus rapidement ! avant nouvel an, si tout va bien :)

Partie XV – Les Ténèbres appellent aux Ténèbres

Les ruelles du Chemin de Travers s'obscurcirent soudainement. De lourds nuages cachèrent les faibles rayons matinaux du soleil. Des nuages qui ne prédissaient rien de bon et n'avaient rien de naturel. Les sorciers n'ayant pas encore fuit la capitale britanique levèrent leurs yeux au ciel et, déjà, ils comprirent. Un vent des plus froid souffla et tous sortirent leur baguette. La guerre commençait réellement. Ce que tout le monde craignait et attendait allait débuter. Des silhouettes encapuchonnées apparurent dans les ruelles. Un rayons vert fusa. C'était une première victime. Un innocent. Un inconnu pour tant, une perte cruelle pour d'autre. Un nom de plus sur une liste. Loin d'en être le dernier. Le cahier se remplirais de nom écrit avec le sang d'innocent. L'histoire se dessinait et tous craignaient. La Marque des Ténèbres apparut dans le ciel. Des cris s'élevèrent, de frayeur. Trop de sorciers avaient déjà connu ce moment, celui où l'on ne peut que prier que l'être assassiné ne sois pas un ami. Cette marque était des plus amer mais – aussi paradoxale que ce soit – porteuse d'espoir. Peut-être était-ce la dernière fois qu'elle souillerait le ciel. Que les morts ne seraient pas vains. Le combat s'engagea. Tout les sorciers présents y prenaient part et qu'importait qu'ils soient de familles sorcière ou moldue, ils se devaient de se battre pour leurs idéaux. Pourtant, sur leur visage, ne se lisait plus beaucoup d'espoire, ou peut-être illusoire, fou. Celui qu'ils avaient contés à leurs enfants avant que ceux-ci ne s'endorment, pour qu'ils puissent encore sourire à l'idée d'un lendemain. La plus part d'entre eux n'étaient pas entraînés à pareille situation, ils le savaient mais ne se défileraient pas. Ils avaient vécu et voyaient enfin ce jour se lever, ils ne vivraient peut-être pas pour voir la guerre s'achever mais ils y prarticipaient. Les mangemorts étaient bien plus nombreux, imposants, impressionnants. Grands dans leur robe sombre, leur visage sournoisement caché par un masque blanc, baguette à la main, un sort Impardonable déjà sur les lèvres. Sans-doute perdraient-ils, alors ils regardaient le ciel, leur vue flouée par des larmes retenues. Les chances que cette guerre finisse étaient minces, celles qu'ils y survivent l'étaient encore plus. Pourtant, ils se battraient, et s'étaient la seule chose dont ils étaient sûrs. Ils se battraient. Qu'importe le prix. Ceux qui auraient pu fuir l'avaient déjà fait.

Au même instant, le ciel subit le même changement au dessus du château de Poudlard. Les élèves et professeurs qui s'étaient réunis dans la grande salle virent se changement s'opérer jusque sur le plafon magique. Ils savaient que ce présage était des plus mauvais et tous retenaient leur souffle. Les cinquième, sixième et septième années y étaient réunis ainsi que les professeurs et le personnel. Poudlard reposait sur leurs épaules. Déjà la peur les paralysaient mais ce n'était que paratager, ils le savaient. Ils allaient devoir faire les preuves de ce qu'ils avaient appris. Le temps n'étaient pas venu, ils avaient encore beaucoup à apprendre, beaucoup d'expériance à acquerir mais le choix ne leur étaient pas offert... ou, au contraire, choix il y avait: celui de leur camp. Les maisons ne devaient avoir plus aucunes importance, tous devait s'unir car là résidrait leur force. Le Choipeau avait donner ce conseil une année au paravent, les professeurs ne cessaient de le répéter... pourquoi n'avaient-ils pas écouté? Pourquoi s'étaient-ils créé de nouveau ennemis? Certains se battraient contre leur propre camarades. Attaqueaient des étuiants de leur âge, de sa maison. Ils le savaient, ils l'avaient longtemps su mais ils voulaient encore fermé les yeux, se mentir, pour ces dernières minutes, croire que tout n'était pas perdu. Se permettre d'esperer encore. Ces quelques dernières secondes d'innocence valaient tout l'or des mondes.

Plus que des Mangemorts, des Géants et des Détraqueurs débarquèrent dans la célèbre rue sorcière. Des rangs se formèrent. Les sorciers présent tinrent bons. Ils reculèrent peut-être d'un pas mais ils restèrent prêt à se battre. Homme ou femme, jeune ou vieux, nés de Moldu, Sang-Mêlé ou Sang-Pûr, peu importait. Tous ceux qui voulait encore croire que cette guère pouvait être gagnée tenait bon. Que Vous-Savez-Qui pouvait tombé. Que Harry Potter les sauveraient. Ce seul nom était sur toute les lèvres. Où était-il? Ne savait-il donc pas? Ils n'avaient aucune des réponses mais devinaient que lui aussi se battait et que demain, le soleil brillerait à nouveau.

Un silence de mort régnait dans la grande salle. Les élèves se serraient les uns aux autres dans l'espoir de trouver là un quelconque réconfort mais déjà deux groupes se formaient et le combats menaçait de débuter avant même qu'il y aie une intervention extérieure. Et s'il y avait plus de Serpentards qui ne paraissaient pas prompt à sauver l'école, de toutes maisons, des élèves s'était détourner du droit chemin. Les professeurs regardaient impuissant leurs élèves faire leur choix. Bien qu'une grande majorité soit prête à défendre Poudlard, chaque élève ayant fait le choix contraire était un élève déjà perdu. Tous restaient pourtant aux centre de la salle, regardant les autres avec méfiance, un léger faussé les séparant. Personne ne parlait ni ne chuchotait, les pierres de Poudlard n'avait jamais paru si froide qu'en ce jour.

Dumbledore s'éclercit la gorge. Il savait que peu pouvait être dit mais que des mots devaient être prononcé. Il savait plus que quiconque que des mots pourvaient changer le cour des choses.

« Chers élèves et professeurs, l'heure est grave, vous le savez. Je ne vous dirais pas ce qui nous attend, car je ne peut le deviner. Je ne vous dirais pas de ne pas avoir peur, car elle une faiblesse humaine et que personne n'y échappe, pas même moi. Mais je vous demanderait de penser à Poudlard. A ce que cet établissement vous a apporté (tentez de ne pas trop penser aux heures de colles). De penser à ceux que vous aimez. Et de vous battre pour. Il y a un choix à faire. Je ne vous le cache pas. Nul ne vous forcera. A l'interieur de ces murs, vous êtes encore au moins sur de ça. Et si jusqu'à maintenant vous étiez libre, sachez que j'aurais préféré que ceci continue. »

Maugrey Fol-Oeuil entra alors dans la Salle, tous se tournèrent. Le vieil homme était encore plus grave que de coutume. Il ne prêta aucune attention aux élèves et, se plaçant devant le directeur, il dit d'une voix très officielle:

« Les premières défenses ont été brisées. Ils ne tarderont pas à entrer. L'Ordre est déjà dans le parc. Nous les retiendrons tant que nous le pourrons et feront notre possible pour qu'ils n'entrent pas dans Poudlard. »

Alastor marqua une pause et respira profondemment. Les élèves parlaient entre eux, l'heure approchait et tous la craignait. Puis l'Auror reprit, mais d'une voix plus calme et triste. aussi:

« ls sont nombreux, Albus. Pré-au-lard est aussi attaqué. J'ai envoyez un message aux ministère. Ils feront ce qu'ils pourront. Mais... ils ne peuvent pas grand chose. Voldemort a réunit bien plus d'allier que nous le pensions. »

« Je sais. Je serais des vôtres. Hagrid, Tonks, Minerva! Restez ici, il nous faut une deuxième resistance et des guides pour nos jeunes espoirs. »

« Où est le petit? » demanda discrètement Maugrey à Dumbledore alors qu'ils se dirigeaient d'un pas pressé vers le parc.

« J'ai bien peur que son combat n'aie déjà commencer et qu'il soit plus ardu encore que le nôtre. »

« Il y arrivera? »

« J'ai en lui une confiance absolue. Tout comme en Remus Lupin. Je sais qu'il a fait tout ce qu'il pouvait. Il l'a épauler tout ce temps, et sans-doute l'aide-t-il maintenant encore... »

Pré-au-Lard connaissait le même sort que le Chemin de Travers et les sorciers, plus nombreux, réagirent de la même façons. Mangemorts et Détraqueurs obstruaient chaque rue du village, ils paraissaient toujours plus nombreux et les soriciers étaient piégés. Un choix leur restait ouvert: resister ou servir. Peu sédaient mais chaque sorcier passant de l'autre côté était une âme perdue. Tout le monde sorcier britanique tremblait devant le combat faisant rage. Ils savaient que ce combat détermineraient le vaincqueur de cette guerre, ils savaient aussi que les pertes seraient lourdes. Mais surtout, que leur chance étaient faibles. La Marque des Ténèbres flottaient à présent aussi sur Pré-au-Lard.

