Note de l'auteur :

Bonjour à tous ! Alors, ces vacances, trop cool ? bah, y'en a qui bosse, ici ! vous avez trop de la chance, bouhhhhhh. Enfin, tant pis… Merci pour toutes vos gentilles reviews, ça fait tellement plaisir d'ouvrir sa boite mail et de voir « review alert » !

Donc voilà un chapitre un peu spécial, un peu triste, vous me direz si vous avez aimé lol !


Réponses aux reviews :

Sabrina malefoy : merci ! et voilà le chapitre 7 ! bises.

Oceana-666 : toujours fidèle, ça me fait trop plaisir tu peux pas savoir comment ! j'espère que ce chapitre, bien qu'un peu triste, te plaira quand même…

Lily : coucou ! ta patience est récompensée ! voilà le chapitre !

IronMaidenJeanne : merci miss, et voilà !

Angie : merci bcp ! la suite de l'histoire ci-dessous !

Chupa : tu vas enfin savoir ce que Hermione préparait, mais c'est triste. Je te rassure, ça finit bien ! bises

Rose Potter : ouahou ! la plus longue review que j'ai jamais eu ! merci merci merci ! et voui, j'aime bien coupé au moment le plus intéressant, c'est pas ma faute, c'est plus fort que moi. Tu vas me taper, là aussi je l'ai fait lol ! mais je poste la suite lundi, promis ! Sinon, oui, j'ai fait du latin jusqu'au bac, j'adore cette langue et je trouve dommage de ne pas avoir pu continuer ensuite… comme je n'ai pas fait d'études littéraires (j'ai un bac S…) mais bon, un jour pe, quand j'aurais le temps ! Lorsque Draco est près du lac, ça vient d'un rêve que j'ai fait un jour, sauf qu'après ça partait en délire, avec Gandalf qui débarquait et on devait sauter de pierre en pierre sur le chemin pour pas se faire dévorer par des crocodiles, et ensuite on arrivait dans une aire de pique-nique mais y'avait des ogres, alors on se transformait en perles pour pas qu'ils nous mangent, mais du coup, ils voulaient faire un collier ! véridique ! Bref, allez, gros bisous, et merci encore pour tes super reviews !

Love-pingo : salut ! eh eh, bah là t'auras la réponse ! grosses bises !

Sammalefoy : t'as vu ! j'ai eu du temps pour lire quelques unes de tes fics ! elles sont vachement originales et sympa ! bravo ! gros bisous et merci pr ta review et ta patience lol !

Agrippine57 : hello miss ! merci ! t'es trop gentille ! voilà la suite ! kiss !


Et maintenant…


Chapitre 7 : Rappel : Enfin, la première sortie à Pré-au-Lard arriva…

Ce samedi après-midi là, après le repas, Hermione prit son courage à deux mains et avala la pilule des Weasleys. L'instant suivant, elle se plia en deux suite à une crampe d'estomac, eut des bouffées de chaleur et un mal de crâne horrible. L'effet du comprimé ne s'était pas fait attendre ! Quand on pense qu'à l'origine, il avait été développé pour sécher des cours…

Hermione alla se mettre au lit et attendit que Parvarti, inquiète de ne pas la voir au rendez-vous, vienne la voir. Elle gémit doucement, tant la pilule était efficace. Et dire qu'elle avait pensé avoir besoin de faire un peu de comédie en plus ! Vraiment pas la peine ! Elle se sentait réellement mal. Heureusement, la pilule de contre-sort était à portée de main, dans son tiroir de chevet.

Elle attendit quelques minutes, puis entendit quelqu'un frapper à la porte.

"entre, Parvarti !"

Mais ce n'était pas Parvarti qui, la mine soucieuse, poussa la porte.

"Malfoy !"

"Qu'est ce qu'il t'arrive, Granger ? ta bande de comiques s'inquiète, en bas… tu devrais être dans le hall d'entrée depuis 20 minutes. Or, tu n'es jamais en retard, alors… on a pensé qu'il se passait quelque chose."

« On ? » s'étonna Hermione, sans pour autant le faire remarquer à voix haute.

"je crois que je fais une indigestion alimentaire…"

A voir Granger souffrante, l'inquiétude de Draco s'accrut, et il s'approcha de son lit.

"c'est pas que tu me manques, mais ils m'ont tous menacé de me jeter un sort si je n'allai pas voir ce que tu étais devenue. Je suis puissant, mais à 6 contre un, c'est couru d'avance !"

P"ourquoi ne les as-tu pas laissé entrer !" (Hermione épongea le front de sa main. Il était brûlant.)

"Hey, c'est ma salle : tu m'as eu une fois, tu ne m'auras pas deux ! pas de détritus ambulants ici !"

