voilà la suite, la presque fin... terrible à dire, je trouve... merci à tous !


rar:

merci aussi à Sukasu & gerg !

LUNACHOUE : ma toute belle, merci merci merci de cette review ! je n'ai malheureusement pas le temps d'y répondre longuement, mais de toute façon, je vais tacher de te contacter dans la semaine, dis-moi, tu es sur bouygues ? pack si oui, j'ai des avantages.. tu me dis quoi, d'accord ? ah si, quand même qqs explication.. en fait, ; la papesse est une lame figure du jeu de tarot, et en fait, j'ai trouvé que c'était la carte qui serait la plus intéressante pour Nirv à combattre. nirv a peur de mourir depuis le début, et la papesse selon Voldemort était la plus grosse peur de Nirvelli, seulement les choses ont évoluées et lorsque Nirv est allée chez granny the ogress elle a de nouveau consulté le tarot, et la papesse n'a pas été tirée.. voilà ! je sais c'est tordu, mais j'ai eu cette idée soudaine et j'ai exploité ! merci pour les bisous et cette partie de ton cœur, je t'offre en retour toute mon amitié renouvelée ! énormes poutoux !

Melody : merci ! lol, faut pas être aussi émotive voyons, c'est loin d'être fini, il reste après celui-ci, deux chapitres.. surtout ne panique pas à la fin de celui-ci, je t'en supplie ! je sais qu'il va être choquant mais.. c'est necessaie, ok ! j'ai mis des pov en plus, pour que ce soit moins fatiguant !bisouuuus tt plein !

Lilas : encore une qui veut me mettre derrière les barreaux, décidément, mdr ! très bonne lecture, gros mercis !


Chapitre 41 : Dansons maintenant.

O pdv nirvelli O

J'attaque.

Un cri bestial sort de ma bouche

J'attaque et je plante. En plein milieu. J'empale.

Elle ne se défend pas contre ce premier coup. L'épée traverse son estomac, et je me traite d'imbécile. C'est lourd. Je ne suis pas escrimeuse et des ondes de choc m'ont parcouru le poignet quand j'ai heurté ses vertèbres, par derrière. Et puis.. Surtout.. La lame est bloquée.. Et je vais avoir du mal à la retirer de ce carcan humain…

Furieuse, alors que je tire vainement, elle me soufflette au visage. Une gifle d'une force effroyable.

Les deux mains cramponnées à la garde, je me sens partir et l'épée s'extirpe d'elle.

Je halète. Elle regarde la peau qui se colmate. Elle ne souffre pas, la bienheureuse.

Je prie pour avoir compris Granny.

.- « UNE REALITE ? Hurle t'elle. ENFANT ! TU M'INSULTES ! »

Elle lève les mains au plafond et les murs tremblent, des bouts de plâtre tombent sur moi, des petits bouts de rien du tout, pour le moment, mais ensuite… Je préfère ne pas y penser.. Il me faut faire vite..

Elle se précipite vers l'écu et y apporte d'un charme de métamorphose, une lanière. Elle le place à son bras à la manière d'un bouclier. La voilà, la preuve de sa vulnérabilité. Pas plus que moi elle ne sait si elle va s'en sortir.

Il lui reste six vies. Il ne m'en reste qu'une.

Elle saisit le bâton et me salue.

.- « Battons-nous, puisque tu y tiens.. »

Et elle s'élance vers moi. Elle plane, et déboule devant mon nez, son bâton vient s'écraser sur ma hanche et je percute un mur.

Mes oreilles bourdonnent. Vivre !

Je remonte vers le centre de la pièce. Elle tourne autour de moi. Mais je connais cette technique, j'ai été prédateur moi aussi, alors je ne me laisse pas intimider et je lance un nouvel assaut, essayant de donner de la force à ma lame. Elle pare de son bâton. Le bois se scinde en deux. Et j'éclate de rire. Elle me frappe à nouveau. Le bâton s'est reconstitué.

Mon dieu..

Je tombe à genoux et me tortille, roulant sur ma gauche pour éviter que son arme de bois ne me fracasse le crâne. En me redressant, le tranchant de mon épée lamine sa hanche et elle perd encore une fraction de seconde à canaliser sa magie pour guérir, alors je lui tranche le cou. Une fois, deux..

Non, son bouclier m'envoie valdinguer contre une marche.

Plus que cinq vies.. Et moi qui ai mal partout…

Mon dos me fait souffrir le martyr. Je titube, je me redresse, m'appuyant sur le guéridon. Ne prenant pas garde à la coupe qui tombe au sol et s'égare quelques mètres plus loin. L'a papesse s'élance vers moi. La poussière se projette dans nos yeux et le sol ne cesse de trembler.

Mon bras se meut de lui-même, je réagis par instinct, levant, feintant, biaisant, pivotant, trois pas en avant, deux sur le coté, un chassé, repousser le bâton, serrer les dents. Le bout de la lame transperce sa cage thoracique Encore un organe vital de touché.

