Bonjour à tous !

Incroyable mais vrai, des nouvelles de Lysen…

J'avoue que depuis ma dernière update (qui commence à sérieusement dater. Mille excuses !), de l'eau a passé sous les ponts, comme on dit. Donc, j'ai pas eu le temps d'écrire, de me connecter… bref, j'ai rien fait côté fanfic, mais j'ai des excuses (oui oui oui !). Un nouveau job, un déménagement, ça prend du tps !

Donc…. (roulement de tambours…), voici, sniff, le dernier chapitre de ma fic, une sorte de clôture en douceur, pour appuyer les changements de personnalité de Draco, l'amour qui éclot etc… Il me semble encore très « fleur bleue », mais je l'aime comme ça. Ca fait tellement irréel ! Un vrai conte de fée…

Enfin, même si c'est le dernier chapitre, n'hésitez pas à me poster des reviews ! Si vous me motivez assez, je me lancerai peut-être dans une nouvelle…

En tout cas, merci à vous d'avoir suivi cette histoire, j'espère qu'elle vous a plu et ne vous a pas déçus.

Enormes bisous ! (et bonne saint Valentin à tous, en avance !)


Réponse aux reviews (courte cette fois, je n'ai vraiment pas bcp de temps devant moi !):

Un grand merci à mes reviewers du chapitre 12 :

Mary-jane, prettymarie, Tara91, Valayeste, ladydianaaa, Me, rihanna-malefoy, arwenajane, Shiaru, lolo, ouste, Alex, Maellys, AbelforthDumbledore, sunny'z, et surtout mioneanddray, diabolikvampyr, 'tite Mione, Love-pingo, MJ

Et un grand merci aussi (ça fait pas de mal) à tous ceux qui m'ont lu mais n'ont pas eu le tps/l'envie de poster un review.


Et maintenant…. !


Chapitre 13 : dernier chapitre ! bouhhhhhh…

ATTENTION : scène finale à caractère sexuel, un peu explicite ! Ceux qui souhaitent lire ce chapitre sans détails choquants peuvent me poster un review rapidement et je leur enverrai la version « light »

Rappel : Et, se rapprochant de lui, elle l'embrassa passionnément. Draco se sentit fondre, et crut rêver. Il avait attendu ce moment depuis si longtemps !

A Pré-au-Lard, les filles faisaient les dernières emplettes pour le bal. Les rayons de maquillage, bijoux fantaisies et accessoires étaient pris d'assaut.

"- comment ça, tu n'as toujours pas ta robe de bal !" s'offusqua Lavande

"- je n'ai pas dit ça," soupira Hermione. "C'est juste que… et bien, j'ai celle de 4e année et –"

"- tu rigoles, j'espère ! de 1, tu as beaucoup grandi en deux ans –"

"- oh, mais avec un sort d'allongement –"

"- et de 2 : tu l'as déjà mise !"

"- Lavande, tu ne comprends pas…"

"- Je ne comprends pas quoi ?"

"- Et bien, c'est assez gênant de t'en parler…"

"- Oh, Hermy, arrête, tu veux ! Avec Ginny, toi et Parvati, on a déjà parlé de tout ce qui pouvait être gênant : les problèmes de menstruation, les boutons, le sexe –"

"- Ok, ok ! je capitule !" rigola Hermione.

"- Bon, alors ?"

"- C'est simple : je n'ai pas assez d'argent pour m'en acheter une neuve."

"- Oh… d'accord. Mais, et tes parents, tu ne peux pas leur demander ?"

"- Je ne préfère pas."

« Ou plutôt : je ne veux pas leur redemander d'argent », pensa amèrement Hermione. Alors que les deux jeunes filles ressortaient de la boutique Gaichiffon, déçues, un jeune homme se releva de derrière un rayon où il s'était caché pour les espionner. Il eut un petit sourire malicieux.

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Conversation discrète :

"- eh ! attends, faut que je te parle !"

"- toi, me parler ? c'est nouveau ! qu'est-ce que tu me veux ?"

"- c'est à propos d'Hermione…"

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Le bal allait bientôt commencer, et Hermione, malgré la joie que provoquait cet événement chez les élèves de Poudlard, avait le cœur serré. Elle se contemplait dans la glace, dans sa vieille robe qu'elle avait allongée par un sort, mais qui ne lui allait plus aussi bien. Elle avait vu toutes les autres filles se pavaner dans leurs robes flambant neuves. Ce n'était pas qu'Hermione fut si matérialiste. Elle anticipait seulement avec angoisse son apparition au bras de Draco, séduisant dans son costume à la dernière mode, elle dans une robe qui ne manquerait pas de lui attirer moqueries et railleries. Déjà qu'elle allait se faire détester pour leur avoir volé Draco… Elle les entendait déjà : « Tiens, Draco donne dans les laiderons, aujourd'hui ! Dray, mon chou, je croyais qu'il était interdit de ramener des clochards à Poudlard ! Granger, tu as versé quoi dans son verre, une potion envoûtante ? C'est pas un remake de Cendrillon ! ». Elle ferait honte à Draco, et s'il y avait bien une chose qu'elle détestait, c'était de faire honte à qui que ce soit. Non, plutôt capituler, et dire à Draco qu'elle ne pourrait pas aller au bal, même si ça lui coûtait énormément. Hermione soupira, résignée, et alla frapper à la porte de son homologue.