Bientôt, Poudlard connaîtrait le même sort. Les sbires du Seigneur Ténèbreux trouveraient le moyens de pénètrer dans l'enceinte du collège, ils avaient déjà commencé et s'afferaient autour de l'enceinte. Depuis le parc, ils n'étaient que de lointaine ombres mouvantes. L'Ordre du Phoenix se tenait près, dans le parc du château afin d'empêcher,aussi longtemps qu'ils le pourraient, quiconque d'entrer à l'intérieur de l'école. Même le peuple de l'eau paraissait être dispos à les aider. Une aide précieuse mais si pauvre car les Mangemorts avaient une arme qu'eux ne possédait pas... la cruauté. Les professeurs dans le Grand Hall, près à aider les élèves, les épauler une fois encore. Les élèves depuis la quatrième année dans la Grande Salle. Les plus jeunes dans les passages secrets souterrains. Bien qu'ignorant tous ce qui se passait, le silence leurs étaient insupportable.

« On est aussi de ce collège! On a le droit de le défendre comme les autres! » Dit un troisième année

« Si Dumbledore nous a ordonnez de rester là, ce n'est pas pour rien », répliqua un autre.

« Il auront besoin de nous, quoi qu'ils en disent, on est jamais de trop pour se battre », objecta une deuxième année.

« Aux premiers bruits de combat, on y va. Si non, on se fera renvoyez nous caché », conclu un jeune serdaigle.

Harry Potter se tenait seul face à Lord Voldemort, ne se doutant pas de tout ce qui se passait si près de lui. Il tenait fermement sa baguette en main, un filet de sang coulait déjà sur son bras mais il ne lâchait pas son ennemi du regard. Ne le laisser faire aucun mouvement sans qu'il s'en aperçoive. Il était calme, bien plus qu'il aurait penser l'être. Il savait qu'il allait peut-être mourire. Mais il savait que s'il ne mourrait pas, pire pouvait l'attendre. Il restait pourtant serein car la seule chose dont il était sûr était qu'il emporterait le Mage Noir avec lui. Et, au fond de son être, il voyait en la mort un réconfort, un autre moyen de rejoindre la Licorne...

Des Aurors arrivèrent au Chemin de Travers et à Pré-au-Lard pour prêter main forte aux sorciers se défendant déjà. Jamais ils n'auraient penser que Celui Dont Le Nom Ne Doit Pas Être Prononcé avait rallié tant de sorcier à sa cause. Bien-sûr, nombre d'entre eux avait été menacé des façons les plus ignobles que l'on puisse concevoir mais il n'en était pas moins qu'ils se battaient à présent pour lui. Qu'ils étaient eux aussi dangereux et donc des ennemis de plus à battre, qu'importait les raisons ou la manière dont ils s'étaient retrouver du côté des Ténèbres. Si tous se sentirent rassurer à l'arrivée des Auror, leurs désaroit alla crescendo. Ils n'étaient pas assez nombreux, même avec le Ministère, ils avait le désaventage du nombre, et à celui-ci, ajouter un désaventage encore plus important: eux, ne tuait pas. Alors s'était le coeur lourd qu'il continuait à se battre. Se battre à la façons de ceux qui n'y croie plus. Se battre pour l'image et l'honneur, non plus pour un futur meilleur.

Un bruit assourdissant retenti et paru faire tremblé les murs de tout Poudlard. La dernière défence venait de tomber. Ils avaient pourtant tous cru en l'invunérabilité de ses murails de pierres et ses sorts. Maintenant, ils étaient devant les faits. Poudlard pouvait tombé, s'ils ne faisaient rien. Ils se battraient donc tous.

« Que tous les élèves sortes leurs baguettes! » Ordona Tonks, « renvoyez-les pleurer dans la robe de Vous-Savez-Qui! On va leur faire mordre la poussière », finit-elle plus pour elle-même que pour les autres.

L'Ordre attendait, prêt à agir au moindre signale. Quand le bruit se fit entendre, le professeur Rogue afficha un léger sourire en coin que personne ne parut percevoir. Il fut le premier à lever sa baguette. Le plus gros des mangermorts était concentrer autour du collège et ils commençaient lentement à avencer en direction de l'école de magie. Les Membres de l'Ordre de Phoenix serrèrent leur baguette avec plus de force.

« Ayez une chose en tête, ce jour est la fin de la guerre », annonça Maugrey, « battez-vous comme jamais! »

« En l'honneur de ceux qui, déjà, ont perit pour cette cause, mais avant tout, pour ceux qui lui survivront », acheva Dumbledore.

Les silouhettes n'étaient plus que de vagues ombres. Elle se dessinaient à présent bien dans l'obsurité. Le contour de leur cape noire, leur masque blanc. Leurs mains nues tenant cette arme, ce morceau de bois... Mais l'Ordre, plus que tout sorciers, tiendrait bon. Ils devaient tout faire pour preservé les élèves, l'avenir du monde magique.

La bataille était déjà férocemment engagée dans les rues sorcières. Il paraissait faire nuit alors que ce n'était que le matin d'un jour qui s'annonçait très long et donc beaucoup ne verraient jamais la fin. Les nuages étaient noires et leurs éclaires verts paraissaient faire échos aux Sortilèges de Mort que les Mangemorts lançaient. La ruelle n'était éclairée que par des rayons magique de diverse couleur fusant en tous sens, tantôt atteignant sa cible, tantôt la manquant, tantôt en atteignant une autre. Les défences que formaient les Aurors paraissaient dérisoires. Ils étaient nombreux, mais face à l'ennemi, ils n'étaient pas plus efficaces que des pentains de bois. Aucun plan n'avait encore été décidé, l'état d'alerte était générale. Des Aurors n'étaient pas encore intervenus, tentant de trouver la solution miracle qui les sauveraient du chaos mais le temps passait et la situation ne s'amélioraient guère. Les sorciers civiles déjà présents n'étaient que trop peu entraîner pour résister; pousser par leur unique rage de vivre et de voir vivre les siens, ce n'était pas assez pour gagner, mais c'était cependant assez pour retarder la victoire ennemie. L'espoir se faisait de moins en moins persistant, nombreux d'entre étaient déjà épuiser tant mentallement que physiquement mais continuait de se relever. Et dans toute les pensées, un nom: Harry Potter. Une promesse d'un salut proche.

Hermione et Ron apparurent dans un tourbillon rouge et or. En voyant leur meilleurs ami si droit devant le sorcier le plus craint, ils ne purent qu'être admiratif mais ils ne furent pas dupes. Quelque chose se tramait dans la tête de l'ex-gryffondor, s'il le reconnaissait à peine, son expression n'y était pas étrangère. Ils ne pouvaient deviner ce que Celui Qui Avait Survécu prévoyait de faire. Avait-il seulement un plan? Et pourquoi tout s'était-il déclancher si rapidement? Ils s'approchèrent un peu. Un des deux sorciers devaient les avoirs sentit ou ne serais-ce qu'entendu mais aucun n'esquissa un geste qui pourrait être sa perte. Ou peut-être était-ils tellement prit dans le duel que rien ne les déconcentrait. La fin était là et le combat décisif se déroulait sous leurs yeux impuissant.

Durant tant de semaines, ils n'avaient rien vu. Ils avaient naïvement cru en la paix de Poudlard; bercés par les songes d'un futur sans Lord. Et maintenant, devant leur yeux, toute une vérité qu'ils avaient fuit. Et Harry. Leurs ami, ou celui qui fut tel, inreconnaissable. Il paraissait avoir grandit, être plus muscler mais en un sens plus maigre, les joue creuse. Il paraissait surtout vieillit et déjà marquer par les combats. Des combats dont ils n'avaient pas eu idée. Mais ces yeux... ce regard qu'ils pouvaient à peine deviner et donc ils auraient peure de devoir en affronté la profondeur. Ce vert émeraude si vif, ce voile qui le recouvrait. Qui protégeait son âme contre le Seigneure, ils l'avaient compris, mais quelle âme lui resterait-il à proteger, ensuite? Ils ne purent aussi que craindre pour lui. Hermione saisit le bras de Ron et le serra, le rouquin la regarda, et il ne vit que de la peur dans son regard qui était miroire du sien. Il sera fort l'épée puis regarda Harry. Il ne savait comment lui donner l'arme sans que Voldemort ne la prenne. Sans qu'il ne se déconcentre et meurt. Comment le mettre au courant ne serait-ce que de leur présence? Que ferait-il?

« Il faut la lui donner », dit la voie tremblante d'Hermione

« Je sais, mais dis-le si tu as une idée...? » chuchotat-il

« Ils faut que l'un de nous empêche Tu-Sais-Qui d'agire, que l'autre donne l'épée à Harry. »

« Empêcher Tu-Sai...? »

Il n'eût pas le temps de finire sa phrase, la peur avait laissé place au courage et déjà Hermione s'avençait d'un pas décidé sans que les deux duéliste ne s'en aperçoivent. Ils se jugeaient, s'évaluaient, attendant patiement une faille qui mette l'adversaire en périle, une intatention qui laisserait deviner la moindre de ses projections. Ron regarda l'épée, et, priant pour qu'ils ne commettent pas là une erreure, rejoint Hermione. Il lui tendit l'épée puis lui sourit brievement. Avant que quelque paroles ne puisse être échangée, il se précipita entre son ami et Voldemort. Sans une seconde dhésitation, Hermione couru vers le Survivant, lui tendant l'arme qui les sauveraient.

« HARRY! » cria la jeune fille.

Afin de faire perdre toute concentration au mage et de donner, à son ami, la force qui lui manquerait, lui rappeler qu'ils seraient là. Qu'ils l'étaient. Envers et contre tout.