Plus que quatre vies !

Quatre contre une…

Son sang gicle sur moi, mais sur elle, il se résorbe, s'efface. Elle frappe ma jambe de son bâton et je tombe, seulement ; elle n'a pas baissé son bouclier et je n'ai pas lâché mon épée. Je la plante dans son pied. Elle me regarde, interdite.

Je retire. Brusquement. Elle hurle.

.- « Tu fatigues, ma belle ? » Haletais-je et je tranche à nouveau son cou.

Trois.

Le sang a giclé, geyser de mort, et les micro-gouttelettes m'ont trempée totalement.

Elle lâche le bouclier. Elle lâche le bâton. Elle se rue sur moi. Hors d'elle.

Elle porte ses mains à mon cou et serre.. Serre.. Serre.

Je ne respire plus je lâche l'épée et je tombe, elle m'écrase, je suffoque…

Je ferme les yeux.. De l'air, de l'air.. Non… !

Je hèle l'arme. Elle vient se planter dans son dos.

Deux…

Du sang sort de sa bouche.. Elle le vomit sur moi.. Moi qui suffoque.. Ses mains me libèrent. Elle cherche à retirer l'épée plantée dans son dos. Sur mes coudes, je m'éloigne, toussant crachant, cherchant à respirer cet air sans lequel je meurs.. Elle tourne sur elle-même, comme un derviche maléfique.

J'aspire. J'aspire encore. Elle y est presque…

Elle retire l'arme. L'épée tombe à terre une nouvelle fois, je me recroqueville, dans mon coin.. Je n'ai pas la force… Je n'ai plus la force. Elle ramasse le bâton. Elle avance, prête à mettre fin à ma seule et unique vie.

Je me mets à crier. Je ne produis pas un son. La gorge douloureuse me tiraille et me brûle. Je tends les mains en avant. Réflexe vain. Elle dégaine. Elle lance.. Elle..

Elle.. Elle ne frappe pas.

L'arme tombe…

Puis elle. Elle tombe. Le corps d'un coté, la tête de l'autre. La tête qui roule, qui roule et finit sa course, stoppée dans la concavité de cette coupe au sol.

Une dernière attaque, une dernière chance de perdue. Une mort. La sienne..

.- « Je me suis dit que tu aurais besoin d'un coup de main ? » Souffle une jeune femme rousse.

Elle est aussi harassée que moi. Elle saigne. Elle a un poignet étrangement tordu.. Elle va mal. Elle m'a sauvée la vie. Elle me tend une main. L'autre tient l'épée. Je tombe dans ses bras..

.- « Ginny… Sanglotais-je. Dis, toi, qu'est ce que c'était ? »

Elle frissonne et son regard me fuit.

.- « Je préférerais ne pas en parler, souffle t'elle et elle m'entraîne vers la sortie, après avoir ajouté : Il faut trouver les autres, Nirv. »

Moi, j'opine.

Oo Pdv Draco.Oo

Le rayon vert.

Le rayon vert qui se dégage de l'extrémité de cette baguette assassine.

Le rayon vert. Vers moi.

Le rayon vert qui se réfléchit.

Se réfléchit ?

Minute ?

Mère.

Mère qui fait réfléchir le rayon.

Mère. Son petit miroir de poche. Celui qu'elle garde toujours dans sa doublure droite.

Qui a dit qu'être Narcissique ce n'était qu'être amoureux de soi-même ? Car elle m'aime, moi, en faisant réfléchir ce rayon. Elle m'aime.

Le rayon qui s'en retourne.

Les yeux de Lucius. Grands ouverts. Puis... Morts.

Les yeux de Lucius. Le rayon vert.

Les yeux de Lucius.

Lucius qui est mort.

Mère l'a tué.

Je vis

Oo Pdv Nirvelli.Oo

A force de sorts d'attraction Ginny et moi avons réussi à récupérer nos baguettes.

Les couloirs défilent, nous gravissons des escaliers, traversons ce qui ressemble à des communs. Aucune trace de Rogue. Aucune trace de qui que ce soit d'autres..

Pourtant, nous entendons bien, ces bruits de luttes à l'intérieur de l'enceinte. L'Ordre a du arriver. Dumbledore aussi sans doute.

.- « Il fait jour. Me dit Ginny. Ou alors, le pouvoir de Voldemort décroît. »

Je n'en sais rien. Je m'arrête et tends l'oreille.

J'entends une voix. Deux voix.. Pas loin. L'une, je la connais, flûtée et éthérée. L'autre, elle gronde, je ne la connais pas.

.- « Tu as entendu ? »

Ginny hoche sa tête rousse. Nous courrons. Ce n'est pas loin, juste cette porte sur la droite ou la suivante, oui, voilà.