"Dans ce cas, ça vaut aussi pour toi ! (Elle frissonna : après les suées, le grand froid canadien ! purée de pilule !) on demandera à l'autre à chaque fois qu'on veut inviter quelqu'un ici, ok ?" (elle se recroquevilla. Encore une crampe !)

Draco s'alarma, elle n'avait vraiment pas l'air bien. Il s'assit au bord du lit, et, sous prétexte de prendre sa température, saisit sa main moite et chaude, trop chaude.

"veux-tu que j'appelle Pomfresh ?"

"non, ça m'est déjà arrivé. Ce soir, ce sera fini et je ne veux pas la déranger pour ça."

"Tu es sûre ?"

Il tenait délicatement sa main, et la fraîcheur de ses paumes lui faisait un bien fou. Hermione discerna une lueur d'inquiétude dans les yeux bleus de Malfoy. La pilule provoquait-elle aussi des hallucinations ? Sinon, elle aurait juré que Malfoy se faisait du souci pour elle…

"Tu vas rater la première sortie à Pré-au-Lard. As-tu besoin de quelque chose là-bas ? Je veux dire, euh, je pourrais, dans ma grande bonté, passer la commission à Potty…"

Ah ! elle se disait aussi… mais le ton supérieur de Malfoy manquait de conviction.

"Non, c'est bon… ah si ! demande-lui de me ramener une bouteille d'encre et du parchemin, j'en manque. On a tellement de devoirs…"

"Et puis quoi encore ? Tu veux pas tout le magasin non plus ? Je crois qu'il y a des réductions par lot de 100 !"

"…"

"Bon, je lui dirai. Pfff, parler au Balafré, faut vraiment que je n'ai pas le choix ! Allez, repose-toi, ok ? Euh, je veux dire, on a la ronde, ce soir, alors…"

Mais oui, il s'inquiétait pour elle ! « C'est pas possible, on nous l'a changé ! »

"Oui… et merci !"

"C'est ça... à plus !"

Le sourire que lui rendit Granger malgré sa douleur, fit bondir son cœur.

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Hermione attendit une demi heure pour être sûre que tous étaient partis, puis elle avala l'autre comprimé. Elle se sentit tout de suite mieux, mais croqua tout de même dans une barre de chocolat pour récupérer ses forces.

Elle enfila rapidement un manteau, jeta la cape d'invisibilité sur ses épaules, et prit le passage secret pour le sous-sol de Honeydukes.

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Draco était horripilé par les quatre gamines qui les accompagnaient, Blaise et lui. Elles avaient apparemment bataillé férocement pour être les premières à s'inscrire sous son nom, et minaudaient en essayant d'attirer son attention. D'ordinaire, il ne serait pas resté insensible, et aurait ostensiblement flirté avec elles. Mais là, savoir Granger malade, ça le bloquait. Cette fille l'obsédait !

Bon, l'avantage d'être avec des bébés qui se pâmaient devant lui, c'est qu'il put aller où bon lui semblait, elles le suivaient de bon cœur, et tenaient à lui offrir livres sur le Quidditch, beignets, chemises et que sais-je. Il eut le malheur, exaspéré, d'accepter un objet de farces et attrapes de l'une, ce qui déclencha un esclandre chez les autres. Il se vit donc obligé de réparer cette « injustice » et récupéra une écharpe brodée aux insignes de sa maison (encore une…), une figurine de l'attrapeur de l'équipe allemande et un carnet aux illustrations immondes de serpents, qu'il se promit de jeter à la poubelle dès qu'il rentrerait. Les filles, aux anges, n'eurent de cesse de le harceler encore plus afin qu'il jure que oui, ce cadeau était vraiment le plus beau, merci.

Enfin, il passa devant la boutique Scribenpenne et ordonna à son groupe de l'attendre dehors. Il ressortit avec du parchemin et de l'encre, mais aussi avec une plume de cygne, d'un blanc immaculé. Il n'avait pas passé la commission à Potty, évidemment. Ils allèrent également à Honeydukes où Draco s'acheta un sachet de caramels.

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Lorsque Draco revint, il eut envie d'une bonne douche. Elles l'avaient collé toute l'après-midi, de vraies sangsues. Il alla écouter à la porte d'Hermione et n'entendit aucun bruit. Elle devait se reposer. Il n'osa pas frapper pour s'en assurer et se contenta de déposer encre, parchemin et plume sur la grande table. Il hésita, puis déposa quelques caramels par-dessus.

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Hermione rentra juste après que Malfoy soit rentré dans la salle de bain. Sur la pointe des pieds, elle rejoignit sa chambre, retira sa cape et son manteau. Elle avait eu du mal à trouver l'endroit, et encore plus à obtenir ce qu'elle voulait. Après un marchandage houleux, la sorcière, mécontente de la transaction, avait fini par lui tendre ce pour quoi elle était venue.

