Un nouvel OS! Ne vous fiez pas au titre, c'es surtout centré sur Harry. Donc comme toujous la seule chose qui m'appartienne c'est le scenarion. Et le reste appartient a JK Rowling.
Le soleil tapait sur le numéro 4 de privet drive. Assis a la fenêtre de sa chambre il observait le peu de vie qui s'animait. Sa chambre donnait sur la rue, et heureusement était a l'hombre de ce coté. Il soupira. Les vacances d'été était décidément les vacances qu'il détestait le plus au monde.
Il vit son gros tas de cousin qui rentrait de sa chasse a l'homme. Il un sourire de dérision lui vint. Il sentait la cigarette a trois kilomètre a la ronde et sa bécasse de mère allait faire comme si elle ne sentait rien. La bêtise humaine… Pourris et gâté par ces parents, il n'en faisait qu'a sa tête. Et il se souvint comme il était son souffre douleur. Heureusement que maintenant il se tenait a sa place. De toute façon il avait le droit de faire de la magie en dehors de l'école. Il ne craignait donc plus rien de cet abruti.
« A TABLE ! » hurla la voix suraiguë de la tante Pétunia.
Il écouta une dernière fois le silence. Pour une fois qu'elle ne l'appelait pas pour mettre la table, sa changeait d'habitude. Il descendit lentement l'escalier en faisant en sorte de ne pas faire trop de bruit. Il savait qu'au moindre bruit qu'il leur semblerais suspect ils viendraient le rabrouer.
« Attrape le sel ! » ordonna la femme.
Il obéi en silence. Il s'estima heureux de ne pas l'entendre dire « et ne fais pas l'insolent ». Il pris le petit pot poser dans l'espèce de chose qui lui servait de placard. L'oncle Vernon et son cousin déjà a table ne disaient rien. Pétunia ramena un plat de pâte. Faisant comme il fallait, il attendit que son cousin se serve en écoutant les derniers potin que sa tante racontait a son mari.
Pourtant son esprit était ailleurs, il se demanda pourquoi Ron ne lui avait toujours pas écrit. Alors qu'il devait aller chez les Weasley la semaine suivante. Sa ne lui ressemblait pas du tout. Et en plus de cela il attendait avec impatience de voir les jumeaux et leur boutique.
Alors que le repas continuait, il eu envie d'écouter de la musique. Et comme de bien entendu c'est tout a fait le genre de chose que la famille Dursley au grand complet déteste le plus. Bien que peut être le gros tas aime… Mais il n'en était pas sur du tout. D'un claquement de doigts la radio se mit en marche. Le groupe Franz Ferdinand passait sur les ondes moldu. Même s'il n'était pas fan de la musique moldu il devait admettre qu'il appréciait le groupe.
Expédiant rapidement le repas il remonta dans sa chambre aussi rapidement que possible. Et il veilla Hedwige de nouveau. Le jours commençait a fléchir, des nuages roses parsemait le ciel. Il pensa que peut être demain il ferait beau.
Alors qu'il faisait nuit noire et qu'il ne pensais pas revoir son hibou de si tôt, il s'assit sur son lit. Et sans aucune inspiration essaya de lire un peu. Histoire de penser a autre chose. Il regarda rapidement lequel des livres qu'il avait prit a son oncle il allait bien pouvoir lire. Il n'eu pas le temps de se fixer sur un livre que l'hibou rentrait. Il devait vers les dix heures du soir maintenant.
« Tu en as mis du temps » dit il a l'animal en lui caressant le plumage.
Il saisi le parchemin qui était accroché a la patte d'Hedwige.
« Salut Harry !
Je suis désolé de pas t'avoir écrit plus tôt ! Papa et maman attendent avec impatience que tu vienne a la maison.
Par contre je voulais savoir si tu as eu des nouvelles d'Hermione, parce qu'elle ne m'a pas répondus je l'ai inviter aussi… Donc si tu as plus de chance que moi dis le.
A la semaine prochaine Ron »
Voilà que le jeune homme trouva suspect et même étrange… Jamais Hermione ne leur avait fait faux bon. Il se demanda alors si il avait garder son numéro de téléphone. Ou de portable, avec un peu de chance comme elle est moldu…
Il descendit a la cave ou toutes ces affaires de cours avait été malheureusement relégué. Et dans un petit cahier ou il notait tout ce qu'il lui semblait indispensable de savoir. Il trouva en même temps que si elle avait pas répondus a Ron elle lui raccrocherais peut être au nez.
Il regarda l'heure, il était déjà 22h30. Ce qui n'est plus une heure pour téléphoner a quelqu'un, même si on s'inquiète. Il remonta dans sa chambre. En passant devant son placard il donna un coup de pied dedans, foutu vie !
Il griffonna rapidement sur le dos du parchemin :
« Aucune nouvelle d'Hermione, j'essaye de téléphoner demain. »
Fort de cela, il retourna devant la bibliothèque et s'interrogea de nouveau a savoir quelle livre il allait lire. Il mit un disque qu'il avait acheter dans un magasin moldu, il avait a peine une ou deux chanson, magiquement il en avait rajouter quelques unes. La première chanson était « Fatigué » du groupe Blankass. Aucune protestation ne vint du reste de la maisonnée. Il prit Le Da Vinci code et s'allongea sur son lit pour lire un peu.
Il s'endormis une heure plus tard, il posa a peine le livre sur la table de chevet.
