Hello tout le monde !
Tout compte fait je suis de retour plus vite (ouf !) On ma remit Internet mais sans ADSL sa rameeeeeee c'est horrible ! (Je commençais à être en manque ! lol !)
Ce chapitre est le plus long de tous (c'est pour me rattraper ! lol !)
Bonne Lecture !
Chapitre 8 : Du rire aux larmes.
Le bal d'halloween était fini depuis quelques minutes. Il était à présent allongé sur son lit à baldaquin, les rideaux tirés.
La soirée avait été géniale, il ne s'était jamais autant amusé. Mais il était submergé par des sentiments bien nouveaux pour lui et aussi contradictoires. Il était heureux et triste.
Une fille, cette fille, Marina Weasley occupait toutes ses pensées, il en était obsédé. Lucius avait bien essayé de l'éloigner…
Se souvenir était encore présent dans sa mémoire…
Flash Back
Draco marchait en direction d'une salle de classe désaffectée non loin de la maison des Serpentards. Il y rejoignait, comme pratiquement tous les soirs, Marina. Ils pouvaient se voir qu'en secret. Ils avaient de longues discutions et dépassaient souvent le couvre-feu. Draco était perdu dans ses pensées quand une robe noire aux couleurs de Serpentard et possédant un insigne de préfet, vint se placer dans son champ de vision.
Sa chevelure blonde indiquait que c'était Lucius Malefoy. Celui-ci affichait un sourire satisfait.
Cela n'annonçait rien de bon. Mais après tout le couvre n'était pas encore passé, loin de là, donc il n'avait rien à craindre…
La main de Malefoy se referma sur son col et il se fit traîner sur quelques mètres jusqu'à la salle où Marina l'attendait.
La porte s'ouvrit à la volée. Il vit Marina pâlir à vus d'œil, la peur se lisait dans ses yeux. Elle recula, recula jusqu'à se que le mur l'en empêche.
Malefoy balança Draco aux pieds de Marina.
Traître ! Je t'avais prévenu ! Puisque tu insistes, vas-y rejoins cette petite conne !
Comment osait-il le traiter de la sorte ! Un Malefoy ne se fait jamais ridiculiser même par un autre Malefoy !
Draco commençait à être hors de lui se qui ne s'arrangea pas après que son très chère « père » est insulté Marina !
Il se leva et fit face à Lucius. Tous deux baguettes à la main.
Regarde comment je traite les gens comme elle ! Les traîtres à leur sang ! Doloris !
Le sort jaillit de sa baguette, pour Draco c'était comme si tout était au ralentit. Il vit l'un des sorts impardonnables se diriger droit sur Marina.
Elle était si fragile, si faible jamais elle ne pourrait le supporter !
Alors Draco s'interposa et se le prit à sa place. Il ne pensait pas pouvoir ressentir une douleur si intense. Il en tomba à genoux. Les moindres parcelles de son corps le brûlaient, il avait l'impression que ses os allaient se briser, lui donnant la nausée. Les larmes lui montaient aux yeux mais il ne cria pas, il ne voulait pas lui faire se plaisir.
Et soudain tout s'arrêta, il était pratiquement allongé sur le sol, le souffle court. Une colère sourde l'envahit. Il ne prit pas la peine de ramasser sa baguette et se dirigea l'air menaçant vers Lucius.
Malefoy le vit s'approcher de lui, la peur le saisit au ventre, le paralysant.
Les cheveux du brun voletaient autour de son visage, ses yeux étaient devenus complètement noirs. Il leva une main vers le blond. Celui-ci se retrouva suspendu dans les airs.
Ne refait jamais çà !
Il l'expulsa contre le mur du couloir. D'un geste ample Draco récupéra sa baguette qui vint à lui.
Malefoy était toujours dans les airs, il se fit transporter jusqu'à la salle commune des Serpentards où il voulait l'humilier devant plus de monde. Malefoy quant à lui était sonné et ne comprenait pas se qui lui arrivait.
Dans la salle commune, les discutions allaient bon train, elles furent coupées par l'entrée fracassante de Draco et le vole plané de Malefoy.
Ne refait plus jamais çà ! La prochaine fois je ne serais peut-être pas aussi gentil ! Tonna Draco.
Une petite voix tremblante derrière Draco se fit entendre.
Alexandre arrête.
Il ne l'entendit pas et s'avança vers son père pour le prendre par le col.
Je veux que tu t'excuses !
Toute la salle était attentif et n'osait bouger de peur de s'attirer les foudres de Draco.
Séverus quant à lui était stupéfait par l'attitude de son ami.
Alexandre arrête, tu me fais peur ! Supplia-t-elle. Marina était livide.
Draco en la voyant dans cet état se calma instantanément. Il courut vers elle et la prit dans ses bras, ils étaient à genoux sur le sol.
Je… je suis désolé. Je ne voulais pas te faire peur.
Une larme coula sur la joue de Marina. Draco l'essuya.
Tu me pardonnes ?
…
Alors si je t'invite à aller au bal avec moi, tu me pardonnes ?
Marina souriait. Çà lui réchauffait le cœur de la voir ainsi. Elle était heureuse c'était le principal rien ne lui importait plus.
Oui, mais je ne sais pas si les autres vont…
On se fou des autres !
Draco se leva et fit face à tous les Serpentards surtout à Lucius Malefoy.
Demain j'irai au bal avec Marina Weasley ne vous en déplaise. Le premier que je vois l'insulter ou qui vient se la ramener en me faisant la morale, il aura affaire à moi !
Fin du Flash Back
Il avait adoré voir les têtes décomposés des autres et surtout le sourire, le premier vrai sourire de Narcissa !
Pour l'instant personne n'avait insulté Marina c'était déjà çà ! Certains avaient bien essayés de discuter avec elle ou lui disaient bonjour mais c'était juste pour s'attirer les bonnes grâces de Draco.
D'ailleurs celui-ci après la scène avec Lucius, ne pouvait s'empêcher de ressentir un sentiment de honte ! Après tout c'était quand même son (future) père. Mais il avait fait passer toute la frustration à son égard pour l'enfance et l'amour inexistante qu'il avait reçut et aussi pour le chagrin de sa mère…
Il ne voulait pas se gâcher cette fin de soirée en broyant du noir, alors il se remémora le bal.
Flash Back
Draco attendait au bas des escaliers du dortoir des filles un peu nerveux. Il n'avait pas vu le costume qu'avait pris Marina bien que se soit lui qui lui est payé.
En effet, il l'avait trouvé dans un magasin entrain de marchander avec la vendeuse. Marina ne pouvait acheter son costume par manque d'argent, alors il lui avait offert. Sur le coup elle fut vexée, ne voulant pas de son argent, disant qu'elle voulait se l'acheter. Il prétexta que c'était un cadeau d'anniversaire un peu en retard, elle accepta.
