Harry Potter ; Avada Kedavra
Livre : Harry Potter 7
Titre : Harry Potter ; Avada Kedavra
Auteur : Kess
Les personnages et les lieux appartiennent à JKR
Petit mot de l'auteur : Hello ! Ceci est mon premier texte alors, si vous le voulez bien et si vous avez le temps, faites moi des remarques, des critiques, …Tout sera accueilli avec joie !
… ( ; ) 1ère partie ( ; )…
Harry Potter ; Avada Kedavra
1. Nuit mouvementée
Un cri brisa le silence du 4, prive drive, chez Mr et Mrs Dursley. Leur fils, Dudley, s'était réveillé vers 3h30 du matin avec un pressant besoin d'aller aux toilettes. En revenant de là, il entendit un petit bruit dans la chambre de son cousin Harry. Harry Potter avait été adopté par sa tante Pétunia et son oncle Vernon il y a 17 ans de ça. Depuis ses 11 ans, Harry partait chaque 1er septembre et revenait en fin du mois de juin. Pendant tout ce temps, il avançait dans ses études à Poudlard, l'école de sorcellerie. Car Harry Potter était un sorcier, un sorcier qui allait très bientôt retourner à Poudlard pour y faire sa dernière année d'études. Tout ce qui traitait de près ou de loin de sorcellerie effrayait et mettait en colère les Dursley, si bien que Harry n'avait jamais rien à leur dire. Voila pourquoi Dudley fut au départ effrayé en entendent un bruit étrange dans cette chambre. Mais il se rassura vite en se rappelant que son cousin n'avait pas le droit d'user de magie en dehors de son école (sa mère le lui avait assuré). Aussi sa curiosité prit-elle le dessus et il ouvrit la porte de la chambre suspecte aussi silencieusement que possible. C'est ce qu'il vit qui lui arracha le grand cri qu'il poussa et qui réveilla ses parents pendant que Harry faisait comme s'il n'avait rien entendu. Harry Potter tenait sa baguette magique droite devant lui et il lançait un sort. Harry essayait de métamorphoser un livre sur les insectes (en très mauvais état car c'était un livre de Dudley) en un livre sur les sortilèges complexes et sur les sortilèges impardonnables. Il avait appris comment faire en 6ème, c'est-à-dire l'année passée. Il voulait essayer d'apprendre « Avada Kedavra », le sortilège de la mort. L'année passée, il avait passé beaucoup de temps à se renseigner dessus et au début des vacances, il avait reçu l'autorisation de la part du ministère de la magie comme quoi il pouvait s'exercer sur de petites bêtes. Car, même s'il n'en avait pas envie, Harry était le seul capable de tuer le Seigneur des ténèbres, Voldemort. Une prophétie disait : « l'un d'eux devra mourir de la main de l'autre car aucuns d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit » donc Harry n'avait pas le choix : c'était ou il tue, ou il meurt, mais tout ça, Dudley était incapable de le comprendre. Le livre en question qui était très usé commençait à devenir neuf et le titre était à moitié changé lorsque l'oncle Vernon et la tante Pétunia arrivèrent en courant. A leur arrivée, Harry leva la tête et leur adressa un grand sourire. Il baissa sa baguette (le livre qui flottait dans les air tomba par terre) et regarda les Dursley qui ne bougeaient pas comme paralysés par l'étonnement et la peur en continuant a sourire. L'oncle Vernon fut le premier qui retrouva l'usage de la parole.
- Peux-tu nous expliquer ce que ça signifie ? Nous pensions que n'a pas le droit de faire de la magie en dehors de ta maudite école ! Explique-toi ! aboya l'oncle Vernon sur Harry qui gardait son grand sourire.
- Vouspensiez que je n'avais pas le droit de faire de la magie en dehors de mon école géniale, corrigea Harry en appuyant bien sur le « avais ». mais vous pensiez juste jusqu'au début des vacances. Désormais, j'en ai le droit. Vous vous demandez sûrement pourquoi je ne l'ai pas dit tout de suite ? Pour trois raisons : d'abord parce que j'ai un travail urgent à faire, ensuite parce qu'on me l'avait interdit en me disant que si il y avait un problème, quelqu'un viendrait et aussi parce que depuis la fin de ma cinquième année, vous me traitez mieux…Ah… et aussi parce que je vais sûrement m'en aller très bientôt, dans une semaine maximum.
