Et ben ! Tout ceux qui ralaient parce que j'avais mis du temps à écrire la suite… Deux jours, deux chapitres, que du bonheur non ? Bon je ne suis pas encore JKR, mais je m'améliore un peu ? allez, soyez cool, dites oui !
Bon trève de plaisanterie, les RAR (d'ailleurs je remarque que j'ai pas beaucoup de review snif… si vous voulez m'en laisser, pour dire si vous aimez, ou même si vous aimez pas !)
Enola : Ben oui comme quoi, fallait pas désespérer, y'en a des chapitres ! Aller, champagne ! Mais pas pour toi ! ;-)
Ben pour Patty… Il me faut bien un souffre douleur. Mais je vais peut être changer pour Remus, qui sait ?
Alors ça te plait toujours ?
Coq : Hey ! On ne menace pas l'auteur ! Non mais ! Et oui, je publierai plus souvent, promis !
Pour le paquet… Ben je pense qu'il te faudra attendre encore un peu ! ;-) (mouah le sadisme !)
Chapitre 8
La rentrée approchait rapidement pour Harry, Ron et Hermione. Mais ils étaient pressés de retourner à Poudlard. La vie n'était pas très drole pour eux au squarre Grimmaurd cet été. Déjà, Sirius leur manquait à tous les trois. Ses blagues, son rire, ses joutes verbales avec Rogue… Et le pire étaient les regards que les membres de l'ordre jetaient à Harry. Ils le regardaient comme s'il avait perdu un être cher pour toujours. Harry, voulant tenir la promesse faite à son parrain, jouait ce role à la perfection. Mais il trouvait ça lassant.
Il s'en voulait tout de même des mots dits à Remus. Le loup garou semblait l'éviter depuis leur dernière discussion. Il faudrait qu'ils aient une discussion, mais Harry craignait de lui révéler ce que Sirius lui avait dit, et il ne le pouvait pas. Pourtant Remus était vraiment isolé. Il était souvent au QG de l'ordre, et les parmis les personnes qui y étaient à plein temps, se trouvait aussi Patty, qui ne pouvait rester bien longtemps en sa présence, particuliérement les jours précédant et suivant la pleine lune.
Harry s'excuserait plus tard. Quand le moment sera plus approprié, quand Patty aura trouvé quand faire sortir Sirius. Le miroir était en permanence dans sa poche, au cas ou son parrain voudrait lui parler. Mais ils n'avaient plus eu de contact depuis la dernière fois, et Harry commençait à s'inquiéter. Pourvu qu'ils ne lui soit rien arrivé…
Et comme si Sirius avait sentit son filleul s'inquiéter, le miroir chauffa doucement. Harry sourit. Personne ne l'entourait, il pouvait parler tranquillement, du moment qu'il ne réveillait pas Mrs Black.
-Comment vas-tu depuis tout à l'heure Harry ? demanda Sirius.
-Euh… On ne s'est pas parlé depuis trois semaines… Mais je vais bien et toi ?
-Trois semaines ? Pourtant il me semblait que cela faisait à peine une heure ! Ah j'avais oublié… Le temps est tout a fait différent ici ! Dans 5 ans je pourrai avoir la même tête que maintenant, mais j'espère bien sortir avant. La preuve, tes …
Il stoppa sa phrase en faisant une grimace, témoignant qu'il allait trop loin.
-Mes quoi ?
-Harry il y a quelque chose que tu dois savoir.
Le cœur d'Harry battait à tout rompre.
-Oui ? parvint il à articuler.
-Je ne suis pas seul ici. Tes parents sont avec moi Harry. J'aurai aimé te le dire tout à l'heure, enfin il y a trois semaines, mais j'avais peur que tu ne t'embales trop vite.
-Ils sont avec toi ? murmura-t-il. Mais comment ? Ils sont morts. Et tu m'as dit que tu ne l'étais pas.
Harry sentait qu'il posait des questions pour rien. Mais la perspective de voir ses parents lui faisait peur. Il se souvenait du miroir de Rised. Il aurait passé sa vie entière devant, à en devenir fou. Bien sur c'était différent. Mais que pouvait il leur dire ? Il ne les avait pas connu.
-Harry, dit Sirius d'une voix douce. Je comprends ce que tu ressens. Ca doit te faire un choc. Si tu préfère attendre un peu avant de leur parler, ils comprendront.
-Non ! cria Harry.
Il avait peur que ce ne soit qu'un rêve. Ou que pour Sirius plus tard soit encore une fois dans de nombreuses semaines. Il ne pouvait attendre. Il fallait qu'il les voit enfin. Qu'il puisse leur parler autrement que dans un bras de fer avec Voldemort.
De l'autre côté du voile. Un couple regardait leur ami avec appréhension. Et si leur fils refusait de leur parler ? Non, ils ne pouvaient penser cela. Difficile à dire qui des parents ou du fils étaient le plus anxieux.