Ginny fais soudain demi-tour. Elle m'affirme avoir entendu des bruits de lutte.. En bas.. Les bruits de lutte…

Je tire brusquement l'ouverture et entre en trombe dans la pièce. Il y a une arcade en son milieu. Et tout près, il y a Luna et cet homme, sinistre, à l'allure de mort vivant qui la tient par les épaules.

.- « Ne faites plus un geste ou je vous tue ! » Affirmais-je.

oO Pdv luna Oo

.- « Maman ? »

La jeune femme rit et bat des mains.

.- « Luna ! Luna ! S'enthousiasme t'elle. Toi ici ? Mais, ciel… Que tu es belle ! Mon astre ! Tu as encore joué dans la boue ? Quel âge as-tu ? 15 ans ?

.- j'ai 16 ans Maman.. Maman, tu es passée derrière cette arcade du Ministère ? C'est ta voix que j'entendais ? » Sanglote la jeune Serdaigle.

La femme porte une main fine à ses yeux brillants de larmes.

.- « Oui.. Sans doute, à moins que tu ne connaisses une autre personne ici.. Lui dit-elle.

.- Il y a Sirius, maman.. Mais, maman, on nous a menti.. On a dit à Papa, qu'il y avait eu un attentat.. »

Sa mère porte ses mains à sa bouche en cœur..

.- « Oh ! Ce Charmant homme brisé par un sort ? Sirius Black ? Attends-moi, mon astre, je vais le chercher.. »

Luna tend les mains en un geste désespéré mais le voile ne lui permet pas de palper 'l'autre coté' ou de retenir sa maman.

.- « Maman ! Maman ! Reviens ! Maman ! »

Luna attend. Encore sous le choc de voir sa mère, morte, dans ce lieu, elle se ronge les ongles. Des mouvements et des voix se font entendre de l'autre coté…

Sa maman est de retour, elle soutient par la taille le parrain de Harry . Sirius est affaibli, le visage hagard, les traits émaciés. Le sort de Bellatrix Lestrange semble, encore, après un an, faire effet sur lui.

.- « Sirius ! S'exclame Luna, puis prise d'un doute affreux, elle se met reculer, une main défensive tendue devant elle.

.- Luna Lovegood ? »

Il papillonne des yeux, incrédule de l'autre coté alors que sa Maman a ce sourire si doux sur son visage.

.- « Allons, mon Astre, prends lui donc la main.. » Dit elle enfin.

Elle essaie de dissimuler à sa fille les deux grosses perles qui glissent le long de sa joue satinée.

.- « Non.. Non.. Je ne peux sauver qu'une personne.. Et je ne pourrais pas revenir.. On me l'a dit.. » Panique Luna.

Elle pointe un doigt tremblant vers eux à tour de rôle. Sirius tente de se reculer mais Maman le retient fermement.

.- Prenez la main de votre maman, Luna. Il me suffira de savoir que Harry va bien et que les Autres sont morts !

.- « Harry … » Commence t'elle.

Doit-elle lui dire la vérité ? Doit-elle mentir ?

.- « Il va bien.. Bien sur… »

Elle n'a pas pu lui dire qu'il est brisé d'angoisses et que la mort plane au-dessus de lui et que Voldemort le traque et qu'il va bientôt affronter son destin.. Et qu'il a besoin d'un soutien, de joie et d'amour. Qu'il a besoin de son parrain, de son ami…

Elle prend sa décision.

Elle regarde Maman. Elle la fixe longtemps. S'imprégnant de son sourire, de la délicatesse de ses traits et de cette tendresse dans ses yeux. Elle sait bien que c'est la main de Sirius qu'elle doit saisir. Maman est morte depuis si longtemps.. Et puis, elle dira à Papa de venir la chercher. Elle le lui dira, dès qu'elle l'aura retrouvé.. Dès que cette guerre sera finie.. bientôt…

.- « Je dirais à Papa de venir te chercher.. Maman.. Maman, ne sois pas triste.. Il va venir bientôt.. Il te sortira d'ici.. maman..

.- Je suis fière de toi ma chérie.. Je suis fière de toi, allez va, va maintenant, mon petit amour lunaire. »

Alors Luna lui fait un petit signe de la main. Elle sourit, doucement, tout du moins s'y efforce et se tourne vers Sirius. Le parrain de Harry hésite.

.- « Harry va bien. Mais vous lui manquez. »

Il tend sa main, elle tend la sienne. Le voile ondule.

Ils apposent leurs paumes.

La lumière fuse.

La brume se dissipe.

L'image de sa maman aussi.

Elle crie. Il hurle.

Une douleur fulgurante dans sa tête. Dans leur tête.

Ils chutent. L'un à coté de l'autre. Sur du carrelage marron.

.- « Sirius Black ? S'étonne t'elle.

.- Vous êtes Luna Lovegood, une amie de Harry, non ? Demande t'il.

Et d'une même voix que l'incrédulité rend grinçante :

.- Mais que faites-vous ici ?