"- Entre !" lui cria Draco de l'intérieur.

Hermione poussa la porte, et pénétra dans la pièce. Décidément, elle ne s'habituait toujours pas au ton vert et argent de sa chambre, aux moulures extravagantes, symboles d'un luxe raffiné, aux meubles ramenés du domaine familiale Malfoy, de bois rare et précieux. Draco s'y plaisait, apparemment, habitué depuis sa plus tendre enfance à cet étalage de richesse. Cependant, il avait mis des touches personnelles pour rendre cette pièce moins étouffante, moins « musée ». Des photos de sa mère, de ses amis, des livres éparpillés, et dans un cadre, l'autoportrait d'Hermione, que Draco lui avait avoué avoir subtilisé.

Draco était de dos, et s'occupait de sa chouette qu'il nourrissait avant le bal.

"- qui y'a t-il ?" s'enquit le jeune homme, toujours de dos.

"- J'ai un problème, Draco…"

"- Ah bon ? Me dis pas que tu étais encore en train de faire tes devoirs à à peine 1h du bal !"

"- Mais non, arrête de m'embêter avec ça ! Et puis, tu sais très bien que je les ai déjà tous finis... "

"- Mouais, j'avais oublié à qui je m'adressais... Bien sûr, que tu les as déjà fait ! (lui-même ne les avait pas encore commencés, et ne comptait pas les faire avant la fin des vacances, comme tout étudiant qui se respecte... ). Alors quoi ?"

"- Pour ce soir, euh… je crois que je vais pas y aller, finalement…"

Draco se retourna, et Hermione fut stupéfiée : devant elle se tenait un Draco en pantalon trop court, chemise froissée et cape élimée.

"- mais qu'est-ce que tu fous comme ça ?" s'écria Hermione

"- j'ai décidé de lancer une nouvelle mode", déclara posément Draco. "Ces gens du peuple avec leurs vêtements sophistiqués, c'est dépassé."

"- Draco… ?"

"- Tu comprends, maintenant que le prêt-à-porter existe, ils portent tous la même chose, et les marques de grande classe ont baissé leurs prix, à cause d'une stupide histoire de concurrence et parts de marché. C'est un comble : les roturiers ont accès à ce qui était jusque là réservé aux nobles."

"- Draco !"

Hermione se rapprocha de lui, en souriant.

"- Quoi ?" dit-il, innocemment.

"- Pourquoi as-tu fait ça ?"

"- Je viens de te le dire ! T'es devenue sourde ma parole ?"

"- Allez, comment as-tu su, pour ma robe ?"

"- … Potter vous a entendu, Brown et toi, et est venu me voir."

"- Harry ? Comment est-il au courant, pour nous ?"

"- Je crois qu'il a commencé à s'en douter avant nous…"

Ce n'était qu'une demie vérité, mais Draco ne doutait pas que ce pieux mensonge lui serait pardonné.

"- Harry a toujours été très perspicace !" sourit Hermione

"- Et oui ! comme quoi, de temps en temps, ton balafré a de bonnes idées !"

"- Pourquoi tu as fait ça… ?"

"- …"

"- Draco…"

"- en fait", reprit-il, "au début je pensais te faire le coup du beau prince charmant qui vient t'apporter une robe magnifique, plus resplendissante que le soleil et les étoiles… mais j'ai trouvé ça trop cliché. Je trouve ma tenue beaucoup plus originale ! Qu'en penses-tu ? Vais-je faire un ravage chez les Mol–"

Draco ne put finir sa phrase, le baiser d'Hermione vint clore passionnément ses lèvres. Il la serra fort dans ses bras, et lui répondit avec enthousiasme. Puis il lui chuchota à l'oreille : « Allez, princesse, c'est l'heure du conte de fée ! ». Et, prenant sa main, il la conduisit vers la salle de bal.