Enfin, Marina descendit. Un grand silence s'installa dans la salle commune. Il faut dire qu'elle se cachait toujours derrière des robes trop larges ce qui laissait penser à des kilos en trop mais en fait…
Elle portait une jupe de couleurs pastels déchirée dans le bas, elle lui arrivait au-dessus du genoux à certains endroits et à mis cuisse à d'autre. Son haut était un corset sans manches ni bretelles laissant paraître une poitrine généreuse. Il lui arrivait au-dessus du nombril.
Sa peau blanche était parfaite. Ses cheveux s'éparpillaient autour de son visage d'ange légèrement maquillé. Ses pieds restaient nus, seule une petite chaîne entourait l'une de ses chevilles.
Et enfin, de petites ailes au reflets multicolores aux battements lents et régulier parferaient son costume.
Elle descendit avec grâce les escaliers, rayonnante.
Après s'être remit de ses émotions, Draco fermis la bouche, ravala sa langue et lui donna son bras.
Draco était content d'avoir une si belle cavalière et il n'était pas le seul à le penser. Certains garçons en bavaient d'autres crevaient presque de jalousie. Et même du côté des filles, certaines la fusillaient littéralement du regard.
Marina jeta un coup d'œil à son cavalier il n'était pas mal du tout. Il était tout de noir vêtu, un pantalon ample, une chemise, de moitié, ouverte laissant apparaître sa carrure d'athlète. Une lourde cape de velours reposait sur ses épaules. Ses cheveux en pétard et son teint qu'il avait réussie à se le faire à la façon Malefoyenne lui donnaient un air ténébreux irrésistible.
Mademoiselle permettez moi de vous dire que vous êtes ravissante, ce soir ! Et que je suis vraiment honoré d'être votre cavalier !
Je ne me plaindrais pas non plus de mon cavalier !
Marina ! Marina !
Arthur ?
Son grand frère la serra dans ses bras.
Comment vas-tu ma belle ?
Bien merci.
Pourquoi tu n'es pas venu me voir cette semaine ?
Heu…je…j'était très occupée.
Serais-ce se jeune homme qui t'occupait toutes tes pensées au point dans oublier ton grand frère préféré ? Tu me présentes ?
Bien sur ! Alexandre Harper, Arthur Weasley. Et Alexandre est un ami !
Ouais c'est çà ! Bon je vais retrouver Moly ! Tu me promets une danse ?
D'acc !
Le dîner se passa tranquillement. Draco remarqua que Séverus ne cessait de regarder Marina du coin de l'œil. Çà avait le don de l'énerver.
Enfin les tables furent poussées pour permettre aux préfets et préfets-en-chefs d'ouvrir le bal. Lucius dansait avec Bellatrix Black, Potter père avec Evans. Il n'avait jamais prit le temps de la regarder et il était vrai qu'elle était très séduisante.
Son regard tomba ensuite sur Narcissa. Leurs regards se croisèrent, elle se leva et vint s'asseoir à côté de lui.
Salut. Dit-elle.
Salut.
C'était la première fois depuis son arrivé qu'elle lui adressait la parole.
Heu je voulais te féliciter pour la démonstration d'hier avec Malefoy. Sa ma fait bien rire.
Ah, mais se n'est pas ton fiancé ?
Si. Son sourire avait disparu d'un seul coup et lui avait répondu sur un ton que l'on peut qualifier de polaire !
Elle reprit mais d'une voix plus douce :
En fait sans que tu le saches tu ma fait énormément plaisir ! Merci !
Tu ne l'aimes pas.
Non, je le déteste, c'est pire !
Pourquoi ?
Je ne peux pas te le dire maintenant se n'est pas que je ne te fais confiance mais tu vois je ne l'ai jamais dit à personne même pas à ma meilleure amie et… ses yeux se voilaient et se remplirent de peur. La chanson était fini, il approchait… rejoins moi demain à la tour d'astronomie après le déjeuné.
Narcissa.
Malefoy.
Vient et danse.
Il la prit par le bras et la traîna vers la piste de danse avec force.
Draco se retourna et vit Marina et Séverus en grande discussion.
Alors je baisse deux secondes ma gardes et toi tu en profite pour me piquer ma cavalière. Dit Draco sur le ton de la plaisanterie même si intérieurement il avait un pique de colère.
Voulez-vous m'accorder cette danse mademoiselle ?
Mais avec plaisir.
Ils dansèrent pratiquement toute la soirée. Pratiquement ? Oui puisqu'ils durent faire une interruption en milieu de soirée à cause de la groupie de Potter père, qui c'était mise sur l'estrade et avait commencée en striptease dédicacé à James Potter. McGonagall était hors d'elle ! Le dit James Potter par contre avait fuit devant ce… spectacle.
Il put voir que Marina, contrairement à ce que certaines personnes pouvaient dire avait beaucoup de qualité. En effet, son corps se mouvait avec grâce entre ses bras, et ses yeux de plus près étaient vraiment magnifiques, pratiquement de la couleur de l'or. Il se perdit dans se flot précieux de ses yeux. Leurs visages toujours plus près. Il était plus qu'à quelques centimètres…
Alexandre tu peux m'aider s'il te plait ?
« Arg, je vais le tuer ! »
Qu'est-ce qui se passe Séverus ?
Il se tourna vers lui et remarqua que son costume s'était transformé en robe de fée rose comme celle que porte les petites filles sauf qu'ici son haut était un corset lacé dans son dos. Celui-ci était très serré et le Serpentard devenu tout rouge étouffait. Draco, malgré ses envies meurtrières l'aida prit de pitié. Marina de son côté pouffait de rire.
Fin du Flash Black
Il s'endormi sur ses dernière pensées, un sourire aux lèvres.
Le lendemain après le déjeuné, Draco monta à la tour d'astronomie. Narcissa l'attendait accoudée à l'une des immenses fenêtres. Dehors la pluie était drue.
Il était quand même un peu méfiant qui c'est ce qui l'attendait ce qu'elle allait lui dire.
Bonjour Alexandre.
Bonjour.
Elle se retourna les yeux rougis elle se cala dans ses bras et pleura toutes les larmes de son corps pendant de longues minutes. Il avait mal, mal de voir sa mère ainsi. A son époque se n'était qu'une femme froide, un mur.
Hier, il avait essayé d'être implicite, de faire comme s'il ne savait pas qui était la cause de son chagrin, mais là çà le rongeait il voulait savoir à tout pris.
Qu'est-ce qu'il ta fait ?
J'ai peur. … Si peur, peur de lui, peur qu'il me touche et même peur qu'il me regarde…
Pourquoi ?
Je ne sais même pas pourquoi je t'ai demandé de venir, je n'aurais jamais du !
Si, dit le moi, je te le jure sur tout se que j'ai de plus chère que tu peux me faire confiance, que jamais je n'irai le voir pour lui dire que tu t'es confiée à moi. Dit le moi, je pourrais te protéger…
Tu le ferais pour moi ?
