Chapitre 1
Et si on commençait avec le commencement?
C'était un jour comme les autres, un soleil radieux filtrait sa lumière dorée à travers mes rideaux. Un sourire s'illumine sur mon visage et, machinalement, je pense à Ron, qui est obligé de se réveiller sans moi chaque matin. Il m'a ouvert son cœur à bord du Poudlard express qui nous ramenait chez nous pour les vacances d'été. Notre premier baiser. C'était si bon, pourtant, c'était aussi notre dernier parce que nous ne nous sommes pas vus depuis. Et aujourd'hui, je le revois et j'ai si hâte. Je regarde mon réveil et m'aperçois que j'ai pris du retard dans mon emploi du temps. Alors, je me lève et traîne un peu sur le chemin qui sépare mon lit de la douche. Sur le chemin, je rencontre ma mère qui me sourit et qui étouffe un rire. Je la comprends lorsque j'aperçois mon reflet dans le miroir. Mes cheveux font pensé à du foin tellement ils sont mêlés et il devient de plus en plus difficile de les coiffés correctement puisque je les laisse poussés et ils sont maintenant rendu au niveau de mon soutien-gorge. Mes yeux, couleur chocolat, sont recouvert à moitié par mes paupières et mon regard est sans émotion, que fatigué. Je me déshabille et entre sous la douche. En sortant, je file à la cuisine pour apaiser mon ventre qui cri famine.
- Bonjour ma puce! Me dit ma mère.
- 'jour! Dis-je la bouche pleine de toast à la confiture.
- Alors, t'es prête pour une nouvelle année?
- Ouais! Bye je vais finir mes bagages.
Et je partit aussi vite que j'étais apparue 5 minutes auparavant. En passant le seuil de la porte de ma chambre, je me rends compte que je n'étais plus aussi maniaque du ménage qu'avant. Mes livres étaient empilés ici et là, mes robes de sorcière accrochées aux portes de mon armoire, mon linge éparpillé un peu partout et mes devoirs, finis bien entendu, sont resté sur ma table de travail. Je sors ma valise de sous mon lit et la pose sur mon lit. Je cours un peu partout dans ma chambre à la recherche de ce dont j'ai besoin. Je dépose mes livres en premier puis mon linge et enfin quelques objets personnels. Je range ma baguette dans la poche droite de ma veste et appelle Pattenrond pour le mettre dans sa cage. Il arrive au pas de course et je le pose dans sa cage que je mets à coté de ma valise.
En route pour la voie 9¾, je parle de tout et de rien avec mes parents. Puis lorsque mon père se gare, je débarque en vitesse de la voiture, me dépêche de prendre mes bagages et de dire au revoir une dernière fois à mes parents. Puis je pars à courir en direction de la voie mais me heurte à quelqu'un qui s'en venait et que je n'avais pas vue.
- Ha bonjour Mme Weasley!
- Bonjour Hermione! Comment vas-tu? Ron avait tellement hâte de te voir, il n'a pas arrêté de parler de toi tout l'été !
- Je vais très bien mais je dois me dépêcher sinon je vais manquer le train.
- Ha oui, c'est vrai, aller dépêche toi ! Et bonne année !
Je passa la barrière et arriva devant le train. Je regarda ma montre et vu que j'avais 15 minutes d'avance. Je repris mon souffle et soudain je relevai la tête pour le chercher du regard mais nul trace de lui. J'alla porter mes bagages et entra dans le train à la recherche du compartiment que partageaient mes amis. Lorsque je vis sa silhouette au loin, mon cœur fit un bon dans ma poitrine et il commença à battre de plus en plus vite. Soudain, je vis une fille, une fille sublime. De longs cheveux noirs, des lèvres pulpeuses, de grands yeux violets aux cils allongés. Elle venait de l'embrasser. Elle venait de déposé ses lèvres grossièrement boursouflées sur les joues de mon petit ami ? Non, ça n'allait pas se passer comme ça ! Et lui, pourquoi la laisse-t-il faire ? Pourquoi riait-il ainsi ? Se souvenait-il qu'il sortait avec moi ? J'avais l'incroyable envie d'aller la frapper mais par une force que je ne contrôlait pas, je me retint. Me souvenant de mes bonnes manières, j'essaya de mettre un sourire sur mes lèvres et avança, lentement, les poings serrés. Lorsque j'arrivai derrière lui, je m'annonçai en toussotant. Il se retourna et son sourire s'agrandit comme je ne l'avais jamais vue.
-Salut mon amour ! Me lança-t-il. Et il se précipita sur moi pour m'embrasser.
Ha... Le contact de ses lèvres, j'avais oublié tellement c'était bon. Sa langue dans ma bouche, la mienne dans la sienne, un vrai moment de petit bonheur. Lorsqu'il se retira, il resta collé à moi, ses mains sur mon visage, son front collé au mien et il me dit, tout bas ;
-Ne m'abandonne plus jamais aussi longtemps ! Tu m'as tellement manqué !
-Promis ! Lui soufflais-je.
- hum, hum...
On s'est retourné en même temps pour voir qui osait interrompre nos retrouvailles.
- Ha, salut Harry ! Dis-je.