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Le silence se fit lorsqu'ils arrivèrent dans la salle. Voir Hermione et Draco ensemble provoqua un ouragan. Habillés ainsi… et surtout, main dans la main. Luna, Lavande, Neville et Parvati furent stupéfaits, mais pas Harry ni Ginny, qui leur adressèrent un clin d'œil. Ron manqua s'étouffer avec son muffin à la citrouille. Abasourdi, la bouche ouverte, il contemplait le couple sans y croire. Mione devait être tombée sur la tête ! Ou elle devait être ensorcelée ! Il allait frapper cet arrogant ! Mais Ginny le retint, en secouant doucement la tête. Lorsqu'elle eut fini de lui expliquer, Ron se laissa tomber sur une chaise, choqué. Il déglutit difficilement, mais ne put rien faire : après tout, c'était le choix d'Hermione… Muets, les élèves contemplaient Draco, sa tête haute et son allure altière contrastant étrangement avec ses habits passés, guidant une Hermione rouge de honte vers la piste. Ils détonnaient tellement dans la pièce qu'ils en rayonnaient. Un double choc, pour un couple hors du commun… Oui, c'était tout à fait cela. L'étrangeté de leur couple, et leurs tenues si piteuses ne faisaient que ressortir l'éclat de leur propre beauté, de leur jeunesse et de leur bonheur. Ce mutisme les accompagna jusqu'au milieu de la piste de danse. Là, Draco, sans se soucier des autres, le visage souriant, saisit tendrement le menton d'Hermione et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Les élèves retinrent leur souffle. Des filles serrèrent les poings, offusquées et vexées. Les Serpentards les plus obtus firent entendre hoquets, murmures de dégoût et d'écœurement. Mais beaucoup mirent de côté la haine que les deux préfets s'étaient jusque là portée, l'opposition de la lionne et du serpent, leur aspect miséreux, et admiraient la tendresse qui auréolait le couple, et le rendait sublime. La musique commença, et Draco entraîna Hermione dans une valse, ouvrant ainsi le bal. Le choc passé, les autres élèves suivirent peu après, et bientôt la pièce fut remplie de couples tourbillonnant.

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Elle dansait, légère, si aérienne au bras de Draco. Les pas s'enchaînaient facilement pour la première fois, et elle avait l'impression de voler. Elle ne pouvait, ne voulait détacher ses yeux de son regard, si profond, envoûtant. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire, bêtement selon elle. Son cœur était aussi léger qu'elle. Elle était profondément heureuse.

Il la tenait et la guidait, gracieux, et la regardait, ravi de la voir sourire. Il évoluait avec elle sur la piste de danse bondée, mais pour lui, il n'y avait qu'elle, qu'elle et lui, l'un à côté de l'autre. Il plongeait son regard dans ses yeux chocolat, si beaux, si attirants. Il aurait voulu la contempler ainsi toute sa vie, et que cette danse ne s'arrête jamais.

Mais tout a une fin, et les dernières mesures de la valse se firent entendre. Etourdis, Draco et Hermione s'arrêtèrent près d'une des hautes fenêtres. Draco avait gardé les mains de la jeune fille dans les siennes, et Hermione n'eut pas l'envie de les lui retirer. Leurs regards ne s'étaient pas quittés. Ils se souriaient, heureux. Draco rapprocha son visage et colla doucement son front sur le sien. Puis, doucement, il murmura :

"- Hermione… je t'aime."

Et ces quelques mots, pourtant si simples, rouvrirent la porte que sa mémoire avait close contre sa volonté. Elle se souvint de la colline, de Draco, la tenant serrée si fort dans ses bras, de ses paroles, si poignantes, et de son baiser… Elle sentit son cœur s'envoler, tourbillonnant comme elle avait virevolté dans les bras du jeune homme auparavant. Sa tête lui tourna lorsqu'elle accueillit le flot de souvenirs, et son sourire s'épanouit. Elle noya son regard dans le sien, et alors qu'il allait parler, étonné par son soudain mutisme…

"- Chut…" lui dit-elle en posant un doigt sur ses lèvres. "Moi aussi !"

Le bonheur les emporta loin de la salle de bal, loin de Poudlard, loin de la guerre. Leurs baisers se firent plus profonds, plus pressés. Ils ne surent jamais vraiment comment ils se retrouvèrent dans la chambre d'Hermione. Essoufflé, Draco se détacha d'elle, et l'interrogea du regard. Pour toute réponse, cette dernière eut un sourire timide, et, les gestes maladroits, elle défit sa robe qu'elle laissa tomber à ses pieds. Merlin qu'elle était belle, offerte ainsi à ses yeux ! Il l'embrassa passionnément, et ôta sa cape, les mains tremblantes. Comme c'était étrange ! il appréhendait tellement ce moment magique qu'il se retrouvait comme un nouveau-né devant elle, angoissé, hésitant. Hermione lui enleva rapidement sa chemise, et caressa sa peau, ses mains fraîches sur son torse chaud. Draco colla sa poitrine contre celle de la femme de sa vie, réclamant une fusion de tout son être avec elle. Il déposa de tendres baisers le long de son cou et ses lèvres, la faisant soupirer de bien-être. Pantalon et sous-vêtements s'éparpillèrent gaiement dans la chambre.