Bien sur.
Narcissa ravala ses larmes et lui tourna le dos pour enfin s'asseoir à même le sol. Il l'imita.
Mes parents, comme toute ma famille sont des sang-pures et il veulent le rester, c'est pourquoi il mon choisit dés ma naissance un fiancé parmi les familles les plus dignes des sang-pures. Il m'on donc choisit Lucius Malefoy. Il pense que je lui appartiens corps et âme. Je sais que je n'ai pas le choix mais je pensais que je pouvais avoir ma liberté au moins jusqu'à notre mariage. Mais il me persécute partout où je vais… je ne l'aime pas… même lui, il ne me considère pratiquement comme un objet je lui appartient c'est tout… Il y quelque mois, en fin d'année scolaire de l'année dernière, je suis tombé amoureuse d'un élève de Serpentard, il s'appelle Allan Taylor, nous nous voyions qu'en cachette, j'était folle amoureuse de lui. Mais un jour Lucius a tout découvert, j'ai cru qu'il allait le tuer. Il lui a mené la vie dur jusqu'à se que son père grâce à ses connaissance au ministère à fait expulser la famille d'Allan hors d'Angleterre. Croyant ne pas m'avoir puni assez Lucius… je … c'était un soir…
Flash Back
Il n'y avait plus personne dans la salle commune, Narcissa faisait encore des révisions de dernière minute. La fatigue se faisait sentir. Elle décida de fermer tous ses bouquins et de monter se coucher…
Alors toujours pas coucher Narcissa ?
Si j'y vais de se pas !
Non je ne crois pas.
Quoi ?
Lucius s'approcha menaçant, la prit par la taille et l'embrassa de force, ensuite il la tira par les cheveux vers sa chambre de préfet.
(Attention moment de sadisme de ma par ! Niark, niark, niark !)
Il verrouilla la porte de la chambre et jeta un sort pour que personne n'entende les cris de Narcissa.
Lucius allongé de tout son l'on sur elle, l'embrassait toujours de force l'obligeant à ouvrir la bouche pour y passer sa langue.
Elle savait qu'elle ne pourrait rien faire et pourtant ce n'était pas faute d'essayer. Elle était perdue. Elle ne pouvait plus que subir, des larmes silencieuses roulaient sur ses joues pâles.
Malefoy, passa ses sales mains sous son chemisier et caressa durement les seins de la jeunes filles. Il lui arracha son chemisier. Puis passa à sa jupe, ainsi que ses sous vêtements et à ses propres affaires.
Personne ne pouvait l'entendre, personne ne pouvait la sauver. Le désespoir s'emparait d'elle petit à petit.
Lucius avait un sourire carnassier et sadique, il la regarda droit dans les yeux quand il rentra en elle brutalement lui arrachant un cri de douleur. Il voulait la voir souffrir, lui faire du mal pour la punir de ce qu'elle avait fait.
Ses va et vient ne la ménageaient en rien. Ces quelques minutes lui parurent une éternité.
Quand il se fut enfin vidé en elle, il la laissa là allongé sur lit comme morte mais secouée de sanglots incontrôlables.
Elle se sentait sale, elle aurait voulu mourir. Elle resta étendue sans bouger une partie de la nuit.
Narcissa s'était souvenu que depuis elle n'avait pas arrêté de se laver dans l'intention d'enlever cette saleté qui l'empêchait de redevenir pur mais en vint.
Fin du Flash Back
Narcissa déversait toutes les larmes de son corps dans les bras de Draco, il bouillonnait intérieurement de rage.
Une envie de meurtre le submergea mais il fut face à un dilemme. S'il le tuait il se sentirait que mieux de plus il vengerait sa mère certes mais s'il le tuait il disparaissait pour toujours, jamais il ne naîtrait.
« C'est sur c'est un argument convainquant, en même temps j'aimerais que ma mère me fasse consentante et non contrainte et forcée ! »
Je suis désolée de t'avoir dit tout çà ! Je…
Chut… Allée viens on rentre à la salle commune…
Non, je ne veux pas, il… il y est.
Justement…
Non, il se vengera, je ne peux pas.
Pas tant que je serais là !
Mais Alexandre, tu ne seras pas toujours là pour moi.
Je ferais en sorte que si. Plus jamais il ne te touchera de la sorte.
Je ne peux pas aller contre la volonté de mes parents, se sera pire encore.
Je trouverais un moyen. Allé viens, il ne faut pas que tu en aille peur.
Il lui tendit la main, pour lui montrer qu'il était avec elle dans cette épreuve et que jamais il ne la laisserait tomber.
La salle commune était déserte, tous les élèves avaient profités du parc. Seul Lucius et ses deux gardes du corps étaient là affalés sur les sofas près du feu.
Toi ! Que fais-tu avec ma fiancée !
Narcissa baissa la tête, les larmes aux yeux, elle se cachait légèrement derrière Draco.
Ta fiancée ? Quand ton est fiancée avec quelqu'un même par obligation, on ne traite pas l'autre comme un objet ! Narcissa n'est pas un objet, c'est un être humain, elle ne t'appartient pas !
Alors Narcissa, tu as été te plaindre, tu me déçois, on règlera çà plus tard !
Non, je ne crois pas ! Tu ne t'avises pas de la toucher, ni même de la regarder tant que tu la considères comme une chose ! Et n'essaies pas de te venger sinon je risque de devenir méchant ! La dernière fois se n'était rien ! Tu es prévenu !
Lucius suivit des deux autres montèrent à leur dortoir. Draco ne pus entendre qu'un audible –…mon père…
Il se retourna et fut assaillit par deux bras qui l'entourèrent.
Merci…merci Alexandre.
De rien, je serais toujours là pour toi.
Je l'espère !
Narcissa souriait de nouveau.
Viens Alex j'ai quelque chose à te montrer.
Alex ?
Tu n'aimes pas ?
Si.
Ils s'éloignèrent dans les profondeurs de Poudlard. Sur leur passage ils ne remarquèrent pas une personne tapie dans l'ombre. Quand ils furent assez loin, cette personne sortie de l'ombre et s'accota à un mur pour si laisser tomber.
Marina pleurait.
Alors tu suis ?
Je ne fais que çà.
Enfin ils s'arrêtèrent devant une statue. Elle représentait un grand aigle noir aux yeux bleu acier.
Draco.
Il fut surpris d'entendre son prénom, c'était le mot de passe pour faire basculer la statue.
Il suivit Narcissa à l'intérieure. La pièce était circulaire et de couleur bleu nuit, elle n'était éclairée que par les astres qui y étaient représentés. Sur le sol y était dispersé de nombreux coussins.
j'aime venir ici.
C'est magnifique !
Narcissa s'allongea sur les coussins et se plongea dans la contemplation du ciel étoilé. Elle ferma les yeux :
J'ai un autre secret à te confier.
