Auteur : Lanoixdecoco
Titre : Pas sur la bouche.
Personnages : Harry Potter/Draco Malfoy
Disclamer: Rien ne m'appartient… Blabla et rebla Vous savez tout ça !
Titre du chapitre : Dis Draco. Z'veux un bisous !
Réponse au reviews :
miss Felton/Malfoy: Merci beaucoup à toi. Je suis en tout cas, très contente que cette fic te plaise tant ! Bonne lecture pour ce nouveau chapitre et j'espère qu'il te plaira autant !
remissia: Et oui, que veux tu ! Tout le monde c'est que Harry Potter est un suicidaire XD ! Mais c'est lui qui à voulut ! Un soir, il est venu me voir et il m'a dit qu'il voulait aller vivre chez les Malfoy ! Voilà, c'est fait ! Pour Lucius Malfoy, j'ai décider de le faire quitter le Manoir quelques temps… Enfin, il reviendra bien assez tôt ! Allez, je te laisse, et bonne lecture !
Sinelune: Je suis tout à fait d'accord avec toi, Harry est à croquer lol ! Mais oui, tu as raison… Draco accepte beaucoup trop vite Harry, surtout dans ce chapitre ! Ce n'est pas normal… Enfin, ce n'est que le chapitre 3… Huhuhu.
Gally84: Roh, merci beaucoup à toi ! Ta review ma fait très plaisir (Autant que les autres, soyez pas jaloux !) Sinon, e vais m'appliquer dans ce sens, en faisant en sorte de respecte ce point là : Faire en sorte que Draco devienne complètement gaga lol ! Non, mais j'aimais beaucoup l'idée d'écrire une fic avec un Draco simple et doux avec un enfant. Alors voilà, c'est fait ! Si tu as trouvé Draco émouvant avec Harry dans les bras, tu ne pourras aimer que la suite( Quoi ? J'me vante ? Pas du tout, j'anticipe XD !), bonne lecture !
Akina: Glace a la fraise ? A la pistache ? A la vanille ou chocolat ou à la mangue… Mmmmh ! Mais c'est que ça donne envie tout ça ! Heureuse de savoir en tout que tu es tant aimé lol ! Merci pour ta review.
Dis Draco. Z'veux un bisous !
Habillé d'une tenue de soirée, faite de soie, venant directement de chine, le haut de cette longue tunique moulait son torse fin et élancé. D'une couleur ébène, une attache argenté retenait le plis de sa robe, au niveau de son col, qui cachait son cou si gracile. Puis, la robe s'ouvrait sur le coté gauche de sa hanche et à chaques foulés faite par le Serpentard, on pouvait apercevoir un pantalon de lin, légèrement moulant, tout aussi noir que reste de la tunique.
Attrapant, entre ses longs doigts fins, sa baguette magique, il prit la cape que lui tendait un elfe et entoura son cou d'un écharpe tout aussi noir que le reste. Après un énième soupire, il se passa une main sur le visage, il s'avança vers la porte du grand manoir et sortit, là ou l'attendait le carrosse de la famille Malfoy. Il avait horreur de ce genre de chose… Se déplacer dans une calèche. Alors qu'il s'apprêtait à grimper de la voiture, pour rejoindre son père dans une soirée… Très importante, la voix grinçante et traînante de l'elfe maison l'interpella.
« Maître Malfoy… »
« Quoi ? »
Se tournant avec lenteur, il écarquilla les yeux et se raidit. Sur le pas de la porte du manoir, se tenait un jeune Harry tout endormit, un pouce dans la bouche et un vieux doudou dans l'autre main. Mais ce qui étonna le plus fut les yeux verts brouillés de larme de l'enfant.
« Harry. Mais qu'est ce que tu fais là ? »
Ne répondant rien, il se précipita vers Draco. Descendant, temps bien que mal les larges marches du perron, il se mit à courir vers le Serpentard qui n'avait toujours pas bougé. Puis, sortant de son mutisme, il s'accroupit, et ouvrit les bras. Harry ne laissa pas passer cette occasion alla directement se réfugier dans ses bras, refermant les siens autour du cou de Malfoy.
