Décharge: Ouais bon je me décharge de tout etc... et blablabla. Mais je l'ai déja mis avant et je le remettrai plus et ceux à qui ça plaît pas c'est pareil! voilà! bonne lecture!

Chapitre 1

Cela fait 3 semaines que je vis chez eux et que je les sers. Se ne sont pas des patrons exigeants : un jour où je rangeais les affaires de Sophie, elle est arrivée et, de ça douce voix m'as dit :

Sophie- Kintaro ? Mais que… allons ! Laisse. Tu n'as pas à faire ça. Et puis j'aime ranger les choses moi-même, comme ça si je perds quelque chose je ne peux m'en prendre qu'a moi-même , sa voix était mélodieuse. Je me sentais emporter vers, ce que j'appellerai, un paradis vocale remplie de mélodie qui vous réchauffe le cœur, Va plutôt profiter du beau temps. Tu ne veux aller à la plage ?

Je fut toucher de sa gentillesse, mais je n'étais pas là pour me détendre.

Kintaro- Merci mais il y a sûrement encore beaucoup à faire. Mais merci de vous… pardon, de te soucier de moi.

S- C'est que… je voulais aller à la plage, comme lorsque mes parents étaient encore parmi nous. Ils m'avaient adopté mais je les aimais quand même et ils m'aimaient aussi. Nous allions souvent à la plage et je n'aime pas aller seul à la plage, seulement comme je ne connais encore personne…

K- Je ne sais pas, je vais voir avec ton oncle.

Kintaro se dit que si effectivement cela lui rappelait ses parents peut-être comprendrait-elle qu'elle a ici une nouvelle famille et une nouvelle vie qui l'attendait. Et puis elle avait besoin de se changer les idées. Il s'empressa donc d'aller en parler à son employeur.

Hajime- Hum ! C'est vrai qu'elle allait souvent à la plage avec mon frère et sa femme. Et bien c'est d'accord. Il y a un parasol, un ballon de volley et des crèmes dans le débarras. Le ballon a sûrement besoin d'être regonflé.

Ainsi il alla annoncer la bonne nouvelle à Sophie :

K- Sophie, ton oncle est d'accord.

S- Fantastique, elle ouvrit la porte de sa chambre d'un seul coup Comment tu me trouves ?

Elle avait mis son maillot de bain, probablement en prévision de la réponse de son oncle.

K- Je bourrais bieux t'adbirer quand je d'aurait blus bal au dez !

S- Que …? Qu'est-ce qui s'est passé ?

K- J'édais derrière da borte quand du l'as ouberde, je grois que j'ai le dez gazzer.

S- Ouh ! Pardon, je suis désolé !

K- C'est bas grabe !

S- Viens, on va s'occuper de ça.

Elle le pris par la main et l'amena à la salle de bain. Sa main était chaude et accueillante. Un étrange courant le parcourut. Il s'imagina que pour s'excuser de sa méprise elle se mettrait à s'occuper de lui comme jamais une femme ne s'était occupée de lui. Il l'imagina très entreprenante ! Kintaro reprit soudain ses esprits et pensa :

K- «M'enfin Kintaro, ressaisit toi. Elle est mineure. De plus elle a perdu ses parents, c'est un grand choc psychologique pour quelqu'un de si jeune. Comment as-tu pu y songer un seul instant ? Tu devrais avoir honte!»

Confuse, Sophie décida d'appeler son oncle :

S- TONTON !

Surpris d'être appeler et par la voix de sa nièce, Hajime se précipita en courant dans la salle de bains et, Kintaro étant plus grand que sa nièce il ne put apercevoir cette dernière et s'imagina alors que Kintaro tentait de profiter de la jeune fille. Pris d'un accès de rage Hajime attrapa Kintaro par l'épaule, le retourna et lui mit son poing en plein milieu du visage. Surpris Kintaro ne put que se plaindre :

K- Ouh ! Mais arrêdez abec bon bovre dez !

S- Arrête ! Il s'est pris ma porte dans la figure. Je t'ai appelée pour que tu me dises quoi faire. Pas pour que tu lui fasses encore plus mal.

H- Oh ! Heu… désolé, je ne te voyais pas alors j'ai tout de suite pensé au pire.

