On est en salle de briefing. McKay parle de « trucs » qu'il à trouvé dans la Citée. « De nouvelles technologies Anciennes tout simplement incroyable », voilà les termes exactes.

Arf, mais qu'est-ce que j'en ai à faire moi… Bon, ok ! C'est vrai, comme c'est par rapport à la médecine, je peux avoir mon oreiller personnel à côté de moi… Mais quand même…

Mon oreiller personnel, il est aussi mon « radiateur personnel », ainsi que mon meilleur ami, meilleur confident. Mais surtout, mon meilleur amant…

Amant ! Moi, John Sheppard un Colonel dans l'armée américaine, j'aime un homme, un médecin… Ecossais… Qui porte le doux non de Carson Beckett… Mon père saurait ça… Je serais mort et enterrer depuis longtemps. Enfin, il faut arrêter de penser à lui…

Mon radiateur perso… Ca oui, je peux y penser… Encore et toujours… C'est même recommander pour ma santé personnelle. Quoique, étant docteur, ça doit être normal qu'il fasse du bien à ma santé.

Je vais m'amuser un peu… Et si je mettais ma main ? Pas de réaction… Ok… Je la remonte encore un peu… Il essaye de me dissuader discrètement… Mais rien ne m'arrête moi ! Je monte encore un peu plus haut… Il rougit… Il est si choupinouminou quand il rougit. Je serais seul avec lui, je lui sauterais dessus pour le dévorer…

Quand j'y pense, je crois que j'ai tout de suite craquer pour cet écossais pur et dur. Ce petit accent qu'il à, mais qui, quand il est en colère, s'accentue me fait chavirer à chaque fois…Et ses yeux… VOUS AVEZ VOUS SES YEUX ?(1) Un bleu d'une tel profondeur… Je m'y noierais que je serais l'homme le plus heureux sur terre… Enfin, sur Atlantis…

La première fois que je m'en suis réellement rendu compte, c'est lors que j'ai vu McKay –sous l'influence de Cadman- l'embrasser… Ca peut paraître idiot, mais j'ai été jaloux. Jaloux qu'un autre homme fasse ce que moi j'ai toujours rêve…

Tiens, j'entends un soupir… C'est Ford… Il à l'air de s'ennuyer ferme ici… Je ne pourrais pas l'en blâmer…

Le pauvre, il se fait tout petit vu le regard que lui à fait McKay… Il sourit à Elizabeth… Elle répond par un même sourire… Bizarre… Il faudrait que j'en parle avec lui.

McKay toujours plonger dans son monologue… Je re-laisse mon esprit vagabonder quelque part en Ecosse…

Un petit moment à passer… Tout le monde se lève… Le briefing doit être fini… Je vois Teyla qui « réveille » Ford. Je souri intérieurement, il ne se fera jamais au discourt de McKay…

Bon aller, je me dirige vers le couloir.

Dans le couloir :

Rodney : Colonel, vous ne sauriez pas ce qu'Elizabeth veux clarifier avec le Lieutenant Ford ?

John : Non, je n'en ais pas la moindre idée McKay, désolé.

TBC ?


(1) Il se pourrait que les pensées de John à se moment reflète les miennes