La potion, de couleur noire, était contenue dans un tout petit flacon de verre brut. Elle devait le faire, maintenant. Elle aurait tout le dimanche pour récupérer… ou ne se réveillerait jamais. Elle saisit la fiole et n'hésita pas : elle avala d'un coup.

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Le bain lui avait fait du bien. Il se sentait détendu et décida de s'habiller « Moldu ». Un jean, un t-shirt avec par-dessus une chemise à manche courte, un peu de parfum et il serait près pour rejoindre les Serpentards dans leur salle commune, fêter à leur façon la première sortie.

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Hermione s'écroula d'un coup. Merlin, comme ça faisait mal ! Les pilules de flemme des Weasley étaient une douce caresse à côté ! Elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler, et se recroquevilla. La sorcière l'avait prévenue : pendant plusieurs heures, elle souffrirait, puis cela disparaîtrait graduellement, et elle serait libérée. Son ventre était en feu, non, pire, elle n'était plus que feu, elle brûlait vive sur un bûcher. « J'ai trop chaud… ». Elle enleva en tremblant son pull, puis son chemisier de Griffondor. « Trop chaud… ». Ses collants et sa jupe suivirent le même chemin. « Chaud… ». Hermione ôta soutien-gorge et petite culotte. « … » Une douche, une douche glacée, cela l'aiderait peut-être. Avec peine, Hermione se leva, chancelante, et tituba jusqu'à la salle de bain.

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Draco venait d'enfiler sa chemise et attrapait sa brosse à cheveux quand il entendit la porte s'ouvrir. Sans regarder, il cria : « Granger, je sais que tu ne peux pas te passer de mon corps, mais là, je suis pressé. J'en ai plus que pour cinq minutes, tu peux attendre, non ! ». Il ne perçut pas de réponse, ce qui l'étonna. Il se retourna, surpris, et laissa sa brosse tomber : soit il rêvait éveillé, soit Granger était nue devant lui !

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Hermione, nue comme au premier jour de sa vie, les yeux flous, rouge et suante, titubait vers la douche. La douleur était telle qu'elle ne remarqua même pas Malfoy. Ses yeux étaient rivés vers la douche. Elle sentit ses forces la quitter. Non ! Elle n'allait pas s'effondrer à 3 mètres de son but !

"Granger ! mais par Merlin, qu'est-ce que tu fous comme ça ?"

Draco était stupéfait. Granger n'était pas vraiment exhibitionniste : depuis 1 mois et demi qu'ils vivaient ensembles, il le savait. Que lui prenait-il ? Malgré lui, il sentit son corps réagir à la vue de celui de la jeune Griffondor. Il fallait dire qu'elle s'offrait impudiquement à son regard, il n'allait quand même pas protester ! Il eut le temps de jeter un œil sur ses seins petits mais ronds et fermes, son ventre plat et musclé, son sexe aux poils bouclés et ses cuisses fines, avant de remarquer à quel point Granger paraissait mal en point.

"Granger !"

"…"

Hermione vit la douche s'éloigner, sa vision se fit floue, tout tournait…

Draco, alarmé, eut juste le temps de courir vers elle : Hermione s'évanouit et tomba dans les bras tendus de Malfoy.

Quelque chose n'allait pas ! Granger n'était pas dans son état normal ! Draco l'allongea sur le carrelage glacé. Il posa sa main sur le front d'Hermione : la jeune fille était brûlante et avait des spasmes.

"Granger ! Granger, réponds-moi ! Allez, ouvre les yeux !"

Détresse ! Affolement ! Draco ne savait pas quoi faire. Jamais on ne lui avait appris à gérer ce type de situation ! Il était sensé être glacial, pas paniqué ! En désespoir de cause, voyant qu'elle restait inconsciente, il la secoua… Elle ne réagissait pas !

"Granger, réveille toi bon sang !" hurla t-il

Il la gifla de toutes ses forces. La jeune fille gémit, et enfin, à son grand soulagement, entrouvrit ses yeux.

Son regard était flou, ses yeux n'accommodaient pas. Elle ne semblait ni entendre, ni voir. Faible, épuisée, elle attendait une mort apaisante. Elle discerna vaguement des cris de détresse, et essaya d'articuler. Elle crut parler, d'une voix claire, tenter de rassurer celui ou celle qui la tenait ainsi dans ses bras, si serrée, mais ses lèvres remuaient à peine. Elle avait si mal ! Retomber dans l'inconscience anesthésiante… Elle referma les yeux.

Draco discerna le mot « chaud » sur les lèvres d'Hermione, et, complètement perdu, n'eut pas d'autre idée que d'aller ouvrir au maximum le robinet d'eau froide de la douche.

