la petite rubrique..euh..que dire, si ce n'est bonne lecture et merrrccciiiiii ! voici la troisième partie !
Auteur: mwa, Bidibou, pour vous servir;
Couple: DM/LL
Rating: G
Disclaimer:rien ne m'appartient hélas.. Tout est à la vénérable et talentueuse JK Rowling!
rar :
merci à Paprika Star, Susu, Luna, Lolie, flo, Lila Flow, son Dita, Shylock, court Luna court et Lisia !
lisia: bonsoir ! oh! j'éspére bien qu'ils deviennent amis et bien plus encore ! je crois d'ailleurs qu'il y ait de fortes chances pour que ça se passe un petit peu plus bas ! bonne lecture !
court luna cooouuurt: court vite et loin surtout !merciii beaucoup de ta review ! je suis soulagée que le personnage de Luna n'est pas été trop 'modifiée dans cette fic si tu la reconnais! hip hip hourra ! bonne lecture!
susu : merci merci merci (tout aussi pas mal comme entrée en matière non?)lol ! eh, mais pansy, je suis sure que ce peut être une chic fille (en fait non, mais j'ai déja lu un harry pansy, super chouette et voilà desfois je lui accorde le bénéfice du doute !)c'est vrai que dans votre fic..lol !rahh, ne suis toute contente que tu n'aimes les gragons ! c'est majestueux et .;et.signe de renaissance ! tu regardes lesformes dans les nuages! tu sais que je t'adore toi? je fais pareil ! je suis désolée de répondre si vite à ta longue review, mais je tombe de sommeil (oui je sais , il est tôt ) ..donc: merci merci merciii ! (chute originale, tu conviens?)je t'embrasse !bidibou.ps: ce que ça fait de finir une fic aussi longue.. une remise en question, j'y ai passé un an et six mois, je crois... et mon style a drolement évolué..je suis à la fois soulagée parce que mine de rien, il faut gérer le tout, et dans un sens je suistriste, je ne manierais plus le seul personnage trèès important que j'ai inventé jusque maintenant, ma petite création personnelle.. donc, je fais le bilan et revois tous les bons souvenirs: il y a des passages où j'ai versé toute ma peine, d'autre mes idées abracadabrantes, d'autres ont été un exutoire au moment des consours de pharma... c'était presque une 'aventure' si tu veux, mais il est temps que ça prenne fin, il faut savoir dire goodbye aux bonnes choses !
paprika star: hiiiiiiiiiiiii !crie d'hystérique! je suis drolement conte de te 'revoir' (désolée si je radote!) tu m'as laissé de sacré bons souvenirs ! 'dommage'tu dis..mais hép hép hép, il n'est aps trop tard pour la pièce, n'est ce pas? je suis conte que l'histoire d'iseldine t'ait plue, j'aurais voulu qu'elle soit moins étoffée mais bon..j'ai pas réussi à faire plus court..bref..respire, respire fort, l'air frais alors,paprika , on en a tous besoin, alors fait une pause fraicheur et vide toi de toutes autres pensées, souffle un bon coup, et ... je sais aps, vois lemonde autrement, plus beau, plus conviviable, superbe..gros gros mercis à twwa !
Alors, un ou deux ? : L'amour , c'est ….
La veille encore, il était resté, comme de coutume, adossé à son arbre fétiche. Le regard dans le vide. A la différence prés, que maintenant, le vide lui dévoilait toutes sortes d'aspects qu'il méconnaissait.
Elle l'avait vu de la fenêtre du dortoir. Le pignon sud-ouest donnait un large panorama de la verdure environnant Poudalrd.
Elle ouvrit sa malle, souleva le couvercle capitonné d'un tissu de velours rouge à pois bleu garnis de plumes de Chatoufret un chat aquatique au museau en forme de bec, aux pieds palmés et qui respire par un splendide panache branchial d'une couleur pivoine enchanteresse et retira calmement une collection de Journaux. Ceux du Chicaneur, qu'elle gardait précieusement.