Ron n'avait pas répondu et Hedwige était retourné dans sa cage. De toute manière il ne s'attendait pas a une réponse. Il lorgna rapidement son réveil. Il indiquait mollement neuf heure du matin. Il se tourna dans l'autre sens en espérant pouvoir dormir encore un peu. Mais c'était sans compter sur une voisine qui se mit a hurler pour retrouver son chat « Arthur ». En désespoir de cause il se leva et descendit déjeuner.
Comme à l'accoutumer la maison était silencieuse, son cousin était sorti avec des amis et sa tante partie faire des courses, au moins il pouvait faire ce qu'il voulait. Il mis donc la radio en marche, et écouta distraitement les chansons qui se diffusaient. Finalement il éteignis machinalement la radio.
Il saisi d'un geste souple son cahier. Et fit le numéro sur le cadran.
Il écouta attentivement les sonneries du téléphone. D'abord la première, ensuite la seconde puis :
« Bonjour Vous êtes bien chez les Granger Que voulez vous ?» demanda une voix agréable.
« Bonjours, commença Harry, je voudrais parler a Hermione je vous pris. »
Il était un peu tendu d'autant plus que la voix de l'autre coté ne répondit pas tout de suite… Il lui sembla que celui qui était de l'autre coté ne voulais plus répondre. Au moment ou il allait lui demander si il était encore la, la voix se manifesta de nouveau.
« Pourquoi voulez vous lui parler ? » questionna la personne.
Harry entendit derrière la voix d'Hermione qui demandait anxieusement qui c'était.
« Je m'appel Harry Potter, je suis un ami d'Hermione. » se présenta t'il nerveusement.
Il écouta attentivement quand la personne dit a Hermione qui c'était elle disait a la personne « passe le moi je veux lui parler » et l'autre lui répondre en faisant en sorte a ce qu'il n'entende pas.
« tu ne parlera pas a ce garçon ni a aucun qui fait de la magie ! » puis parlant clairement a Harry : « Elle n'est pas la, vous pouvez peut être rappeler plus tard ? »
« Je l'ai entendu derrière vous. » Répliqua froidement Harry. Il sentait que la situation dégénérais grandement chez les Granger et qu'il devait absolument faire quelques chose.
« Vous ne lui parler pas Jeune homme ! Elle ne vous verra plus ! »
Et là, la personne raccrocha le téléphone sans plus de cérémonie.
Harry resta quelques temps le téléphone en main, histoire de prendre du recul par rapport à la présente situation.
Pendant ce temps la chez Hermione, ce n'était pas tout rose, et la jeune fille perdait patience. Depuis la fin de l'école elle n'avait plus aucun contact avec ses deux meilleurs amis. Et elle ne savait pas pourquoi. Ces parents avait une attitude étrange, et en plus de cela ils ne l'avaient pas laisser parler a Harry.
« Pourquoi tu ne m'as pas laisser lui parler ? » Demanda la jeune fille.
La personne qui venait de reposer le téléphone sur le socle répondit doucement :
« Je… Je ne veux plus que tu voies ce garçon Hermione. »
« Maman, je ne suis plus une petite fille, je veux parler a mes meilleurs amis. » dit Hermione.
Sa mère la regarda en silence, un lueur triste éclairais ses yeux. Elle était triste. Mais cela n'émeut pas du tout sa fille. Elle la regardait imperturbable. Une colère sans nom répandu dans ses prunelles chocolats.
« Tu ne peux pas , s'écria la femme, tu risque ta vie la bas. Et je ne veux pas perdre mon unique fille. Ce n'est plus un endroit pour toi ! »
« TU ne m'empêchera pas d'y retourner, je trouverais une solution. N'importe laquelle mais j'y arriverais ! » Hurla Hermione en tournant le dos a sa mère.
Elle prit la direction de sa chambre et fit claquer la porte.
« Si seulement tu savais. » Murmura sa mère.
Depuis quelques temps elle ne se sentait pas tranquille, épiée. Elle aimait sa fille, tous le monde le savais. Silencieusement elle retourna dans la pièce qui lui servait de bureau. Le seule endroit ou Hermione n'avais pas accès. Elle s'assis sur la chaise ronde. Derrière le bureau en acajou. Elle en avait hérité de son père. Il y a deux ans il s'était tué dans un accident de voiture. Elle tira le dernier tiroir du bureau. Parmi les factures et autres lettres importantes une petite boite y était rangé.
Elle extirpa la boite. Une petite boite en fer, grise et froide. Le genre de boite que sa mère se servait pour mettre les paquets de sucre en morceau. Elle enleva le couvercle après avoir longuement regarder cette chose. Elle prit la première lettre. La main tremblante, elle déplia le feuillet. Il n'y avait pourtant pas grand chose d'écrit la dessus.
« . Elle a le goût de la mort sur la lèvre. Hors d'ici sa vie est fini. Jamais elle ne survivra a une ultime année.
N'oubliez pas, je vous vois toujours. »
Peux de chose. C'était la dernière qu'elle avait reçue. Apres chaque hibou que recevait sa fille ou un coup de téléphone. Elle frissonna, elle allait en recevoir une a coup sure. Ce garçon avait l'air si inquiet. Sa lui avait fait de la peine de raccrocher ainsi alors qu'il l'avait entendu derrière. Chaque lettre contenait un bout de peur. L'écriture faisait peur dans le dos.