-Très bien, dit Sirius. Harry je vais passer le miroir à tes parents. Comme ils sont … mort, il faut qu'ils demandent à te voir eux-mêmes.
Harry le vit tourner la tête et le miroir sembla se déplacer vers du vide. Puis ses parents apparurent.
Ils s'admiraient. Ne pouvant prononcer un mot. Personne n'osait rompre le silence de ce moment magique. Une larme coulait le long de la joue d'Harry. Lily approcha sa main du miroir, comme si elle voulait l'essuyer.
-Harry, dit elle dans un étranglement. Comme tu ressembles à ton père !
-Mais tu as les yeux de ta mère, poursuivit James.
Il leur sourit. Il n'avait toujours pas retrouvé l'usage de la parole, mais venait de trouver un merveilleux souvenir qui produirait sans doute le patronus le plus puissant au monde.
-Harry, nous sommes désolé pour ce que tu as du traverser. S'il était possible de remonter le temps, nous ne ferions pas cette erreur de jugement.
-Non, répondit il. Vous n'y êtes pour rien ! C'est ce fourbe de rat. Il a manipulé tout le monde. Je vous promets qu'il le paiera !
-Ne laisse pas la haine t'aveugler. Il paiera pour ce qu'il a fait. Mais ça ne doit pas être ton principal but, dit Lily. Ce poids est terrible, j'aimerai être la pour le porter à ta place, mais malheureusement je ne peux pas. La prophétie doit s'accomplir Harry…
-Vous saviez pour la prophétie ?
-Oui, répondit James, mais pour le moment, parlons d'autre chose. Dis moi, tu as des bonnes notes à l'école ?
-James, rit Lily. Ne fais pas semblant d'être sérieux ! Avoue que tu voulais lui demander s'il faisait des blagues digne de son père !
-…
-Et bien… Des blagues ? Je n'en fais pas tant que ça. Mais si ça peut te rassurer … Papa, il parait que je suis doué pour ne pas respecter le règlement.
-Ah, je reconnais bien là mon fils !
-Et tes amis, demanda Lily, ils s'appellent Ron et Hermione d'après Sirius. Comment les as-tu connus ?
Harry ne put répondre, car Remus pénétra dans la pièce accompagné de Ron et Hermione.
-Harry, dit Lupin, nous allons au chemin de traverse chercher… Mais ? Tu pleures ?
Rapidement Harry essuya la larme qui était toujours sur sa joue, et tenta de dissimuler le miroir. Ron et Hermione ne comprenaient pas.
Remus vit le miroir et comprit, enfin, pensa comprendre.
-Harry… Il faut que tu arrêtes d'y penser. Il faut que tu arrives à faire ton deuil, même si tu ne le veux pas. Je sais c'est difficile…
Il s'arrêta, craignant une autre crise de colère.
-Oui, vous avez raison. Je vais chercher mes affaires pour aller au chemin de traverse.
-Euh… , fit Hermione, j'ai oublié de lui dire que j'avais rangé sa liste de livre.
-Et moi que je lui avais emprunté son matériel d'entretien pour balais, ajouta Ron.
Remus soupira… Ces trois là voulaient se parler. Quelle discrétion les jeunes.
Ron et Hermione rejoignaient perplexes Harry dans sa chambre. A peine eurent ils refermé la porte qu'il leur sauta au coup de joie.
Il leur expliqua sa conversation avec Sirius, puis avec ses parents. Ses amis étaient heureux pour lui. Mais Hermione semblait émettre une certaine réserve. Cependant elle ne dit rien. Il y a des moments de bonheur qu'il ne faut pas gacher, surtout quand ils sont si rares.
C'est donc le cœur rempli de joie qu'ils se rendirent faire leurs achats pour la rentrée.
Le chemin de traverse était très animé. On pouvait y voir de nombreux élèves de Poudlard. Tous les membres de l'AD présents ce jour là saluèrent Harry. Il était fier d'eux. Leurs progrès avaient été fulgurants. Surtout pour Neville. Il était également venu dire bonjour à ses amis de Gryffondor.
Les changements qui s'étaient effectués chez lui étaient flagrants. Il n'était plus le Neville maladroit, vivant dans l'ombre de peur de faire encore une bétise. Son pas était désormais assuré. Le combat auquel il avait participé au ministère en juin y était surement pour quelque chose.
Malheureusement, ils ne pouvaient faire que des bonnes rencontres. Et Drago Malefoy avait également eu l'idée de venir faire ses achats ce jour là.
-Tiens, voilà la célébrité… Mais où sont les journalistes ? Et les gardes du corps ? Tu voyages incognito ?
-La ferme Malefoy, répondit Ron d'un ton blasé.