.- je me battais contre Bellatrix.. Répond-il, se massant les tempes.

.- J'étais, à l'instant même, ici avec Harry et Neville, on venait de sortir de derrière la dalle ! »

Il se met à rire, elle le suit. Quelle importance, n'est ce pas ? Ils sont saufs ! Sirius n'est pas mort ! Il a réapparu, miraculeusement, et il l'attrape par les épaules pour la serrer contre lui… Et a ce moment, il y a cette voix féminine, agressive qui dit :

.- « Ne faites plus un geste ou je vous tue ! »

oO PDV Nirvelli Oo

Maculée de sang, je ne dois pas être fort belle. Mes vêtements sanguins me collent au corps comme une seconde peau.

J'avance, d'un pas égal, toisant l'homme et Luna. Luna a l'air alarmé. L'homme interdit.

Je fais tourner ma baguette.

.- « Lâchez la gamine et levez les mains. » Dis-je.

Mais l'homme saisit Luna par le poignet et la place derrière lui, la protégeant de son corps, apparemment souffreteux.

Je m'exclame surprise.

.- « Certainement pas ! » Hurle t'il.

Luna cherche à échapper à sa poigne.

.- « Luna ! Réagis ! Bon sang !Ce gars à beau ne pas avoir une capuche… Criais-je, complètement déstabilisée et à bout de force.

.- Taisez-vous, vassale du mal ! » Riposte l'homme.

Des lueurs de folie danse dans ses yeux. Mes jambes ne me portent plus. Et j'ai fait le tour de la pièce des yeux.. Je n'y ai pas vu Harry… Harry… Harry.. Tu étais pourtant avec Neville et Luna..

.- « Mais.. Mais ..Bredouille Luna.

.- Où est Harry ! » Braillais-je, à bout de force, hystérique.

J'ai besoin de Harry.. J'ai besoin de le voir. De le savoir sauf. Où est Harry, Luna ? Dis, moi, où est-il ? Où est Harry.. Je n'en peux plus, de ce voyage.. Je n'en peux plus.. Je suis tellement fatiguée.. Tellement fatiguée….

.- « Je ne sais pas ! Panique t'elle .

.- Ne lui dites rien, Luna, elle va vouloir le tuer. ».

Luna parvient à se retirer de son emprise et se met entre nous deux. Je la regarde faire incrédule.

.- « CESSEZ DE VOUS BATTRE ! S'écrie t'elle. NIRVELLI BAISSE CETTE BAGUETTE ! SIRIUS BLACK CALMEZ-VOUS ! VOUS ETES RIDICULE ! NOUS SOMMES DU MEME COTE ! »

Ginny entre dans la pièce, essoufflée, et reste bouche bée avant de se jeter au cou de l'homme que Luna vient de désigner comme Sirius Black.

.- « SNIFFLE ! »

Elle se retire de ses bras pour bégayer.

.- « C'est ..C'est.. Incroyable… Harry va être.. Fou.. Fou de joie !

.- Harry est ici ? » Demande Sirius Black.

Luna lui répond qu'en effet. Aujourd'hui est le jour de l'affrontement final. La peau de l'homme verdit.

Je tombe à terre.

Il est en bas, n'est ce pas ? Harry ? Il se bat ? Il souffre.. En bas ?

.- « en bas, Gin ? » Demandais-je.

Elle baisse la tête.

.- « Oui… Il.. Il se bat. »

Elle comprend aussitôt. Ginny est vraiment perspicace. Elle se précipite sur moi. Elle m'empêche de me lever.

.- « Je dois le rejoindre ! Me débattais-je. Lâche-moi. Je veux le rejoindre… »

Je la repousse. Elle me dit de souffler. Un instant. Que j'ai besoin de me reposer. Que mon teint est livide. Que je tremble comme une feuille et que j'ai les yeux vagues… Une minute. Je peux bien attendre une minute ? N'est ce pas ? Demande t'elle de sa petite voix douce. Non ! Non !Non ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas ! Je me lève et titube. Une main devant les yeux, je cherche à respirer calmement.

.- « Pourquoi ? . Qui êtes vous ? Aboie le parrain de Harry.

.- Moi ? Gloussais-je, nerveusement. Nirvelli Black, Monsieur. Une âme, rien de plus.. Harry.. Je vais le rejoindre.. Je lui ai dis que je serais là.. Alors, je vais en être… »

L'homme écarquille ses grands yeux cernés, puis tombe.. Tombe, en poussant un râle inhumain…

Il tombe, sur moi. Il tombe et m'écrase. M'entraînant dans sa chute.

Ses yeux sont injectés d'une substance noire.

OOo PDv Hermione et Ron- Quelques minutes plus tard oOo

Ils sont devant les portes. Graup a perforé les murailles. Ils sont là. En masse.

Crocdur aboie, Hagrid doit être sauf.