Qu'allait elle faire s'il venait la cherchait ? L'homme abattrait il sa vengeance sur quelqu'un de sa famille ? Elle sentait doucement le piège se refermait sur elle. Personne ne la comprenait. Sauf son mari et sa mère. Elle vivait aussi dans la peur de voir des personnes de sa famille s'éteindre sans qu'elle ne puisse rien faire.
Dans sa chambre Hermione avait mis la musique très fort. C'était bien la seule chose qui arrivait a la calmé après qu'elle se soit engueuler avec quelqu'un, que se soit sa mère ou des amis. Elle sentait que la donne avait changé. Elle sentait une personne pas loin de chez elle. Avec un aura mauvais.
Elle repensa a Harry et sa colère repris. Il devait s'inquiéter le pauvre, pour qu'il aille jusqu'à téléphoné chez elle. En plus elle était sure qu'il l'avait entendu derrière demander a sa mère de lui laisser lui parler. Ron aussi devait être fou d'inquiétude. D'autant plus qu'il l'avait invité chez lui. Et elle recevait des hibou fréquemment, mais moins ces trois derniers jours. Elle avait tellement envie de retourner au terrier, voir les Weasley. Elle en pleurer presque.
Elle ne comprenait plus rien, elle ne comprenait plus sa mère. Pourquoi ne la laissait elle pas libre ?
Une fois la torpeur passer, il reposa le téléphone sur le socle. Il devait absolument prévenir Ron que quelque chose de pas normal arrivait chez les Granger. Il réfléchit un instant. Que faire ? Lui envoyer un hibou ou y aller directement et embarquer Ron pour aller chez les Granger ?
Il se dirigea lentement vers Hedwige et rédigea un petit billet qui toucherais particulièrement son ami. Il savait qu'il ne voudrait pas laisser Hermione sans aide. Alors qu'il allait se préparer a une éventuelle arrivée de Ron il décida de prévenir les autorités compétentes bien qu'ils ne prendraient sûrement pas en compte le problème autant a cœur que lui. Il choisi de prévenir le professeur Dumbledore. Le seul qui pourrait l'aider en cas de problème, et lui donner des conseils sur comment s'y prendre. Ne pas choquer les parents d'Hermione.
Une fois tout ce qu'il avait a faire effectuer il alla dans sa chambre. Et essaya de se concentrer sur le livre qu'il avait commencer la veille. Mais peine perdue, ces pensées revenait sans cesse sur elle. Il alluma donc la radio, il arrivait mieux a se concentrer en musique. D'après ce qu'il avait compris, quand il était petit, c'était la seule chose qu'il entendait de son placard.
Il ne se sentit pas partir, mais il s'endormit en écoutant de la musique. Pourtant il ne put pas dormir très longtemps. Une personne dans la maison se mit a hurler si fort que le pauvre jeune homme ne put que se réveiller. Il ne se fit pas de soucis pour la personne. La tante Pétunia est tout a fait le genre de personne a pouvoir se défendre toute seule… Enfin selon l'assaillant. Il referma les yeux paré a se rendormir. Mais sa porte s'ouvrit en grand avec un grand fracas.
Il se redressa précipitamment et pour faire face a un rouquin ! Et des signes évidents de paniques se lisait sur le visage de pauvre gars. La tante Pétunia débarqua derrière lui. Elle avait des bout d'herbes planté dans les cheveux. Et elle ne souriait pas du tout a la vision du rouquin dans sa maison. Ne voyant aucun signe de réaction de la part d'aucun des deux elle descendit rageusement les escaliers, en faisant de nouveaux claquer la porte.
« Bon sang Ron, tu sais bien qu'elle a horreur qu'on débarque ainsi chez elle ! » répliqua Harry rapidement.
« Je sais… Non mais tu as vus ce que tu as marquer ? ses parents ne veulent plus la laisser sortir ? c'est affreux, c'est… C'est inadmissible. » hurla presque Ron.
Harry écouta la tirade. Il savait déjà tout cela et il s'était fait la remarque avant même d'en informer Ron. Il savait qu'il fallait laisser dire son ami, parce qu'il ne se calmerais pas avant cela. Les yeux verts encore embué par le sommeil.
« Tu es venu comment jusque la ? » interrogea Harry.
« Qui moi ? » demanda le roux « En fait j'ai transplané, et je croix que si ta tante a aussi mal réagit c'est parce que j'ai atterri juste devant elle. Mais j'ai pas fait exprès ! » rajouta t'il précipitamment.
« Je n'ai jamais dis le contraire, expliqua Harry, mais tu aurait put faire attention. Tu as eu de la chance que personne d'autre ne t'ai vus. Bon, on fait quoi pour Hermione ? »
Un ange passa… Aucun des deux ne semblait avoir d'idées réellement.