Il limita et tendit l'oreille, attentif.
A mon arrivé ici en première année, je ne connaissais pas Lucius et je ne savais même pas que c'était lui mon fiancée et… je le trouvais mignon, je l'admirais, en fait inconsciemment j'était amoureuse de lui, enfin de son image. La première fois qu'il ma vu il ma sourie et se fut la seule fois, ensuite il a sut qui j'étais et tout de suite il ma traitée comme un objet, une moins que rien. Je pense qu'il m'en voulait que je sois née, il n'avait plus de liberté. Tu comprends ?
Ouais à peut près. Et tu l'aimes encore ?
Comme je te l'ai déjà dit je ne le déteste pas, je le hais surtout depuis se qu'il ma fait. Mais, la petite fille de onze ans est toujours présente en moi…
Et tu essais de la combattre…
Bien sur. Admettons qu'il change (on peut toujours croire au père noël), et que ses « sentiments » évoluent à mon égard, il ne pourra pas me retoucher avant de nombreuses années.
Ils continuèrent à parler sur des sujets de conversation moins hasardeuse.
Cette nuit là, Harry et Silà parcouraient les couloirs en direction de la réserve de la bibliothèque, sous la cape d'invisibilité. Ils voulaient en savoir plus sur l'énigme des planètes. Ils avaient fait de longues recherches depuis le début de l'année en la présence de Draco aussi. Mais là il n'était pas venu ce soir.
Ils traversèrent la bibliothèque. La porte de la réserve grinçait et le bruit résonna partout dans la bibliothèque vide.
Fait attention. Le réprimanda Silà.
J'essaie, mes à mon époque cette foutu porte ne grince pas.
Une lumière s'alluma dans un coin et ils se dépêchèrent de rentrer dans la réserve. Madame Pince, la bibliothécaire, vêtu d'une nuisette de Grand-mère d'une couleur rose bonbon, tenait à bout de bras une lanterne et les lèvres pincées, elle scrutait de ses yeux plissés les ténèbres.
Alors un Phénix, répondant au nom de Phumsec s'envola d'un rayon de livre pour se poser devant madame Pince.
Phumsec ? Qu'est-ce que vous faites ici ? Elle semblait rassurée et déçu à la fois. Levant les épaules elle rebroussa chemin et repartit se coucher.
On a eut de la chance.
A qui le dit tu.
Bon commençons nos recherches. Moi je vais par là. Déclara Harry.
Silà approuva d'un signe de tête et partit à l'opposée.
Elle examina une rangée de livre poussiéreux qui n'avait rien de passionnant. C'était des livres parlant de la botanique, des vertus des plantes.
« Je me demande bien se qui peuvent faire ici, il n'ont rien d'intéressant ! Peut-être pour leur âge, j'ai l'impression que si j'en touche un il va tomber en poussière ! »
Elle changea de rayon.
« Voilà qui est plus intéressant. Des livres sur la magie noir, les différents sort de celle-ci, tient ses contre sort. »
Elle continua comme çà à lire les différents titres, prenant de temps à autre un bouquin pour le feuilleter. Elle tomba enfin sur un petit livre caché derrière de gros volumes, il contenait apparemment plusieurs prophéties.
« Je me demande se qu'ils peuvent raconter la dedans. »
Et comme pour répondre à sa question, il s'ouvrit sur le chapitre qui concernait les forces du mal. La prophétie de cette page montrait la victoire de Dumbledore sur l'ancien mage noir Grindelwald. Puis les pages se remirent à tourner et s'arrêtèrent sur une autre prophétie qui portait son nom.
« Qu'est-ce que c'est que çà ? »
Elle parcouru la page et fit frappée d'horreur par son contenu.
« Non… c'est impossible ! Et je…je croyais que c'était à lui de le faire pas à moi. Non, il est écrit ' elle devra lui apporter son aide'. De toute façon je ne crois pas beaucoup en ses choses là ! Mais et si c'était vrai ? Non, c'est impossible ! »
Et peu à peu la page en parchemin se tacheta de tâche rouge. Silà s'aperçut que ces tâches étaient en fait du sang qui coulait sur ses mains blanches. Elle lâcha le livre et partit du rayon déboussolé.
De son côté, Harry avait trouvé au fond de la réserve, devant l'une des rangées, une belle plume rouge qui appartenait à Phumsec. Il se pencha et la ramassa. En se relevant il vit tout en haut de l'étagère un livre noir qui était plus en avant que les autres.
Accio.
Le livre vint se loger dans ses mains. Il n'avait pas de titre mais neuf planètes formant un cercle y étaient représentées.
Silà. Viens voir j'ai trouvé quelque chose.
Je suis là.
Elle le fit sursauter étant donné qu'elle se trouvait juste derrière lui.
Regarde. Apparemment Phumsec nous a simplifié la tâche. Il lui montra la plume.
Qu'elle gentille attention. Dit-elle un peu sarcastiquement. Et à ton avis pourquoi nous aurai-t-il aidé ?
Je ne sais pas. Mais si tu veux mon avis soit c'était lui ou Dumbledore qui nous aurai aidé. Ou alors c'est lui qui la envoyé.
Tu crois ?
Avec lui faut s'attendre à tous. Regarde quand j'étais en deuxième année Phumsec est venu tous seul à mon aide quand Tom Elvis Jedusort retenait Ginny la petite sœur de Ron dans la Chambre des secrets…
Tu as été dans la chambre des secrets ?
Ouais, et je peut te dire que même pour tout l'or du monde je n'y retournerais jamais. Et en troisième année Dumbledore m'a fait faire évader deux prisonniers. Le premier était Buck, l'hippogriffe de Hagrid qui était condamné à mort. Et le deuxième n'était autre que Sirius Black mon parrain qui devait recevoir un baiser du détraqueur.
Sirius Black est ton parrain ! Mais pourquoi tu l'as fait évader ? C'est un criminel.
Non, il était innocent, c'était Peter Petegrow le coupable.
C'est pour çà que tu ne l'aimes pas.
Non, je ne l'aime pas, je le hais ! Il y a une nuance. A cause de lui mon parrain a gâché 12 années de sa vie, et quand il a été libre il devait constamment se cacher et il est mort l'année dernière. Se sale rat lui a pourri sa vie !
Calme toi Harry on va nous entendre.
On devrait jeter un coup d'œil à se livre maintenant.
Sur la première page il y avait écrit :
Azerty Fayf.
Harry regarda les autres pages.
Ce n'est pas tenu comme un journal…
Non, se serai plutôt des notes ou quelque chose comme çà.
Regarde la deuxième page.
Seul les élues peuvent lire ceci.
On va pouvoir le ramener à la tour sans danger, puisque personne à part nous deux et Draco peuvent le lire.
Harry avait parcouru les premières pages.
