Résumé :
Le temps des maraudeurs. Tristesse, joie, amitié, amours...pas vraiment une lovehate mais toute aussi bien écrite.
Disclamer :
Tous les personnages n'appartiennent qu'à J. K. Rowling ainsi que le contexte et le décor de Poudlard sauf trois personnages qui m'appartiennent exclusivement car je les ai inventé de toute pièce :
Jamie Jones
Androméda Storgé qui va apparaître bien plus tard
Laura Blake
OUUUPS déjà un moi et demi ? Je ne savais pas que j'étais aussi fainéante ! Non, non je ne vous aie pas oublié chers lectrices, lecteurs, ne vous inquiétez pas ! Voila même un nouveau chapitre, vous le voyez, qui arrive. Mais si, après les reviews ?
Réponse aux reviews
Merci à Lilouthephoenix
Liz Ewilan : Oui Liven c un cas ! Surtout qu'il veut briser le couple Ewilan/Salim ! Grrrr Briseur de ménages va ! Sinon oui c sur se faire choper durant la nuit a 2h du mat' je connais ça aussi ! Moi, lève-tard ? Noooooon
Langedelanuit : Désole de t'avoir fait attendre aussi longtemps, j'ESSAYERAI d'aller plus vite la prochaine fois mais c pas gagné… Regulus, j'ai voulu le faire plus séduisant pcq un Black qui est moche ! ça n'existe pas ! (Surtout en voyant Sirius !) Voila la suite arrive, toute prête ! Mm si elle n'a pas beaucoup avoir avec les histoire de cœur de poudlard j'espère que tu l'aimera !
Shadow : Coucou ! Alors ces zozos t'embêtent encore ? Rhooo mais laissez la tranquille ! Les menaces ne vous on pas suffit ? ils faut qu'on en viennent aux mains ? enfin, bon au moins vous remplissez les reviews ! (o fait ils avaient po tt a fait tord vu que ct mon annif en août ) Et a toi shadow : merci bcp pr tes reviews très remplis qui me font tjrs rire ! Bonne lectuuure !
Montée en puissance
Là où un seul n'est rien, tout le monde devient quelque chose
Des bruits de pas se firent entendrent dans une petite ruelle de Londres. Elle était éclairée par la faible lumière de quelques lampadaires qui avaient, par miracle, réussi à survivre aux attaques de vandales voulant se défouler. Il était tard, très tard. Un jeune homme aux longs cheveux brun et aux yeux gris clair s'avançait dans cette rue déserte. Il regarda une dernière fois sa montre. Il savait pertinemment que le lord n'aimait pas attendre. Il se plaça devant une boite aux lettre à moitié défoncée qui était inappropriée à cet endroit. Il sorti un stylo, griffonna quelques mots sur un bout de papier et le glissa dans l'ouverture de la boîte aux lettre. Contre toute attente, un autre bout de papier en sorti et se déposa directement dans la main de l'homme.
« Entre, Carus. »
Une porte en bois sombre et parsemée de runes anciens apparue à l'emplacement de la boite aux lettre et il l'ouvrit non sans réticence.
Il pénétra dans une pièce toute aussi sombre que la ruelle. Bien qu'un peu plus soignée et luxueuse, le faible éclairage et la nudité des murs donnait à ce lieu un aspect tout à fait lugubre. Un gradin faisant face à la porte était rempli d'un nombre impressionnant de personnes. Un homme se tenait devant l'assemblée et se retourna quand il entendit la porte s'ouvrir. Il eut un regard vicieux qui fit frissonner le dénommé Carus.
-Aaaah, mon cher Carus, nous n'attendions plus que toi. Un sourire perfide illumina son visage. Avance s'il te plait.
Il avança de quelques pas avant de se retrouver devant l'estrade. La nervosité commença à envahir son corps, de grosses gouttes de sueurs ne perlèrent sur son visage. Il tripotait inconsciemment la floche qui nouait sa cape à son cou. Les regards de l'assemblée se firent plus insistent quand le Lord s'avança vers Carus. Il faisait deux têtes en plus que le Lord mais rien que sont regard, pareil à celui d'un serpent, imposait le respect et la crainte. L'énorme force magique qui dégageait de cet homme était terrifiante.
Il fit taire les chuchotements qui commençaient à s'élever d'un simple claquement de mains.
Il s'éloigna de l'assemblée, et fit des allées retour, pour entretenir le suspense. Il se retourna enfin vers l'assemblée, et commença à parler lentement.
-Je vous aie fais venir ici au milieu de la nuit pour une raison précise, durant plusieurs mois, j'ai fait quelques recherches très intéressante. Un sourire perfide fendit sont visage reptilien tandis qu'il sortit lentement sa baguette de sa poche. Des sorts permettant de tuer ou de châtier n'existent pas ? Il marqua une pause afin de bien faire peser ses paroles. Il avait raté sa vocation, il aurait du faire acteur ou orateur.
-Que diable ! Inventons en ! Il pointa sa baguette sur Carus
-DOLORIS !
Le jeune homme fut alors pris de convulsions, chaque parcelle de son corps semblait le faire souffrir énormément. Ses cris se répercutaient sur les murs de la salle, ses longs cheveux s'entremêlaient alors qu'il se tordait de douleur par terre.
Le Lord arrêta soudain ses souffrances d'un geste de la main.
Les lugubres visages de l'assemblée s'étirèrent en un sourire sadique pour certains, un rictus pour d'autres.
-Je vous fournis quelques explications dit il avant de voir Carus se relever et marcher vers les gradins Attendez mon cher, je n'en ai pas fini avec vous. Il l'enchaîna au sol à l'aide de sa baguette avant de continuer son discours.