« Je comptais sur toi pour me le dire… dit le rouquin, analysons la situation déjà. Elle t'a dit quoi la personne que tu as eu au téléphone ? »
« Avant qu'elle ne sache qui j'étais elle semblait tout a fait décontracté, et y'avait Hermione derrière. Quand elle a sus sa tout changé. Elle m'a dit qu'il était hors de question qu'elle retourne a Poudlard… A mon avis, quelques chose ne vas pas… »
« Il faut qu'on aille chez eux ! dit Ron, soudainement, c'est la seule solution pour prendre Hermione. Il faut qu'on la ramène a la maison. Tu comprend ? euh… si tu comprend 'scuse moi. »
« Tu vas commencer par te calmer un peu, sa m'aidera , dit il légèrement énervé, je voulais te dire… J'ai prévenu le professeur Dumbledore, il fera sûrement quelques chose pour nous. Il aime bien Hermione aussi, j'attend une réponse de sa part. »
« ah… ok tu as bien fait je pense. Je crois que maman a prévenus papa de son coté. C'est elle qui a lut ton mot en premier. Elle était horrifiée. Elle a faillis venir ici, mais heureusement Ginny l'en a empêcher. » puis il reprit après une courte pause « en fait si ! elle l'a prévenue, il lui a dit qu'il avait fait mettre une surveillance sur la maison d'Hermione. »
Pendant un instant le silence se fit. En bas, la Pétunia ronchonnais toujours. Harry pensa furtivement que si Mr Weasley et le professeur Dumbledore débarquait à la maison elle ferait une syncope et son abrutis de mari aussi. Même, peut être, peut être Dudley oublierait de rentrer a la maison ! Un faible sourire ironique apparut un instant sur son visage avant de disparaître aussi vite.
« Il serait peut être temps d'agir. » Déclara soudainement Harry.
Ron le regarda le regard vide, tout comme son esprit. La phrase d'Harry semblait vouloir refuser de rentrer dans son esprit pour de bon. Il hocha la tête lentement tandis qu'il assimilait le « il est peut être temps d'agir. »
« Et, tu m'explique comment on fait ? On arrive chez elle et on dit : Bonjours madame on vient emmener Hermione loin d'ici ?. Je ne pense pas qu'elle nous laisserais entrer. » Réfléchis Ron.
« Tu as raison, soupira Harry, il faut savoir pourquoi elle refuse de la laisser sortir. Parce que, en y réfléchissant bien, elle ne fait pas cela sans raison. »
Un silence se fit entre les deux jeunes tandis qu'ils entendaient hurler la tante Pétunia et une voix grave d'homme lui parler calmement. Ils décidèrent de descendre alors dans le salon pour voir qui était a l'origine de se bruit.
« Harry, quelle plaisir de te voir ! » s'exclama Mr Weasley en délaissant Pétunia qui était très pale et décida de monté dans sa chambre en attendant que tout cela se calme.
Il souriait, mais derrière cela, une lueur inquiète brillait dans ses yeux, ce que Ron et Harry ne mirent pas longtemps a voir. Il portait une grande robe sombre. Harry était sur que s'il décidait d'aller dehors personne ne ferait attention a lui.
« Alors, vous avez des nouvelles ? Interrogea Harry sans trop d'enthousiasme. »
Le sourire disparut complètement et l'inquiétude finis de prendre toute sa place sur le visage d'Arthur.
« C'est pire que ce que j'avais bien put imaginer Harry. Les mangemort surveille les Granger. Et je pense qu'ils ont envoyer des lettres de menace a la mère d'Hermione. Je ne comprend pas pourquoi ils agissent ainsi. Mais le professeur Dumbledore ne devrait pas tarder lui non plus. »
« Tu vois, je t'avais dis voilà la raison de pourquoi elle la laisse pas sortir. »
Il eu a peine le temps de finir sa phrase que le professeur Dumbledore fit son apparition, il avait une expression neutre qui ne trahissait rien de se qu'il pense. Il salua toute les personnes présente dans la pièce. Il offrit quelques chocolats et bonbons que personnes ne prirent. Il avait pas du tout envie de manger des sucreries en sachant que leur meilleurs amie avait des problèmes.
« Bien je pense que nous devons nous occuper du problème qui nous rassemble. » commença Dumbledore.
« J'ai une question monsieur. Pourquoi ont-ils envoyer des lettres de menaces alors qu'ils auraient aussi bien put lancer une malédiction ? » Questionna Harry en mettant les deux pieds dans le plat.
Albus regarda Harry sérieusement par dessus ses lunettes en demi-lunes. Mais ne répondit pas tout de suite a la question d'Harry. Il semblait cherchait ses mots, ou alors une réponse certaines, si il y avait bien sur.
« Selon moi, commença t-il, ils ne veulent pas que leur action soit mis au grand jours. Je ne suis pas sur de sa Harry. Mais il me semble que c'est ce qu'il y a de plus logique. Je pense qu'en attaquant Hermione, c'est toi qu'ils veulent avoir. Je pense que Tom veux t'affaiblir. Maintenant c'est a nous de rétablir la situation. » conclu le professeur.
Gardant le silence il réfléchissait a ce que venait de dire Dumbledore. Il n'avait pas tord, il cherchait un moyen de l'affaiblir. Il savait que Ron et Hermione sont ses meilleurs amis, mais comment ? Il ne risquerait pas a demander a Albus, il avait confiance en tout le monde, trop de monde peut être.
« Que pouvons nous faire Albus ? » demanda alors Arthur Weasley.
« Je pense qu'il faut chercher quelle est la famille proche des Granger pour les protéger en cas d'attaque, et ensuite allez chercher Hermione pour qu'elle ne soit plus dans cette position la. Sa prendra sûrement un peu de temps. Mais pour le moment elle n'est pas en danger. »
Harry se leva, il n'y avait plus rien a demander, pour le moment en tout cas. Il s'excusa et remonta dans sa chambre pendant qu'Arthur et le professeur Dumbledore parlait de l'affaire en cours. Ron le suivit, il ne se voyait pas les écouter de « l'affaire Granger » comme les sorciers ne tarderait pas à l'appeler. Une fois dans la chambre, il se permit un léger sursaut d'optimisme.