Graup et quelques géants arrivèrent dans le Chemin de Travers, se dirigeant sur leurs semblable. Un nouveau combat sanglant s'engagea. Et de toutes races, des êtres se battaient. Les soriciers crurent d'abord à une nouvelle vague avant de comprendre que de nouveaux alliés innespéré leurs venait en aide. Et se regain d'énérgie si soudain, redoublant leur férocité s'épuisait déjà à peine commencer. La bataille durait depuis torp longtemps déjà. La rue s'était transformée en un théatre d'horreure. Partout des gens criaient, pleuraient, mouraient, tuaient. Il suffisait d'une seconde d'inatention pour que l'un meurt, des geste pas assez vif pour que l'autre succombe à son tour. Les Mangemorts prenaient le dessus. Certes, ils subissaient de nombreuses pertes mais ils avaient préparé ce jour depuis longtemps déjà et ils ne doutaient pas de l'issue du combat. De plus, les goblains s'étant rangé de leur côtés offraient une aide non négligeable, offrant Gringotts comme Quartier Générale, innébrenlable et au coeur même du combat.

Des flemmes rouges se répandirent soudainement dans le ciels, faisant réponses aux éclaires verts des noirs nuages. L'Ordre répondait à temps aux Mangemorts. Bill Weasley arriva sur le dos d'un majestueux Norvégien à Crète qui n'était autre que Norbert. Derrière lui, d'autres dragon monté par les plus grands dresseurs arrivaient. Ces éclaires aux couleurs Gryffondor ravivèrent encore les combatants las et si des cris retentirent parmis les sorciers, bientôt il se transformèrent en cris d'espoire. Si des géants et des dragons les aidaient, si une coalision avait pu se créer, tout n'était pas perdu. La peure se faisait à présent aussi sentire chez les Mangemorts. Le vent tournait et les flemmes rouge et or paraissait masqué les éclaire vert et ils virent là le signe de la victoire qu'ils avaient tant attendu. Et une fois de plus, ils y crurent.

Dans un geste vif et peut-être même sans s'être rendu compte de ce qui se passait, Harry saisit l'épée. Il y jetta un bref coup d'oeil pour y reconnaître l'arme de Goldric Gryffondore. Il releva la tête et vit devant lui, Ron, en face de Voldemort dont le visage exprimait une sorte de réjouissance.

« ANCILE! »

Le sort que le mage prononça n'eut aucun effet car un bouclier d'eau venait de se former, enfermant les trois jeunes sorcier. D'un coup de baguette, Harry repoussa Ron et Hermione au loin et mit fin à la protection magique. Avant que le mage n'aie le temps de faire quoi que se soit, le Survivant lui lança un sort. Bien que mineur, celui-ci le destabilisa et l'obligea à se concentrer sur lui et non sur ses amis.

« Voici quelque chose que tu n'avait pas prévu, Potter, mais qui me fait ô combien plaisir..., » siffla-t-il.

Harry ne répondit rien. Le souffle haletant, l'épée dans une main, la baguette dans l'autres, il ne fit que regarder son ennemi. D'un regard sans faille. L'Occlumancie. Le seule chemin qui lui avait permit de l'atteindre avait été celui-ci: un bouclier, une armure de plus. Le Lord ne pouvait presque rien deviner mais même sans ceci, il savait ou frapper ou demeurerait à jamais ces faiblesses. Harry fixait le monstre qui se trouvait en face de lui. L'épée. Il n'y avait jamais pensé. Il ne savait comment s'en servire. Il lui fallait s'approcher de Voldemort. Pour ceci, il serait blaisser. Aucune importance. Une seule chose comptait vraiment: la fin de tout. Mais une surpassait encore cela: que Hermione et Ron ne soient touchés.

« Tu as peur, Potter? Tu peux trembler. »

Il ne répondit, une fois de plus, rien; mais fit un pas en avant. Regardant son ennemi dans les yeux. Ne jamais le quitter du regard. Le défier pour le destabliliser.

« Temeraire? Ton père l'était, nous savons tous deux où ça l'a mené. »

Il ne repliqua rien mais son être entier bouillonait. Oui, ses parents s'étaient sacrifiés. Eux comme bien d'autres et il leurs prouveraient que leur mort n'étaient pas vaine. Il avença encore.

« Tu veux donc mourire? Une mort de héro, je te l'accorde... mais tu n'es pas différents des autres...: trop faible pour accepté le pouvoir quand il s'offre à toi. »

Un autre pas. Voldemort sourit et un éclaire jaillit de sa baguette. Harry avait deviné de quoi il s'agissait. Aussi, il ne le contra pas et n'eut le temps que de l'esquivé partiellement. Son épaule commença à saigner. Mais alors qu'il recevait le sort, il profita du faite que le mage pense qu'il se serait protéger pour lancé un nouveau sort. Quelques gouttes d'un sang noire salirent le sol. Le Lord n'était pas invulnérable. Le visage d'Harry resta pourtant impassible alors que sur celui de son adversaire se formait une grimace d'amusement et de haine.

Le combat, à Pouldard, venait de s'engager. Bon nombres des membres del'Ordre du Phoenix faisait face, mieux que quiconque, aux Mangemorts. Ils se savaient n'être qu'une diversion, d'une certaines façons. Une manière de retenir Dumbledore loin de Harry. Mais, aussi, le meilleur moyen de neutralisé de future ennemis, de recruter de futures alliés. Les élèves, en se moment, étaient objets de bien des plans et convoitises.

Depuis la grande salle, une centaine d'élève n'entendaient que les pleintes sourdes, ne pouvait qu'imaginer ce qui se passait. Ils attendaient immobile. Le silence était plus pesant que jamais. On entendait que leur respiration, le léger grincement des planche de bois à chaque moindre mouvement. La salle habituellement si annimée était à présent plongée dans un silence mortuaire. Les élèves étaient près, les uns contre les autres, à la première attaque.

« Il n'y a pas de raison qu'on attende tous ici! »

A cette remarque, tous ce retournèrent pour appercevoir le jeune Longdubas, rouge mais ce tenant droit, décidé.

Tonks regarda McGonagall de manière à lui faire comprendre qu'elle ne désaprouvait de loin pas.

« Si on doit se battre, autant le faire maintenant! Pendant qu'il est temps! » S'exclama Dean.

Tout les élèves commencèrent, petit à petit, à aprouver et à reclamer le droit de défendre dès lors leur collège. Reclamez un droit qui aurait du être un devoir.

McGonagall ferma les yeux un instant. De la décision qu'elle allait prendre découlerait beaucoup. Elle regarda les élèves, tout ces visages anxieux mais déterminé à prendre part au combat. Elle acquisça.

Ils se dirigèrent alors dehors, là où les Membres de l'Ordre faisaient de leurs mieux. Ce fut une foule de jeunes sorciers, pleins d'espoirs, certains qu'un futurs meilleurs verrai le jour. Mais biensûr, ils n'avaient pas l'entraînement nécessaire et, déjà, des élèves se faisaient toucher. Pourtant ils n'abadonnèrent pas. Ils savaient que certain de leur camarades affrontaient bien pire en ce même moment. Et parmit les élèves, certains rejoindraient l'autre camps. Tout comme le professeur Rogue qui avait quitter les rang de l'Ordre tôt dans le combat sans même avoir été aperçu.

Imobile et impuissant, les deux jeunes Gryffondors voyait leur ami avencer, se faire blesser et recommencer. Armes en mains. Ils ne savaient que faire mais étaient conscient de ce qu'il se passait. De ce qu'il se passerait s'ils n'intervenaient pas ou s'ils n'essayaient à peine.Devant eux se déroulait l'aboutissement de tous ce qui leurs avait été caché, de tout ce qu'ils n'avaient voulu voir. Ils n'étaient pas prérapés et n'auraient sans doute jamais pu l'être mais ils étaient présent et feraient donc tout ce qui seraient en leur pouvoir.

« Un plan », murmure Hermione, comme clouée sur place, « il nous faut un plan. »

« Il faut essayez de ... de Le distraire à nouveau pour que Harry puisse l'attaquer. »

« Oui. Mais il ne faut pas se faire prendre sans quoi il nous utiliserait contre Harry. »

« Bien. Tu... tu es prête? »

« Je... Je crois, oui. Courage. »

« Courage », répéta-t-il comme si le fait de prononcé ce mot allait lui en donner.

Ils avancèrent à nouveau, sûrs d'eux. Ils savaient ce qu'ils devaient faire. Qu'Harry n'était pas un sur-homme et qu'il ne pouvait y arriver seule. Ils savaient aussi qu'ils payeraient peut-être cher cet acte de bravoure.

Ils s'approchrèent un peu plus. Ni Harry, ni Voldemort ne paraissait les avoir remarqué. Tous deux ne se quittait des yeux, étudait l'autre afin de trouver une faille. Rassemblant toutes ses forces et son courage. La jeune Gryffondor se tourna vers Ron puis l'embraça, elle courut ensuite jusqu'au duelist puis lança son sort. Un rayon rouge jaillit de sa baguette pour frapper Voldemort qui chancella puis se retourna, une lueure folle dans les yeux. Il avait certe faillit tombé mais n'avait pas été plus destabiliser. Elle sentit ses mains devenir moite mais elle ne cilla pas malgrès la peur qui l'empêchait presque de respirer. Du coin de l'oeil, elle vit Harry avancer un peu et fut soulagée. Quoi que puisse advenire, son acte ne serait pas vint. Elle apperçu Ron et lui sourit.

« Tenace, vous aussi... mais vous n'avez pas su faire le bon choix... »

Harry avença encore un peu. Sur ses guarde, observant le Lord plus que jamais afin de contrer quelconque tentative de s'en prendre à Ron ou à Hermione. Il regardait sans rien pouvoir faire ce qu'il avait tenter, par tout les moyens, d'empêcher. Que ses amis ne participent à ce dernier combat. Le sien. Celui duquel ne pouvait résulter que mort.