Elle s'arrêta pour relire rapidement son article préféré du magazine 666 sur les Ronflacs Cornus puis reposa les papiers de coté.
Elle extirpa ensuite du grand coffre en bois de cerisier, un yoyo en chewing gum, son chapeau de supportrice de Gryffondor, quelques paires de bas, une tente de survie au grand froid, un canoë auto gonflable, des pousses de Maïs à l'odeur de 'barbe à Merlin' – sa sucrerie préférée- et enfin, elle poussa une petite exclamation de soulagement.
Précautionneusement, elle sortit, de la malle, un globe de porphyre aux flammes rougeoyantes…Il lui était précieux. C'était le dernier cadeau que sa mère lui avait offert.
Les yeux embués, elle s'essuya le visage avec un pan de sa couverture en patchwork de laine de KangouPan Boxeur.
De ses doigts fins, elle caressa le globe, songeuse.
Une de ses compagnes de chambrée entra dans la pièce, et la trouva assise au milieu d'un chaos monstre, quasiment en transe devant la danse des flammèches.
.- « Loufo..Luna ! Tu viens manger ? C'est l'heure ? » Demanda t'elle.
Luna hocha la tête. Shirley Graamh entreprit de se délisser les cheveux pour séduire son meilleur ami qui n'avait déjà d'yeux que pour elle.
.- « J'arrive… Je vous rejoins en bas ?
.- Humm.. Oui, mais ne traîne pas, sinon tu n'es pas sur d'avoir de la place à table auprès de nous. »
la porte se referma sèchement.
Luna retourna la boule et une pièce tomba. Luna sourit.
oOo
Il traçait, de sa petite fourchette dorée, des ronds dans sa purée aux cèpes. Il était à sa table. Mais il y était seul. Il ne voulait pas s'asseoir près de Pansy. Il ne voulait pas entendre le son de sa voix pour avoir à penser que ce n'était pas pour lui qu'elle babillerait innocemment.
Il la vit entrer. Il la vit faire un sourire dépité en remarquant qu'à la table des Serdaigles, on ne semblait pas lui avoir fait de place.
Il la vit adresser un grand sourire à ses amis de Gryffondor. Sans doute, ses uniques vrais amis. Ils étaient en pleine effervescence, massés autour de Potter, qui rechignait visiblement à raconter pour la sixième fois l'épopée fantastique de son dernier match de Quidditch. Weasley boudait, la fille Weasley s'esclaffait et Granger tachait de se concentrer sur le pavé qu'elle avait entrepris de lire.
Il la vit hésiter lorsqu'ils lui firent signe de la rejoindre.
Alors, il croisa son regard.
Bleu - gris.
Rien, jamais ne lui avait paru aussi sûr que cette teinte cobalt déterminée dans ses prunelles.
Il sut alors qu'elle se dirigeait vers lui, que, rien, jamais, n'avait été aussi inéluctable que la sincérité de ce sourire affable qu'elle lui réserva.
Il le discerna et il fut le seul.
Car Luna lui avait ouvert les yeux. L'impénétrable était à sa portée.
Il avala avec difficulté sa salive.
Elle avait un port de reine, cette Luna. Une démarche souple et féline, le dos droit, le menton pur levé au ciel. Mais sans prétention. Plutôt comme une prière à se rapprocher du ciel.
Il s'était toujours fait l'effet, lors de ses propres déplacements d'être un prince, altier, se mouvant avec aisance.
Il avait tout faux. Il le voyait bien.
Il avançait simplement sur des dalles, les usant de ses semelles comme tous ceux qui les foulaient aux pieds.
Elle, non. Elle semblait flotter dans une petite bulle de bonheur. C'était étrangement apaisant à regarder, cette progression en souplesse d'une fille qui ne vivait que pour les brins d'herbes verts, le soleil jaune canari et les rêves nébuleux.
Elle tira la chaise face à lui et prit place, paisible.
Les Serpentard l'avaient vu maintenant. Elle était au bout de leur nez, c'était aussi distinguable que les branchages morts sur la tête cendreuse de Chourave.