« Mais qu'est ce que tu fais ? Tu devrais dormir depuis longtemps. »
« Je… Je veux pas que tu parte-euh ! »
Se mettant à pleurer dans le cou de son Serpentard, il resserra son étreinte, enfouissant son visage dans le creux de son épaule. N'arrivant pas à supporter les larme de se tout petit être, Draco se redressa, son fardeau dans les bras. D'ailleurs celui ci entoura ses jambes autour de sa taille et se remit à sucer son pouce.
« Qu'est ce que tu me fais pas faire… »
Réfléchissant, il fit un geste de la main à l'elfe, le congédiant et grimpa dans le véhicule, tiré par deux magnifiques percherons noirs. Donnant quelques ordres, la calèche s'ébranla légèrement, et dans un bercement rythmé, ils se rendirent dans l'un des plus beaux quartiers du monde des Sorciers. Ils finirent par s'arrêter devant une immense villa du quartier. Draco n'attendit pas qu'on lui ouvre la porte et descendit avec un Potter à moitié endormit dans les bras. Il frappa trois fois et attendit patiemment qu'on vienne lui ouvrir, et c'est sur une tête brune, au teinte mate qu'il lui ouvrit la porte.
« Zabini ? »
« Malfoy ? Qu'est ce que tu fais ici ? »
« Je viens voir Pansy… Et toi ? »
« Pareille. Mais c'est qui ce gamin ? »
Soupirant, Malfoy poussa Zabini pour qu'il le laisse entrer. Dans le hall, il déposa Harry et lui prit la main, l'emmenant directement dans le salon.
« Pansy ? »
« Oh ! Mon Dray… Qu'est ce que tu fais ? Tu n'es pas attendu quelque part, ce soir ? Je suis contente de te voir sinon. Ca va ? »
Draco secoua la tête. C'était incroyable toutes les questions qu'elle pouvait poser dans une seule phrase. Après un moment de silence, il lui indiqua du regard le petit Potter qui s'était réfugié dans ses jambes, enfouissant son visage dans sa cuisse..
« J'aurais voulus savoir si tu pouvais t'occuper de lui. Juste pour ce soir. »
La jeune fille s'accroupit devant l'enfant et lui fit un tendre sourire. Malfoy ne put, lui aussi s'empêcher de sourire, devant cet élan de tendresse, de la part de Pansy.
« C'est quoi ton nom mon mignon ? »
« Harry. »
« Harry ? Harry ? Comment ça ? »
Agacé, Malfoy reprit l'enfant dans ses bras et soupira.
« Je t'explique tout ça un autre jour, mais là, je vais être en retard. Il peux se coucher dans la chambre d'ami ? Je pense que Blaise dormira avec… Toi. »
Lui adressant un large sourire, il fit un clin d'œil à Blaise qui lui rendit son sourire. Puis Draco tourna les talons et emmena Potter à l'étage, laissant derrière lui, ses deux amis qui le regardèrent monter les escaliers.
« Et bien. Qui aurais crus qu'un enfant allait l'attendrir ainsi ? »
« Je t'ai entendus Blaise ! »
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Déposant Harry dans un large lit à baldaquin, aux couleurs mauves, au milieu d'énormes coussins, il le borda et s'assit juste à coté de lui, posant le doudou juste à coté de lui. Ecartant quelques mèches sombres du visage d'ange du petit démon, Draco lui sourit et se redressa, lorsqu'une main l'attrapa par le pan de sa tunique.
« Draco. »
« Hum ? »
« J'veux une histoire. Raconte moi une histoire. »
» Pas ce soir. Je suis attendus et tu m'as déjà mit très en retard. Demain… D'accord ? »
Pour toute réponse, Draco eut droit à un tendre sourire et à un bâillement. Sortant doucement de la pièce, il tira la porte et descendit dans le hall. Il s'arrêta juste devant le salon, regardant Pansy et Blaise devant un échiquier 'non sorcier' et sourit. Pansy perçut la silhouette de Draco dans l'entrée et lui adressa un signe de la main, que l'héritier Malfoy ne prit pas la peine de répondre.