Au début elle parle du mythe des planètes. Elle dit qu'elles frappent dans les hauts lieux de magie qui sont les grandes écoles de sorcellerie du monde. Fayf était à Salem, il y a 480 ans. Et les planètes l'ont envoyée en Angleterre.
Attend ! Fayf Azerty sa me dit quelque chose. Je crois bien que c'est la femme de Nicola Flamel. Elle l'a d'ailleurs aidé dans plusieurs de ses travaux. Il a trouvé notamment un vaccin contre je ne sais plus quel virus qui s'attaquait essentiellement aux sorciers, puis il y eut la pierre…
Philosophale. Ils sont encore vivants.
Tu es sur ?
Oui, ils étaient encore vivants lors de ma première année.
Avec un peu de chance on pourra les rencontrer.
Sa j'en doute. Dumbledore ne nous aidera pas autant.
Il continua à parcourir le livre. Elle avait décrit toute sa mission, sa rencontre avec Nicola Flamel…
Elle au moins a découvert sa mission.
Harry, je pense qu'on découvrira notre mission quand on sera devant le fait accomplit.
Tu as sûrement raison. Enfin, j'espère, imagine qu'on ne la découvre jamais.
Regarde elle écrit aussi que découvrir ses pouvoirs fait partit de la mission. Dit Silà pour changer de sujet.
Mais elle est resté là ou les planètes l'on envoyées.
Oui, mais en même temps elle, elle n'a pas changé d'époque.
Mouais. Se que j'aimerais savoir c'est comment les découvrir.
Là, il y a quelque chose qui c'est inscrit.
A l'endroit de notre apparition, une salle apparaît pour chacun des élues. C'est là la clef de la découverte.
C'est sur c'est beaucoup plus clair comme çà. Ironisa Harry.
Miiiaaaoooouuuu.
Miss Teigne ! (Nda : Et oui elle est immortelle lol !)
On devrait partir.
Tu as raison.
Harry se dépêcha de jeter sa cape d'invisibilité sur Silà et sur lui-même.
Qui a-t-il ma belle tu as débusqué quelqu'un ?
Rusard passa sa tête par la porte une lampe levée. Il pénétra dans la réserve. Il avançait dangereusement vers l'endroit où se tenaient Harry et Silà. Ils réussir à passer et se dépêchèrent de sortir de là.
Ils s'arrêtèrent dans un couloir loin de la bibliothèque pour être sur de ne pas être prit. Harry scrutait attentivement la carte, tandis que Silà parcourait encore le livre de Fayf Azerty.
Il y a une formule magique sur la couverture à la fin.
Hum. Harry ne releva pas la tête.
Apparitio et Discooperire.
A ce moment Harry vit sur sa carte trois pièces "siluminer". L'une était proche de la salle commune des Serpentards et il nota que Draco y était déjà en compagnie de Narcissa.
Les deux autres étaient proche de la tour des lions. Ils se dirigèrent donc vers cet endroit. Ils arrivèrent dans le couloir qui menait au tableau de la grosse Dame.
Harry vit que les pièces qui s'intillaient sur sa carte étaient gardées par d'un côté la statue d'un grand Phénix au plumage Or et à la tête rouge, et de l'autre côté du couloir par un tigre blanc de Sibérie assie, le regard fixe.
Il s'était toujours demandé se qu'elles faisaient là, et avait toujours été attiré par le tigre.
On fait comment pour ouvrir le passage? Demanda Silà, mais Harry ne l'écoutait pas. Harry !
A la mention du nom de celui-ci, le tigre bougea et fit place a une embouchure dans le mur.
Ok, alors si je comprends bien nos prénom sont les mots de passe et par conséquent mes réponses sont dérière le tigre. Fit Harry.
" Oh oui le Phénix ne peut être que pour moi !"
Silà se plaça devant l'autre statue et prononça son nom. Avant de pénétrer dans leur pièce respective Silà se retourna vers Harry:
Harry, Fayf avait marqué sous la formule qu'il faut aussi la dire à l'intérieur, rien qu'une personne peut la prononcer même au bout du château çà peut suffir à tout déclencher.
D'accord. Alors tu diras la formule dans une minutes et on verra bien se qui adviendra. Bonne chance.
A toi aussi.
Du côté de Draco
Il discutait toujours avec Narcissa quand il entendit au fond de sa tête les quelques mots que Silà avait pronocé la première fois.
Les étoiles au-dessus de leur tête se mirent à bouger. Elles sintillaient de mille feu. Leurs rayons illuminaient Draco. Celui-ci fut pris de douleur qui le parcourait dans tout le corps.
Alex ! Qu'est-ce que tu as ?
Draco tremblait maintenant comme un dément.
Alex ! Qu'est-ce qui se passe ?
Narcissa avait très peur. Ne sachant pas quoi fit la première chose qui lui passa par la tête : elle s'alongea à moitié sur lui pour l'empêché de se faire mal. Les spasmes furent passés, elle se poussa, il y eut un nuage noir, une détonnation. La fumée s'évapora et Alex n'était plus là. Il y avait à la place un magnifique aigle noir semblable à la statue de l'entrée.
Narcissa était bouche bée.
A...Alex ? C'est toi ?
Ce fut la même scène pour Harry et Silà, qui se transformèrent eux aussi à l'image de leur statue.
Après cinq minutes, ils se retransformèrent tous.
Alex. Qu'est-ce qui c'est passé ?
Heu...je...
Je veux des explications, tout de suite.
Mais tu sais se serai long à expliquer.
Je m'en fiche, je veux des explications.
Oui chef...
Draco partit dans son récit. Il lui parla de la foudre, des neuf planètes et leur mystère, des dons qu'elles devaient leur donner. Mais il ne lui dit pas qu'il avait remonté le temps, ni qu'il était ici sous une fausse identité.
Je comprend mieux...
Surtout tu ne le dit à personne.
Promis, je ne dirais rien. Elle fit quelque chose qui le surpris : elle l'embrassa sur la joue.
Draco devint rouge comme une pivoinne. C'était la première fois que sa mère l'embrassais.
Ne t'inquiète pas. Mais j'ai eut peur pour toi tout à l'heure et tu sais avec toi j'ai l'impression d'être avec mon frère bien que j'en ai pas.
Tu veux que je sois ton frère ?
Enfin si tu ne veux pas c'est pas grave.
J'accepte avec joie.
Elle lui sauta au coup.
Merci, merci.
Ils passèrent le restant de la nuit à contempler les étoiles qui avaient repris leur place respective. Draco avait posé sa tête sur le ventre de Narcissa, il ne tarda pas à s'endormir, se sentant en sécurité dans les bras maternelle.
Quelques jours plus tard
Terry ! Eh Terry je te parle !
Hum ? Oh excuse-moi Lily. Tu disais ?
Laisse tomber. Tu as l'air d'être sur un petit nuage avec ton Sirius.