« Approche », jeune fille.

Sans qu'elle ne puisse faire quoique ce soi contre, Hermion se trouva attirée par le mage. Il posa sa main osseuse son épaule et de sa baguette, caressa sa joue. Il regarda Harry, un sourire déformant un peu plus son visage inhumain. Elle était bien trop proche de lui pour que ses amis n'interviennent. Elle regarda Ron pour lui faire comprendre qu'il devait tout tenté pour faire Harry avencé. Le rouquin serra des point si fort qu'il menaçait de brisé sa baguette.

« Dégoutante petite Sang-de-Bourbe..., tu as osé me provoquer en duel... Tenais-tu à elle, Potter? »

Harry regarda Voldemort. De se regard froid qu'il avait adopté depuis le début. Aucune expression n'était visible et ses yeux paraissait n'être que refelt de ceux de son ennemi. Il ne répondit d'abord pas. N'accorda même pas ne serais-ce qu'un regard en bié à sa camarade mais fixa le mage. Il savait. Il devinait ce qu'il lui faudrait faire. Tous ce qu'il espèrait était que Ron et Hermione comprendrais et agiraient dans son sens.

« Non. Plus depuis longtemps. Il ne te reste plus rien à m'enlever. »

Le sorcier sourit mais ne relacha pas la jeune fille. Les deux gryffondors regardèrent Harry avec un air de dégout avant qu'il ne comprenne le plan de leur camarade. Ils étaient biensûr anxieux. Mais aucun ne prononça un mot de plus avant que le Lord ne reprenne.

« Non? » Demanda Voldemort avec un sourire machiavélique.

D'un simple coup de baguette il projetta Hermione à plusieurs mètres qui tomba dans un bruit sourd. Ron le regarda, la rage se lisait dans ses yeux. Il ne voyait que la silhouette d'Hermione étendue sur le sol, ne bougeant pas. Le Lord paraissait appréciez de plus en plus ce qu'il se passait et son regard paraissait inviter Ron à la vengeance alors que Harry faisait de son mieux poiur ne rien laisser transparaître et approcher un peu plus encore du Mage Noir. Ron sut pourtant que Hermione n'avait rien de grave. Le pendentif qu'il portait autour du coup ne chauffait que très légèrement et il l'appreçu se relever péniblement et se tourner en leur direction. Il n'en restait pas moins qu'il devait gagné du temps en distrayant leur ennemi. C'était la seule chose qui était suséptible de tous les sauvés... le temps.

Le Survivant l'avait compris, mieux que personne. Il ferma les yeux et se concentra. Il fallait qu'il sente la magie virber en lui. Qu'il soit capable de se passer de baguette pour qu'à l'aide de cette item, son sort soi plus puissant encore. Il se remorait tout ce qui avait été fait jusqu'alors. Tout leur entraînements. Il sentait ses doigts fourmiller, la puissance le transporter. Il était bientôt près. Il ne manquait qu'une seule chose. Un seul élement qui lui permettrait de lancé le Sortilège Impardonable. Le chant, la voix de sa mère. Il fallait qu'il l'entende à nouveau. La Chanson de Lily. Il avait du mal a tenir son masque d'indifférence en sachant que ce à quoi il tenait le plus allait lui permettre de commettre un acte irréparable mais il était trop tard. Les dès étaient lancés. Ils l'avaient été le jour où la prophétie fut ennoncée. Le jour où Voldemort le choisi comme ennemi. Et alors que le dernier moment était arriver, qu'il était à la fin de tout, il n'y arrivai pas. Il se concentrait tant qu'il pouvait mais rien n'y faisait.

Ron regarda Harry puis leur ennemi puis s'engagea à son tour. Il ne savait ce qui se tramait, Voldemort lui même ne s'en doutait pas. Il devait agir. Simplement. Il lança à son tour un sort au Lord qui sourit un peu plus encore.

« Tu n'y tient pas non plus, Potter? » Suçura-t-il.

Harry ne répondit même pas. En tête, il n'avait qu'une idée. Sur son visage, rien ne se décellait. Il ne regarda pas Ron et si ses yeux étaient sur la déformatiuon qu'était le visage du Lord, il ne regardait pourtant pas. Dans le flou de son esprit, il recherchait ce visage d'ange. Celui qu'il n'avait que si peu vu...

Ron subit le même sort qu'Hermione mais n'en souffrit pas plus. Harry avait profité pour avencer encore. Il n'était à moins de deux mètres de Voldemort. Tout se jouerait dans les secondes qui suivrait. Mais il ne se sentait plus capable de faire se pourquoi il était là. Il le fallais mais bien qu'il se soit préparer, il avait peur. La chanson... il fallait qu'il parvienne à l'entendre: c'était l'unique moyen de parevenir à lancer le sort. Un sort qui, il le savait, tuerais peut-être Voldemort mais ne le laisserais pas indemne. Et cela importait-il vraiment? Il s'y était préparer. Il devait le faire, quitte à tout perdre!

- Tu ne me tournera pas le dos Potter, et tes amis seront vivant pour être les témoins et pouvoir racconter comment le si célèbre Harry a supplier pour que je le tue enfin...

Puis, soudain, alors que Harry faisait ce qu'il pouvait pour se concentrer et pour ne pas penser aux menaces qu'il proliférait, une mélodie emplit l'air. Le coeur d'Harry manqua un battement. Un sourire imperceptible se dessina sur son maigre visage forgé dans le combat. Un chant. Il resserra encore un peu son emprise sur sa baguette. Le Phoenix. Le temps paru ralentire dans sa course. L'oiseau formait des cercle en dessus du duel. Son chant d'espoir résonnait dans la tête de Harry et dans la clairière entière. Plus rien n'existait si ce n'était cette musique...

« AVADA KEDAVRA! »

Ron et Hermione se relevèrent soudain, tétanisé par la peur, craignant que se ne soit leur ami. Ils osèrent à peine diriger leur regard vers le combat. Déjà, leurs yeux s'embuèrent de larmes. Ce qu'ils virent fut pourtant tout autre...

Le Mage reçu le sort en pleine pointrine. Ses yeux parurent encore plus maléfique que jamais. Mais le sort, bien-sûr, n'avait pas été assez puissant. « Cela peut être une arme comme un vulgaire morceau de bois » ... il lui avait aussi dit que Voldemort était plus puissant que lui, que son sort ne suffirait pas... Il se redressa directement après qu'il aie lancer le sort, prit l'épée de ses deux demain et se rua sur le mage. Ces quelques actions s'enchaînèrent si rapidement que nul n'eût le temps de réagir. Le chant s'était tu, le temps paru s'être arrêter au moment ou Harry enfonça la lames dans la poitrine de son ennemi. Il eut l'impression d'être porté pour qu'il aie aussi rapidement, pour qu'il y parvienne, pour que son coup soit assez puissant et pour qu'il ne s'éfondre pas ensuite. Il aurait pu juré que Lily, James, Cedric, Sirius, Ginny et Remus l'aidaient. Il paru même sentire leurs bras le porter. Il cru entendre leur murmures d'encouragement, sentire sur lui leurs mains, le déchargeant, l'espace d'un instant seulement, de toute peine. Peut-être ne fus-ce qu'une seconde mais elle lui redonna la volonté de se battre, encore un peu. Ne serais-ce que pour la dernière fois.

Au moment même où l'épée se plenta, Harry resentit une douleur plus aigüe que jamais sur le front. Il cru que sa tête allait explosé et ne pu s'empêcher de hurler. C'était pire encore que le doloris, pire encore que ce qu'il avait subis l'année précédente, au ministère. Le Mage, ayant compris ce qu'il se passait, fit cedé toute les barrières ayant empêché Harry de ressentir ses émotions pour à présent les lui transmettre toutes et, une fois encore, se servir de la vie de ce garçon pour sauver la sienne et atteindre l'imortalité.

Le Survivant ne lâcha pourtant à aucun moment l'épée et la tint enfoncée dans son ennemi. Le Seigneur serra entre ses doigts le front de Harry. Sa vue était flouée par ses larmes et il n'était conscient de rien si ce n'était de la douleure que lui transmettait Voldemort. Son seul souhait en ce moment était celui de mourire. Jamais il n'avait ressentit une telle torture. Cela dépassait tous ce qu'il avait pu imaginer de pire. Il avait tellement mal qu'il ne parvennait même plus à crier, que son souffle était couper. Du sang coulait sur son visage mais il ne cilla pas. Gardant ses yeux bien ouvert malgré tout. Le Lord le prit soudain à la gorge dans un dernier espoire de tuer son ennemis et d'achever la prophétie. Ces secondes parurent duré des heures. Il suffoquait mais ne fit rien pour que le Lord ne le lâche, se contentant de tenir l'épée. Qu'il meurt. Qu'ils meurent. C'était là sa seule pensée; mais il ne partirait pas le premier. La douleur lascinante paraissait devenir de plus en plus forte au fur et à mesure que le Mage luttait contre la mort. Si elle ne le tuait pas, elle le rendrait fou. Il lui fallait, pour tenir se supplice, plus de force qu'aucun ne peut imaginé. Et il cru sérieusement que le Lord triompherait et que de lui, ne resterait plus qu'une envelloppe corporelle denuée de toute raison.