-Mais Ouistiti est là ! Et sa petite amie sang de bourbe également. Comme c'est mignon !
-Dis moi Malefoy, ton père va bien ? demanda Hermione le plus naturellement du monde.
Drago ferma les points. Son père était encore à Azkaban, avec les autres mangemorts faits prisonniers au ministère. Bien sur, le Seigneur des Ténèbres les ferait sortir mais quand ? Beaucoup souçonnaient qu'il ne fasse durer leur séjour en prison, pour les punir d'avoir échoué, de ne pas avoir ramené la prophétie intacte.
-Je t'interdis de parler de lui, sale sang de bourbe !
Une voix retentit au loin.
-Ridikulus !
Et Drago Malefoy se trouva habillé en un parfait clown moldu. Avec les cheveux, le nez rouge, le maquillage, et la tenue.
Il s'enfuit en jurant qu'ils lui paieraient, même s'il ne savait pas qui avait lancé le sort…
-Neville, s'exclama Hermione ! Mais, comment as-tu fais ? Ce sort est pour les épouventards !
-Et bien pas seulement ! J'ai appris ça cet été ! J'ai pris des cours particuliers en défense contre les forces du mal. Un ami de mon père m'a aidé. Il m'a donné quelques astuces, comme ce sort qui peut marcher sur tout le monde, mais qui n'est utilisé que pour vaincre les épouventards.
Hermione semblait vexée que Neville sache plus de choses qu'elle. Mais au fond elle était ravie. Il venait de donner une belle leçon au Serpentard, et l'avait défendue.
Les quatre amis finirent d'acheter ce qui leur manquait ensemble, la grand-mère de Neville ayant décidé de discuter avec une de ses amis.
Ils étaient maintenant à la librairie. Hermione la connaissait par cœur, mais elle insistait chaque fois pour y faire de longues heures. Au cas où un livre lui aurait échappé. Aujourd'hui en discutant avec le libraire, elle remarque une porte au fond du magasin. Le libraire lui expliqua qu'il s'agissait d'une réserve, où la plupart des livres étaient en exemplaires très limités, mais quelques personnes bénéficiant d'une autorisation pouvaient les consulter. Les yeux de la jeune Gryffondor s'illuminèrent en entendant les mots livres en éditions limitées.
L'homme la connaissait depuis 6 ans déjà. Il savait qu'elle avait soif de savoir. Il n'hésita donc pas longtemps à lui ouvrir la porte de ce qu'elle considérait comme une caverne d'Ali Baba. Elle dit aux autres qu'elle les rejoindrait d'ici une heure ou deux au chaudron baveur.
Les garçons ne cherchèrent pas à la suivre. Les livres… Ils venaient d'en acheter des tas pour leur 6ème année, alors ils ne voulaient pas risquer de faire une overdose avant l'heure.
Tout en se moquant de Malefoy et de sa tête de clown, ils allaient vers le chaudron baveur, quand une nouvelle boutique attira leur attention. Une boutique de farces et attrapes !
Curieux, ils entrèrent. Quelle fut leur surprise quand ils reconnurent Fred et George !
-Mais ! bégaya Ron. Vous ! Mais ! Et comment ? Je suis votre frère ! Vous auriez pu me prévenir !
-Ne rale pas petit frère, tu aurais tout raconté à maman… Et on ne voulait pas qu'elle nous mette des batons dans les roues pour l'ouverture !
-Tiens, pour nous faire pardonner, un bonbon. Je te conseille d'éviter de le manger devant ta petite amie… Elle aurait quelques surprises !
Pendant que les frères discutaient, Harry et Neville faisaient le tour du magasin. Toutes les farces et attrapes qui avaient fait le succès du premier magasin de Fred et George, Farces pour sorciers facétieux, étaient présentes. Mais il y avait aussi des nouveautés. Harry en choisit quelques unes : Molduage, Pifounet, Comment ne pas passer un examen, et quelques désormais classiques, comme des Feuxfous Fuseboum, et un marécage portable.
Après tout, son père lui avait fait remarquer qu'il avait une réputation de Potter à tenir ! Ce n'est pas la prophétie qui l'empècherait de profiter de sa jeunesse.
-Excellent choix Harry, remarquèrent les jumeaux alors qu'il allait payer.
Ils rajoutèrent quelque chose dans le sac.
-Ne regarde pas maintenant. C'est une surprise ! Un cadeau d'anniversaire en retard ! Mais, fais attention en l'utilisant…
Puis les amis se séparèrent. Hermione allait bientôt les rejoindre au chaudron baveur, et Neville devait également retrouver sa grand-mère.
Harry et Ron était seuls en buvant une bierrabeurre. Leur amie était en retard. Mais ils ne s'en faisaient pas pour elle. Elle était surement plongée dans un vieux livre poussiéreux. Ainsi, ils pouvaient parler Quidditch tranquillement.