- Salut Hermione, je voudrais te présenter Suzan Pyrosis. Elle est nouvelle à l'école cette année.
- Ha ouais, salut ! Dis-je de ma voix la plus désintéressée que je me connaisse.
- Salut, et toi c'est Hermione comment ? dit-elle timidement.
-Granger. Répondis-je un peu méchamment. Heu...Ron, est-ce que je pourrais te parler en privé s'il te plait ?
-heu... Ouais.
Je lui pris la main et l'emmena un peu plus loin ou j'ouvris la porte d'un compartiment vide et l'y fit entrer. Après l'avoir refermée, je me retourna et je nu pas la chance de parler puisqu'il m'embrassait de nouveau. Il me faisait fondre sur place et perdre tous mes moyens. Mais lorsque je repris conscience, je me décollai de lui. Je vis d'abord son regard emplit de désir et puis ses longs cheveux roux, son sourire béât et son corps musclé. Il était vraiment sexy !
- Ron, pourquoi cette fille t'a embrassé tout à l'heure ? Et ne nie pas, je t'ai vu !
Je me surpris moi-même à être aussi courageuse. Pourtant, Ron ne semblait pas vouloir répondre. Son regard était devenue sombre et ses oreilles écarlates. Tout semblait croire qu'il cachait quelque chose.
- En quoi ça te regarde ?
Comment ose-t-il me de dire ça ? Je suis pourtant sa petite amie, j'ai le droit de savoir !
- En tout ! Nous sortons ensemble à se que je sache ! Donc, j'ai le droit de savoir.
- Elle m'a embrassée pour me remercier de l'avoir aidé à ranger ses bagages dans son compartiment. C'est pas un crime à ce que je sache !
- Pourquoi as-tu voulu le cacher dans ce cas ?
Ron sembla surpris de ma question. Et ses joues prirent la même couleur que ses cheveux. Il balbutiait quelque chose d'imperceptible et il se traita d'imbécile. J'étouffa un rire et repris mon sérieux.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-Et bien, répond moi !
-Je n'ai pas voulu te le cacher, c'est juste que je pensais que c'était mieux que tu ne le sache pas parce que tu aurais fais une crise de jalousie somme tu es en train d'en faire une en ce moment.
-Je ne fais pas une crise de jalousie !
-Bien sur que si !
-non !
Mais il ne répliqua pas une autre fois, comme je l'aurais pensé, il s'est penché sur moi et à frôler son nez contre le mien, pris mon visage de ses mains pour les faire glissées sur mon cou puis dans mon dos. Je senti un frisson en moi. Je regardais son bleu des yeux et voulu m'y perdre. Il me tenait fermement et je n'aurais voulu m'enfuir en aucun cas. J'étais si bien, je me sentais en sécurité, dans le confort de ses bras protecteur. Je pencha mon visage sur le sien et l'embrassa passionnément. Une flamme s'illumina dans mon cœur et un frisson parcourir mon dos. J'avais chaud, terriblement chaud mais j'étais bien, terriblement bien.
TOC ! TOC ! TOC !
Nous nous quittâmes sans le vouloir puis regardâmes la personne qui nous avait dérangés.
-Quoi ? demanda Ron, agacé qu'Harry l'est encore dérangé.
-Et bien, nous sommes presque arrivés et vous n'êtes toujours pas habillés en sorcier. Et Mcgonagall voudrait te voir, Hermione.
-D'accord, je m'habille et j'arrive.
Je m'habilla à la hâte et donna un baiser furtif à Ron avant de me diriger vers le premier compartiment où m'attendait Mcgonagall. Arrivée au compartiment je vis d'abord Malefoy, accoté contre la fenêtre me regardant curieusement. Puis mon regard se tourna vers les deux autres personnes qui étaient dans le compartiment, deux autres garçons, l'un costaud, blond aux yeux verts et au regard inquiet, et l'autre était musclé, petit, avait des cheveux noirs, un petit nez retroussé et des yeux bleus. Tous trois me regardait et je les regardais les uns après les autres jusqu'à ce que Mcgonagall arrive derrière moi et qu'elle m'oblige à aller m'asseoir à côté du garçon au regard de plus en plus inquiet.
-Bonjour, Je n'ai pas eu le temps de vous envoyés vos lettres pour vous dire que vous étiez préfets en chef. Je veux tous vous présentés ; Hermione Granger de Gryffondor, Drago Malefoy de Serpentard, Estévan Garcius de Poufsouffle et Fernando bloom de Serdaigle. Vous partagerez des appartements privés. Je vous en expliquerai l'endroit un peu plus tard. Vous serez aussi chargé d'amener les premières années à leurs dortoirs appropriés et de leurs expliqués les règles primordiales. Ensuite vous viendrez me rejoindre à la grande salle pour quelques mises au point et vous pourrez aller vous coucher. Bonne soirée et à plus tard. N'oubliez pas que je compte sur vous !
Et elle parti aussi vite qu'elle était apparue, un instant plus tôt. Soudain, le train s'ébranla et s'arrêta. Hermione sorti la première suivi de près par Fernando et d'Estévan. Drago tarda un peu mais se joignit tout de même à la foule qui se bousculait au dehors du train, face à l'immense château qu'était Poudlard.