Puis, alors qu'il n'y croyait plus, l'emprise sur son coup se fit plus faible et il fut soudain libéré. La douleure alla diminuante mais il ne lâcha pourtant pas son emprise. Encore aveuglé par la douleure, la rage et le sang qui perlait sur son visage; il ne voyait pas le cadavre du Lord qui gisait devant lui.

A Pré-au-lard et au Chemin de Travers, une scène commune se déroulait. Soudainement, les Créatures des Ténèbres s'arrêtèrent et des cris d'horreur, de douleure et de rage retentirent dans les rues sorcières. L'on aurait pu croire que les Enfers se déchaînaient sur terre... Puis, ils disparurent tous dans une tumulte épouventable. Les obscures silouhettes s'effeacèrent. Le ciel même s'éclairsissait, l'athmoshère paraissait moins chargée. Les sorts cessèrent de fusés. La rue devint étrangement silencieuse.

Personne n'osa d'abord y croire. Tous se regardait les uns, les autres, tremblant. La rue vidée de ses ennemis, un calme presque dérangeant s'installait. Les sorciers, toujours en garde, s'attendaient à voir leurs ennemis réapparaître, plus nombreux encore, pour leur porter le coup de grâce et les vaincre, cette fois, définitivement. Après toute les horreurs qui venait d'être vue, ils ne pouvaient consevoir que tous se terminait sans explications aucune.

Aucune nouvelle attaque n'arriva et les quelques minutues qu'ils attendirent parurent être d'interinables heures d'angoisse. Et lentemant, les sourirs naquirent sur les visages. Le ciel se déchargeait des noir nuages, les éclaires avait déjà cessé sans que nul ne les remarqué. Ils ne reviendraient pas. Les forces de Voldemort avaient fuit. Des rires commencèrent à raisoner, des pleurs de joie à se faire entendre. Les cris qui avaient empli l'air quelques minutes au paravant laissait maintenant place à des expression de joie et de soulagement. Ce moment attendu depuis si longtemps était enfin venu... Cette seconde guerre connaissait finalement une fin. Et ils avaient survécu. Et ils avaient vaincu.

Mais ce bonheur intense laissa trop vite place à la réalité. Ils regardèrent les rues délabrées, victimes de si nombreuses attaques. Cette rue qui étaient définitivement leurs et où tout sorciers aurait le droit d'aller, qu'importerait son ascendance. Il regardèrent le visage de ceux qui les entouraient, marqué par le combat, fatigué mais exprimant enfin tant de joie. Et tout ceux qui n'avaient pu connaître se jour. Les corps étendus parterre. Le sacrifice de tant de personnes. Ces mort nécessaire pour que tout puisse être à nouveau reconstruit pour que l'Espoir aie à nouveau raison d'être.

Entre larmes de joies et larmes de peine, ils goûtaient cette victoire amère. Pourtant, une pensées prédominait: Celui Dont Le Nom Ne Doit Être Prononcé était vaincu.

A Poudlard, le même évenement se produisit; les mangemorts s'enfuirent dans la confusions la plus totale. Les élèves et professeurs s'arrêtèrent mais il ne fallu que peu de temps avant qu'ils ne comprennent et ne réalisent. Tout de suite, des cris de joie et de victoire s'élevèrent. Le directeur regarda de manière bienveillante les jeunes sorcier, la promesse d'un futur, se réjouir et savourer d'avence les jours à venir. Seuls ses jeunes gens pouvaient, aussi rapidement, reconnaître la victoire car le combat ne les avaient pas encore rendu amer et ils avaient encore cette innocence qui leur avait permis de croire si fort à cette victoire, de lui permettre de se réalisé, d'exister.

Neville s'approcha du vielle et homme et demanda timidement ce que tout le monde avait deviner, mais dont tous voulait avoir la certitude. Cette question qui brûlait aux lévres de chacun.

« Est-ce que... est-ce que Vous Savez Qui est vraiment... mort? Harry l'a tué? »

Le professeur regarda Neville en souriant puis regarda tout les élèves et ses collègues qui, eux aussi, attendait de l'entendre de sa bouche. C'était un moment qu'ils avaient espéré depuis si longtemps; qu'ils avaient tant attendu... Le directeur resta un instant silencieux. Bien-sûr, tout ne s'était pas produit selon son plan mais, enfin, les deux mondes étaient débarassé de leur plus grosse menace. Tout allait enfin pouvoir être reconstruit... Puis, finalement, ce fut en souriant qu'il répondit:

« Oui. Harry Potter a vaincu Lord Voldemort. Définitivement. »

Tous avaient paru retenir leur souffle en attendant cette phrase et alors les vrai cris et rire de joie resonnèrent plus fort encore. Et nombreux étaient ceux qui chantait en la gloire de Harry Potter. Le dernier mot prononcé par leur directeur semblait résonner dans leurs oreilles comme un doux refrin entraînant. Mais bien que ce spectacle ravisse le directeur au plus au point, il ne pouvait s'empêcher d'être inquiet. Malgrés son sourire, ses yeux pétillant, il était possible de disserner le doute et la peur au fond de son regard car il ne savait dire si Harry allait bien, il ne savait même pas s'il était encore vivant ou si cette victoire lui avait coûter la vie, comme elle l'avait coûtée celle de tant de personnes de bien...

Ron et Hermione accoururent vers leur meilleur ami. Ils n'avaient pu voir que peu du duel final car ils avaient été petrifier au moment même ou Harry avait lancé l'Avada. Ils avaient seulement eut le temp de se retourner pour voir le Lord tombé. Et ce qui se passa ensuite, ils le virent sans pouvoir bouger, sans pouvoir venir en aide à leur ami. Et ce ne fut qu'une fois le Lord mort qu'ils furent libéré de l'enchantement. Mais à peine purent ils courire vers leur amis qu'ils le virent tombé. Alors, ils craignèrent et coururent aussi vite qu'ils le purent. Pendant les quelques secondes que leurs prirent le temps d'arriver à lui, ils envisagèrent le pire. Ils avaient biensûre vu toutes les blesseures qu'il s'était laissé infligé dans le but d'avoir une chance de gagné; il avait vu l'Avada échoué; et plus que tout... ils avaient Harry planté l'arme de Goldric en Voldemort et crié au supplice, sans qu'ils ne connaissent l'origine de ce mal; le Lord tenté désepèrement de le tuer en essayant de l'étrangler. Et ils venaient de voir leur amis tombé à terre, à côté du Lord et ne plus bouger.

Une fois arrivés à ses côtés ils s'agneouillerent près de lui et ne purent retenir une grimace de dégoût au moment ou leur regards se posa sur le cadavre du Mage Noire, mais ils revinrent vite à Harry. Jamais ils ne l'avaient vu si faible. Lui qui s'était toujours montré si fort, presque invincible, était maintenant aussi pale qu'un mort, les joues creuses, des cicartices couvrant son corps, des plaies sanguilonante. Ils ne pouvaient imaginé le sacrifice qu'avait été ce combat. Non seulement ce dernier duel mais tout ce qui avait précédé. Et ne pouvaient deviner que ce qui suivrait paraissait à Harry encore plus dûr que tout ce qu'il avait affronté jusqu'alors.

Hermione essuya le visage de leur ami avec un pan de sa robe qu'elle venait de déchirer. Elle remarqua alors que sa cictrice, celle du Survivant, le si fameux éclaire saignait aussi et était rouge et brulant.Bien qu'elle ne sache ce que signifait réellement ceci, elle compris que la marque de Voldemort, son emprise sur Harry, était plus présente que jamais. Malgré le fait qu'il aie trépasser.

Le rouquin tout comme son amie ne savaient que faire. Il savait que Harry était encore vivant vu qu'il le voyait repiré mais ne savait comment le soigné, et encore moins ce qu'ils allaient devoir lui dire. Comment se sentirait-il? Pourraient-ils seulement l'aidé? Ils en avaient été incapable depuis plusieurs mois déjà et les choses paraissaient être prédestinées à aller de mal en pis.

Un chant les tira alors de leur pensées et le phoenix vint se poser sur l'épaule de Ron. L'oiseau pleura et ses larmes coulèrent sur Harry. Alors, par magie, toutes ses plaies furent guerrie et il paraissait reprendre des couleurs. Pourtant, une de ses blessures resta; la cicartice qu'il portait au front. Jamais elle ne disparaîtrait et sans doute serait-ce l'éternel marque de toutes ses souffrances, le souvenir ineffaçable qui lui seraient rappelé chaque fois qu'il se regarderait dans une glace. Lentemant, sa respiration se fit plus presente, il commença a bouger puis enfin revint à lui, ouvrant doucement les yeux, sentant, à chaque mouvement, une douleure aigüe déchirer sa chaire. Il n'émit pourtant aucune plainte..

Il ne dit d'abord rien et le regard qu'il posa sur ses amis était vide. Plus qu'il ne l'avait jamais été. Des larmes perlèrent sur les joues de la brunette alors que Ron retenait les siennes à grande peine. Puis il s'approcha d'Harry et tenta son sourire le plus sincère.

« Tu as réussis! » Lui dit-il, « tu as gagné, Harry! Tu as vaincu Voldemort! »

Le Survivant ne bougea pas, ne cilla même pas à la mention de son exploit. Puis, lentemant, il tourna la tête et contempla le corps innanimé. Il resta ainsi longtemps, sans le moindre mouvement, à regarder, sans même cligné des yeux, la carcasse de celui par qui tant de malheurs avaient vu le jour. Ces amis le regardèrent inquiet, incapable de comprendre les réaction du Survivant. Mais quelqu'un le pouvait-il seulement?