Ils tressaillaient tous : l'effroi de surprendre ce petit corps exogène dans leur périmètre d'intouchabilité.
Goyle et Crabbe s'était déjà levés, le teint rubicond, les poings serrés sur leurs jointures massives blanchies par une haine inutile.
Le silence s'était fait dans la grande salle.
Tous voyaient maintenant.
Eux que tout séparait.
Eux c'était Elle ; C'était Lui.
Face à face.
Incongru ! Scandaleux ! Cela tournerait au pugilat !
Tout, c'était si peu de choses. Une histoire d'entendement, rien que cela.
Comment un être intelligent comme Draco Malfoy pouvait il tolérer la présence d'une débile face à lui ?
Comment la douce Luna pouvait-elle seulement penser à ne pas craindre le courroux du préjugiste Serpent ?
Draco la regardait sourcils froncés. Elle le considérait, souriante.
Quiconque aurait pu croire que c'était le dédain qui se plissait dessus les yeux froids du jeune homme.
Quiconque aurait pu croire qu'une transe burlesque rendait la frêle femme totalement ignare du danger qu'elle encourrait à se moquer ainsi de cet homme là.
Oui, quiconque. Tous dans la salle, en fait.
Sauf eux.
Ils savaient.
Alors, quand la seule mouche qui ronronnait dans la salle décida de se noyer dans un pichet de jus de pissenlit, il s'éclaircit la voix.
Lorsque toute la salle inspira le maximum d'air et bloqua sa respiration, elle se pencha en avant prête à l'écouter.
Les doigts se crispèrent autour des couverts.
Crabbe et Goyle interdits attendaient le jugement de leur leader. Pansy tourna brusquement la tête vers celui qu'elle n'osait regarder depuis une semaine.
Harry Potter et ses compagnons se levèrent, prêt à dégainer baguettes.
Les yeux de Dumbledore pétillèrent follement.
.- « Veux-tu aller te baigner dans le lac avec moi, Luna ? J'aimerais… J'aimerais assez… »
Il se tut. Embarrassé.
Elle souriait toujours, penché vers lui.
Comme un seul souffle, les élèves respirèrent.
Crabbe et Goyle ne bougeaient pas plus. Indécis. Assommés. Draco avait il entamé sans eux cette bouteille de Fire Whisky qu'ils lui avaient offert pour sa fête ?
Pansy souriait drôlement. Elle soupira et roula des yeux devant Millicent. Draco semblait aller mieux.
.- « N'importe qui plutôt que moi, chuchota t'elle à sa voisine. Notre couple était mal assorti. ».
Elle connaissait ses humeurs caractérielles.
Ronald Weasley chuchotait furieusement à l'oreille de Potter.
.- « Luna et cet asticot sont soumis à l'Imperium ! Ils sont possédés ! »
Et Potter d'opiner du chef.
.- « Revoir notre ami commun ? » Suggéra la voix douce de la blonde.
La reconnaissance de Draco Malefoy transcenda.
D'un seul geste, ils repoussèrent leurs siéges.
Ils passèrent la double porte, épaules contre épaules.
Les yeux ronds, ils furent suivis du regard sans même s'en formaliser.
Dans sa main gauche, l'héritier Malfoy tenait une pièce d'argent blasonnée d'une figure enchanteresse. Sa chaleur irradiait jusqu'aux tréfonds de son âme en dégel.
Dans la poche droite de Luna Lovegood, dansait un petit écu doré. Il était tout frais, encore, mais palpitait déjà, en symbiose du cœur de sa propriétaire, du bien-être dont il allait être source.
oOo
Ils se mirent en maillot. Sans un mot.
Ils frissonnèrent ensemble dans l'onde froide à leurs premiers pas.
Ils se regardèrent.
Elle lui envoya une gerbe d'eau. Il l'éclaboussa à son tour. Et elle plongea, étouffant le rire cristallin de sa gorge.
Il appliqua à son tour le sortilège de Branchiestoi et la rejoignit.