« Finalement sa à l'air de pas trop mal se goupiller, pas vrai Harry ? »
Le Survivant garda le silence, il ne voulait pas lui montrer qu'il n'était pas tout à fait d'accord. Mais il savait que Ron allait vite deviner qu'il ne partageait pas son avis.
« Alors tu ne le crois pas ? » conclu le rouquin l'instant suivant.
« Tu vois Ron, je pense que les mangemorts on dut se rendre compte qu'ils avaient été repéré. Et ils ont sûrement prévenus Voldemort. Je ne vois aucune chose de positive. De toute manière ils n'arrêteront pas si facilement. Elle est plus en danger que ce que Dumbledore a l'air de vouloir le croire. Il faut que nous allions la bas. Ils ne surveillent peut être pas l'entré de chez les Granger. »
Ron comprit qu'Harry réfléchissait a haute voix, et il ne voulus pas l'interrompre. Il s'assit sur le rebord de la fenêtre et regarda l'extérieur. Il sus qu'ils n'allaient pas resté ici encore très longtemps. Il tendit un peu l'oreille mais Harry semblait encore en période de réflexion. Il se perdit dans ses pensées, tout ce qu'il avait fait avec Hermione, le fait que jamais il ne lui avait montré une réel affection alors qu'il l'adorait. Il se dit que maintenant il devrait peut être, être plus démonstratif avec elle. Et a la place de lui serrer la main la prendre dans ses bras.
« … Tu viens Ron ? Il faut que je te trouve des habits moldu tu ne peux pas sortir comme sa ! »
Il prit Ron par le bras et l'emmena dans la cave, la ou il avait ranger toute les affaires trop grande pour lui. Il se demanda s'il allait réussir. Il finit par trouver un jean et un t-shirt qui allait parfaitement au rouquin. Celui ci ne fit aucun commentaire et enfila les vêtements.
« On peux y aller maintenant. » Annonça calmement Harry.
Complètement ailleurs, il ne fit aucun commentaire. Puis pendant un instant s'interrompit devant l'escalier. Et finalement exposa ce qu'il pensait :
« - Je ne pense pas qu'y aller comme sa de but en blanc soit un idée si… ingénieuse. Ils doivent se douter maintenant que quelques personnes vont venir leur mettre des bâtons dans les roues non ? Alors tu vas me dire exactement ce a quoi tu pensais et peut être que l'on vas y aller après. Mais je ne tient pas a prendre trop de risques, je doute qu'Hermione apprécierais de nous voir mort. »
Harry ne fit aucun commentait pour le moment. Il avait écouté sans perdre une miette de se qu'il disait. Il reconnaissait sans peine qu'il n'avait pas totalement tord, mais en même temps… est ce vraiment lui qui avait tout faut ?
« - Je pense, qu'il faut aller voir par nous même la situation, au début en tout cas. On ne peux pas rester la comme sa. Et, si la situation nous le permet, faire sortir, Hermione et sa mère qui sont sûrement coincé dans la maison. Si on arrive déjà a faire sa, on pourra s'estimer heureux. Parce que pour le moment je ne le suis pas. »
Ron acquiesça et finit par suivre Harry qui le traînait dehors. Il transplananèrent tous les deux une fois qu'ils furent cacher derrière la maison des Dursley. Personne ne les arrêta, Le professeur et Mr Weasley semblait absent de la maison. Par contre la tante ronchonnait en nettoyant vigoureusement le sol de la cuisine. Ils purent transplanné sans problème, car ils avaient déjà vue la maison d'Hermione, elle leur l'avait montré en photo. Harry l'avait trouver agréable comparé a celle des Dursley.
Ils arrivèrent devant la façade de la maison. Harry et Ron sentirent une onde de magie négative, et ils leur sembla qu'elle s'activait encore. Ron songea brièvement que, peut être, Harry avait raison ils devraient passer a l'action.
« - Faisons le tour de la maison… » Suggéra Ron.
« - C'est vrai que t'es pas con quand tu veux ! » s'exclama Harry subitement.
Il cheminèrent lentement, ils ne voulaient pas être repéré par les mangemorts, et encore moins par Hermione. Ils savaient d'instinct que si elle les voyaient elle sortirait de la maison et la tout leur efforts serait foutus. Ils devait faire en toute discrétion.
Sur le toit de la maison un mangemort était concentrer pour maintenir le sort pour repousser les pénétrations dans la maison. Un autre a coté, surveiller mollement, et il était aussi silencieux que possible, il ne voulais pas déranger l'autre. Pourtant il fut surpris quand il entendit le premier dire :
« - Merde ! »
Il le regarda sans rien dire, et puis finalement demanda :
« Qu'est ce qu'il t'arrive ? Tu as perdu le sort ? » Lança t'il nerveusement.
« J'ai crut, pendant un instant, que quelqu'un avait réussi a passer la barrière. Mais c'est bon maintenant. »
Silencieusement, il retournèrent a leurs occupation respective, il savait que dans un peu moins d'une demi heure sa serait a lui de maintenir le sort. Il espéra vainement que l'autre ne c'était pas tromper et que ce n'était rien, sinon le maître ne serait pas content du tout.