Harry reguardait son ennemi sans vraiment le voir. Dans sa tête, des centaines de pensées se bousculaient. Il avait gagné, certes. Mais qu'avait-il gagné, au juste? Il avait tué Lord Voldemort, le Mage Noir le plus terrible. Mais cela lui avait-il rendu ses parents? Il avait accomplit ce qui pouvait être qualifié de miracles et y avait survécu. Mais pouvait-on vraiment appeler cela survivre? Ce qu'il avait fait... rien. Il avait gagné le droit de ne plus être indispensabée. Il avait tué celui qui était déjà mort depuis bien longtemps. Il avait dû laissez beaucoup d'autres personnes mourire pour qu'il réussisse. Les choses semblaient être tellement différente, à présent. Plus rien ne semblait pareil, tous ce qu'il regardaiut, c'était avec d'autres yeux qu'il le voyait; comme si le monde était déformé... « On ne se sort pas indemne en tuant quelqu'un » avait dit Remus. Il avait eu raison, bien-sûre, et Harry le lui dirait une fois rentré au Chaudron. Le Survivant détrourna son regard du visage du mort pour aller à l'épée dorée aux pierres de ruby qui avait eu raison du Lord. Ce qu'il avait fait ne semblait pas être assez. Il avait sauvé le monde mais n'avait pas réellement venger ses parents. S'il n'avait plus aucune raison apparente pour continuer à vivre, si les mondes n'avait à présent plus besoin de lui, il lui restait quelque chose à faire, à accomplire: venger ses parents, venger Sirius, venger Ginny. Seul Cerdric l'avait été, jusqu'à présent. Ensuite, ensuite seulement, il retournerait à la Licorne. Pour les revoirs, tous. Et être heureux... à son tour.

Harry se leva, ses amis voulurent l'aider mais il ne leur accorda pas la moindre attention. Il ne les voyait pas, ne les voyait plus. Les deux gryffondore furent effrayer par ce qu'il était. Jamais il n'avait vu d'yeux si froid, si ... méchant. Se Harry ne ressemblait plus à rien. Ou, du moins, pas aux Harry qu'ils avaient connu. « Se Harry là est mort... Sirius s'est sacrifié pour rien. » Se furent les paroles de Ron. En ayant tué Voldemort, Harry venait de prouver le contraire; les mort de Cedric, James, Lily, Sirius, Ginny et tant d'inconnu n'avaient pas été veines; elles lui avaient permis de s'approcher de ce but, de cette victoire. Et maintenant, il leurs rendrait honneur en tuant ceux par qui ils étaient mort : Peter Pettigrow et Bellatrix Lestrange.

Ron et Hermione se levèrent à leur tour et il se passa de longues minutes avant que l'un d'eux n'ose parler. Ils avaient, d'une certaine façon, peur de ce Harry qu'il ne connaissait pas, qui venait de tuer l'être le plus infâme au monde mais qui ne paraissait ne rien érpouver; que se soit de la rage, de la joie ou du malaise.

« Harry... est-ce que tu... est-ce que tu nous entends? »

Cette question posée par le rouquin pouvait paraître idiote mais ne l'était aucunement car le Survivant ne répondit rien. Il ne voyait ni n'entendait ni ne sentait. Tout ses sens était gouverner par le même sentiment, le même besoin: celui de vengencer, celui de faire souffrire ceux qui l'avait fait souffrire ou avait fait souffrire ses proches. Il n'était pas conscient de la présence de ses amis. Il fixait l'horizon asciduement, comme s'il cherchait un indice infîme dans la vaste pleine. Le vert émauraude de ses yeux qui avait autrefois été si doux était à présent effrayant; une lueur de folie paressait y danser et le voile de la vengeance avait recouvert toute lueure d'humanité. Ce vert était celui de l'Avada.

« Tout est fini maintenant. Viens, rentrons à Poudlard. Tu te souviens, Harry? Tu avait dit... »

Mais il ne continua pas sa phrase, voyant bien que son ami ne s'appersevait pas de leur présence. Il eût beau prendre fermemant son poignet, rien y fit. La haine l'avait anéstesié de toutes sensations qui ne seraient pas relatives à sa vengeances. Il continuait à regardé droit devant lui, à l'écoute du moindre bruit suséptible de l'interessé, du moindre buit existant pour lui. Il savaient qu'ils viendraient bientôt. Il était bel et bien conscient que le mage était mort. Il savait que, par conscéquent, ses fidels serviteur ne tarderaient pas à apparaître. Que si le lâche Pettigrow ne seraient sans doute pas là, Bellatrix le serait. Que cette femme qui avait torturer les parents de Neville jusqu'à ce que la follie les prennent, qui avait tuer Sirius, viendrait pour venger son maître et qu'elle mourrait, mais qu'avant, elle souffrirait comme lui avait souffert, comme elle avait fait tant de personnes souffrire. Il savait aussi que Lucius Malefoy serait, lui aussi, peut-être là. Lui qui avait tuer Ginny!

Il ne se trompait évidemment pas et il n'eût pas besoin d'attendre un long moment avec qu'un craquement sonore ne se fasse entendre, suivit d'un rire de fou qui empli l'air et le sortit de la quasi-trense dans laquelle il s'était plongé. Ron et Hermione se retournèrent plus rapidement et appreçurent une silhouette encapuchonnée avencer, tel un spectre, baguette à la main. Harry l'avait reconnue avant eux et en la voyant, un fin sourire machiavélique se forma sur son visage marqué.

« TU L'AS TUE! »

Cette voix, poursuivie par un rire déman, ne pouvait être que celle d'une seule et unique personne: Bellatrix Lestrange. C'est alors que Ron, comme Hermione, comprirent. En un instant, ils surent que tout pouvait s'écrouler. Que s'ils n'agissaient pas comme il le fallait, ils perdraient sans doute leur amis pour ne jamais plus le retrouver.

« TU AS TUE MON MAÎTRE! TU PAYERAS, POTTER! »

Hermione jetta un coup d'oeil autour d'elle et ne s'en souvint qu'alors. Les deux patronus. Ceux qui avait porter Harry au moment où il donna le coup fatale au Lord. En un simple regard, elle su leur faire comprendre ce qu'elle souhaitait d'eux: L'un s'en alla donc chercher Dumbleodre. L'autre baissa la tête mais ne bougea pas. Hermione avait souhaiter qu'il aie quérire Remus car elle savait que son Mentor était l'unique personne qui serait capable de faire Harry changer d'idée. La chien ne bougeant pas, elle pensa qu'il restait ici pour proteger Harry de son mieux. Comment aurait-elle seulement pu deviner?

« JE LE VENGERAIS; JE TE TUERAIS DE MES MAINS! »

Harry n'éprouva aucune peur à toute ces menaces. Il afficha au contraire un sourire un peu plus large encore. « C'est un défis. C'est un jeu. Le tuer juste pour prouver que je suis le plus fort. Juste pour voir jusqu'où je peux aller. Parce qu'il est amusant de se tester, de jouer avec les autres. » Il l'avait dit lui-même mais jamais il n'avait imaginé qu'il appliquerais ceci. Et prourtant, il avait déjà commencé. Il s'avença vers elle. Baguette à la main, sans qu'aucun signe de peur ne transparesse, sans qu'aucune émotion ne soit éprouvée si ce n'était celle de la vengeance.

Dernière cette immonde femme, d'autres silhouette apparurent. Elles étaient peu nombreuse mais sans doute étaient réunis ici les mangemorts les plus fidels mais surtout les plus redoutable du Mage. Ceux qui, il y avait quelques minutes, venait de tout perdre et s'étaient jurés qu'ils tueraient celui qui en était la cause. Ron et Hermione regardèrent ses ombres noires avencé, leur coeur battant de plus en plus fort dans leur poitrine. Bellatrix était la plus proche. Elle retira son capuchon et son masque, son visage était l'expression même de la rage et de la folie. Elle avençait, telle une furie, proférant des menace vers un Harry stoïque qui avait le sort sur le bout des lèvres. « « Il faut vraiment vouloir la souffrance de l'autre. Y prendre plaisir. » C'est vrai, non ? » Il appliquerait donc à la lettre cet enseignement. Sa souffrence, il l'a voulait. Jamais il n'aurait pensé qu'un tel désire de faire le mal puisse exister et pourtant... il n'y avait pas de mot à mettre pour décrire son état. Il n'était plus que colère, haine et vengeance, rien d'autres. Dans ses yeux, une lueure rouge, telle un flemme, dansait. A sa main, son arme. Sur ses lèvres, tant de sorts.

Bellatrix lança le premier maléfices qu'Harry évita sans problème aucun et son sourire se fit plus large encore.

« Allons, tu peux faire mieux que ça, » s'écria-t-il.

Sirius serait le premier à être dignement venger.

Le directeur n'arrivant pas et l'instant fatidique approchant, Ron et Hemrione, mus par le même désir de sauver leur amis, se lancèrent entre Bellatrix et Harry. Cette action de pure follie et dénuée de tout sens, était en tout point sucidaire mais ils n'avaient pas le choix et plus que tout, il croyait encore en Harry. Ils savaient que derrière tant de haine et de souffrance, le garçon qui était entré à 11 onze à Poudlard avait survécu, et que, jamais, il ne leur aurait faite du mal. Cette confiance aveugle en laquelle ils voulaient croire, ce qui ne semblait n'être plus qu'un lointain souvenir, une chimère, était bel et bien là. Seul eux pouvaient déterrer cette lumière depuis trop longtemps enfouie, étouffée entre peine et devoir...