"Granger, allez, lève-toi !" désespéra t-il en la secouant par les épaules.

"…"

La secouer ne servait décidément à rien. Il souleva aussi délicatement qu'il le put le corps tremblant de la Griffondor et, la gardant contre lui, se glissa sous le jet glacé de la douche. Le choc de l'eau fit frémir Hermione et elle entrouvrit à nouveau ses yeux.

"reste éveillée ma belle, courage !"

"…"

Il fut rapidement trempé, ses cheveux plaqués sur son crâne. Ses vêtements collants glaçaient plus encore son corps, mais Draco ne parut même pas s'en rendre compte. Toute son attention allait à Hermione. La jeune fille frissonnait. Il était à genoux dans la douche, la jeune Griffondor dans ses bras, transi. L'eau rendait la peau d'Hermione glissante, et il la tint plus étroitement, la berçant, lui parlant pour retenir son attention et pour qu'elle ne lâche pas le mince fil qui la rattachait encore à la vie :

"s'il te plaît ! vis !" (il tapota ses joues)

"…"

"pense à Potter, à Weasley, à ta famille ! ne les laisse pas ! ils ont encore besoin de toi !"

"…"

"on va t'aider, oui, même moi si tu veux ! plus de « Sang-de-Bourbe », de « sale Moldue ». Mais reste avec nous ! Reste avec moi…"

"…"

"allez, accroche-toi ! je… je serai là pour toi, Hermione, je le jure…"

Hermione eut un sursaut de conscience : ces mots, elle les avait déjà entendus. Mais où, et quand ? Elle se souvenait que tout alors lui avait semblé paisible, heureux. Quelqu'un la serrait, caressait ses cheveux si tendrement. Il était flou, elle ne voyait pas son visage, mais il lui semblait connaître cette voix. Un ange ? Etait-elle déjà morte ? Non, la douleur faisait trop partie de la réalité. Dans quelques minutes, espéra t-elle. Elle leva une main vers le visage de l'inconnu, et tenta de discerner ses traits à tâtons. Soudain une crampe des plus violentes la fit hurler. Perdue dans un océan de douleur, elle n'entendit pas Draco hurler de panique en réponse.

"Par Merlin !" Draco se sentit blanchir.

La jeune fille souffrait le martyre, elle hurlait et se recroquevillait. Alors, Draco vit du sang ruisseler vers la bonde de la douche. Incrédule, il leva sa main. Elle était couverte de sang ! Hermione était blessée ! Draco perdit la tête et hurla de toutes ses forces :

"Dumbledore ! Dumbledore ! pour l'amour de Merlin, venez l'aider !"

Sa voix se brisa sur la fin de sa phrase.

Il entendit à peine la porte de la salle commune voler en éclats, et ne releva la tête que lorsqu'il aperçut l'ombre de quelqu'un à ses côtés. Les bras de Draco se retrouvèrent soudain vides : le directeur s'était emparé prestement d'Hermione et l'avait soulevé aussi facilement que si elle avait été un fétu de paille. A travers l'eau giclant de la douche, Draco crut saisir :

"Elle est mourante. Je l'emmène à l'infirmerie. Vous, trouvez ce qu'il s'est passé ! je vous autorise à fouiller Poudlard. Faîtes vite !"

Le directeur repartit en volant rapidement (sans balai !).

Mourante… elle était mourante ! De tous ceux qu'il avait connus, elle entre tous ne méritait pas la mort. Juste au moment où il avait compris ce qu'il ressentait pour elle… C'était tellement injuste ! Il sortit de la douche et se précipita, mi courant, mi glissant, vers la chambre de la jeune fille. Elle avait été mal toute l'après-midi : les médicaments qu'elle avait ingurgités l'avaient peut-être mortellement empoisonnée ! « Non, Granger, ne meurs pas ! » Ou bien des Mangemorts l'avaient contrainte d'absorber un poison foudroyant ! Qui, dans ce cas ? Son père, pour se venger de lui ? Il allait payer pour ça !

Il se jeta sur la table de nuit, balaya des yeux les photos, le réveil et la boîte de mouchoirs. Rien de ce côté là. Et puis, sur le lit… une fiole, si petite qu'il aurait pu ne pas la distinguer, cachée qu'elle était dans les replis de dessus de lit en velours rouge. Il la saisit rapidement et lut sur l'étiquette : « Abortum faciere. Attention ! Produit toxique pouvant entraîner la mort ». La fiole était vide…

"Granger, bon dieu, mais qu'as-tu fait !"


Fin du chapitre ! Alors ?Je sais, je sais, il est un peu plus court que d'habitude, mais pour vous consoler, je posterai le prochain chapitre lundi, je pense. Voilà ! On dit merci qui ;-) ?

Vite vite, des petites (ou longues !) reviews !

Gros bisous !