Ce fut une heure étrange. Bercée par les reflets olivâtres de cette eau tranquille, les algues en cormidies qui se prenaient à leurs mollets et les sourires qu'ils s'adressaient à nager, ainsi, libres de toutes contraintes, avec souplesse et vigueur,s'enfonçant dans des abîmes lumineux malgré la profondeur sinistre, pour essayer d'apercevoir le dragon d'eau.
La tresse lâche de Luna n'était plus qu'un souvenir. Avec la grâce d'un être de l'eau, elle évoluait, les cheveux flottants aussi librement que ses pensées, loin, très loin, derrière elle. Elle était toute occupée à voir..
Voir.
Les petits poissons.
L'ombre des strangulots qu'elle avait fait fuir.
Ces petits organismes unicellulaires fluorescents et leurs danses folles autour d'eux..
Les yeux grands ouverts de Draco Malefoy et cette main qu'il lui tendait parfois pour l'entraîner plus loin.
Il tressaillit soudain. Il pointa l'index. Elle suivit la direction du regard.
Une nappe argentée en contrebas. Luisante.
Il dormait.
De longues minutes, ils le contemplèrent.
Il semblait inoffensif, tel un gros lézard endormi au soleil de la paresse. Ses écailles miroitaient. Ses narines exhalaient un souffle qui formait des petites bulles chamarrées.
Quand ils respirèrent de nouveau l'air pur, ils éclatèrent de rire et courir se mettre sous de chaudes couvertures.
Derrière des buissons, Weasley et Potter, qui n'avaient pas voulu en démordre, bougonnèrent. Ils avaient cru mourir d'inanition à attendre ainsi, le ventre vide suite à ce repas bâclé..
oOo
Elle lui tapota l'épaule avec complaisance.
.- « Je t'assure, il ne me manipule pas le moins du monde. Si tu veux savoir, c'est moi qui suis allée vers lui.
.- Pourquoi ça ? demanda Harry.
.- Vous êtes pires que des commères ! Ce n'est pas croyable ! Si vous mettiez autant d'intérêt en posant des questions en cours ! » S'exclama Hermione et elle tira Ron par le bras.
Harry avait cet air abattu qu'elle ne lui connaissait que trop.
.- « Je crois que je l'aime bien, Harry. » Fut la réponse de Luna.
La sonnerie de reprise des cours retentit, les faisant sursauter.
.- « oh dans ce cas… Lui répondit le brun. Fais attention, l'amour rend aveugle…. »
Et il s'en fut en courant.
Elle n'avait pas cours. Elle grimpa jusqu'à la volière et bichonna sa chouette Ephémère.
Enfin, elle se décida. Elle sortit un petit sac de velours bleu de sa poche. Elle l'embrassa. Et l'attacha à la patte de l'oiseau qui s'envola en hululant, ivre de ce ciel qui l'appelait.
.- « Pauvre Harry, ne sais-tu pas que c'est l'ignorance ? » chuchota t'elle et elle partit à la bibliothèque pour finir sa dissertation sur les Népenthès à Pustules.
oOo
La petite pochette était tombée près de sa tranche de pain.
.- « Tu attendais quelque chose, Draco ? » Lui demanda Pansy.
Il haussa les épaules.
.- « Pas que je sache… Je me demande ce que c'est…
.- Et bien, ouvre, ouvre ! »
Pansy adorait les surprises, autant pour elle que pour ses amis. C'était sa faiblesse.
Il s'évertuait à faire coulisser le cordon de soie quand Luna Lovegood pris place à la table des Serdaigle. Elle le regardait faire avec son petit sourire d'ailleurs.
Il lui rendit son sourire. Nul ne retint son souffle. L'habitude. Voilà deux semaines que ces deux là disparaissaient et revenaient trempés comme des soupes en discutant avec animation.
Pansy pouffa.
.- « Amoureux, mon cher ? »
Il tourna la tête vers celle redevenue sa confidente.