« Hermione ! Descend, c'est l'heure de déjeuner, ton père va bientôt rentrer ! » Hurla une voix.
Harry reconnus sans peine la voix, c'était celle qui lui avait dit qu'Hermione ne pouvait pas les revoirs. Il sut a présent que c'était la mère d'Hermione. Il s'appuya contre le mur, et observa la pièce dans la quelle ils étaient. La pièce était d'une sobriété, les murs peints en blanc, avec des plainte noirs. Il y avait un fauteuil, style Louis XV, puis devant ce fauteuil, un bureau en bois sombre. Il apprécia du regard la finition parfaite du bureau. Il sut que celui ci devait valoir une petite fortune. De l'autre coté du bureau il vit deux autres fauteuils, il se dit que logiquement sa devait être les deux même que le premier.
« - Qu'est ce que tu compte faire ? »
Interrogea Ron, interrompant le cours de ses penser sur le ameublement du bureau.
« On va aller dans la chambre d'Hermione, et on va attendre qu'elle revienne après qu'elle est manger. Apres on avisera. »
Harry garda le silence, mais pas Ron.
« Super ton plan, j'espère qu'Hermione nous aidera a la sortir de la. »
Harry prit la mouche, non mais pourquoi cette remarque.
« Mais je t'en prit Ron, si tu as une meilleur idée, fait marché tes neurones, je serais ravis d'avoir un peu d'aide. » Répartit il vertement.
A partir de la, aucun des deux ne prononça un mot, ils avaient mieux a faire que de ce disputer. Ils n'allaient quand même pas se faire remarquer aussi bêtement après tous les efforts fait ?
« Je crois qu'on peux y aller maintenant. » Murmura Harry, une dizaine de minutes plus tard.
Toujours appuyer sur le mur sous la fenêtres, Harry perçut un léger ronflement. Il tourna la tête et la il faillit exploser de rire. Ron, piquer du nez, il s'était endormis, dans un moment aussi critique. Il le réveilla doucement pour qu'ils montent dans la chambre. Une fois le roux réveiller, il montèrent tel des panthère dans la chambre de leur amie.
La chambre d'Hermione ne ressemblait pas a ce qu'ils avaient imaginer. Une grande bibliothèque, encastré dans le mur, surplomber de toute sa hauteur les deux garçons. Par curiosité, Ron jeta un coup d'œil, Il fut surpris de voir qu'il n'y avait pas beaucoup de livre de cours et de science comparer a ce qu'il s'était imaginer, mais de la fiction et des livres policiers moldus. Harry quand a lui, observer les cd de son amie, il fut surpris de voir qu'ils avaient les mêmes goûts musicaux. Du rock et du Hard Rock, quelques disc pop rock et c'est tout. La chambre était spacieuse et très bien ranger, un fauteuil, blanc faisait face a la bibliothèque, une corbeille a linge était ranger a coté de l'armoire. Les murs étaient peints en bleu un peu claire, et le plafond était en plastique. Il vit avec étonnement que le sol était en bois, du parquet. En observant le mur a coté du fauteuil, Harry vit se dessiner dans le mur une autre bibliothèque. Il s'en approcha et nota que toute ses affaires scolaires était rangé la, tout ce qui était en rapport avec la magie, uniquement visible par des sorcier. Voilà quelques chose de très intelligent.
« Hermione ! tu reste la ! »
Entendirent soudain Ron et Harry.
« Non ! Je vais dans ma chambre. »
Répondit en échos la voix de leur amie. Elle pénétra telle une furie dans la chambre et bloqua magiquement la porte. Elle était rouge de fureur. Et par la même occasion n'aperçut pas ses deux amis. Ils avaient juste eu le temps de se cacher pour ne pas attirer l'attention.
Elle se laissa tomber sur le fauteuil et mis la musique a fond, comme avant qu'ils arrivent et la musique d'AC/DC hurla dans toute la maison. Ron, qui ne supportait pas cette musique se lança un sort pour ne plus y entendre. Harry lui, ne faisait pas tant de manière et tapait du pied au rythme de la musique.
Cinq minutes plus tard il sortit de son trou, et, quand Hermione les vit resta complètement bête. Elle ferma les yeux, et les rouvrit, ils étaient toujours la. Ne sachant comment réagir, Ron se leva complètement et dis bêtement :
« Hermione, c'est moi, Ron ! »
Si il s'attendait a quelques chose, il ne s'attendait pas a sa. Elle lui lança le premier truc qui lui tombait sous la main dessus. En l'occurrence un gros bouquin a la reluire dur, qui devait bien peser un kilo. Ne réagissant pas, il se le prit en pleine tête et tomba, dans les vapes sur sont lit. Elle s'approcha du lit, doucement, et aperçue Harry. Elle recula et faillit tomber dans les pommes elle aussi, mais son fauteuil la retint juste a temps.
Harry se retrouva alors, seul devant ses amis. L'un d'abord assommer et la deuxième complètement étonnée et sans réaction. Il lança donc un sort a Hermione afin qu'ils puissent communiquer malgré la musique qui hurlait a coté d'eux. Ainsi ils ne seraient pas épié, ni les uns ni les autres.
« Hermione, on est venus pour te sortir d'ici, pas pour que tu assomme Ron. » dit Harry au bord du fou rire.
