Harry Potter; Avada Kedavra
Titre Harry Potter; Avada Kedavra
LivreHarry Potter
AuteurPhany
Petit mot de l'auteur : Je sais, j'ai fait long, mais épargnez moi ! Maintenant, j'ai deux fics en même temps, et en plus y'a l'école, les devoirs, la gym, la lecture (eh… oui… Fan fiction ne remplacera jamais un bon livre !) Et en plus, quelques autres sites sur lesquels je vais souvent… pardonnez-moi !) Et faîtes honneur à mon autre fic, Scyllaë !Merci, et bonne lecture !
RAR
Coweti : Hello ! Mille merci pour avoir répondu en me laissant une petite review… Je te répondrait plus longuement la prochaine fois, en attendant, Bisouxxxxxxxx !
diaelo : Merci merci merci merci… J'adore avoir de nouveaux revieweurs, et si en plus ils aiment ! Le rêve ! Merci ! Bisouxxxxxxxx !
Tusaisquoi : Merci beaucoup !
Chocovany : MICIIIIIII ! Merci ma morginouchouchou ! Mais tu devrais arrêter de faire des bêtises genre celles dans ce chapitre, sinon, je plaint ta maison (en l'occurrence : Gryffondor !) Bisouxxx !
Elaur : Merci ! C'est tellement gentil de m'avoir mise dans tes auteurs et tes histoires préférées ! Mais au fait, comment tu l'as « Connue », ma fic ? Ou l'as-tu vue ? En attendant ta réponse, s'il y en a une : Bisouxxx !
Partie douze : Harry Potter ; Avada Kedavra
12. Halloween
Morgane et Zélie avaient accepté l'excuse de leurs amis, et ne s'étonnaient plus de les voir partir. Harry s'était étonné de la lettre de Voldemort, la trouvant trop directe. Cependant, il n'en avait rien dit ni à Ron, ni à Hermione. Le lendemain au matin, il était allé ranger la lettre dans le placard qu'ils n'ouvraient jamais. Le survivant s'était dit qu'il réfléchissait, et qu'il avait encore un mois pour trouver une excuse. Comment aurait-il pu convaincre Dumbledore de lui donner une salle ? S'il ne le savait pas il devrait tout dire à ses amis, y compris leur parler de la lettre. Il essayait de le cacher à ses mais, mais au fond de lui, il aurait tellement voulut le leur dire… Mais à chaque fois qu'il y pensait, il voyait Hermione se faire tuer par Bellatrix, ou Ron subissant le sortilège Doloris, par Malefoy. Il ne savait que faire, mais se dit que un mois, ce n'était pas beaucoup… Pour le Cupidéa, Harry n'avait pas vraiment fait attention aux personnes qu'il voyait. Mais ce matin, il avait l'intention de bien dévisager tout le monde. Il se réveilla plus tôt que les autres, et alla faire un tour. Soudain, il vit au loin une personne qui brillait, d'un halo rouge et rose. Il s'approcha, curieux, alors que la personne en face de lui faisait de même. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit que cette personne était Luna. Il lui demanda :
>Tu pratique le Cupidéa ?
>Oui. Ma mère me l'avait dit. Mais avec qui peux-tu parler ? répondit Luna.
>Avec mon parrain. Tu l'as déjà vu, mais aux instants de sa mort. C'est lui qui est tombé derrière le voile, il y a deux ans. Et toi ? Avec qui parles-tu ?
> Avec ma mère. Tu sais qu'elle est morte, je te l'avais raconté. Mais en fait, pour moi, elle n'est pas vraiment morte. Et puis, à chaque fois que j'ai l'air absente, ou dans la lune, c'est que je parle avec elle. Je ne prend pas la peine de dissimuler le fait que je pratique ce sortilège, mais personne ne le connaît suffisamment pour faire le rapport. Elle a toujours une voix heureuse, quand je lui parle, mais depuis que ton parrain lui a « Parlé », elle est vraiment transformée ! Tu crois que les morts peuvent parler entre eux ? Ma mère ne veut rien me dire…
> Je pense que oui, répondit Harry, surtout que Sirius aussi a l'air heureux, et peut-être même amoureux. Il prétend qu'elle est jolie… Ca veut dire qu'ils se voient… Mais peut-être qu'ils nous font une blague, ce serait son genre…
> Il s'appelle Sirius, ton parrain ? Comme l'étoile ?
> Oui…
Harry et Luna discutèrent encore un moment, puis ils allèrent manger, Luna à sa table, Harry à la sienne, rejoignant de ce fait Ron et Hermione qui déjeunaient.
Le soir d'Halloween, un peu avant le banquet, Ron, Harry et Hermione discutaient à la bibliothèque. Cette fois, c'était Zélie et Morgane qui étaient parties sans rien leur dire... A voir…
> Mais qu'est ce qu'elles font ! se demanda Ron à haute voix pour la ixième fois.
> Je te parie qu'elles sont allées préparer leur farce, répondit Harry, comme les fois précédentes.
