Titre : Séléné, fille de Lune
Auteur(e) : Panthere
Correctrice : Illythie, qui fait un super méga génial travail ! (Comment peux-tu dire ça, elle a pas encore commencé... lol. Si, pour le prologue, mais ce n'était que le prologue... en plus elle est affreusement en retard...)
Disclaimer : Tout appartient à J.K Rowling hormis Séléné, ses parents et d'autres persos à suivre certainement qui viennent de Mon (M majuscule ! ouhaaa ! lol) imagination ! Les reviews sont mon seul salaire alors envoyez en plein !
Blabla de votre chère auteure : Je tarde beaucoup je sais mais franchement, il faut que j'alterne entre devoirs, cours, activités personnelles (musique, solfège etc. surtout que en ce moment je me concentre beaucoup sur la flûte), lecture de Vos fics (très important), écriture de « Les hommes sont tous mauvais », écriture de cette fic, écriture de « grâce à une étoile » qui par ailleurs stagne depuis longtemps, l'écriture du recueil qui certes ne prend pas trop de temps mais l'envie doit me prendre, développement de mes idées de fics au nombre de cinq, la correction de fic, la co-écriture avec dark-mione, la traduction d'un one-shot, la traduction de Silver Shadows et la traduction de Harry Potter et le retourneur du temps !
En bref, prenez chaque uptade comme un miracle de Dieu !
1er chapitre : Prends ton envol mon ange… (1)
rappel : Quand on entendit les douze coups de minuit, Séléné se réveilla en sursaut, les points serrés sur la chaîne, une douleur lancinante au dos…
La douleur s'accroissait lentement, trop lentement… Séléné souffrait le martyre, chaque seconde devenant plus insupportable encore que la dernière. Séléné tenta de crier mais un quelque chose l'en empêcha. Au bout d'une minute interminable, la douleur cessa, redescendant graduellement. L'enfant crût avoir rêvé mais la douleur avait été bien réelle.
Elle décida de se rendormir. Elle avait tout d'abord songé à avertir ses parents mais s'était ravisée. La fillette se recoucha mais dès l'instant où elle s'allongea, elle sursauta violement. Elle sentait quelque chose dans son dos. Elle fut étonnée puis elle se dirigea tel un automate vers le miroir le plus proche. Elle tourna le dos à la glace et se contorsionna pour tenter d'apercevoir la chose.
Deux bouts d'ailes avaient déchiré son pyjama et ressortaient. Chacune (je parle des ailes) devait faire quelques centimètres d'envergure. Sans trop savoir pourquoi ni comment, Séléné sentit ses ailes s'animer et remuer dans le fol espoir de la faire s'envoler.
Elle s'éleva d'une dizaine de centimètres avant de retomber mollement à terre. L'enfant se frotta les yeux avec ses poings puis elle se pinça elle-même. L'éphémère douleur disparut bien vite. C'était donc vrai !Elle ne rêvait pas !Elle avait réellement volé et une paire d'ailes ornait son dos ! Comment était-ce possible !
Séléné re-cligna des yeux. Son regard convergea sur le miroir où flottait encore le reflet. Elle fit preuve d'une grande souplesse et elle réussit à les toucher. C'était vraiment étrange. La première chose qui lui vint à l'esprit était que c'était doux. Cela avait la délicatesse des plumes d'oiseaux tout en ayant la consistance du coton. Elle remarqua ensuite que le haut, là où devait se trouver l'os, était plus dur.
La fillette était éberluée. Elle tenta par tous les moyens d'actionner les ailes. Sans succès ! Elle donna un coup de reins et soudainement elle s'envola. Les petites ailes peinaient à la soulever, ce qui fit qu'elle revint sur le sol en un rien de temps.
Le noir se fit dans la pièce. La lumière de la Lune qui filtrait par la fenêtre partit. À nouveau, la douleur lancinante reprit. Heureusement, ce fut rapide et Séléné retourna dans son lit tel une somnambule.
Elle marcha comme un automate vers son lit et s'allongea doucement sur sa couchette. Ses yeux se fermèrent et elle se rendormit. La douce chaleur du soleil la réveilla. Elle se releva et s'habilla d'une simple robe à fleurs. Elle se coiffa machinalement, ses cheveux retombant sur ses omoplates. Elle retrouva la chaîne que ses parents lui avaient offerte et l'attacha autour de son cou. L'argent et l'or se mariaient parfaitement et contrastaient avec sa peau de porcelaine.
Puis elle descendit à la cuisine où ses parents sirotaient un café. Elle se jeta à leur cou, prenant un grand élan et leur colla chacun un bisou.
« Bonjour ma chérie, saluèrent les deux adultes. »
Séléné s'installa à table et sa mère lui servit un bol de céréales. La fillette empoigna la cuillère et mangea. Le petit-déjeuner se passa dans le silence relatif, chaque personne savourant la présence des deux autres. Ensuite, la famille vaqua à ses occupations. Henri partit travailler, Martine jardina et Séléné réfléchit. (2)
« Séléné ! l'interpella sa mère (3). Apporte moi les ciseaux s'il te plaît !
Oui Maman ! »
Séléné descendit les escaliers et prit la paire de ciseaux et enfin l'amena à sa mère.
« Merci, ma puce ! »
La fillette rebroussa chemin et leva les yeux au ciel. On discernait encore la lune à travers le bleu de cette rayonnante journée. Elle frissonna et se dépêcha de retourner dans sa chambre. Elle eut une après-midi tranquille où elle passa le plus clair de son temps à dessiner.
La nuit arriva tranquillement. Séléné admira la palette de couleurs qu'était le coucher de soleil puis elle se dirigea vers la salle à manger où elle retrouva ses parents. Toujours la même routine.
Elle débarrassa la table et monta faire sa toilette. Une fois en pyjama et propre, Séléné s'endormit. À nouveau la douleur survint. À nouveau les ailes poussèrent. À nouveau, la fillette se rendormit sans aucun souvenir.
Trois mois avaient passé. Chaque nuit ressemblant à la précédente. Toutes aussi douloureuses. Puis un soir, un soir qui pourtant ne paraissait pas différent des autres, quelque chose, une chose si incroyable qu'elle en était insensée, se produisit.
Le lendemain, Henri et Martine attendaient leur fille. La femme, inquiète, vérifia la chambre de sa fille et trouva l'amas de drap sur le lit vide de Séléné, puis elle s'effondra en pleurs. Son mari la consola mais il ne savait pas à qui ses paroles étaient vraiment destinées. À lui ? À sa femme ? Il l'ignorait vraiment.
Séléné ouvrit les yeux. Tout autour d'elle était d'un noir d'encre constellé de taches blanches. Elle se releva. Elle regarda le sol gris puis ce qu'elle pensait être le ciel. Elle tourna ensuite la tête et vit…la Terre !
Ses yeux furent exorbités ! Où était-elle ? Puis elle se rendit compte qu'elle était sur la Lune. Ses yeux s'élargirent encore. Elle n'eut pas le temps de penser au pourquoi de la chose qu'une voix mélodieuse prononça :
« Bienvenue ma fille… »
À SUIVRE
(1)Je ne sais pas, j'avais envie…
(2)Pour les noms, clins d'œil à mon papa et à ma prof !
(3)Bah vu que Séléné considère Martine comme sa mère, je pense pouvoir mettre ça !
C'est super court je sais mais je voulais couper à cet instant. REVIEWS !
Bon, je suis navrée de vous avoir fait attendre aussi longtemps. Le break continue encore. Je ne suis pas d'humeur à écrire en ce moment. Mais je n'abandonne pas.
À bientôt,
Panthere