« Excuse moi, je ne pensais pas que vous viendriez jusque ici. J'ai tellement souvent penser que vous étiez la… que c'était la seule chose a faire pour que je sois sure. Tu crois qu'il m'en voudra ? »
« Non je pense pas, il va juste se demander pourquoi tu as fait sa… »
Hermione garda le silence un instant, ne sachant pas trop par quelle bout commencer et chercha la meilleur question, la seule qui expliquerait plein de chose.
« Est ce que tu sais pourquoi je suis enfermée ici ? »
Harry s'attendait a ce genre de question, et chercha (lui aussi) par ou commencer. Et surtout a trouver une façon pour ne pas la choquer. Pas facile a dire que tu es séquestrer chez toi a cause de la famille…
« Pour commencer, il faut que tu sache que ta maison est surveiller par des mangemorts, Dumbledore est au courant de la situation et s'arrange avec le père de Ron pour faire évoluer tout sa. Voldemort, pense pouvoir m'affaiblir en s'en prenant a mes amis, commença Harry, c'est pour sa qu'il s'en ai prit a vous. Ta mère reçoit des menaces a chaque fois que quelques chose de non moldu pénètre dans la maison, y compris tous les hiboux que tu as put envoyer… Ils ont, d'ailleurs, été sûrement intercepter. »
Il marqua une pause, il en avait déjà dit pas mal. Hermione semblait totalement éberlué, ainsi donc il s'agirait d'une offensive de Voldemort, et ils tiennent sa mère, ceci explique cela…
« Comment menacent-il ma mère ? » Interrogea alors Hermione.
Harry lui jeta un coup d'œil et repris :
« J'allais y venir justement. Ils contrôlent toute ta famille. Je pense que nous avons réussis a couper le sorts suffisent peu de temps pour que nous n'aillons pas été repérer. Dumbledore est entrain en ce moment de placer des sécurités sur toute les personnes de ta familles, amis compris. Ils ne devraient pas tarder a arriver maintenant. Il est déjà 14h. »
« Pourquoi n'a tu pas attendu que Dumbledore de dise de venir pour venir ? » questionna Hermione.
Ron, qui se réveiller a ce moment la répondit a la place d'Harry. Il se frotta la tête pour se remettre de ses émotions.
« Parce qu'il n'était pas presser pour venir a votre secours. Nous pensons, qu'il aurait sûrement attendu demain si nous n'avions pas précipiter les choses. Harry a largement fait comprendre qu'il n'était pas d'accord. » Puis ajouta, avec humeur « Tu aurait pu me dire bonjours a la place de me lancer ce bouquin a la figure ! »
Harry s'assis sur le lit d'Hermione, il s'attendait a ce que les deux, malgré leur amour respectif, se chamaille de nouveau. Mais il n'en fut rien Hermione s'excusa tant bien que mal du jet de livre. Et Ron incapable de lui faire la gueule plus de dix minutes lui sourit immédiatement, atténuant les scrupules de l'autre. Il s'abîma dans de sordides pensés qui le firent sourire et presque il serait devenu moqueur… inconsciemment bien sur.
« … pense qu'on peux partir ? » Questionna quelqu'un.
Harry, qui n'avait rient suivit de l'action, se releva d'un bond, il commençait a piquer du nez… Regarda un moment les autres, donnant l'impression qu'il réfléchissait. Alors qu'il essayait seulement de réveiller ces neurones endormis.
« Dans une ou deux heure, répondit il vaguement, il ne faut pas réveiller l'attention des mangemorts en sortant maintenant, sa ne fait pas assez longtemps que nous avons couper le sort, ils trouveraient sa étranges. »
Coupant court a tous les espoirs d'Hermione, Harry essaya de trouver quelques chose a faire. Pour occuper au mieux son esprit et éviter de dormir il se dirigea mécaniquement vers la bibliothèque moldu, avec les grands écrits. Il fini par prendre le Da Vinci Code et chercher la page ou il c'était arrêter. Cependant, Ron et Hermione discutait de tout et de rien. Il n'y avait rien d'autre a faire.
Harry décida qu'il ne partirait pas de chez Hermione avant la fin du livre… Il avait de quoi faire mais au moins il saurait qui est le commanditaire. Il en était presque a la fin, et le soleil commencer a tomber sur l'horizon. La, pour éviter d'amener l'attention il n'aurait jamais pu faire mieux.
"- Hermione ! A table !"
Harry leva la tête du bouquin qu'il venait de terminer. Il vit Ron et Hermione, qui était silencieux depuis un bon moment maintenant et qui ne savais plus quoi faire en dehors d'écouter de la musique.
« Pourquoi elle t'appelle déjà pour manger, c'est quelle heure ? »
Ils tournèrent la tête d'un même mouvement dans sa direction et il eu la soudaine impression d'avoir dit une bêtise. Mais il se retint de demander pourquoi. Il ne voulait pas les mettre en boule.
« - Tout simplement parce que 8h du soir Harry. Chez nous on mange toujours a cet heure la. »
« Oh, euh, désolé. Bah, tu n'a qu'a aller manger, comme sa ta mère sera rassuré, puis surtout ramène nous un bout de pain, je meurt de faim… » Puis il lui fit un grand sourire pour se faire pardonner de l'avoir fait attendre aussi longtemps. Puis il se rendit compte qu'il avait envie d'aller au toilette.
