Réponses aux reviews :

Remissia : Rodney souffre déjà beaucoup dans les autres fics. Je prends plaisir à faire souffrir John sourire sadique

Hesttia : C'est vrai j'ai eu tort. Je voulais mettre Retour sur terre, mais c'est aussi un épisode de SGA. C'est pour ça que j'ai changéle titre.

Demoiselle Altanien : Merci pour le joli PDE. J'ai cru qu'il allait passer inaperçu. You speak english ?

Gred : Contente de t'avoir fait plaisir. Quand tu dis pairing, c'est du slash ? J'ai encore du mal avec les termes.

MyVaughn-sark : Grrr Grrr. Sadik c'est mon deuxième prénom.

Alhenorr : Merci pour les coussins. C'est pas toi ? Bizarre. Merde c'est le coussin de la vraie Bayas (une chatte de 6 ans).

Idril : Alors moi j'ai failli éteindre la télé quand j'ai vu McKay dans SG1. Immonde le type. Puis la haine s'est transformée en amouuuuuuur dans SGA (bayas essuie une larme de bonheur). C'est surtout à partir d'Invulnérable quand il a plongé dans l'entité. Ah ! mon héros... Au juste, oui Rodney a démissionné (voir épisode I – Exclusion).

Lou01 : Sauvetage ? Quel sauvetage ? J'ai pas dit que c'était une deathfic ? Non, je rigole. Enfin, je crois. Ca dépendra de mon humeur.

Alpheratz9 : Je vais peut être faire un autre petit bonus dans ce chapitre. Si j'ai l'inspiration.

Kaisa12 : Tu n'aurais pas une passion pour les Wraiths ?

Je profite de l'occasion pour dire que pour mon surnom Bayas, le S ne se prononce pas. Phonétiquement c'est baya.

Miaou.

Chapitre 4

Cela faisait trois jours qu'il ne dormait plus. Pas seulement parce que l'enquête piétinait et qu'il s'inquiétait de plus en plus pour son ami, mais parce qu'il avait fait un autre cauchemar.

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Il découvrait de nouvelles choses avec Rodney. Un plaisir qu'il n'avait jamais eu avec une femme. Les mains de Rodney étaient toujours en mouvement, dans n'importe quelle situation. Ce soir, encore plus que d'habitude. Des mains douces et expertes. John ferma les yeux pour ressentir tout les bienfaits de ce « massage ».

- Je vous aime Carter. J'ai envie de vous.

John rouvrit les yeux, surpris parce ce qu'il venait d'entendre. Rodney avait délaissé John pour rejoindre Sam. C'était maintenant elle qui prenait du plaisir avec le massage. John se releva pour arrêter tout ça, mais arrivé à la moitié de la chambre il buta contre une vitre. Il était d'un côté, et eux de l'autre. Il tapa violemment sur la vitre, mais celle ci ne céda pas. Il entendit Rodney se moquer de lui et Carter crier de plaisir.

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Encore une fois il se réveilla en sursaut mais surtout en rage. Tout son corps tremblait, il fallait absolument qu'il se calme. Il se leva, prit sur la table de chevet un verre et le lança contre le mur. Tout à coup, il repéra, dépassant de la poche de sa veste, la fameuse photo. Elle représentait l'amitié, elle représentait maintenant le passé, le temps où tout était simple. Pris de folie, John voulut la déchirer, mais en voyant le visage de Rodney, il se calma tout de suite. Il tomba à genoux et pleura.

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Depuis cette fameuse nuit, il ne dormait plus, il ne voulait plus faire de cauchemars. 24 heures sur 24, il pensait à Rodney. Dans ses pensées il l'appelait souvent. Ses rapports avec Carter étaient tendus, mais ce n'était pas de sa faute, elle n'avait rien fait avec Rodney, du moins pas encore. Si on retrouve Rodney, je suis sûr qu'il va rester pour elle. John en était malade. Il crevait de jalousie. Finalement, si je ne l'ai pas pour moi, je préfère qu'il meurt.

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Il se trouvait à présent au Pentagone avec Carter. Ils devaient rencontrer un certain David Marshall. Son assistante vint à leur rencontre.

- Colonel Carter, Colonel Sheppard. L'agent Marshall vous attend au niveau –3, suivez moi.

Dans l'ascenseur John remarqua que le niveau –3 menait à la morgue.

- Il y a une morgue au Pentagone ?

- Oui, mais c'est pour des morts étranges ou des cadavres genre Goa'uld.

L'agent Marshall était adossé contre un mur. Grand, les cheveux roux, il portait un costume sombre et une cravatte beige. Il releva la tête en entendant les bruits de pas.

- Bonjour Carter. Colonel Sheppard.

- Bonjour Marshall. D'après le ton de votre voix, il y a un problème.

- En effet. Il chercha ses mots. Il y a vingt minutes à peine, nous avons retrouvé un cadavre à l'entrée Nord. Nous ne savons pas comment il a pu être déposé içi sans que personne ne s'en apercoive. Il y avait ce mot.

Il tendit le papier à Carter.

- Arrêtez de rechercher les scientifiques. Si vous continuez nous les tuerons tous. Par votre faute, ils ne sont plus que six. Vous pensez que c'est l'un des scientifiques qui se trouve à la morgue ? demanda Carter.

- Je crois. Je n'ai pas eu le temps d'étudier les dossiers. Vous avez vu leurs photos, vous pouvez peut être l'identifier.

Carter se retourna vers Sheppard.

- Vous voulez attendre içi ?

John déglutit.

- Non. Je viens avec vous.

Il faisait froid. Normal, c'était une morgue. Et ce silence. John n'entendait que les battements de son coeur. Au milieu de la pièce, une table. Sur la table, un cadavre recouvert d'un drap bleu. Marshall releva le drap jusqu'au torse. Ce fut un choc pour John, c'était Rodney, quelqu'un l'avait égorgé. Il sentit la main de Carter sur son épaule, il la regarda. Elle lui parlait mais il ne l'entendait pas, il entendait juste un sifflement dans sa tête. Il reporta à nouveau son attention sur Rodney. Il ne pouvait pas y croire. C'était de sa faute, il avait souhaité sa mort. La lumière de la pièce baissa. John leva les yeux au plafond et la pièce se mit à tourner. Marshall et Carter l'aidèrent à s'asseoir par terre.

Deux minutes plus tard, John retrouva toutes facultés.

- Ca va aller Colonel, murmura Carter.

- Ca va aller ? Il est mort.

- Oui. Ce sont des monstres. Nous allons les retrouver. Ne vous inquiètez pas nous retrouverons Rodney à temps.

- Quoi ?

- Nous le retrouverons sain et sauf.

- Quoi ? Mais ...

- Qu'est ce qui se passe John ?

- C'est Rodney, dit John en désignant le corps sur la table.

- Non.

- Comment ça non ?

- C'est le Docteur Maréchal.

John cligna plusieurs fois des yeux, se releva et s'approcha de la table. Aucun doute, ce n'était pas Rodney. Le manque de sommeil lui avait joué un très mauvais tour. John soupira.

- Venez John. Sortons d'içi.

TBC.

Pas eu trop peur ? J'adore vous torturer. J'aimerai avoir vos réactions. Prochain chapitre Vendredi soir (jeudi je vais au théatre, je penserai à vous et à mon prochain chapitre).