Note de l'auteur : Hello tout le monde. Je suis désolée mais je ne mets que la première partie de mon chapitre 11. Sinon je pense que vous pourriez attendre encore plus longtemps. En effet, j'ai succombé au syndrome de la page blanche, à la flemmingite aiguë doublé de révision pour les bac blancs et les profs qui aiment nous mettre une tonne de devoir pardessus le marché ! Grrrrrrrrrr ! Je vous souhaite une bonne lecture et de bonnes vacances pour ceux qui y sont encore !
Chapitre 11 première partie : Quelques petites frayeurs…
Elle fut happée par les ténèbres qui s'insinuèrent dans son esprit, jusqu'au plus profond de son être. Ses forces l'abandonnèrent peu à peu. Elle sentit son cœur battre plus faiblement à chaque battement. Sa vie s'en allait et elle était impuissante. Elle ne bougeait pas, en fait elle n'essaya pas. Il l'avait blessée et plus rien ne lui apportait. Alors elle ferma les yeux lentement, résolu à attendre que la mort vienne la prendre pour un repos éternel.
Le temps passait, une heure lui paraissait des jours, les minutes des heures et les secondes des minutes. Enfin, la douleur commença à s'atténuer, son corps ne lui répondait plus, elle partait.
La douleur était maintenant qu'un mauvais souvenir. Elle se sentait bien, sereine. Alors elle ouvrit les yeux. La salle de bain avait disparu pour laisser place à une chambre plongée dans l'obscurité. La fenêtre entrouverte laissait passer quelques rayons de soleil que les volets n'arrêtaient pas, ainsi qu'une douce brise qui lui caressait le visage.
Elle se leva et ouvrit la fenêtre. L'air était chaud pourtant ils étaient qu'à quelques jours de noël. De beaux jardins et la mer à l'horizon s'étendaient devant elle. En baissant les yeux, elle aperçut une silhouette féminine penchée sur des rosiers. Sa mère adorait les roses. Etait-ce elle ? Mais comment ? Elle était morte depuis deux mois !
La femme leva la tête vers elle, elle souriait. Oui, s'était bien elle. Etait-elle au paradis ?
Un déclic, la porte s'ouvre. James apparaît. Il porte simplement un baggy noir, son boxer tout aussi noir dépassant légèrement de son pantalon. Son torse restait nu.
Il s'approcha et la prit dans ses bras.
Oui, là c'était vraiment le paradis, malgré que James soit toujours vivant.
Il lui parle, il veut la ramener. Seulement elle est si bien ici. Ici il n'y a pas de douleur physique ou morale, ses parents l'attendent, mais il lui manque quelque chose à son bonheur. Maintenant, elle en était sur, elle était sur de ses sentiments. Il aura fallut qu'elle meurt pour que le voile qui lui obscurcissait la vue se lève et qu'elle se rende compte qu'il était trop tard, qu'elle ne pourrait jamais lui dire combien elle l'aime depuis toutes ces années.
Les mots sortent tout seul, elle le prit de rester avec elle. De toute façon c'est sûrement son inconscient qui lui fait croire que James est à ses côtés. Il ne veut pas. Son inconscient prendrait-il un malin plaisir à la faire souffrir ? Après tout c'était peut-être lui, nous sommes dans le monde de la magie, tout est possible.
Angèle. Angèle était venu la veillé pendant son sommeil. Il l'avait regardé de longues minutes. Elle se souvint de son sourire qui lui avait lancé lors d'un de ses moments de lucidité. Il lui avait sourie, mais pas d'un sourire que l'on envoie à une amie, ni à sa petite amie, c'était quelque chose de plus fort, c'était une autre sorte. Mais lequel ? Pourtant elle avait déjà eut se sourire. Mais où ? James lui parlait encore. Voulant toujours l'entraîner hors de cet endroit. Qu'est-ce qu'il y gagnerait après tout ? Voulait-il la faire souffrir encore une fois ?
Lui, ses amis l'attendaient de l'autre côté, ainsi que ses parents ! James parla de son fils, son fils malade, son corps allongé au côté du sien. Son fils mourrant, agonisant tout comme elle.
Pourquoi ? Se garçon était bien étrange. Elle revit son regard, un regard triste même s'il essayait de cacher ses sentiments, se qu'il arrivait à merveille avec les autres mais pas avec elle ni quand il lançait des regards furtifs vers James.
James continuait de parler. Il s'excusa, implora son pardon. Il parut sincère. Sa voix se déchirait. Puis elle entendit cette phrase, cette phrase qu'elle avait souvent entendu sortir de sa bouche dans ses rêves les plus fou, les plus secrets : « Je t'aime ».