« Ron, je vais aux toilette. Comme ils mangent c'est la meilleur occasion qu'on peux avoir. Tu veux venir ? »
Il hocha la tête, qui lui faisait mal d'ailleurs. A force d'écouter cette musique… Mais bon, tant pis, il n'avait pas tellement eu le choix.
Ils se levèrent d'un même mouvement, ils avaient été enfermée dans la chambre toute l'après midi. Et ils commençaient a le sentir. Bien qu'en plein mois d'août la chambre d'Hermione semblait ne pas ressentir le temps, comme si elle avait une clim. incorporer. Harry faillis en parler a Ron, mais il était sur que sa lui passait largement au dessus de la tête.
Ils retournèrent dans la chambre une fois qu'ils eurent fini ce qu'ils avaient a faire. Ron sut qu'ils avaient eu de la chance, les toilettes était juste a coté de la chambre d'Hermione. Et il se retint de le dire a Harry, il devait avoir remarquer lui aussi, après tout c'était l'évidence même.
Et ils patientèrent encore, et encore. Ron trouva que pour aujourd'hui il avait été franchement très patient, il avait rien fait de la journée si ce n'est trouver une solution pour neutraliser le sort des mangemorts et il commençait a en avoir mare de rester sans rien faire.
Quand enfin elle fut revenue de son repas, Harry et Ron se levèrent. Puis faisant marcher ses neurones a la vitesse de la lumière Harry eu la présence d'esprit de demander ce qu'aller faire ses parents. « regarder la tété », fut les seules paroles qu'elle prononça pour parler de ses parents.
Il firent le même chemin qu'un peu plus tôt dans la journée pour se sortir de chez Hermione. Une fois dans le bureau avec les fauteuils Louis XV. Harry stoppa net. Les deux autres firent de même mais par surprise.
« - Qu'est ce que tu fais Harry ? J'aimerais bien sortir d'ici. »
Il regarda sévèrement le rouquin, il ne savais pas agir logiquement. Il soupira.
« - Il vaudrait mieux qu'Hermione sorte d'abord, elle connais les environs et si elle s'éloigne de la maison seule, sa semblera moins louche. »
« T'es un cerveau, s'extasia Hermione, j'aurais dut y penser moi même. Mais surtout vous traîner pas trop. Ils trouveront bizarre que je sois sortie quand même. »
Ron Hocha la tête encore fois. Puis il s'écarta d'un geste théâtrale de la fenêtre qu'il allait enjamber dans la minute qui suivait.
« -Allez, vas y. On sera pas long. » Dit il d'un air rassurant pour se donner un peu contenance. Il avait vraiment l'impression de passer pour un parfait imbécile.
La jeune fille passa rapidement par la fenêtre, ne demandant pas son reste. Elle sortait un peu la semaine mais sans ses affaires de sorcière c'était compliquer de prendre contact avec quelqu'un. Elle passa l'angle de la rue et s'arrêta a l'arrêt de bus. Il seraient obligé de la trouver la.
Harry et Ron passèrent a peu près au même moment par la fenêtres, Harry en avait trouver une autre cacher sous une grande teinture. Ils déguerpirent en vitesse, ils ne souhaitaient pas se faire repérer.
Sauf que le mangemorts de faction sur le toit ressentit la coupure bien plus intensément que l'autre. Il fut tellement décontenancé qu'il le stoppa d'un coup. Il donna un coup de pied a celui qui ne bougeait pas et lui intima silencieusement l'ordre d'observer si il voyait quelqu'un.
Harry qui avait prévus sa avait fait un signe a Ron qu'il s'immobilise au moins une minute. Et heureusement pour lui il obéis a Harry. Il vit le soulagement se peindre dans les iris verte de son ami. Il comprit rapidement pourquoi. Une bagarre se fit entendre au dessus d'eux.
Ils en profitèrent pour sortir de leur cachette pendant l'égarement des deux. Et ils n'eurent aucun problème pour trouver Hermione qui les attendait en se faisant un peu de soucis quand même. Ils prirent le bus et une fois dans un coin tranquille transplanèrent jusque chez les Dursley.
La maison était déserte, ce qui leur permis de s'installer a leur aise. Maintenant que le plus dur était passer ils pouvaient souffler en paix. Enfin une paix toute relative puisque quelques minutes plus tard Dudley était revenu. Mais en voyant qu'il y avait Ron et Hermione il demanda pas son reste et couru dans sa chambre.
Tard dans la soirée, alors que les trois adolescents était monté dans ce qui servait de chambre a Harry ils se firent appeler par la voix de grizzli de l'oncle Vernon. Quand ils descendirent, Dumbledore et Le père de Ron les attendaient. Ils ne dirent rien jusqu'à ce que le professeur prenne la parole.
« Je suppose que vous ne vous êtes pas vraiment rendus compte des risque… Ou, non en fait vous les avez ignoré. Mais bon, maintenant que tout est rentré dans l'ordre il n'y a plus de raison de vous faire la morale. Je suppose que vous voulez tous les trois aller chez Arthur… »
La supposition était naturellement juste. Les trois adolescent ne se firent pas prié, Harry c'était dépêcher de prendre ses affaires. Hermione, qui commençait a s'inquiéter fut rassurer tout avait déjà envoyer cher les Weasley.
C'est la joie la plus totale qu'ils arrivèrent tous ensemble, heureux de la fin de vacances qui s'annonçaient a eux.