- Et pourquoi est-ce que tu t'en irais ? Je te rappelle que nous ne sommes que le 17 juillet et tu vas à l'école le 1er septembre, demanda l'oncle Vernon avec le ton et l'expression de celui qui a toujours raison.
- Je m'en vais dans un certain endroit avec mes meilleurs amis, répondit vaguement Harry
- Très bien. Eh bien alors, mon garçon, il va falloir préparer tes affaires, demain,dit l'oncle Vernon avec une joie immense non dissimulée qui se lisait sur son visage à livre ouvert. Alors on va tranquillement retourner se cou…
- Attend !l'interrompit Harry. J'ai quelque chose pour Dudley. «Accio crème canari » !
Dès que Harry eut fini de prononcer ces mots, la lame de parquet branlante se leva et un petit gobelet qui ressemblait fort à un yaourt en sortit en lévitant jusqu'à la main de Harry tellement vite que les Dursley n'eurent pas le temps de prononcer une parole. Sur ce petit « yaourt », il y avait écrit : « Crème canari, de Fred et George Weasley, farces pour sorciers facétieux. ». Harry donna le gobelet à Dudley en prenant bien soin de cacher ce qu'il y avait d'écrit. Il lui demanda ironiquement si il voulait une cuillère avant de proclamer : « Accio cuillère » ! Une poignée de secondes plus tard, une cuillère à café se trouva comme par magie dans la main de Harry qui la tendit à Dudley. Sans prendre le temps de remercier son cousin ni de se méfier, ce dernier enleva le papier hermétique qui recouvrait le « yaourt », empoigna la cuillère et se mit à manger comme une personne qui n'avait rien avalé pendant une semaine. Cependant, l'oncle Vernon qui se trouvait devant son fils lui cria d'arrêter, effrayé à la fois par le fait que Dudley mange quelque chose qui lui fut donné par un sorcier, qui, en plus, s'appelait Harry Potter, mais surtout parce qu'il avait, en regardant le petit gobelet, lut ce qui y était écrit. Comme vous le savez, la famille des Dursley haïssait tout ce qui traitait de près ou de loin au monde surnaturel, et donc lorsque l'oncle Vernon vit écrit : « farce pour sorciers facétieux » il prit peur. Alors qu'Harry qui essayait de cacher son fou rire depuis un bon moment n'y tint plus et éclata de rire, Dudley se transforma en un gros canari qui aurait pu, s'il avait été moins dodu, servir de mascotte à l'équipe de Quidditch de Poufsouffle, pensa Harry. La diversion provoquée par Dudley mit très en colère l'oncle Vernon et lui enleva la joie qu'il avait de voir partir Harry plus tôt que les autres années (d'ordinaire, il ne partait que vers début août. Cependant, il ne dit rien pour deux raisons. D'abord car Dudley avait reprit son apparence habituelle, et aussi car désormais qu'il savait que son neveu avait l'autorisation d'utiliser sa baguette magique. Aussi il demanda à sa femme de se taire (elle n'avait pas arrêter de crier) et à Dudley et sa mère d'aller se coucher. Lorsqu'ils furent les deux sortit, il lança à Harry :
- toi, je peux te dire que si tu ne partait pas bientôt, ce qui est une très bonne chose, tu te…
L'oncle Vernon fut interrompu net dans sa menace, car Hedwige venait d'entrer, une lettre accrochée à la patte. Harry se précipita vers elle et décrocha la lettre avec impatience. Puis il alla chercher sous la lame de parquet branlante un patacitrouille, le déballa et alla le donner à la magnifique chouette blanche qui lui mordilla affectueusement le doigt et alla se percher sur la penderie à Harry, sa friandise dans le bec. Harry déplia la lettre et la lut, en reconnaissant l'écriture de Remus Lupin :
Harry,
Je viendrais te chercher le 18 juillet, vers 13h00. Je transplanerais devant chez toi, et pour repartir, nous utiliserons un portoloin.
Remus Lupin
Lorsqu'il eut pris connaissance de la lettre, Harry se retourna vers l'oncle Vernon qui se taisait depuis l'entrée d'Hedwige et lui dit :
- Quelqu'un viendra me chercher demain à 13h00.Est-ce que je peux finir ma métamorphose, maintenant ?demanda Harry d'un ton tinté d'ironie.
- M'en fiche. 'nuit, fut la réponse de l'oncle Vernon dans un bâillement.
