Le rival de Hiashi
Avant de commencer l'histoire, j'aimerais dire deux ou trois (ou même plus) truc sur ma fic : Les personnages ont six ans de plus. Naruto, Neji et Sasuke sont des Anbu. Tous les autres sont Jo-nin, Ino, Sakura et Hinata sont médica-nin (et Jo-nin). Gaara, Temari et Kankuro sont Jo-nin et habitent Konoha. Tsunade est Hokage et Gaara est Kazekage. Il y a des couples aussi, qui sont : Naruto x Hinata, Sakura x Sasuke, et Shikamaru x Ino. Il y aura du Neji x Tenten au fil de l'histoire mais pas tout de suite. Alors Let's begin !
Chapitre 1
P.O.V. Hiashi
J'étais à bout de forces. Je tomba à genoux et le vis dégainer un Kunai pour m'achever. Quand tout à coup j'entendis des voix. Lui aussi apparemment car il s'arrêta. Les voix disaient « J'ai entendu des bruits et Hiashi n'est pas la. Allons voir ! » Quand il entendit ça, il s'enfuit.
Apparemment il ne voulait pas être découvert mais il savait que je n'en avais pas pour longtemps. Il avait touché mes parties vitales. J'allais bientôt mourir. C'était sur, je sentais mon Chakra s'éculer comme mon sang qui coulait comme une rivière a cause des nombres, puissant coup de Kunai que j'avais reçu sur tout mon corps.
Tout à coup je vis Hinata dans la foule et je lui fis signe d'approcher. Geste qu'elle fit. Alors je lui souffla à l'oreille : « Hinata, je vais bientôt mourir alors écoute bien ce que je vais te dire. » Sur quoi elle hocha la tête.
« Je veux que tu me venge, Hinata ! Si tu échoues, ou que tu ne le fasse pas les Hyugas finiront comme les Uchiwa ; massacrés jusqu'au dernier.
Tu trouveras mon meurtrier à la frontière de Suna no Kuni, il a une petite maison rouge. Il s'appelle Ihsaih. Promets moi Hinata, promets moi que tu me vengera. »
« Mais il faut que tu fasse attention à ses yeux. Ils ne sont pas normaux…»A cause de la mort proche je ne puis continuer as parler. Mais apparemment elle avait compris.
« Oui, Père je le ferais ! » Dit elle en serrant ma main. Je lui souri en réponse et lâcha mon dernier soupir. « Je tuerais ton assassin. Je te le promet, père ! »