> Et puis, tu n'a qu'à attendre pour le savoir ! lui dit Hermione. Au fait, il faudra désormais investir un peu plus de temps dans la préparation de la JRS, pour ne pas faire d'erreurs. Et, vous savez…
Harry n'entendit pas la suite. Ce qu'il entendit, ce fut la voix de Sirius, inquiète, qui lui dit :
« Malefoy essaye d'entrer dans ta salle. Il n'en a pas le mot de passe… »
Horrifié, Harry sortit de la bibliothèque en courant, sans prendre le temps de dire à Ron et Hermione ce qui se passait Ceux-ci, surpris, se lancèrent un coup d'œil, puis laissèrent tout en plan et coururent derrière leur ami. Harry courrait de toutes ses forces, et demanda à Sirius :
« Est-il toujours là ? »
« Oui »répondit Sirius « Sort ta baguette, tu en aura besoins si il te provoque… Mais fait attention… Malefoy peut t'enlever des points, te donner des retenues, et qui sait s'il n'a pas déjà rejoint Voldemort ? »
« Je ferai gaffe, ne t'en fait pas ! Mais je découvrirais comment cet imbécile a fait pour connaître notre salle ! »
Harry était déchaîné. Il ne comprenait pas comment Malefoy avait fait pour savoir qu'il avait une salle, ni comment il avait fait pour savoir ou elle se trouvait, mais désormais, bonjours la discrétion ! Il risquait de tout dévoiler ! Que faire ?
« Sirius ? A ton avis, que devrais-je faire ? » Demanda Harry à son parrain, comme chaque fois qu'il avait un doute.
« Ne fait rien, fait comme si tu passait là par hasard pour aller à ta salle commune, mais attend Ron et Hermione ! Ils arrivent. Faites semblant de discuter ! Et essayez d'avoir l'air étonné quand vous le verrez ! »
Harry ralentit, transmit les instructions, et tous les trois continuèrent de parler. Lorsqu'ils arrivèrent, ils s'arrêtèrent, comme attirés par le bruit. Malefoy et ses deux Gorilles sortaient justement du couloir.
> Tiens ! Voilà Mon bon roi Ouistiti avec Sang-de-Bourbe et… Oh ! Mais regardez qui voilà ! Potter ! Alors comme ça tu as une chambre privée ?
Harry feignit d'être étonné.
> Ah oui ? Bon, si tu veux, dit-il avec un haussement d'épaules.
Le regard de Malefoy aurait incendié une forêt entière s'ils avaient véritablement lancés des éclairs. Ce cher camarades du trio était tellement hors de lui qu'il n'a pas su lancer une pique à Harry. Il partit avec, derrière lui, ses deux Gorilles. Hermione demanda à ce dernier :
> Comment savais-tu qu'il allait entrer ?
> Parce que… Harry hésitait, puis se décida. Lorsque quelqu'un veut entrer, j'entends une voix dans ma tête qui me dit si ce quelqu'un a le mot de passe, qui c'est, et si je veux bien le laisser entrer.
> Même si c'est nous ?demanda Ron.
> Oui, même si c'est vous, répondit Harry.
> Mais Harry va nous dire pourquoi c'est comme ça, demanda Hermione.
> Mais je n'en sais rien !
Hermione ne dit rien, mais elle le regarda avec un regard qui signifiait bien qu'elle ne le croyait pas. Elle leur dit :
> Venez, on va au banquet.
Lorsqu'ils arrivèrent, presque tout le monde était là, sauf tous les Serpentards. Harry, Ron et Hermione furent surpris, puis se regardèrent, d'un regard complice. Ca devait sûrement être un peu de la faute à Morgane et Zélie… Ils allèrent les retrouver, car elles étaient déjà attablées, devant une magnifique assiette fumante, remplie de plein de bonnes choses. Harry remarqua, avec une intonation particulière dans la voix, un peu comme de l'ironie :
> Vous avez remarqué qu'aucuns Serpentards ne sont là ? Je me demande ce qui les a retenus…
Morgane et Zélie sourirent. Elle se regardèrent, puis éclatèrent complètement de rire. Lorsqu'elles se furent reprises, elles dirent :
> On n'as rien fait !
> En fait si, dit Morgane en baissant la voix. Une nouveauté de Fred et Georges. Ils nous ont demandé de la tester, mais dans une situation réelle. Ça s'appelle L'Eaucol. Regardez…
Morgane sortit de sa poche un papier d'emballage, sur lequel il était noté :
L'Eaucol ! L'eau qui vous colle au sol !