Lorsque la porte se fut fermée, Harry fini sa métamorphose, feuilleta son nouveau livre, caressa Hedwige et alla se coucher, éreinté.
Le lendemain matin, Harry se leva plus tôt qu'il ne l'aurait voulu. Il était déjà debout et habillé à 9h00 et, lorsqu'il descendit prendre son petit déjeuner, il n'y avait personne dans la cuisine. Il se servit à manger, tout en réfléchissant à ce qu'il allait faire du reste de sa journée. Dés qu'il eut fini, il rangea son assiette, alla dans sa chambre chercher son « nouveau » livre et sortit dans le jardin pour le lire. Il chercha dans le sommaire un ou plusieurs chapitres traitant sur l'Avada Kedavra. Il trouva trois chapitres qui parlaient de ce sortilège, les chapitres 11, 12 et 13 :
11. Comment lancer le sortilège de la mort
12. Pourquoi est-il devenu Impardonnable ?
13. Le garçon qui a survécu à l'Avada Kedavra
Par curiosité, Harry eut envie de lire le chapitre 13, mais il s'en abstint. Il sourit en voyant le titre du 11ème chapitre en se disant qu'il comprenait très bien pourquoi ce livre n'était pas vendu dans des librairies et que quiconque le lisait était enfermer à vie à Azkaban. Lui avait d'ailleurs du obtenir une autorisation du Ministère de la magie et l'avait obtenue avec beaucoup d'efforts et avec l'aide constante de Dumdledore. D' ailleurs, sur la première page, il était écrit : « ouvrage illégal. A remettre au ministère de la magie. ». Il ouvrit le livre à la page 113, chapitre 11, et commença à lire.
Le sortilège de la mort est un sort très complexe. Peu de personnes savent le lancer. Pour le réussir parfaitement, il faut s'exercer de longue et plusieurs fois. Nous vous conseillons de vous entraîner sur de petites bêtes, comme les lapins ou les souris, et de ne pas le faire en public, de peur d'effrayer la population, sorciers comme Moldus. Harry arrêta sa lecture. Il se demanda comment réagiraient Ron et Hermione s'ils savaient qu'il allait s'entraîner durant toute l'année scolaire à lancer le sortilège de la mort sur de petites bêtes. Il se dit qu'ils seraient sûrement effrayés, car il ne leur avait pas parlé de la prophétie. Il sourit en se disant qu'il ne saurait jamais se souvenir du nombre exact des fois ou Ron disait : « c'est vraiment dommage que la prophétie se soit brisée. Tu n'aurais pas voulu savoir ce qu'il y avait dedans, Harry ? », ou alors quand Hermione laissait échapper un : « Si elle ne se s'était pas brisée, on ne serait pas en train de chercher à l'aveuglette ! »pour elle-même. Car ses amis étaient persuadés que Voldemort voulait tuer Harry pour une raison bien précise, chose qu'Harry ne pouvait nier, et ils cherchaient à l'aveuglette un peu partout. En pensant à ses meilleurs amis, Harry songea qu'il avait bien remarqué les regards que l'un lançait à l'autre lorsqu'il avait le dos tourné. S'ils ne le remarquaient pas, ou s'ils ne le voulaient pas, Harry se promis de faire quelque chose pour qu'ils le remarquent. Les pensées du jeune homme vagabondèrent de ses amis à Poudlard, de Poudlard au Quidditch, du Quidditch à son père et de son père à SiriusSirius… Il lui manquait énormément. L'année passée, il avait refusé de retourner à Square Grimmaurd, et bien qu'il n'avait pas dit pourquoi, tous avaient deviné qu'il s'en voulait que Sirius soit mort. A l'école, Ron et Hermione avaient réussi à le convaincre que c'était Bellatrix, et seulement elle qui était responsable du décès de son parrain. Il continua à rêvasser pendant un bon bout de temps, allongé sur l'herbe et sous le soleil, et lorsqu'il se reprit, il continua sa lecture. La technique est la suivante :
Mouvement de la baguette : Le mouvement est des plus simple. Il suffit de pointer la baguette sur l'adversaire sans la bouger. Mais attention ! Il ne faut surtout pas avoir peur de tuer votre adversaire ! Le sort ne marcherai pas ou alors il pourrait vous affaiblir considérablement !