.- « Non. Dit il mais sa voix n'était pas si ferme qu'il l'eut voulu.
.- Mais elle te plait, » insista la brune.
La réponse ne fut qu'un chuchotis.
.- « Tu me crois si je te dis qu'elle est… Différente ? »
Pansy parti d'un grand éclat de rire.
Lui, il retournait le sac de toile. D'une façon inexplicable, ses doigts tremblaient et son cœur battait à tout rompre…
Les éclats dorés attirèrent son attention alors que l'écu roulait sur la table.
. – « Ton argent de poche ? » S'étonna sa brune amie.
Mais il ne l'écoutait pas. Il fixait la pièce stabilisée entre son assiette et son verre. Avec une lenteur exaspérante, il porta sa main à l'objet et en caressa les contours.
Une main vint troubler son champ de vision. Une main blanche parée d'un bracelet de coquelicots.
La main saisit trois frites dans son assiette.
Une voix vint troubler la solitude de ses pensées. Une voix mordorée qu'il aimait beaucoup. Une voix qui calmait ses bouillonnements de rébellion en lui.
.- « Incroyable ! Tu l'as trouvé finalement ! »
Il releva la tête vers la jeune Serdaigle qui grignotait tranquillement les baguettes de pomme frites.
.- « Non…. Ce n'est pas - .. » Bredouilla t'il.
Il divaguait. Ce n'était pas.. Ce ne pouvait pas être…
.- « Si, bien sur que c'est elle ! » Affirma t'elle en appuyant sa déclaration de hochements frénétiques de la tête.
Il rebaissa la tête.
C'était Elle. Bien sur, il savait que c'était elle Iseldine gravée sur cette pièce…
Mais… Qui…. ?
Elle venait de se jouer de lui…
C'était Elle. Bien sur que c'était elle qui lui avait offert cette merveille unique… Qui d'autre, sinon.
.- « Luna…. Je »
Mais il se tut. Elle était partie.
Dans le creux de sa main, la pièce semblait brûler.
Il crispa ses doigts et repoussa rageusement sa chaise.
oOo
Son lion rugissait avec fureur. Elle cherchait depuis près d'une demi-heure à ce que ses moustaches s'éclairent à chaque point Gryffondorien acquis. Mais les moustaches prenaient feu, et elle n'aimait pas l'odeur tenace du brûlé.
.- « Tu lui as vraiment donné ? Demanda pour la énième fois Ginny.
.- hum hum. »
La jolie rouquine roula des yeux et s'allongea sur l'herbe en soupirant.
.- « Il t'a remercié ?
.- Pas le temps… » Répondit évasivement Luna.
Ginny s'allongea sur le ventre et posa sa tête sur ses mains jointes.
.- « Je n'arrive pas à croire que tu ais donné à Malfoy le dernier cadeau de ta Mère !
.- On parle de moi, la belette II ? »
Ginny étouffa un cri de rage et réprima l'envie de lui assener une gifle.
.- « Je n'y arrive vraiment pas, Luna ! »Siffla t'elle et elle partit furieuse et peinée pour son amie.
Luna reposa son chapeau mascotte sur l'herbe et chercha à distinguer les traits de Draco dans le contre-jour.
Elle n'y parvenait pas et plissait les yeux.
Un objet lourd tomba sur sa jupe d'uniforme.
La pièce.
Elle resta interdite.
.- « C'était… C'était adorable… Mais je ne peux pas le garder. »
Il lui effleura la joue d'une bise.
Elle porta sa main à son visage.
.- « Pourquoi ? »
Nul ne lui fournit de réponse.
Lui s'était éloigné, sans un bruit, la brise s'en était allée faire bruisser les branchages des conifères de la forée interdite et les brins d'herbe économisaient leur énergie pour ne pas se consumer sous le soleil estival.
Elle, resta seule.
La pièce dorait son menton pâle de ses éclats séraphiques.
A suivre….
est ce que ça vous plait toujours? gspppppprrr :o)
bisous!
bidibou, merci à tous ceux qui lisent!