Oui, il est adorable, je l'adore…
Je suis contente pour toi et pour Sophia.
Elle avait l'air vraiment heureuse le soir du bal avec son beau prince charmant.
« Mais sa va faire plusieurs jour que je n'ai pas vu Remus »
D'ailleurs où est-elle ? Demanda Terry.
A ce moment Sophia arriva dans la salle commune les yeux rougis, elle n'alla pas voir ses amies et monta directement dans son dortoir.
Lily et Terry se précipitèrent à sa suite.
Sophia ?
Elle était allongée sur son lit, la tête dans son oreiller.
Qu'est-ce qu'il y a ?
C'est Remus, il…il m'a dit que… si il ma embrassé c'était parce qu'il était dans l'ambiance, un coup de tête, quelque chose comme çà…
Il a dit quoi !
Je vais le tuer !
Euh, Lily s'il te plait tu devrais te calmer.
Lily avait presque atteint la porte, elle s'amusait à faire craquer ses doigts.
Je ne l'abîmerais pas trop !
Et elle partie comme une furie à la recherche du briseur de cœur.
Où est Lupin !
Eh Evans t'es pas obliger de gueuler comme çà !
Potter dit-moi où est passer Lupin !
Tu laisses Remus tranquille !
Le laisser tranquille ? Alors qu'il a fait du mal à ma meilleur amie, qui se trouve être ta cousine je te rappel !
Je sais, mais laisse le tranquille tu ne peux pas comprendre !
Si je comprends très bien que ton ami est un enfoiré !
Lily se dirigea vers la sortie et s'arrêta en plein milieu des couloirs. Elle fixait la pénombre qui emplissait le château, après cinq minutes de contemplation et de concentration, elle s'élança dans une direction précise.
Il faisait de plus en plus nuit mais sa ne la dérangea pas dans çà quête et elle rentra dans une salle de classe.
Remus regardait, par la fenêtre la pluie qui tombait sans vraiment la voir. Il était absent et ne remarqua même pas Lily dans l'encadrement de la porte.
Lupin !
Il sursauta, très surpris de ne pas l'avoir entendue alors que la pleine lune approchait.
Lily ?
Pourquoi Lupin, pourquoi ?
Sophia ?
Oui, pourquoi tu lui as fait çà ?
Je lui ai dit, c'était…
Tu me dis que c'était sur un coup de tête et je te tue.
Elle tremblait légèrement, et cette fois-ci il le remarqua.
Je sais très bien que tu l'aimes ! Ne le ni pas ! Elle était si heureuse et toi aussi. Alors pourquoi ?
Tu ne peux pas comprendre…
Il la regarda droit dans les yeux, ils se sondèrent comme sa pendant un instant.
… où peut-être que si… Tu sais se n'est pas que je veux pas mais je ne peux pas.
Pourquoi, c'est à cause de ta condition de loup-garou que tu te l'interdits ? Tu as peur qu'elle te rejette ?
Co…comment tu sais pour…
Tu devrais le lui dire, et tu verras comment elle réagira…
Je ne peux pas le lui dire…
Ne la laisse pas comme çà, donne lui au moins une bonne raison.
Il la regarda encore, et lui sourie.
Ouais tu as peut-être raison, et après tout peut-être que si tu peux me comprendre.
Lily répondit à son sourire et partie le laissant méditer sur se qu'ils venaient de se dire.
Tu sais Evans, se n'est pas bien de se promener dans les couloirs la nuit et toute seule.
Potter ? Tu m'as suivie ? Lily ne l'avait pas vu venir ni entendu, elle était plongée dans ses pensées suite à l'entretien qu'elle venait d'avoir avec Remus.
Je voulais voir si tu n'avais pas réduit en miettes notre petit loup. Et sinon non je ne t'es pas suivie.
Alors comment m'as-tu retrouvée ?
Sa tu vois Evans je ne peux pas te le dir…
Sh… Quelqu'un vient vers nous.
Comment tu le sais…
Shut je t'ai dit.
Et en effet, il entendit des bruits de pas qui venait droit sur eux.
« Bon tampis si elle me pose des questions après çà mais c'est un cas de force majeure. »
James sortit de ses poches un parchemin et une cape. Il lut sur la carte que Rusard était juste à quelques mètres d'eux, ils étaient à quelques mètres de se prendre une semaine de retenue, et James n'avait pas très envie de subir les foudres de Lily pendant une semaine, il avait peur de se faire blesser ou pire de la blesser sur se qui pourrait lui dire qu'il ne penserait absolument pas. En fait depuis quelque temps il s'était aperçu que son ennemie de toujours était devenu l'opposé dans son cœur.
Il s'approcha donc de la rousse et la recouvrit de la cape d'invisibilité.
Qu'est-ce que tu fais ! Murmura-t-elle.
Tais toi et suis moi.
Il l'entraîna vers la direction opposée de celle du concierge et se dirigèrent en direction de la tour des Griffondors. James scruta la carte du maraudeur pour voir si le chemin était dégagé, sans risque et il l'était en effet, mais son regard tomba ensuite sur une salle de classe vide non loin de là ou il y avait deux étiquettes qui portaient les noms de Silà Parker et d'Harry Potter.
A la vue de son nom James s'arrêta net et Lily lui fonça dedans de plein fouet.
Mais qu'est-ce que tu fais encore ?
Elle regarda par-dessus l'épaule de James et vit se qu'il l'avait arrêté.
Il y a un autre Potter à Poudlard ?
N…non, je ne comprends pas. A part Sophia, il n'y a personne d'autre de ma famille.
Alors qui est-ce ?
Je ne sais pas, nous n'avons personne du nom de Harry chez les Potter.
Regarde il est avec Silà. Après tout c'est peut-être ta carte qui à un problème…
La carte ne ment jamais !
Oh c'est bon calme toi, je disais çà comme çà.
Excuse moi, mais la carte ne peut pas mentir. C'est impossible.
Alors allons voir, comme çà on en sera sur.
Ok, allons-y.
Dans la salle de classe, ils virent bien deux personnes, elles étaient assises en tailleur sur le sol. L'une d'elle était Silà Parker et l'autre n'était autre qu'Angèle Harper.
Tu vois. Ta carte c'est bien trompé.
Ce n'est pas possible, il y a un truc.
Allé, arrête de te faire du mal pour rien…
Non, il y a sûrement un truc…
Tu serais pas un peu têtue sur les bords ?
Non, tu crois ? Lui répondit-il avec un sourire en coin. Tu crois qu'ils font quoi ?
On dirait qu'ils sont entrain de méditer.
Harry ouvra les yeux, il crut entendre des voix, son animagi lui développait ses sens et peut-être avait-il entendue quelqu'un qui passait non loin de là.
Je pense que c'est bon pour aujourd'hui Angèle. Dit soudainement Silà.
Oui, on recommence demain à la même heure. Bientôt on pourra les contrôler parfaitement.