Une heure plus tard, elle pénétra dans le café, un sourire triomphant sur le visage.
-Toi tu as appris des nouveaux sorts, remarqua Ron.
-Non… Mieux que ça, dit elle énigmatiquement. J'ai soif !
Et elle partit se chercher une boisson, laissant ses amis attendre ce qu'elle avait à révéler.
-Il va faire beau demain. Dommage qu'il n'y ait pas de jardin chez les Black, dit elle.
-Hermione ! hurlèrent ils d'une seule voix.
-Quoi ? Ah oui… Ce que j'ai découvert. Et bien figurez vous qu'il y avait dans cette réserve un livre qui n'existe qu'en un seul exemplaire. Il a été écrit par Madame Tussaud.
Les deux garçons faillirent s'étrangler. Ainsi elle avait écrit un livre !
D'après Hermione, ce livre parlait de toute sa descendance, depuis Prométhée. Leur famille comptait de nombreuses personnalités. Certains avaient fait de grandes choses. On y trouvait par exemple Gutenberg, Napoléon, et d'autres. Ces hommes étaient sorciers. Personne ne le savait, et leur secret était encore gardé aujourd'hui. Mrs Tussaud avait eu des enfants. Ils étaient morts assassinés par Grindenwald qui avait eu connaisssance de l'arme, mais elle avait réussi à protéger sa petite fille, qui devait avoir à peu près leur âge aujourd'hui. Son nom n'était indiqué nulle part. Elle voulait sans doute la protéger.
Mais le plus intéressant dans ce livre était le passage ou elle parlait de l'arme et de l'élu. Ou plutôt des élus. A la base cette arme ne pouvait être actionnée que par une personne. Mais il le savaient déjà. Mais la femme expliquait dans son livre qu'elle avait observé une évolution, prédite par son créateur. L'arme s'était séparée en plusieurs morceaux. Mais pour que ses protecteurs sachent à quoi cela correspondaient, les morceaux se séparaient à la naissance d'un nouvel élu. Le livre ne disait pas quand l'arme avait choisi un nouvel élu, ni combien ils étaient. Mais peut être que Mrs Tussaud ferait une gaffe.
Ils sortirent alors du chaudron baveur sous l'escorte des membres de l'ordre qui les attendaient. Ils ne pouvait prendre la poudre de cheminette, dire l'adresse du QG aurait été risqué, même s'il était bien protégé.
Ils devaient donc prendre les transports en commun, ce qui n'était pas une mince affaire avec Maudrey Fol Œil. Il était paniqué. Un homme qui sortait un mouchoir de sa poche et il lui sautait dessus, craignant que ce ne soit un mangemort qui sortait sa baguette pour lancer un avada kedavera sur Harry en plein milieu du métro londonnien.
Harry sourit devant la tête du pauvre homme. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Il y a deux mois cette situation l'aurait exaspéré, et il aurait surement eu une nouvelle crise de colère. Mais pas aujourd'hui. Même l'altercation avec Malefoy n'avait en rien changé sa bonne humeur, sa joie. Aujourd'hui, il avait parlé pour la première fois de sa vie avec ses parents. Et qui sait, quand Sirius reviendra, il pourra leur laisser le miroir, comme ça ils pourraient encore discuter, et apprendre à les connaître. Où même mieux, ils pourraient peut être revenir avec lui, et Harry aurait enfin une famille. Des parents qui lui offrent des cadeaux pour Noël et son anniversaire, une mère qui écouterait les craintes d'un fils, un soutien tout simplement.
S'il n'avait pas été si heureux, Harry aurait sentit sa cicatrice bruler, en guise d'avertissement.
Le retour au squarre Grimmaurd le ramena brutalement sur terre. Remus était resté seul avec Patty. Mais la jeune femme semblait avoir eu une crise et le loup garou était impuissant, car de par sa nature, quand il s'approchait elle hurlait de plus belle, instinctivement, comme un animal devant un prédateur.
Harry sentit alors l'avertissement pointer dans son front. Patty devait en avoir un également. Que préparait Voldemort ? Qu'allait il faire encore ? Et pourquoi aujourd'hui ? Pourquoi gacher le plus beau jour d'Harry ?
Mais ces questions auraient une réponse plus tard. Il s'approcha de Patty et lui parla calmement. Il lui murmura que lui aussi sentait le danger, qu'elle n'était pas, plus seule…
Pendant un moment de lucidité, Patty murmura :
-Ils l'ont trouvé… En France… près de la mer…
Remus blémit, puis partit en courant. Harry l'entendit prendre la poudre de cheminette et crier « bureau de Albus Dumbledore »…
A suivre !
Gniark gniark ! Je me venge enfin de tous ces auteurs qui font des fins sadiques ! Ca fait du bien ! Certains se reconnaîtront d'ailleurs…
sifflote