Il y a Tonks, Remus, Fleur, et les autres enfants Weasley, il y a l'Ordre au complet. Il y a Dumbledore.

Il y a de l'espoir maintenant.

L'un d'entre eux les repère, et les désigne du doigt. Les jumeaux Weasley ne peuvent empêcher l'éclat de rire qui les submerge à voir leur frère arriver dans une espèce de nid Volant. L'instant d'après, ils sont à terre, embrassés, pressés de questions, et résignés. Ils sont devant les portes.

Un pas. Un seul. Avant la dernière bataille.

Ils le franchissent. Ensemble.

Il n'y a rien dans le hall. Désolation.

Puis une voix, qui les appelle d'en haut. Une jeune fille qui accoure, la crinière rousse en désordre, ensanglantée.

.- « Gin ? » Hurle avec une voix doublée d'hystérie Charlie Weasley avant de secouer brusquement sa jeune sœur et l'étreindre contre lui avec la force du désespoir.

Elle passe dans les bras fraternels en s'accrochant à leurs dos, ongles plantés dans les tissus épais de leurs capes. Ron respire, soulagé, alors que Gin se détache de lui en cherchant à sourire.

.-« j'ai besoin d'aide. Parvient-elle enfin à dire. Vite. Harry aussi.. A coté.. Je l'ai vu.. ça a commencé… »

Le professeur Dumbledorre se détache et ils disparaissent.

Ron se tourne vers Hermione. Un baiser. Un seul. Mais certainement pas le dernier. N'est ce pas. Hermione lui serre tellement la main qu'il sent ses phalanges craquer. Tonks dirige l'assaut de sa voix claire.

Ils avancent. Ils entrent.

Ils sont assaillis. Tant d'éclats. Tant de luttes.

Bienvenus sur la piste.

O pdv Nirvelli – quelques minutes plus tôt.. O

Ginny crie. Luna crie. Je ferme la bouche. Puis la r'ouvre.

Sirius black est secoué de spasmes, les yeux grands ouverts, tout noir. Il est en train de mourir. Sur moi.

.- « Dégagez-le ! » Ordonnais-je.

Les filles accourent et le repoussent.

Ginny me dit qu'elle revient, qu'elle va chercher de l'aide, et elle sort. Luna la regarde. Me regarde. Le regarde.

.- « De l'aide ? » Demande t'elle.

J hausse les épaules et plonge la main dans ma poche.

J'en ressort la timbale.

Il ne reste que quelques gouttes de fluide. Priant que cela ait un quelconque effet, je dévisse.

O pdv Harry. O

Alors, c'est ça ? Notre dernière danse ? Notre dernier duel ? La délivrance ? Ces boules de feu qui nous brûlent les sourcils, ces torrents maléfiques qui ne parviennent jamais à nous noyer ? Les coudées franches pour tous ces sorts de mort que nous faisons ricocher à tout va ?

Alors, c'est ça, que tu voulais Tom ? Toi. Moi. Un tango funèbre où nul ne dirige où tous innovent ?

Alors comme ça, tu t'amuses de ma peur, Tom Jedusor ? Tu as vu débouler Ginny dans cette salle, tout comme moi. Tu as remarqué qu'elle avait échappé à ton piège. Tu as vu que cela m'a déconcerté, parce qu'il n'y avait pas Nirvelli à ses cotés. Puis tu l'as entendu comme moi, entre deux assauts, elle me l'a appris.

.- « Nirvelli arrive, Harry ! » a crié mon amie.

Mais tu l'étais toi aussi, déconcerté ?

Elles vivent. Ginny et Nirvelli.

Nirvelli, ton petit joyau, elle vit ! Tu la croyais morte ? Tu la voulais morte ? N'est ce pas ?

Mais elle arrive, vaillante ! Elle sera bientôt à nos cotés et comme Ginny elle se battra dans un état second, le sang faible, la rage déversée. Elle m'aime, Voldemort, elle ne mourra pas.

Malfoy, cet autre soldat que tu ne dirigeras pas, cet autre soldat qui vient d'entrer dans la bataille, passant au-dessus du corps mort de celui qui fut son père, a dit une chose. Et celle ci, je l'ai cru. Tu sais ce qu'il a dit ? Ecoute ou plutôt voit, ça suinte par tous les pores de ma peau brûlante. « La peur.. » Oui, mais, la peur c'est oublier celle de ceux qui nous font face.

Je n'oublie pas.

Alors c'est ça, l'origine de ses rigoles perlées sur ton visage blafard aux deux néants incandescents ? La peur ?

Car toi aussi, tu crains… Tu crains cet avorton de 16 ans qui boite, qui ne sens plus son bras gauche, qu'un sang chaud rend à demi-aveugle, qui n'en peut plus mais qui peut encore, cependant, te résister en serrant les dents !

Tu as peur de moi et tu attaques, en fourchelangue, je pare et je rends la pareille. Jamais un faux pas… Ou alors.. Ce sera le dernier..

