Titre : Les contes et les coeurs
Auteur : Leliël
Base :Kyou Kara Maouh
Grade : PG 13, yaoï.
Disclamer : L'univers et les personnages de KKM ne m'appartiennent pas, je n'ai aucun droit sur eux, si ce n'est de pouvoir baver dessus. rapporte la bâche pour le clavier
Note: Ceci est comme son nom l'indique, n receuil de petits bouts de fics... mes drabbles KKM.
Je ne comptais pas les publier à l'origine, mais il parait qu'on doit tous se battre farouchementcontre le fandom Anglais, loool.
Voici les premiers, les autres suivront dès que je les aurai corrigé.
Et ...WSAC, parce que nous le valons bien. XD
Les contes et les coeurs.
Vous connaissez les légendes de cœurs qui circulent chez les Mazokus ?
Non ?
Pourtant à Shin Makoku, c'est bien connu que les légendes deviennent réalité.
Là-bas, on raconte que les cœurs sont les vrais bourreaux des hommes.
Ils frappent nos poitrines, et à chaque battement, nous rapprochent de la mort.
On dit que bien que les gens aient des vies plus ou moins longues, durant leur existence, chaque cœur bat le même nombre de pulsations avant de s'éteindre.
Wolfram ne croit pas aux contes de vielles femmes.
Ce sont des histoires pour enfant, et il est un homme, un soldat.
Wolfram n'a pas peur.
Parce qu'il est amoureux.
Et comme il est amoureux, son cœur bat très, très fort, à chaque fois qu'il est près de son fiancé.
Mais Wolfram s'en fiche, il n'a pas peur.
Il est un homme amoureux, il ne faut pas l'oublier.
Alors, lorsque Yuuri est là, il fait tout pour rester près de lui.
Et plus Wolfram est proche de lui, plus son cœur bat, plus son cœur tape, plus son cœur meurt.
Mais tellement joliment.
Et Wolfram sait, quand il pense à Yuuri et entend son cœur tambouriner un rythme rapide, qu'il est très proche du cœur de Yuuri, quelque soit la distance qui les sépare, quelque soit les circonstances.
Wolfram souhaiterait être encore plus proche du cœur de son fiancé, dans ces moments-là.
Mais quelque part, il sait bien que c'est impossible.
Pour que deux cœurs soient si proches l'un de l'autre, il faudrait que celui de Yuuri batte aussi fort que le sien.
Or, Wolfram entend parfois battre le cœur de Yuuri, mais jamais au même rythme que le sien.
Et le cœur de Wolfram se serre, et repart sur une cadence plus forte que jamais.
Et son cœur bat, et son cœur le trahit.
Oui, c'est si joli.
Et Wolfram s'en fiche.
Parce que c'est un homme amoureux.
Il veut toujours que son cœur batte la chanson qu'il a dans la tête, quand il est près de Yuuri.
Et tant pis s'il sait que le cœur de Yuuri ne bat pas à la même cadence que le sien.
Le cœur de Yuuri est si entier, si régulier.
Les pulsations de son cœur ne changent jamais.
Mais Wolfram s'en fiche, il n'a pas mal.
Parce qu'il est un homme amoureux.
Alors si le cœur de Yuuri ne bat pas aussi fort que le sien, tant pis.
Tant mieux.
Comme ça, Wolfram sait que Yuuri vivra encore très, très longtemps, de longues années humaines... même si lui n'est plus là pour le voir.
Et cette idée lui réchauffe le cœur.
Lui fait battre plus vite.
Car c'est un homme amoureux.
Un homme qui meurt le sourire aux lèvres, le sourire au cœur
Merci d'avoir lu.