Puis, délicatement, Draco porta Hermione jusqu'à son lit. Là, il l'embrassa, et délicatement, il lui fit l'amour. Lorsque quelques instants plus tard, il sentit le corps d'Hermione se raidir à l'approche de l'orgasme, il se pencha pour l'embrasser passionnément. Un feu ardent, brûlant ravagea Hermione et la mena dans un monde de pur bonheur. L'orgasme de la jeune fille secoua Draco et intensifia son propre plaisir. Il enfouit sa tête dans le cou de la jeune fille et, au moment de l'extase, il murmura son nom amoureusement. Puis, épuisés, tous deux fermèrent les yeux.

Le désir et la passion les embrasèrent toute la nuit. Ereintés, une pellicule de sueur couvrant leurs corps fatigués, ils s'endormirent, nus, bras et jambes enchevêtrés, enfin apaisés.

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Dans une salle secrète au sous-sol de Poudlard, un miroir ouvragé présentait aux yeux de deux observateurs la vision d'un couple enlacé, dormant d'un sommeil profond et paisible.

"- Et bien", déclara le premier, "je crois qu'il est temps."

Il se tourna en souriant vers le deuxième homme. Celui-ci, hargneux, répondit :

"- vous avez triché : ils n'étaient pas sensés devenir préfets à cet âge-là !"

"- j'ai respecté les conditions que vous aviez choisies, suite au défi que vous avez lancé. Je vous rappelle aussi que c'est vous qui avez désigné les élèves…"

"- Ils se détestaient !"

"- Plus maintenant, apparemment…"

Il sourit, amusé de la colère qui se lisait sur le visage de son interlocuteur, et reprit :

"- Et donc, le rapprochement des deux maisons ennemies a bien eu lieu. L'amitié de Miss Granger et Monsieur Malfoy est bien réelle, même si, je dois bien l'avouer, je n'imaginais pas que cela irait jusque-là…"

"- Et moi donc ! C'est… répugnant !"

"- Toujours est-il que j'ai gagné votre pari..."

"- Mais vous n'avez pas respecté le règlement de l'école !"

"- Vraiment ? Voyons…"

Il prit un air mystérieux et réjoui.

- Bien… dans ce cas, je me vois donc obligé de vous laisser cette place de professeur de DCFM."

Rogue eut un sourire satisfait, et s'apprêta à sortir de la pièce. Soudain, la lumière se fit, et il comprit :

"- A vrai dire, vous vous moquiez bien des enjeux de ce pari !"

"- Voyons, que voulez-vous dire par là, professeur ?"

" Vous m'avez manipulé, vous avez tout arrangé !"

"- Moi ? Allons donc !"

" -Oh, oui, vous ! Vous avez profité de mon agacement ce soir-là, parce qu'encore une fois, ces maudits Griffondors avaient remporté le match de Quidditch contre mon équipe, contre ma maison ! Oh oui, comme vous m'avez énervé avec vos commentaires élogieux sur les Griffondors et leur valeur… jusqu'à ce que je lance ce pari stupide ! Je m'entends encore : « Etes-vous prêt à parier le poste de DCFM que jamais le rapprochement entre ces deux maisons ne se fera ? » J'ai été si aveugle, si stupide…"

"- Professeur Rogue, vous divaguez !"

"- Oh non, au contraire, je n'ai jamais été plus lucide...et vous m'avez également incité à choisir les élèves pour le pari !"

"- Vraiment ? Comment cela se peut-il ?"

Le sourire perpétuel de son interlocuteur augmenta sa rage. Il siffla :

"- Oh, oui, je m'en souviens parfaitement maintenant. Vos petites remarques anodines : « Miss Granger fait toujours preuve d'une grande intelligence », « Monsieur Malfoy est un élève parfois si surprenant ». Votre véritable objectif, c'était qu'ils soient ensemble, n'est-ce pas ?"

Pour toute réponse, le sourire de Dumbledore s'agrandit.

"- Pourquoi ?" demanda Rogue hargneusement.

"- 6h déjà ! Il est temps pour moi de nourrir Fumseck. A bientôt, professeur…"

Et Dumbledore sortit, laissant Rogue fulminer seul.

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Voilà, fin de la fic !

Alors, déçus ? Au contraire, trop contents ? Faîtes-le moi savoir, même si c'est le dernier chapitre !

Gros bisous à tous !