Mais qui ?

Qui se trompera ?

o0o pdv Nirvelli oOo

La porte s'ouvre à la volée.

Luna tient toujours la tête du parrain de Harry comme je le lui ai demandé lorsque j'ai tenté de lui faire boire la substance guérisseuse..

La timbale gît. Vide. Sur le sol.

Dans Les yeux du retrouvé, j'observe une danse. La vie. La mort. Une valse. Noire et bleue. Entraînante. Sauvage. Il a de beaux yeux.

Le noir ne veut pas partir. Le bleu résiste. Lui est agité de soubresauts et râle. Râle. Encore et encore.

Je détache mon regard pour le poser sur Dumbledore.

.- « Oh ? » Fais-je.

Il ne s'attarde pas. Il se penche. Il pose ses mains sur le front de l'homme et murmure et exorcise. Le mal. Le noir. Le tourbillon de la mort. Le poison.

Quand il le retire, le bleu est de retour . Puissant. Pulsant tout.

.- "Miss Black, Miss Lovegood, tout va bien ?"

Nous hochons la tête. On ne peut pas dire que tout va bien. On ne peut pas dire que tout va mal.

Il se relève. Il sourit à Sirius Black.

.- « Reposez-vous, Sirius.

.- Puis, je vous rejoins.. Je vous rejoins, Albus ! »

Le Grand homme acquiesce. Péniblement. Mais je sens qu'il en est heureux. Heureux et Emu.

Luna et moi adressons un petit signe de la main à Sirius Black, assis sur le sol carrelé, avant de trottiner à la suite du directeur.

.- « Le Professeur Rogue est avec vous ? » Demandais-je.

Le Professeur Dumbledore s'arrête. Il se tourne vers moi, tête penché. Dans ses prunelles azur, je lis l'inquiétude.

.- « Non. Je le croyais avec l'une d'entre vous ? »

Il reprend sa marche. Soucieux.

Nous descendons les marches. J'entends des cris bestiaux et sursaute.

.- « Graup et un Troll. Nous informe t'il.

.- Et Hagrid ? Et la population..

.- Hagrid en sécurité à Poudlard. La population.. Elle attend un miracle en voyant le sang des leurs couler…

.- Et Ronald et Hermione ? S'enquière Luna.

.- En bas. Avec l'Ordre. Ils se battent. Soyez prêtes. Et.. »

Il se tourne à nouveau vers nous. Il dispense de ses vieilles mains une caresse à nos joues. Je sens une douce chaleur m'envahir et je prends une profonde inspiration.

.- « Faites attention, voulez-vous ? »

Une volée de marche. La dernière. Le bruit.

Un dernier tournant . La guerre.

Des éclairs. Du rouge, du vert du bleu, du parme.

Parade, assaut.

Des danses. Gracieuses. Bouleversantes. Des valses Mortelles.

Neville contre ma tante Bellatrix. Ils sont en sang, tous deux. Je ne lui ai jamais vu cette rage dans les yeux. Lui si doux. Elle s'acharne. Il résiste.

Ronald Weasley et Hermione Granger au prise à trois mangemorts.

Ginny et ses chauves furies qui ne se contentent plus d'effrayer. Des chauves furies qui crèvent les yeux et tranchent les cous.

Les êtres en noir. Près d'une cinquantaine. En bon comité d'accueil.. Ils tourbillonnent, ils tuent, ils frappent. Dont Pansy. Et Millicent… Dont Crabbe et Goyle. Ils sont trop jeunes pour mourir et ils se battent dans le mauvais camp.

Ils n'ont pas moins peur que nous. Nous sommes à égalité devant ce sentiment qui me submerge.

Au centre de la pièce. Au cœur de la lumière. Deux Hommes.

L'un que je hais. L'autre que j'aime.

Harry et Voldemort se battent en duel.

Un éclair rouge passe au ras de mon oreille. Je tressaille.

Je recule. Et je mets à danser moi aussi.

J'invente mes propres pas.

OOo Pdv Neville.oo

Aveuglé. Voilà ce que je suis. Par la rage. La vengeance me consume, Bellatrix Lestrange! Mais toi? As-tu seulement une raison d'être si vile, de me faire mettre genoux à terre sous le sort Doloris ?

Veux-tu faire de moi un légume ? Ne veux-tu pas être originale ?

Alors, oui, je crie. Alors oui, je pleure. Alors, oui, je souffre.

Mais non, je n'abandonne pas. Je n'abandonnerais jamais ! Et si jamais je meurs, mon poids pèsera sur ta conscience jusqu'à ce que tu crèves !

Alors vas-y, tue –moi, tu es bien parti pour le faire, tue-moi donc, et les remords éternels et mon spectre hanteront ta vie de maudite.

Tue-moi, qu'attends-tu ? Mais, dis d'abord ? C'est quoi cette panique dans tes yeux ? Tu ne m'as jamais vu faire jaillir des gerbes de feu de ma baguette ?