« Si tu dois tuer quelqu'un; commence par nous! »

La jeune fille avait parler d'une voix ferme qui ne laissait entrevoir nulle hésitation. Bellatrix paru être trop aveuglée par sa vengeance pour tenter de tuer les deux étudients, il paraissait en être de même pour Harry qui semblait determiné à réduire à néant tout ce qui se trouvait entre lui et la femme qu'il torturerait et tuerait. Hermione pleura mais ni elle ni Ron ne bougerait, et ce, quel qu'en soit le prix.

« Pauvre folle! Écartes-toi si tu ne veux que je te tue avant de torturer ton ami! » Siffla Bellatrix avec un regard déman.

Les deux Gryffondors ne bougèrent pourtant pas mais regardèrent Harry qui, baguette levée, prêt à l'attaque, s'avençait vers eux qui ne voyaient aucun changement sur son visage et le temps passait inexorablement. Ils ne cessèrent pourtant d'espèrer.

« Harry écoutes nous! » commença Ron, « Harry! Jamais tes parents n'auraient voulu une chose pareil! »

Mais le Survivant n'entendait pas, ou s'il entendait, il ne paraissait plus comprendre le sens de leurs phrase. Ils seront venger juste après . Ce fut la seule pensée dont il fut capable.

« Sirius n'aurait jamais voulu ça! Il se serait battu contre! » Continua Hermione.

Il sera venger.

« Que diras-tu à Remus? » Ajouta Ron, en un dernier espoir.

Je lui expliquerais tout, il comprendra; je le vois après.

« Je t'en supplie Harry! Pitié! » acheva la jeune fille dans un sanglot.

Elle se laissa tombé à genoux et si elle pleurait, ce n'était pas par peur de mourire - car il était probable qu'ils se fassent tué - mais elle pleurait devant leur impuissance, devant ce garçon, son meilleur ami, qu'elle avait tant aimé et qui n'était plus que l'ombre de lui-même. Devant le Survivant qui avait paru avoir sacrifié jusqu'à son âme pour qu'eux puisse vivre. De le voir lui, qu'elle avait cru si invulnérable, avoir été âper par l'envie de vengeance. Et si Ron resta debout, cette boule dans sa gorge n'en était pas moins grande et la main qu'il posa sur l'épaule d'Hermione était autant pour rassuré la jeune fille que pour se rassurer: il n'était pas seul.

Harry ne bougea plus, paraissant être en proie à un débat interieur. Bellatrix poussa Ron et Hermione d'un sort et s'approcha encore du garçon dont le voile qui lui avait recouvert les yeux commençait à se lever. Il voyait enfin. Et ce qu'il vu fut ses meilleurs amis en larmes, qui encore, venait de ressevoir un sort les propulsant, malmané. Une femme qui représentait tout ce qu'il pouvait aborré en ce monde et de qui il allait être le parfait clone, s'il ne se rétractait pas. Il ouvrit la bouche mais aucun son ne sortit. Bellatrix sourit puis pointa sa baguette vers Harry, son rire recommençant à résonner dans l'aire

Ron la stupéfixia et la femme se retrouva plusieurs mètres plus loin.

Le membres de l'Ordre du Phoenix arrivèrent enfin, Dumbledore à leur tête. Pris de surprise, nombreux furent les Mangemorts qui ne purent s'enfuirent mais certains d'entre eux y parvinrent. Cela n'avait plus d'importance. Pour l'instant, du moins...

Alors que les partisans du Lord étaient maîtrisés et mis sous l'emprise d'un enchantement empêchant tout trensplanage, Ron et Hermione s'approchèrent de leur amis. Harry c'était mis à l'écart dès qu'il l'avait pu, ne voulant avoir à expliquer quoi que se soit ni voir ceux à qui il avait indirectement fait du tort. Assis parterre, sans faire un bruit, il avait le regard vague mais son visage pâle était innondé de larmes et malgrès la tritesse qu'inspira cette vision aux deux Gryffondor, il ne purent s'empêcher d'être rassuré car ses yeux avaient enfin retrouvé cette lueur d'humanité. Ron posa sa main sur l'épaule de son ami qui frissonna à ce contacte humain et s'assit à ses côté, imiter par Hermione.

« Ca va, Harry? » Demanda-t-il timidement.

Le Survivant ne répondit pas et continua à fixer le vide, des larmes silencieuses coulant encore sur ses joues.

« Je suis devenu comme eux, » dit-il après quelque minutes d'un silence qui ne fut troublé que par les voix lointaines des membres de l'Ordre.

Sa voix était rauque et presque innaudible, il avait du mal à prononcé ses mots; comme s'il n'avait plus parler depuis longtemps. Ce qui, en un sens, était le cas. Ses amis le regardèrent sans d'abord osé lui répondre, mal à l'aise. Ils savaient qu'aucune réponse ne seraient la bonne et ne pouvait nié avoir peur de la réaction qu'auraient le Survivant mais le voyant ainsi; si faible et fragile, si perdu, ils ne purent se résoudre à persévérer dans leur mutisme et parlèrent enfin.

« Non, c'est faux, intervint Hermione, tu n'a rien à voir avec ces monstres et tu as su t'arrêter, Harry. Et puis... c'est normale, je pense, de ne plus savoir où tu en es après tout ce que tu as vu et fait.. ».

L'ex-Gryffondor ne répondit d'abord rien; ne sachant plus en quoi croire, quoi penser, qui écouter puis il demanda, de la même voix:

« Qu'est-ce que j'ai fait? »

« Qu'est-ce que tu as...? » commença Ron, étonné qu'une telle question puisse être posée et n'étant pas vraiment sûr d'avoir bien comprit ce que demandait Harry, « tu as vaincu Tu-Sais-Qui! Tu nous as tous sauver! Tu ne peux pas t'en rendre compte Harry! Tu... tu es un héros! »

Le Surivant sourit. Plus pour l'enthousiasme de son ami que pour les propos qu'il tenait et auxquels il ne parvenait pas à croire.. Un héros? Un héros aurait-il laisser la soeur de son meilleur ami mourire? Un héros aurait-il été pris dans une folie vengeresse? Un héros aurait-il seulement traîté ses amis de la sorte? Un héros aurait-il...

« Harry..., » recommença doucement Hermione, t »u as mis fin à des années de guerres, tu as sauver la vie de tout les sorciers qui ne sont pas de « Sang-Pur ». Tu ne peux dire que c'est rien... Si un futur est à présent possible, c'est grâce à toi! »

Il sourit encore, bien que quelque peu ironiquement. Il avait permis un futur... c'était véridique. Puisque la Guerre était terminée, les sorciers pourraient enfin vivre comme ils l'avaient toujours fait avant... Ils le pourraient jusqu'à ce qu'une autre guerre ne commence pour les mêmes raisons, ou presque. Alors, à quoi bon? Un futur... il voulait presque en rire. En redonnant au monde un futur, il avait éradiquer le sien. Pourquoi était-il né si ce n'était pour tuer Voldemort? Il l'avait fait. Que lui restait-il à faire à présent? Les Mangemorts seraient envoyez à Azkaban et se serait tout. De sa vie, plus rien ne sera attendu. A quoi bon, alors? Mais il garda ses pensées pour lui, il ne voulait plus heurté ses amis à qui il avait déjà fait tant de mal. Qui ne pourraient pas comprendre. Ces pensées étaient égoïstes, mais après tout les sacrifices qu'il avait fait et qui avaient été fait pour lui, il ne les trouvaient que plus justifiées. Il se contenta pourtant juste de dire:

« Ce n'est pas grâce à moi. Pas seulement. »

Il n'y eut pas besoin de mots de plus, ses amis comprirent de qui il parlait. Il y eut un long moment de silence. Hommage à tous ceux qui avait donné leur vie pour que ce jour existe, pour que Harry y survive. Puis, après quelques de longues minutes, Harry posa une question qui pouvait paraître bénine mais qui avait tellement d'importance:

« Qu'est ce que je dois faire, maintenant »

« Devoir? » s'étonna Hermione, « tu ne dois rien. »

« Simplement vivre, » completa le rouqin.

Le Survivant sourit. Vivre. Pourquoi? Pour qui? Il le savait, il n'était pas dupe; si les autres parviendraient à reprendre leurs vies, tel ne sera sans doute pas son cas... il ne se souvenait pas avoir connu autre chose que ces combats hormis Poudlard et bien-sûr... il n'y avait plus de Poudlard pour lui. Il était partit. Qu'il aie eu raison ou tord n'était pas la question mais il n'en était pas moins qu'il avait tourné le dos à l'école et pour ne plus y retourner...

« Où est Remus? » Demanda soudainement Hermione.

« Au Chaudron, » répondit Harry.

« Il n'est pas venu! » s'étonna Ron.

« Non. Je le lui est demander. Je ne voulais pas risqué qu'il lui arrive quelque chose. »

Ses amis se turent d'abord. Ils se seraient douter du fait que Harry vueille empêcher le lycanthrope de le suivre mais s'étonnait du fait qu'il aie accepté. Et la voix de Harry était étrange, alors qu'il avait prononcé ses mots, il avait paru comme absent, comme s'il avait répété souvent cette phrase et qu'il l'a disait sans même en avoir pris conscience.