Formule magique : il vous faut prononcer d'une voix forte : Avada Kedavra en accentuant bien le « vada » et le « vra » Si vous vous interrompez, le sort ne marchera pas et si votre voix exprime de la peur, vous ne pourrez pas tuer votre adversaire. Au meilleur des cas, votre ennemi sera trop affaibli pour prononcer une parole. « Ce serait déjà ça, pensa Harry »
L'incantation et le mouvement de la baguette ne suffisent pas à tuer votre adversaire. . Pour vouloir jeter ce sort, il faut penser au plaisir que l'on éprouverait si la personne qu'on veut tuer était morte. « Très bien, se dit Harry. Si Voldemort était mort, je n'aurait plus besoin de rester sans cesse sur mes gardes et je pourrait enfin vivre en paix, avec la joie de pouvoir dire : j'ai vengé mes parents ! ».Puis, une voix, quelque part dans sa tête lui dit : « oui, tu pourra le dire, mais si tu meurs, tu reverras Sirius… » Il chassa cette pensée d'un mouvement de tête en se disant qu'il aurai bien le temps de mourir plus tard.
A cet instant, un bruit se fit entendre à la cuisine. Harry se leva brusquement, referma son livre et couru dans sa chambre, en prenant bien soins de ne pas se faire voir, et donc de passer par la porte principale qu'il avait pris soins d'ouvrir, et repassa dans le jardin pour aller voir se qui se passait dans la cuisine. Il vit les Dursley qui étaient en train de déjeuner avant que Dudley, voulant aller se resservir de lard, trébucha et cassa son assiette. En regardant d'un coup d'œil la pendule et vit avec étonnement qu'il était dix heures moins cinq. Il claironna bien haut un « Bonjours ! » plein de joie car s'était la dernière fois qu'il entrerait dans cette cuisine le matin. Les Dursley levèrent la tête et l'oncle Vernon et la tante Pétunia lui répondirent, partagés entre la joie qu'ils soient enfin débarrassés de lui et le malheur que Harry soit aussi enchanté qu'eux. Ils finirent par s'arranger d'un regard qu'ils feraient une exception ce jour-là en laissant éclaté leur joie. Ils le laissèrent manger ce qu'il voulait, lui donnant les plus grosses part, et Dudley, qui avait ramassé son assiette tout seul (ce qui est un exploit pour lui) n'osa même pas se plaindre, car, depuis ce qu'il avait vu la veille, il avait une peur terrible et inébranlable de son cousin. Lorsque Harry eut mangé à sa faim, il alla préparer ses bagages. Il y mis le plus de plaisir possible et alla très lentement. Les livres, les uniformes, la baguette, le balais, etc. Lorsqu'il eut fini, il regarda l'heure et vit qu'il était 10h. 45 (il faut compter le temps du déjeuner). Il soupira, mais se rendit compte que, s'il attendait avec impatience de revoir Ron et Hermione, il appréhendait de revoir les membres de l'Ordre, En particulier Remus Lupin, Mrs Weasley, Maugrey et Tonks. En ce qui concerne Rogue, Harry appréhende toujours de le voir, ce n'est pas inhabituel, alors…
Pour faire passer le temps, Harry chercha des petites bêtes dans le jardin. Il n'en trouva aucune, et étant donné qu'il ne voulait pas abandonner, il alla continuer sa recherche dans un champ, à une demi heure de là. Il chercha pendant trois quarts d'heures et rentra chez les Dursley, les bras encombrés de deux grosses souris qui se débattaient, se maudissant de ne pas avoir emporté de cages. Il arriva chez lui un quart d'heure avant une heure. Il alla dans sa chambre et enferma les souris dans la cage d'Hedwige, qui était partie chasser. Les souris était justes trop grosses pour passer entre les barreaux. Chose faite, Harry regarda avec intensité tous les coin et tous les recoins de sa chambre. Non pas qu'il l'aimait particulièrement, mais il voulait fixer avec exactitude cette image dans sa tête. Les murs blancs, qui commençaient à perdre de la couleur, L'armoire vide, le bureau tout aussi vide. C'était là, que, l'année passée, il avait reçu ses résultats de BUSE. Il faisait ses devoirs de vacances alors qu'une chouette blanche tachetée de noir et de brun était entrée. Harry avait détaché la lettre de Poudlard avec son adresse écrite à l'encre verte et le symbole de Poudlard au dos et avait voulu donner à boire à la chouette, mais, avant qu'il ne fasse un geste, elle était