Je ne suis pas un cracmol, vomissure !

Oui, c'est ça hurle. Hurle ! Plus fort ! Souffre !

Vengeance !

Je suis un assassin maintenant et le goût du néant est infect. Alors, j'éteins ce feu. Et tu respires. Calcinée. Meurtrie au plus profond de ta chair. Tu vis, Lestrange. C'est ma condamnation perpétuelle.

oOo pdv Nirvelli oOo

Les corps tombent. Les cris fusent.

A qui Bill, à qui Goyle, à qui Draco. A qui Harry.. A qui, moi.. A n'en plus finir.

Nous hurlons, nous valsons, nous virevoltons. Ça n'en finit plus cette danse.

La tante Bella est aux portes de la mort, brûlée vive, agonisante, dans un recoin de la salle.

Neville fait des ravages mais ne tue personne. Il les laisse vivre, mal en point certes, mais il les laisse vivre.

Dumbledore cherche à préserver les Mangemorts néophytes de la mort, tout en les rudoyant généreusement.

Rogue n'est toujours pas paru.

Ronald hurle. Il tombe à genou. Une main sur son visage. Je crois qu'il a perdu un œil. Je stupéfixie le mangemort qui allait lui ôter la vie. Et Ron se plie sur le sol, la tête saisie à pleines mains alors que l'un de ses frères désespérément essaie de l'écarter du carnage.

Hermione se fait projeter sur un mur, et je lance des sorts à tout va…

Parade, assaut. Encore. Toujours.

De temps à autres, je prends une fraction de seconde pour souffler un mot à Harry ; courage..

Courage. Lui dis-je.

Et il se bat.

Depuis combien de temps ? des heures maintenant. Sans doute…

Pansy Parkinson me vise. De ses yeux luisant de haine.

.- « DOLORIS ! » Hurle t'elle.

Je me protège d'un sort basique de bouclier.

.-« Crève charogne ! » Braille la brune, entre deux charmes douloureux.

Je pare, toujours. Puis j'attaque moi aussi. A quoi bon, elle ne changera pas de camp. Elle est condamnée. Elle a choisi sa voix. Elle n'a jamais voulu en démordre. Elle me hait. A quoi bon ?

Des battements d'aile. Les voilà. Les autres vassaux. Ils piaillent. On pourrait croire que l'effet de surprise serait atténué à notre deuxième rencontre. Il n'en est rien. Les vampires rajoutent à la confusion. Ginny multiplie ses chauves-furies et grimace, une main sur son cœur. Elle est livide.

Pansy tourne toujours autour de moi, baguette au poing. Il me suffirait d'un sort. Un seul.

Un de ses rayons couleur menthe me frappe au bras et je sens mes muscles se crisper. Je crie.

Elle rit. Hystérique. L'hyène.

D'un geste du bras, je l'envoie percuter un pylône de pierre brute. Elle s'y heurte en hurlant. Sa tête saigne.

Elle ne se relève pas.

Et puis, longtemps, longtemps, on continue..

Dansons maintenant.. Dansons maintenant.

Ça fait des heures qu'on danse. Le parquet devrait s'user sous la trace de nos pas. Le sang le rend glissant. Les cris, je ne les entends plus…

Je me retrouve à quatre pattes.

.- « Attaque les tiens.. » Me dit une petite voix.

Un mangemort me fait un signe entendu et Tonks passe devant moi, en courant. Je lève ma baguette….

Non.. non.. C'est une des nôtres.. Se réveille ma conscience. Non ! Non ! Hurlais-je intérieurement.

Je vise toujours Tonks, l'autre, celui qui me commande, est derrière moi, il se bat contre Fleur. D'une chiquenaude, d'un mouvement tellement vif qu'il en est presque imperceptible, je fais tourner ma baguette extrémité pointée vers celui qui ne se doute de rien.

.- « STUPEFIX ! »

Tonks court. Remus se débat. Sirius entre dans la salle. Tout. Je vois tout au ralentis alors que mon sort agit, stupéfiant de vitesse. Tonks se jette dans une mêlée. Et un bruit sec. Derrière moi. Une chute. L'homme est tombé inerte. Fleur respire avec avidité. Et me fait un signe de tête.

Je me secoue mentalement. Je passe dessus le corps inerte de l'homme. Lui, ignorait que j'avais appris à résister à l'impérium.

Et puis, il y a ce tonnerre. Cette foudre. Qui s'abat. là, au milieu du plafond. Et il tombe. Il chute, et s'affaisse. Yeux grands ouverts. Tourné vers cette noble personne, là bas, évoluant avec grâce entre ces faisceaux multicolores.

Il est revenu.

Rogue.

Et il en meurt.

oOo PDV Severus Rogue o0o

Sa plus grande peur.

Il en meurt.. Il en meurt. Il se délivre.