Silà acquiesça.
Ils se levèrent.
Au fait Harry…
Ah, tu vois, j'avais raison. La carte ne ment jamais.
Shut, James ils vont nous entendre.
…sa avance du côté de tes parents ?
Je me demande comment ils vont faire pour m'avoir.
C'était peut-être pendant une fête, ils étaient bourrés et voilà…
Harry la fusilla du regard.
C'était de l'humour Harry ! (Nda : j'aime son humour !) A mon avis il faut laissé faire le temps.
Mouais. Mais il y quand même un changement du côté de mon père, il a l'air de l'apprécier plus qu'il ne le laisse paraître.
Si tu veux mon avis, ta mère aussi sait très bien caché ses sentiments. Croit moi.
Si çà pouvait être vrai.
Bon allons nous coucher, il se fait tard.
Et sous les yeux surpris de Lily et James ils disparurent sous une cape d'invisibilité.
Nous aussi on devrait s'éloigner, avant qu'ils nous rentrent dedans.
Se fut Lily qui mena, cette fois, James.
Heu, Lily la salle commune, c'est de l'autre côté.
Tais-toi et vient.
Elle l'emmena dans un des passages secrets.
D'accord, j'avoue j'avais tord, ta carte n'a pas mentie. Donc Angèle Harper est bien Harry Potter…
Oui, mais il a dit que ses parents n'étaient pas encore ensemble alors…
C'est bizarre, soit c'est un mal entendue et on est arrivé en plein milieu de la conversation, ou soit ils viennent… du future mais çà j'en doute…
Pourquoi ?
Je ne pense pas que se soit possible…
Dans le monde de la magie tout est possible.
D'accord, partons sur cette hypothèse. Alors tu crois que le frère d'Angèle, Alexandre est aussi un Potter.
Je ne sais pas, mais se sera facile de le savoir avec la carte du Maraudeur.
Ah oui, la carte. Comment tu l'as eut ?
C'est moi qui l'ai créé avec Sirius et Remus.
Vous l'avez créé ? Là tu m'impressionnes !
J'ai réussie à impressionner Lily Evans !
Et oui tu vois il faut croire au miracle mon cher James.
Arrêtes, je vais plus me sentir. Rigola-t-il.
Lily lui sourit, elle était belle. Le cœur de James battait la chamade.
Bon, revenons à ta carte. Tu pourras vérifier quand l'identité de Alexandre Harper ?
Je ne sais pas il faudrait qu'il soit devant moi ou bien pas très loin pour le faire.
Oui, mais en même temps s'il n'a pas la même identité se sera forcément quelqu'un que nous connaissons pas. Nous aurons juste à retrouver un nom qui ne nous est pas familier.
Ah ouais, c'est mieux comme çà. On le fait maintenant ?
Bien évidement.
James reprit donc sa carte du maraudeur et chercha la salle commune des Serpentards.
Ils sont là. Lui montrant du doigt l'endroit rechercher. Donc il y a Lucius Malefoy avec ses deux acolytes : Crabbe et Goyle dans le coin là. Pas très loin il y a Lestrange, Mcnair et Bellatrix Black. Là quelques première et deuxième année et enfin ici notre chère Rogue, la deuxième cousine de Sirius : Narcissa et… tiens c'est bizarre.
Quoi ? Qu'est-ce qui est bizarre ? Montres.
Lily se issa sur la pointe des pieds pour voir par-dessus l'épaule de James.
Tiens, là tu vois c'est marqué Draco Malefoy.
Oui, c'est étrange, puisque Lucius est fils unique. Donc si notre deuxième hypothèse est bonne alors Draco Malefoy vient du futur et est par conséquent le fils de Lucius. Et Harry Potter serait donc ton fils James.
Mon… mon fils ?
Bien sur je ne vois personne d'autre. Et sa explique pourquoi ils se détestent et la présence de la cape d'invisibilité.
Alors j'aurai un… un fils. Balbutia James. Mais je me demande qui pourrait bien être la mère.
Je ne sais pas, mais en tout cas je la plains.
Eh !
Au fait James il vaut mieux en parler à personne.
James fit la moue mais acquiesça.
Bon, allé viens on rentre !
Un soir, Lily se promenait dans les couloirs quand elle fut prise soudain d'un malaise. C'était comme si une force invisible l'avait poussée en arrière la faisant tomber à deux mètres de la où elle était. Puis elle eut le sentiment que quelqu'un lui enfonçait un poignard un plein cœur à deux reprises, un cri lui retentit dans les tympans. Puis la peur s'empara d'elle et enfin les larmes lui vinrent aux yeux, elle était triste. Mais tous ces sentiments n'étaient pas les siens. Lily se releva déboussolée.
« Mais qu'est-ce qui c'est passé ? »
Elle continua son chemin et préféra oublier.
Le lendemain soir, Elle reçut une lettre à l'allure officielle qu'elle aurait bien voulut se passer.
Les regards étaient pratiquement tous braqués sur elle. En effet il était rare de recevoir du courrier à cette heure-ci.
Il est un peu tard pour le courier.
Elle se leva dans l'idée d'aller à son dortoir. Elle commença à lire la lettre en chemin et se figea sur place.
Elle lâcha la missive sans s'en rendre compte, une main sur la bouche, elle monta les escaliers menant à son dortoir.
Elle s'allongea sur son lit, les yeux fixés sur le haut de son baldaquin. Son regard se perdait, son visage reflétait l'incompréhension.
Non. Murmura-t-elle.
Lily ne réalisait pas encore et elle redoutait le moment où la réalité la frapperait de plein fouet…
Dans la salle commune, Sophia se leva et chassa les curieux qui auraient voulut lire la lettre de Lily. Elle alla donc la ramasser.
« J'espère qu'elle ne me tuera pas pour çà. »
Elle soupira, ferma puis rouvrit les yeux et se lança. Elle lut la feuille entre ses mains, Terry et James qu'elles n'avaient pas vu par-dessus leur épaule.
Chère mademoiselle Evans,
J'ai le regret de vous annoncez que votre mère Emilie Evans et votre père Daniel Evans sont morts hier à leur domicile suite à une attaque de mangemort. Vos parents ont été victime du sort impardonnable de l'Avada Kedavra.
Votre sœur, Pétunia Evans a été retrouvée vivante dans une des pièces de votre maison. Elle est à présent à l'hôpital Sainte Mangouste en état de choc. Le professeur Albus Dumbledore vous donne la permission de rentrer chez vous quand bon vous semble pour vous reposer et ainsi que pour leur enterrement qui aura lieu dans deux jours à quatorze heure au cimetière de Wimbledon.
Toutes mes condoléances à vous et votre sœur.
Le ministre, Cornélius Fudge.
Oh non, pauvre Lily ! Les sanglots perçaient la voix de Sophia.