« Il... il va bien? »

Harry hôcha de la tête, le regard à nouveau dans le vague. Ils savaient à quel point le lien qui unissait le loup et l'enfant était fort. Il devinait ce que l'un représentait pour l'autre. La même chose: un passé volé et la promesse d'un avenir, bien que fragile. Sans doute auraient-ils besoin l'un de l'autre pour se reconstruire et se permettre d'aller de l'avant. Non pas oublier le passé, mais apprendre à vivre avec. Avec ce qu'il y avait eu de beau et merveilleux pour mieux encore envisagé ce qui serait à venir.

« Je vais lui annoncé. Qu'on a gagné. Qu'Il est mort. »

Ses amis lui sourire. De cette manière si franche qui fait que jamais on n'oublie de telles expressions. Ils serrèrent leur ami dans leurs bras et avant que Harry ne transplane, Ron lui demanda de vite revenir, que tout le monde l'attendrait. Tous voudrait remérciez et acclamé ce Héros. Le jeune sorcier ne répondit pas mais sourit puis transplana. Une ambiance dérangeante régnait et cette étrainte qui était censée n'être qu'un « à tout à l'heure » ressemblait tristement à un adieu. Le regard de Harry, avant qu'il ne reparte, avait été si emprint de tristesse et de mélancholie qu'ils avaient de la peine à vraiment croire que tout était fini.

Ils allèrent silencieusement rejoindre les membres de l'OP qui attendaient déjà tous que le Harry et Remus reviennent, triomphant. Mais vite, l'ambiance plus tôt euphorique fut emprinte d'une sourde douleure.

Harry apparu devant la chambre que son Mentor et lui avait occupé pendant de nombreuses semaines. Il frappa doucement à la porte puis entra. Remus était toujours étendu sur son lit. Harry le recouvra, de peure qu'il ne prenne froid. Sa peau plus pâle que jamais qui paraissait être éclairée par un rayon de lune alors que dehors, le soleil brillait au plus haut. Son expression était la plus sereine du monde; il dormait du someil du juste pour ne jamais plus se réveiller.

Se fut alors en faisant bien attention à ne pas faire de bruit que Harry se doucha, se changea pour ensuite allez se coucher. Mais cette fois, en se mettant dans son lit, il chercha tout le confort qu'il pouvait souhaiter. Il regarda encore une fois celui qui avait été comme un père pour lui. Dehors, l'astre du jour brillait de tout son éclat et on entendait encore la rumeure de joie de la rue; de tant de sorcier heureux faitant l'avénement d'une ère nouvelle. Harry ferma les yeux. Il était fatigué.

« Je vais dormire, maintenant. »

Ce fut sans doute sans même s'en appercevoir qu'il dit exactement les mêmes paroles que celles qu'il avait prononcé la toute première nuit qu'ils avaient passé dans cette chambre du Chaudron Baveur, auberge de la célèbre rue du Chemin de Travers.

Fin.

(A Suivre...)

A Suivre...? un épilogue et ce sera la toute fin, celle qui sera écrite toute en majuscule, lol ;)

Vous vous rendez compte que c'est la denrière fois que j'écrirais « à suivre »? Mais ça me traumatise! ouiiin! J'vais pleurer... hum, ok, c'était déjà le cas mais là je vais pleurer plus :( (ouais, ne croyez pas que je suis totalement insensible XP !)

Enfin, snif... les RAR arrivent tout de suite. Mais, s'il vous plaît, ce chapitre est DEUX FOIS PLUS LONG que les chapitres habituels et il a été un vrai calvaire à écrire... (oui, par deux fois, mon ordi c'est arrêté pour cause de mauvais manipulation alors que j'avais beaucoup écrit avec beaucoup d'inspi et en oubliant de sauvegardé... il faut du temps pour s'en remettre... :S) Et les duels ne sont pas ma tasse de thé, comme vous le savez. Le dernier combat ne peu, en un sens, qu'être décevant et tout et tout... enfin, vous l'aurez compris... je suis extrêmement anxieuse quand à connaître votre opinion... Alors, siouplé, laissez moi une revieeeew! PITIER!

RAR: (voyez, je prend la peine de répondre, prenez la peine d'écrire... ahem... :S)

Evil Milou

Dompter la salle info rien que pour moi? ça c'es un honneur imesurable, merci.

Ecrire mieux que Mrs. Rowling? Ma chérie, ma tête ne passera plus jamais la grande porte du gymnase... Plus sérieusement, merci beaucoup; je pense que tu peux deviner à quel point une élloge pareille me touche :)

Pour le gymnase, y a pas de problème, comme tu l'as vu... Granger iz back!

Gim'Nain:

Merci pour tant de compliments et de remontrance. La fin... c'est pas encore vraiment là mais c'est tellement prêt. Et puis, elle viendra plus rapidement, je l'espère... -.-' . Pour les kleenexe, ils étaient moins indispensable ici mais c'était limite à l'écriture du dernier paragraphe avec,.. m... mumus... :'( je suis un mooonstreuh!

Si non, merci encore et je me réjouis de connaitre ton avis sur cette fin!

Sinwen Periedhel: (review 2 en 1, mieux que les shampooing et ça ryhme 0o)

Les nom elfique sont un casse-tête pour dysorthographiques... -.-' bref, pour la review

Pour Ginny et le chap 13, n'en avons nous pas assez causer et ne m'as-tu pas assez maudite pour que je m'étale encore un peu...? il est de même pour ahem... les événements du chap 14 mais ahem... enfin... voilà:

Premièrement, non, je ne suis pas sucidaire, (quoi vu ce que j'ai écrit dans ce chap... :S) ensuite, non, je ne suis pas insensible, le dernier paragraphe a été très dur à écrire, comme tout le chap 14, d'ailleurs...

J'espère que les mouchoirs étaient cette fois présent, que cette guerre était digne de tes attentes (doutes, du coup... la faute à Descartes... :S).

Merci pour ta review et dis moi vite ce que tu pense :)))

Black Liz:

Merci pour tout Tu as lu toute cette fic en un temps record, je suppose!

Sache que ton avis m'est très précieux et me fait vraiment plaisir D

Pour l'épée, je pense aussi, surtout après avoir lu le T6 (mais j'avais eu l'idée avant) qu'elle jouerait un rôle de grande importance dans l'anéantisement de Voldy.

Je suis désolée pour Remus, et, au risque de te surprendre, il était ausi mon préférer et j'adorait écrire les passages le concernants mais les besoins de la fic font lois... et je m'en veut énormément..., pour qui reviendra ou pas, rendez vous dans l'épilogue

Thealie:

Merci, je suis contente de savoire que mes écrits peuvent autant touché. J'espère que ce chap sera moins dur, je le pense sincérement. Malgrè le dernier passage :S

Merci encore, je me réjouis d'avoir ta prochaine review.

Mavrok Oeildragon:

«Terroriste littéraire » joli, j'adopte. Pour le zigouiller tout le monde, comme tu l'as vu, ce n'est pas le cas. Etonant? Je ne l'éspère pas car j'aurais loupé ma fic si on pense que c'est juste pour le fun de tous les masacrer :S quoi que... ;)

Merci pour tout, ta review m'a fait énormément plaisir du faite que tu as mit le doit sur ce à quoi je tiens le plus quand j'écris.

Me réjouis de savoir ce que tu as pensé de... « ça ».

Herm'021:

Comme à ton habitude, 20/20. Tu as exactement compris ce sur quoi je mettait l'accent comment et pourquoi, d'ailleurs, la phrase qui t'as tant marquée revient dans ce chapitre et joue un rôle de grande importance. Je ne sais pas si tu peux t'imaginer ce que représente une pareille review pour moi, mais c'est tout bonnement énorme :)

Merci encore et je souhaite plus que tout que ce chapitre aussi te plaira:)

Black Renéga:

Merci pour tes reviews! Bien que je ne sache pas si tu es arriver jusque là, j'espère que tu as appréciez ce voyage que j'ai décris. Pour le « McGregor » en question, je cherchais simplement des nom anglophones et je ne connais pas le groupe Tandem, je suis une grande inculte, je ne m'interesse, hélas, qu'à ce que j'affeccionne tout particullièrement et le rap n'en fait pas encore partie...

Enfin, merci encore et je me réjouis de connaître ton avis :)

Moonytoon:

aaah ma pandore préférée :)

Tout comme je l'ai dit à Herm'021, tu as exctement compris ce que je voulais transmettre et ça me touche énormément. Le faite que tu apprécie compte beaucoup:)

Je suis toute désolée pour Remus mais je n'avais pour ainsi dire pas le choix, l'intrigue devait être dénouée et Remus était une des clés. A quelque parts, chaque choses à son rôle particulier et le suit bon ou mal gré...

Enfin voilà, j'espère l'avoire finie en beauté, bien que ce ne soit pas la toute fin et j'espère avoir vite ton opinion :)

Et voilà Merci à tous ceux qui m'ont envoyez une review, pour ceux qui ne l'aurait encore jamais fait, c'est le moment ou jamais :) pensez à ma pauvre petite personne traumatisée ;)

La suite devrais venire plus rapidement (oui, je sais, vous connaissez la chanson, et la dernière fois que j'ai dit ça, je m'était lourdement plentée mais cette fois c'est moins probable vu que l'épilogue ne sera pas aussi long qu'un chap normale et encore moins que celui-ci) et si vous voulez, c'est avec plaisir que je lirais vos mails incendiez qui me rappellront que j'ai un épilogue à écrire et travailler. Certains ne se sont pas gêné pour m'envoyez de nombreux mails et c'est eux qui m'ont le plus motivés, remerciez-les donc :)

Bisoux à tous et à bientôt (je l'èspère)