Il se délivrera, si ce n'est qu'un rêve. Si ce n'est qu'un mauvais rêve.

Il s'est débattu. Il s'est démené. Contre cette tempête, dans sa tête. Cela tanguait tellement. Toutes ces pensées... Vérité ? Hallucination de sang-froid ?

Effaré par cette obscurité. Il aurait du y être habitué depuis tout ce temps. Mais ce n'était pas sa faute, n'est ce pas ?

Il avait tout fait pour que ce jour n'arrive pas. Pour éviter de chavirer.. S'amarrant au rôle de l'homme que rien ne touche, que rien n'ébranle.

Un masque. Un masque d'eau fluide, lui tenait lieu de visage. Un masque .. Qui vient de geler. Qui se craquelle.

Il s'est pris dans les mailles de ce rêve. Et l'étau s'est resserré, alors, il a déclaré forfait.. Les pensées le contrôlaient. Ces pensées fausses. Celles dont Le Lord l'a fait poursuivre. Déjà ses voix, ces râles, ces plaintes, ces cris. Ces derniers souffles… Puis, tous ces visages. Les visages de ceux qu'il a tués.. Morbides. Blancs. Rouges. Violents. Sereins. Contorsionnés Hideux.. Puis, le dernier. Le dernier…

Oh, ciel ! Il allait le tuer, lui.. Lui, son mentor ! Le seul être qu'il est véritablement apprécié et respecté. Le seul.. Ami.. Véritable

Albus ? Mort ?

Il a déclaré forfait, Rogue, lasse… Tellement lasse… Et le sol s'est fendu. Il est tombé. Sa tête a heurté une surface glissante et chaude.

Cela sent le sang, cela sent la mort. Cela sent le gouffre de ses vingt dernières années.

Il va bientôt quitter tout cela..

Il le cherche des yeux.

S'il est en vie, il pourra mourir.

S'il est en vie, son âme est sauve.

S'il est en vie, ces visages quitteront ses pupilles dilatées par une drogue hallucinogène et ses voix se tairont..

S'il est en vie.. Seulement, s'il est en vie.

Il voit Potter et Le Lord.

Il voit des ombres.

Il voit des gens de l'Ordre.

Il voit Ronald Weasley évanoui, loin de la foule.

Il voit Hermione Granger se démener comme une furie avec Nirvelli Black contre cinq mangemorts dont certains anciens camarades de Serpentard.

Il voit le corps mort de Lucius,

Il voit Narcissa, la douce et belle Narcissa qui se bat, cote à cote avec son fils.

Et il le voit. Il le voit.

Qui le regarde. Qui accoure.

Mais trop tard. Il ferme les yeux, Rogue. Les voix se sont tues déjà. Il peut mourir maintenant. Il peut mourir en paix.. L'homme qu'il aurait aimé avoir pour Père est agenouillé à ses cotés et cherche vainement à le guérir. Mais le mal est tenace. Il coule dans ses veines. Il gagne son cœur. Une substance chaude quitte ses yeux plissés avec force. Il n'avait pas pleuré depuis longtemps..

Mais il le peut, cette fois.

Comme il peut reposer une dernière fois sur Albus Dumbledore ses yeux opium. Il le fait.

Comme il peut lui adresser une dernière parole.

.- « Merci. » Expire t'il.

Et dans son dernier souffle, son âme repentie s'envole, libre de toutes entraves, sereine. Il sait que ses yeux seront fermés par l'homme à qui il a dédié ces longues années de survie. Alors, Albus Dumbledore fait son deuil et baisse les paupières blafardes.

oOo Pdv Nirvelli. OOo

Rogue est mort.

J'étouffe un sanglot. Harry est resté immobile au centre de la salle.

Décontenancé. Bouleversé. Il ne bouge plus.

Et Lui, lui, le voit. Lui s'en sert. Et lui lance l'Ultime sort… L'ultime rayon. Vert !

Vert ! La couleur de ceux qui camouflent.

Vert ! La couleur de l'espoir qui va anéantir la mort.

Je remarque que Harry tourne sur lui-même, quand il entend la clameur du sort. Je remarque que le silence s'est fait.

Je remarque que Voldemort semblait à bout de force.

Je remarque que Dumbledore a élevé une main pour conter le sort.

Mais je remarque surtout le vert..

Mais le vert se diffuse très vite. Le vert se diffuse trop vite.

Je remarque que je pleure, que je crie et que je coure vers Harry..

Mais trop tard.

En plein Cœur. En plein cœur le rayon…

Vert !

Vert de rage comme mon cri.

.- « HARRY ! »

Et Harry s'effondre.

Percuté par ce rayon mortel de verdure en plein cœur.

Harry s'effondre, à tout jamais.

A suivre…


Ne me tuez pas, ce n'est pas fini.. enfin pour certains…

Il reste deux chapitres dont le prochain très court et un épilogue.. bisous, je vous adore !