Et tous les cinq se mirent à rire. Ils mangèrent un moment, puis des cris commencèrent à se faire entendre. Des cris d'appel, comme si les personnes qui les poussaient étaient en danger. Les professeurs se levèrent et coururent voir d'où venaient les cris. Les élèves se précipitèrent à leur suite, et par un pur hasard, Harry et Ron se retrouvèrent devant, Hermione quelques rangs plus loin. Ce qu'ils virent les fit pouffer de rire, et ils ne furent pas les seuls. Tous les élèves qui pouvaient voir ce qui ce passait irait, ne pouvant plus s'arrêter. Oubliant leur rôle à tenir, même les préfets s'amusaient comme des fout. En effet, les Serpentard, lorsqu'il savaient voulut sortir de leur salle commune, avaient remarqués un inondation juste devant la porte. Or, ce n'était pas de l'eau véritable. Ils furent tous dupés, et cloués au sol. Même quelques professeurs avaient de la peine à se retenir de rire, et avaient quand même un demi sourire sur le visage. C'était le cas du professeur Belin, du professeur Dumbledore, du professeur Flitwick, et de Hagrid. Le professeur Dumbledore, pour ne faillir à sa réputation de directeur, demanda avec une voix assez fâchée, à savoir qui avait fait ça. Personne ne se dénonça, mais tous les élèves, mis à part les Serpentard, savaient le nom des coupables ! Mais ils n'allaient pas le dire, un peu de distraction, ça ne fait pas de mal ! Mis à part ce petit incident très distrayant pour les Serdaigles, Gryffondor, et Poufsouffles, le soir d'Halloween se déroula paisiblement. Harry avait totalement oublié qu'il devait trouver une excuse pour la salle, et il alla se coucher paisiblement. Ce fut le surlendemain qu'il se passa quelque chose de pas très agréable. Il était très tard, ce soir là, et Harry dit à ses amis qu'il devait ranger un peu la salle. Hermione était exaspérée de cette attitude. Elle savait que son ami lui dissimulait quelque chose… Ingénieusement, en sortant, elle ne ferma pas totalement la porte. Ni Harry ni Sirius ne le remarquèrent. Le jeune sorcier sortit de la cage une cage, dans laquelle était enfermées trois sourit, assez grosses. Il les laissa sortir, et en tua une. Au moment ou il lançait un sortilège mortel sur la deuxième, Hermione entra brusquement, et vit toute la scène. Harry se retourna, et la vit, mais seulement une fraction de secondes. Elle s'était enfuie en courant, en direction de la Salle Commune. Harry entra, et eu juste le temps d'entendre la voix d'Hermione dire :
> … Tue des souris ! Avec l'Avada Kedavra !
Harry entra complètement, et vit Hermione et Ron face à face, les deux avaient l'air effrayé. A son entrée, ils le regardèrent, avec une expression de dégoût, de fr4ayeur, et de déception.
> Je suppose que tu peut nous expliquer ? demanda Ron d'une voix froide, qu'il n'avait jamais entendue auparavant.
Harry soupira. Il était désormais forcé de tout leur dire, y compris la prophétie. Il s'assis dans un fauteuil près de la cheminée. Ron et Hermione ne bougèrent pas.
> Voilà…, commença Harry, En vérité, la prophétie qui s'est cassée, il y a deux ans, en vérité, ce n'était qu'une copie. Et j'ai entendu l'original. Il dit, en gros, que Voldemort et moi, on est en quelque sorte liés. En fait, c'est ou je le tue, ou il me tue. Il ne peut pas mourir de la main de quelqu'un d'autre, et moi de même. Alors, il faut bien que je m'exerce, sinon, s'en est fait de moi ! Et Dumbledore est au courant, donc il m'a permis d'avoir une salle pour m'exercer.
> Ah… Mais pourquoi ne nous l'as-tu pas dit plus tôt ? demanda Hermione. Ca nous aurait évité de nombreuses recherches.
> J'avait peur que si vous en sachiez trop, ça pourrait vous mettre en danger. Et, il y a quelque chose qui m'intrigue. Voldemort m'as envoyé un lettre, il y a quelques temps….Attendez…
Harry monta chercher la lettre en question, et la montra à ses amis. Hermione dit :
> C'est un piège.
> Comment peux-tu en être si sure ? demanda Ron.
> Je n'en suis pas sure, mais ça me parait trop direct. Voldemort a toujours été discret, pourquoi serait-il tout à coup aussi direct ?
> Je ne sais pas, mais j'ai peur de courir le risque que ceux que j'aime soient en danger… avoua Harry.
> Ah, ne t'en fait pas, on sait se défendre ! assura Ron. Et puis…
Ron fut coupé au milieu de sa phrase par Neville qui venait d'entrer. Tout quatre furent étonnés.
> Neville ? Mais qu'est-ce que tu fait là ? demanda Ron, bouche bée.
Neville rougit. Il avait pourtant pris pas mal d'assurance, ces deux dernières années, et dit avec un soupçon de fierté :
> J'était sorti, avec ma petite copine…
> T'as une copine ? On la connaît ? demanda Harry.
> Euh… réfléchit Neville. Je ne sais pas, elle est à Serdaigle. Elle s'appelle Christelle.
> Oui, je la connaît ! s'écria Hermione. Elle est souvent à la bibliothèque, et on parle ensemble, quelquefois. Elle est très gentille.
> Logique, si elle va souvent à la bibliothèque, ironisa Ron.
> Quoi ? répondit immédiatement Hermione, outrée.
> Qui aime bien, châtie bien… souffla Harry, avant de filler dans son dortoir.
Ron et Hermione se regardèrent, gênés, et tous les deux, avec Neville, allèrent se coucher…
A suivre….
Je sais, je sais, ne dîtes rien ! C'était très court, mais si je ne l'avais pas posté tout de suite, vous l'auriez eu au prochain millénaire.