S- Bien sûre, Kintaro m'aurait fait du mal ? Et puis tu pense pas que j'aurais plutôt crié « à l'aide ! »

H- Dans ces situations on ne réfléchit plus. On suit son instinct.

Oublié de ses patrons, Kintaro rappela sa présence :

K- Heu… on bourrait s'ogguper de boi ?

H- Oh oui, c'est vrai. Il faut faire plus attention ! Et je vous dis ça à tous les deux. Vous voyez ce que l'imprudence peut faire !

K- Sophie a été imbrudente bais ça fait doujours boins bal que don boing dodder bolondairebent. Aïe ! Ca bait bal.

Après que Kintaro fut soigné, il se changea et pour aller à la plage comme il en avait été convenu avant qu'il ne prenne la porte en pleine figure.

K- Sophie ! Je suis brès.

S- Attention je sors.

K- Ne t'en fait bas, je de suis bas derrière da borte zette vois. Je d'ai bas envie de la rebrendre en bleine vigure, ajouta-t-il avec une pointe d'humour dans la voix.

S- Alors ? Comment suis-je ? Tu n'as pas eu le temps de me le dire tout à l'heure.

Kintaro prit cette fois plus le temps de l'admirer : elle portait un bikini orange à pois blanc. Le haut de son bikini était composé de triangle qui ne cachaient qu'un partie de sa poitrine. Poitrine qui, comme les aimait Kintaro, était assez opulente. Quant au bas, elle aurait put mettre un string, la différence n'aurait pas été flagrante ! Ses fesses étaient bien rondes et avaient une forme parfaite. Ce n'était des fesses rondes mais flasque de quelqu'un qui mange tout et n'importe quoi et qui fait des régimes accordéon. Non ! C'était des fesses rondes et fermes des quelqu'un qui mange sainement et qui prend soin de son corps. C'était le rêve de Kintaro qui devenait réalité. Ils passèrent leur temps à Bronzer, nager et jouer au volley-ball. Les deux dernières activités étaient les préférés de notre cher ami car c'était à ces moments qu'il pouvait le plus admirer le sublime corps de la belle jeune fille, dont la poitrine tressautait de nombreuse fois pendant la partie de volley-ball, et dont la courbe des fesses était le plus admirable pendant la natation. Kintaro dut à plusieurs reprise reprendre ses esprits quand ce n'était pas Sophie qui, malgré elle, le rappelait à l'ordre :

S- Kintaro ?

Kintaro qui évidemment était perdu au pays des rêves éveillé ne pouvait que vaguement répondre par un :

K- Huh ?

S- Tu as de la bave qui coule. Tu vas bien ?

Le pauvre Kintaro ne pouvait avouer à la pauvre jeune fille qu'il fantasmait sur elle malgré qu'elle soit bien plus jeune que lui et que son oncle soit le patron de notre pauvre ami obsédé. C'est pourquoi il devait toujours trouver une excuse bidon pour se justifier, ce qui finit par être gênant lorsqu'il avait utilisé toutes les excuses possible et imaginable.

K- C'est la chaleur ! Il fait tellement chaud ! Il faut que je boive un coup, tu as soif ?

S- Non-merci !

Mais heureusement le supplice de notre pauvre Kintaro était presque fini car il fut bientôt l'heure de rentrer. Là Hajime leur annonça à tous les deux :

H- Dans deux jours c'est la rentrer des professeurs et dans trois jours celle des élèves, donc la tienne Sophie. J'espère que tu te feras des amis rapidement.

Ainsi ils allèrent se coucher sachant que les vacances était presque terminé et que dans 2 à 3 jours le rythmes qui régirait cette maison durant le presque un an prendrait la place du rythme vacanciers.


Voilà. ça c'était la suite, le chapitre 1. C'est soit dans le 2ème, soit dans le 3ème que Onizuka arrive. Et oui, désolé.je sais pas encore si cette fic vas engendrer beaucoup de chapitre mais bon! Pour ceux qui connaissent GoldenBoy: je continue comme ça où je continue en racontant du point de vue de Kintaro comme dans le Manga?dites-le moi. merci. Bon ben sinon j'éspère que vous appréciez. salut (la suite sous-peu, et elle sera, je pense, plus longue.)