Sortant dans la fraîcheur de la nuit, il remonta dans la voiture, et se laissa aller contre la banquette de cuivre noir. Son esprit s'égara un instant vers le jeune Harry. Depuis que celui ci c'était transformé en petit garçon de 5 ans, il semblait avoir perdu touts souvenirs de ce qu'il était avant. Il ne se souvenait même plus du nom du Mage Noir. Ni de Poudlard, ni de Ronald Weasley, ni de Hermione Granger… Mais le plus étrange, c'était que toute forme de haine avait disparut entre eux… Potter était devenu un petit garçon doux et gentil avec lui, Draco Malfoy, son ennemi de toujours. Non, en faite, le plus étrange, c'était lui, Draco. Il n'arrivait pas à savoir pourquoi il agissait ainsi avec lui. Il le détestait ! Il en étais sur ! Mais, face à ce Harry là, il n'arrivait tout simplement pas à se mettre en colère, ni à hausser le ton.
Lorsque la calèche s'arrêta devant un immense manoir, un frisson parcourut l'échine de Draco. Il aurait préféré resté au Manoir, seul, avec le petite Potter. Descendant d'une démarche lente, mais assuré de la voiture, il serra les poings et se dirigea vers la porte du domaine. Un silence de mort planait sur le manoir et lorsqu'on lui ouvrit la porte, il fut accueillit par un calme encor plus inquiétant. Croisant quelques regards sombres, il donna sa veste à un elfe, qui disparut avec.
Draco sentit son calme s'envoler petit à petit, pour laisser place à une peur sans nom. Le tout caché derrière un masque de froideur, il avait l'air encore plus sombre qu'auparavant. Prenant une coupe de vin, son regard se posa sur une fenêtre, donnant sur le jardin privé du domaine. Il leva son regard argenté vers le ciel étoilé et but d'une traite son verre de vin, d'un rouge presque noir…
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Etendue sur un lit, les bras retenue par deux puissantes chaînent qui s'enroulait autour de ses poignets, il leva un regard impuissant vers le plafond et ne put empêcher de laisser glisser une larme silencieuse le long de sa joue devenue d'une extrême pâleur. Entre ses jambes, son bourreau lui donnait de violent coups de butoir. Il avait les yeux fermé, et son visage au trait devenue grossier avec le temps, se déformait de plaisir. Il poussa un gémissement et enfonça ses doigts dans ces cuisse, lui écorchant les chaires. Les paupières toujours fermés, son bourreau le labourait de plus en plus violemment, ce qui lui arracha une plainte silencieuse, qui mourut sur les lèvres froides de son agresseur.
Il approchait de sa jouissance. Il se mit à geindre et à râler en crispant ses doigts plus fort dans ses cuisses puis, comme atteignant le plaisir, il lui donna un dernier puissant coup de rein et enfonça ses ongles dans les hanches de sa proie. Se tendant, il se mit à trembler et s'écroula sur lui.
Se mettant à se tordre sous ce corps visqueux, qui lui donnait envie de vomir, il replia une jambe contre la hanche de son agresseur et tentant de lui échapper à son emprise. Mais d'un geste sec et brutal, son bourreau tira sur ses cheveux, lui faisant basculer la tête en arrière. Sa bouche écrasa la sienne, lui imposant le silence et la soumission, mais il dégagea son visage et détourna la tête, fixant par une large fenêtre la nuit, sombre et silencieuses.
« S'il vous plaît… N'en auriez-vous pas eu assez ? »
« Jusqu'à l'aube, c'est le marché que nous avons passé. Puis je crains de n'en avoir jamais assez. »
Il l'attira brusquement contre lui. Les chaînes lui entaillant un peu plus les poignets, et il grimaça de douleur.
« Néanmoins, je peux vous prouvez que je suis capable d'être tendre. Je ne voudrais surtout pas vous laisser un si piètre souvenir de moi. »
Lorsque Draco frappa chez Pansy Parkinson, le soleil se levait à peine. Fatigué par sa soirée, il ne voulait que une seule chose… Son lit. C'était fois-ci, se ne fut pas Blaise Zabini qui lui ouvrit mais Pansy elle même. Cette fille ne dormait pratiquement jamais et se levait toujours aux aurores. Lui adressant un large sourire, elle le laissa entrer à l'intérieur et ferma doucement la porte derrière lui. Draco la regarda faire et lui rendit son sourire lorsqu'elle l'attrapa le bras pour le traîner vers le salon.