James ? Qu'est-ce que tu fais ?
James c'était précipité vers le dortoir des filles.
Je… je veux la voir.
Et pourquoi tu veux la voir hein ? Elle a besoin de ses amies et non de toi tu n'en fais pas partie je te rappelle !
Terry calme toi. Il n'a rien fait. Et Lily va avoir besoin de nous même si je pense qu'elle va nous demander de rester seule. Aller viens on monte.
Pendant ce temps, Lily s'était tournée et retournée dans son lit, à présent sa vue se brouillait, elle ne pouvait retenir quelque larme. Son cœur se serrait dans sa poitrine. Lily ne c'était jamais sentit aussi vide.
Elle s'était surprise à espérer que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'elle allait bientôt se réveiller ou alors que ce n'était qu'une farce de très mauvais goût mais que rien de ceci ne soit vrai, que ses parents n'étaient pas vraiment… mort.
Lily voulait arrêter de penser, de ressentir les choses voir même arrêter de respirer, s'endormir dans un sommeil sans fin pour oublier. Une autre pensée, celle de Lucius qui lui avait dit qu'il se vengerait. Etait-ce lui le responsable de la mort prématuré de ses parents ? Cette pensée effaça toutes les autres. Si c'était lui elle les vengerait. Elle eut encore une autre pensée celle de James, elle aurait aimé qu'il soit à ses côtés. Elle s'apaisa. Une chanson lui vint en tête, elle ne l'avait entendu qu'une fois il y a longtemps mais elle quelques paroles lui revinrent clairement en tête.
Je sais c'est dure
Mais baisse pas les armes
Même si tu passe du rire aux larmes,
Penses au future
La vie est pure
Et pleine de charme.
Tirer une tête d'enterrement…
… le bonheur on le convoi tellement…
…La vie est trop courte je ne cesse de me le dire et
Plus les jours passent et plus j'en ai rien à cirer…
Je sais c'est dure
Mais baisse pas les armes
Même si tu passe du rire aux larmes,
Pense au futur
La vie est pure
Et pleine de charme.
Je sais c'est dure
Mais baisse pas les armes…
Ne pas baisser les armes, elle ne baissera pas sa garde elle devait être forte pour venger ses parents.
Sophia et Terry rentrèrent dans la pièce, elles trouvèrent une Lily le visage crispé par une expression indéfinissable.
Lily ?
Elle se tourna vers elles. Ses deux amies vinrent s'assoire de par et d'autre d'elle et la prirent dans leur bras. Lily avait le soutient de ses amies elle aurait du se sentir heureuse mais en fait jamais elle ne s'était sentit aussi seule de toute sa vie.
Et voilà le chapitre 8 est fini.
RAR :
La p'tite Clo : Tu vois tu n'es pas aussi maudite que çà! Tu n'a du attendre que trois semaines à peu près (je conte pas les jours sa me déprime !) Et moi je trouve que ta fic fait largement le poid contre la mienne ! (Non, ne dit pas le contraire !) Sinon, quand j'ai lu ta review j'étais morte de rire! Sa m'a fait très plaisir et d'ailleur je crois que je peut te desserner le prix de la plus longue review! (Tonerre d'applaudissement!) Maintenant il va falloir que je ratrappe le temps perdu et que j'aille vite lire la suite de ta fic! Bisous
Krystal : Comme je le disais à la p'tite Clo vous n'aurez pas à attendre 3 mois! Heureusement sinon j'aurai sombré dansla dépression ! Autrement je te remercie pour ta review et tes encouragements ! Bisous
Elaur : Voilà j'espère que tu n'as pas trop attendue quand même ! Et j'espère que tu as aimé la suite !Merci pour ta review. Bisous
Bridgess-the-fantastic: Je partage ton avie, moi aussi j'adore quand notre Lily national frappe le bellàtre Amos et gifle la blondasse Caroline (Bien sûr je n'ai rien contre les blondes!). Ohlala faut arrêté de me lancer des fleurs je vais plus me sentir ! Nan je rigole contiunééééééééé lol ! Sinon je te remercie aussi pour ta review. Bisous
Mumy78 : Hello maMumy, alors voilà j'ai mis mon chapitre 8, enfin ! Quel ironie puisque c'est toi maintenant qui n'a pas internet, mais tu auras moins de temps que moi a attendre. La chance surtout que toi tu auras l'ADSL! Snifc'est pas juste ! Autrement j'attend avec impatience la suite de ta fic (Hein ma flemarde! lol !) Je viens de remarquer que toi aussi tu m'écrisdes longues review mais le prix est déjà décerné mais à la place tu as le prix de celle qui m'envoie le plus de review en un chapitre! (Tonerre aussi d'applaudissement!) Gobiou.
Alpo :Je suis contente que tu as aimé mon chapitre 7. Alors que penses-tu du 8 ? Tu as vu je me suis améliorée sur la longueur de mon chapitre.Mais le suivant ne sera pas aussi long peut-être le chapitre 10. Merci à toi aussi pour tes review sa me fait très plaisir. A la prochaine bisous.
Tyto27 : Coucou ma titicocote ! Je suis très contente que tu aimes ma fic. J'aime bien te l'entendre dire même si tu lit tout mes chapitre en avant première lol ! Au fait tu poste quand ta fic Elsa? Parce que moi je vais te dire (même si je te l'ai dit des centaine de fois) j'adore ton histoireelle est magnifique, merveilleuse... Conte sur moi pour lui faire de la pub ! Et cette fois pas d'excuse bidons : tu mets quand la suitede ta fic avec Albus et minerva ? hein ?Sinon toi aussi je te desserne un prix, celui de la lectrice la plus folle qui m'arrache des mains la fic pour pouvoir la lirelol ! Jet'adore ! Gobiou.
Jamesie-cass : Je suis contente que ladernière scène celle de rébellion de Lily t'es plus ! Et je te remercie pour tes review et tes petits mots d'encouragement sa me fait toujours plaisir, continu se n'es pas pour me déplaire lol! Sinon à toi aussi je délivre un prix (malgrés que se soit imaginère) celui de la reviewveuse (vive les phautent lol !) la plus loyale étant donné que tu m'as reviewer chaque chapitres! Enfait c'est le prix du courage que j'aurai du te donner ! lol !A la prochaine fois Bisous.
Coweti : Salut ! Tu as vu mon chapitre 8 est au moins deux fois plus long que le sept je fais des effords! lol ! Pff que d'efford ! D'ailleur j'ai jamais eut autant de review et je suis contente que tu en fasses partie! A toi aussi je peut te décerner un prix de courageuse revieweuse! lol ! Je ne sais pas se que j'ai avec les prix,sa ma prix comme çà peut être le coup que j'ai reçu tout à l'heure sur la tête ou alors le choque quandmon père ma annoncé qu'on avait internet, bon sans l'ADSL mais bon internet quand même! Bisous
Lily078.