- Ce sort, appelé par mes soins sort endoloris, à le pouvoir de faire souffrir instantanément la victime. Un tel sort existait déjà avant mais il fallait préparer une potion compliquée et la laissé reposée pendant plus de deux mois. Car beaucoup on voulu essayé de purifier la race sorcière mais, seul moi, aie les moyens d'y arriver. Tous les autres, des incapables !
Il se retourna vers le pauvre homme enchaîné au sol qui essayait tant bien que mal de se défaire des ses liens de fer.
-Imperium lança cette fois le Lord. Carus se transforma l'ombre d'une seconde. D'un personnage terrifié, il devint une simple enveloppe charnelle, sans l'ombre d'un sentiment dans le regard. Le Lord l'avait libéré de ses chaînes et il se tenait maintenant, droit, immobile.
Son esprit, vide de toute pensées, était maintenant à la merci du Lord.
-Le sort imperium, permet de contrôler les faits et gestes de la victimes ce qui est très intéressant si on veut commettre un crime sans être accusé. SAUTE ! Carus vit alors un bond inhumain avant de retomber souplement sur ses pieds. Voyez comme il est facile de le maîtriser ! Il fit un simple geste avec sa baguette et le jeune homme commença alors à danser comme si il avait agit d'un pantin qu'on faisait bouger à l'aide de ficelles. Il fit quelques pirouettes avant de s'arrêter et reprendre ses esprits, et sa peur.
Le Lord ricana. Tous des trouillards et des lâches qui se mettaient à son services car ils savaient qu'ils ne feraient pas long feu dans l'autre camp. Il les méprisait autant que les moldus. Eux au moins essayaient de résister… Mais plus il avait de partisans, plus il était sûr de gagner, d'autant plus qu'il allait frapper par surprise et que personne ne l'arrêterait après ce jour.
Carus se précipita vers la porte mais pas assez rapidement. Il fut projeté dans le vide avant d'atterrir par terre. Il se releva pour retenter de s'échapper mais buta sur une paroi invisible. Il était pris au piège dans une prison de verre. Il essaya de les briser de ses poings mais ce verre là était incassable. Le Lord se mis à rire tandis que le jeune homme s'agitait dans cette prison invisible. L'assemblée suivit et un entremêlement de rires jaunes qui sonnaient faux s'éleva alors. Ce que le Lord détestait par dessus tout c'était bien qu'on lui lèche les bottes.
-SILENCE ! Avait-il crié. Bien, j'ai un dernier sort à vous montrer. Une lueur sadique s'alluma dans ses yeux.
Il s'agit du sort de mort dit il simplement en faisant encore une pause, pour que ses paroles prennent le temps d'être assimilées par ces idiots sans cervelle. Carus, lui, était devenu blanc comme un linceul. Normal, pour un type qui savait sa mort proche, très proche même.
Quand les chuchotements cessèrent d'eux-mêmes, le Lord fit disparaître la cage en verre, Carus essaya de s'enfuir, mais le Lord fut plus rapide.
-Avada Kedarva
Une lumière verte s'échappa de sa baguette, toucha de plein fouet Carus qui tomba aussitôt.
Mort.
L'assemblée devint tout à coup bruyante. Certains étaient ravis, d'autres effrayé, d'autres encore pensaient que le Lord était fou, mais se gardaient bien de le dire de peur de devenir comme le pauvre jeune homme qui venait de tomber.
La salle s'arrêta de parler quand le Lord leva sa baguette pour faire silence.
-Ce que vous avez vu, a été crée pour la destruction définitive de ces vermines qui ne méritent pas de partager notre terre. Je veux parler des moldus et des sang de bourbe.
Je les aie appelé « les sort impardonnables ». Ca va faire un malheur au ministère de la magie. Il ria doucement avant de reprendre. Ces sort, sont facile à pratiquer. C'est à la portée de n'importe quel imbécile ! Mais, il faut pour que cela fonctionne bien, vouloir la souffrance de l'autre, et y prendre plaisir ! Je crois que ça ne devrait pas être difficile pour vous ! Pas besoin d'entraînement, vous serez très bien vous en sortir le jour J.
L'assemblée devint soudain bruyante, ils trépignaient tous d'impatience d'aller tuer du sang impur !
-Vous pouvez vous en aller. Dit simplement le Lord en ne prêtant plus la moindre attention à ses sbires.
Le futurs assassins partirent, telle une nuée de sauterelle : faible et lâche seul, cruels et sanguinaires ensembles.
Le Lord resta un moment, seul, dans la salle avec pour seule lumière une torche qui commençait à s'éteindre. Il s'assit sur le premier niveau du gradin et observa avec mépris la dépouille du jeune Carus. Un type envoyé par ses parents car il était indiscipliné et insupportable. Le Lord n'avait pas su faire grand-chose, il était un vrai enfant gâté, indomptable. Il pointa sa baguette sur le cadavre
-Evanesco dit il. La dépouille disparut, Carus n'était plus qu'un souvenir, dans deux jours plus personne ne s'en soucierait.
Le Lord soupira, mener le monde dans un chaos total n'était pas ce qu'il aurait voulu faire. Si seulement ça n'avait pas été comme ça… Mais les moldus devaient payer les souffrances qu'ils avaient faits endurer aux sorciers depuis la nuit des temps. Ils étaient aussi cruels que lui et l'heure de la vengeance avait sonnée . Ils devaient payer pour ce que lui avait fait son père… Salazar Seprentard comptait sur lui.
-Lord Voldemort prononça-t-il dans un souffle. Il se prit la tête entre les mains restant un instant immobile, puis sortit de la pièce tout en prenant un air déterminé. Ils allaient payer.
Alors ? verdict ?