Allumant le feu d'un simple geste de baguette, elle l'incita à s'asseoir à coté d'elle, sur le large canapé d'un doux blanc laqué. Malfoy se laissa tomber et posa sa tête sur ses cuisses et ferma les yeux, lorsque la main fine de Pansy se mit à lui caresser les cheveux. Ne lui posant aucunes questions, elle le laissa s'endormir sur ses jambes et si elle s'était penchée vers le visage blanc de Draco, elle aurait put remarquer une larme silencieuse, perler au coin de son œil…
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« Alors ! C'était bien ta fête ? »
Draco sourit à l'enfant qui se trouvait assis juste à coté de lui dans le canapé, face à la cheminée des Malfoy.
« Dis Draco. Tu me raconte une histoire ? »
« Une histoire ? Et sur quoi ? »
« Je sais pas. »
Faisant une moue enfantine, Draco se tourna vers Harry et leva les yeux au ciel, semblant chercher le début de son histoire.
« Et bien… C'est que je n'en connais pas. Demande moi autre chose. »
« Bah… Un bisous alors ! »
Draco le regarda longuement, ne comprenant pas la soudaine envie de Harry. Mais le petit Potter lui fit un large sourire et c'est lui qu'il l'embrassa le premier. Un bisous sucré et mouillé. Ne bougeant toujours pas, il laissa le gamin s'asseoir sur ses genoux et toucha sa joue du bout de ses doigts.
« Z'veux un bisous ! »
« Un seul alors. »
« Promis ! »
Se penchant vers l'enfant, il lui fit un tout petit baiser sur la joue. Un baiser aérien ou ses lèvres frôlèrent à peine la joue de l'enfant. Se redressant, Harry sourit de plus belle et se redressa.
« J'ai gagné ! Mais faut pas le dire à Pancy ! Elle va pas être contente… »
Explosant de rire, il tenta de la cacher derrière ses petites mains et se mit à courir dans le large salon, aux couleurs sombres. Heureusement que son père était partit pour quelques jours en France… Puis, Draco attrapa Harry au collier et le stoppa dans son élan.
« C'est quoi cette histoire ? »
« Heu… Bah Pancy ma dit que le premier qui t'embrazait, bah il avait gagné un tour de manège dans ton lit… »
« P-pardon ? »
« Bah quoi ? Z'aurais pas le droit à mon tour de manège alors ? »
« Quand tu seras plus grand. Tu feras autant de galipette que tu veux… »
« Promis? »
Draco lui fit un sourire mystérieux et le relâcha, tout en lui promettant, que plus tard, il pourrait faire des galipettes. Le laissant filer telle une flèche vers la cuisine, pour y prendre son goûté, Malfoy ne put s'empêcher de sourire et se pencha pour ramasser le bazar qu'avait commis Harry, lorsqu'un bruit sourd se fit entendre dans la cuisine, faisant sursauter le Prince des Serpentard.
« Maaalfoy ? »
Se redressant brusquement, il lâcha les affaires du petit Potter et tendit l'oreille. Harry venait tout juste de l'appeler par son nom de famille et sa voix, n'avait plus rien avoir avec celle lorsqu'il était petit. Draco se sentit pâlir. Cette voix était beaucoup trop masculine pour appartenir à un enfant de cinq ans.
« Harry ? »
Une jeune homme, en tantinet plus petit que lui apparut sur le pas de la porte du salon. Des yeux, tels des pierre précieuses, brillaient d'une colère malcontenu et habillé d'un simple boxer noir, il se présenta à Draco qui haussa un sourcil amusé.
« Depuis quand m'appelles tu par mon prénom ? »
« Et toi ? Depuis quand tu te mets en boxer devant moi ? Tu me fais un petit streap Potty ? »
« La ferme, sale fouine ! »
Voilou ! Oui, je vous l'accorde, il est court, mais c'était ça, ou j'attendais encore une semaine pour le poster… Le prochain sera plus long ! Promis !
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