partie. Il avait ouvert la lettre avec appréhension et l'avait lue. Il y avait un mot d'introduction du professeur McGonagall et ensuite suivait chaque matière en colonne avec, en face, sa note totale (théorie pratique). Harry n'avait pas été étonné lorsqu'il avait lu qu'il avait obtenu un O en matière contre les forces du mal, mais avait été surprit d'apprendre qu'il avait obtenu des E en sortilèges et en métamorphose. Il avait par contre poussé un cri en lisant : «Potions O ». Il avait examiné dans tous les détails sa lettre en se disant que c'était celle d'un autre élève, ou alors que les examinateurs avaient confondu son flacon avec celui de quelqu'un d'autre. Puis il avait fini par admettre que c'était sa lettre en se disant que lorsqu'il n'y avait pas Rogue à côté, il était doué pour les potions. Ron aussi, d'ailleurs, car il avait aussi obtenu un O en potion. Dans les autres branches, il avait eu un E en soins en créatures magiques et en botanique, un A en astronomie, un D en divination, ce qui ne l'avait pas étonné et un P en histoire de la magie. Ron avait eu les mêmes notes que lui, excepté la défense contre les forces du mal (il avait eu E) et la divination (il avait eu P). Hermione, évidement, avait obtenu un O dans toutes les matières sauf en défense contre les forces du mal (elle avait eu E). Lors de leur 6ème année, Harry, Ron et Hermione avaient donc continué les mêmes cours que lors de leur 5ème année, à l'exception que Ron et Harry avaient laissé tomber la divination et Rogue avait été étonné, en colère et déçu de les avoir à nouveau dans son cours. Drago Malefoy était là. Lui aussi, mais il avait obtenu E en potion. Crabe et Goyle, eux, avaient obtenu des P partout, excepté en botanique. Rogue n'avait pas pu les prendre dans son cours. Harry et Ron voulaient devenirs Aurors, si possible en équipe. Leur notes leurs permettant de suivre cette voie, il en plaisantaient souvent. Hermione hésitait encore. Elle disait qu'elle pourrait toujours décider après avoir eu ses diplômes. Au grand soulagement de tout le monde, Elle avait laissé tomber la SALE. Pour en arriver là, il avait fallu qu'Harry et Ron aillent supplier les elfes de maisons de Poudlard de recevoir Hermione et de la convaincre qu'ils ne voulaient pas être libre. Après un dur combat d'argumentations, Hermione avait cédé et laissé tomber la SALE. Harry sourit en pensant à ça. Le jeune sorcier sortit de ses souvenirs et regarda avec intensité le lit. C'était sur ce lit qu'Harry avait eu l'Idée. Elle lui paraissait si simple qu'il regrettait de ne pas en avoir penser avant. Il s'était dit qu'il aurait pu en parler à Sirius, et que ça aurait été bien moins dangereux, car son parrain avait de l'expérience. Il avait l'intention d'en parler à Ron, mais en tout cas pas à Hermione. Elle aurait sitôt fait d'essayer de l'en dissuader. Il savait qu'elle irait tout aller raconter au professeur McGonagall. En temps normal, jamais elle ne l'aurait fait, malgré ses menaces, mais là, c'était vraiment très, très dangereux. Il continua d'enregistrer sa chambre dans sa tête. Il y avait la fenêtre à laquelle son oncle avait accroché des barreaux il y avait cinq ans. Il se rappela la façon dont Ron et ses frères Fred et George les avaient ôtés. Un autre sourire lui échappa. L'oncle Vernon n'avait jamais vu nécessaire d'ôter ces fameux barreaux, si bien qu'ils y étaient encore au début de l'été. Mais ce que son oncle ne savait pas, c'est que ce qu'Harry avait fait en premier ou presque lorsqu'il était rentré à la fin de sa 6ème année d'école avec l'autorisation de faire de la magie était bien d'ôter ces horreurs. « Comme ça, si j'ai des enfants, je leur raconterait en détails l'enfer dans lequel j'ai du vivre pendant sept ans, après un placard. »pensa Harry avec un sourire amer. Alors qu'il replongeait dans ces souvenirs, quelqu'un sonna à la porte. Harry jeta un dernier regard circulaire à sa chambre et dévala l'escalier pour aller ouvrir.
A suivre…
Ca vous a plu ? Je me dépêcherais d'écrire la suite, mais je ne promets pas d'écrire à la vitesse de l'éclair, Bien que l'histoire soit bien avancée dans ma tête. Ecrivez moi vos remarques !!!A bientôt !!!