Son cœur, elle le sentit pour la première fois. Il battait. James à ses pieds n'osait la regarder.
Elle abandonna la raison et fit se que son cœur et tout son corps lui ordonnait, désirait : elle l'embrassa. Il répondit. Il avait réussi.
Les ténèbres l'envahirent à nouveau, la peur saisit son cœur battant. Mais une main restait étroitement serrée sur la sienne.
Dans la maison verte et argent l'humeur des serpents était plutôt morose, leur défaite sur les Gryffondors resterait gravée un bon bout de temps dans les mémoires de chacun. Déjà certains faisaient des plans sur la comète pour faire payé aux Gryffondors de la 1ère à la 5ème années. Bien évidemment il fallait resté raisonnable. S'attaquer aux maraudeurs serait du suicide et les 7ème années on oubliait également. Seul Draco restait égal à lui-même avec son masque d'indifférence collé au visage et Marina se réjouissait de la défaite de sa maison tant détestée.
Au petit déjeuner, Draco remarqua que son « frère » n'était pas là ainsi que la totalité des maraudeurs et des filles qui les accompagnaient depuis quelques temps.
Le courrier arriva. Une multitude d'oiseaux, plus précisément de rapaces s'engouffrèrent dans la grande salle, des paquets de toutes sortes et des lettres tombaient ça et là. Parfois en éclaboussant malencontreusement les destinataires. Sa manquait à Draco de ne plus recevoir ses éternels « surprises » du matin envoyées par l'un de ses parents. Une enveloppe de couleur rouge le sorti de ses pensées. Elle venait de tomber devant le bol de céréale de Marina.
La lettre laissait échapper des bribes de fumée. Le rouge devint écarlate.
-Marina tu devrais l'ouvrir.
Elle la prit entre ses doigts et l'ouvrit avec une grimace affichée. La table des Serpentards était totalement silencieuse puis toute la grande salle.
-Je me demande quel est l'andouille qui m'envoi une beuglante !
-MARINA WEASLEY !
-Oh non ma mère ! Alexandre là je le sens mal !
Comprenant quel sujet allait aborder la mère de Marina, Draco fit un sort qui l'engloba avec qu'elle pour éviter que certaine chose ne s'ébruite dans tout le château, déjà que recevoir une beuglante était assez éprouvant mais en plus que tout le monde sache par la suite quelle était enceinte là se serait la fin de tout.
-MARINA WEASLEY, TU ME FAIS HONTE ! JAMAIS JE N'AURAIS PU CROIRE QUE TU NOUS FERAIS UNE CHOSE PAREILLE ! TON PERE A FAILLI MOURIR D'UNE CRISE CARDIAQUE QUAND NOUS AVONS RESSU LA LETTRE QUE DUMBLEDORE A ECRITE LUI-MEME, NOUS ANNONCANT QUE NOTRE FILLE, NOTRE SEULE FILLE C'EST FAITE ENGROCER PAR UN SERPENTARD ! DEJA QUE TU NOUS AS DESONORER EN ALLANT A SERPENTARD ! ENCORE NOUS T'AVONS PARDONNE MAIS LA TU AS DEPASSER LES BORNES, ENCORE TU AURAIS EUT UNE AVENTURE AVEC UN GRYFONDOR… MAIS NON TU AS PREFERE DEVENIR UNE PETITE TRAINER ! TU AS DEFINITIVEMENT JETTER LA HONTE SUR NOTRE FAMILLE NE T'AVISE PAS DE REMETTRE LES PIEDS A LA MAISON TU POURRAIS LE REGRETTER ! JE NE VEUX PLUS JAMAIS AVOIR DE TES NOUVELLES DE TOI COMME DE TON BATTARD !
La lettre partit en fumée. Marina était livide. Et contre toute attente elle éclata de rire.
-Et bien soit, ils n'aurons plus jamais de mes nouvelles ! Je viens de prendre ma décision, je le garde, je garde mon enfant et je vais leur pourrir la vie. Et toi, dit-elle en s'adressant à Draco, tu n'as pas intérêt à me laisser tomber sinon je peux te jurer que tu subiras une mort lente et douloureuse !
Draco esquissa un sourire. Marina était pleine de surprise et il la découvrait de jour en jour.
-Ne t'inquiète pas se n'est pas mon intention.
-Je l'espère bien.
Elle partit de la grande salle d'un pas décidé pour défaire ses baguages. Draco finit tranquillement de mangé ne voulant pas la suivre tout de suite pour se prendre les foudres de celle-ci qui devait à première vu écumer de rage contre ses parents, ce qui était totalement justifier.
Il monta à son dortoir. Toutes les filles de son année partaient pour les vacances comme toute leur maison d'ailleurs. Il était rare qu'un Serpentard reste pour les vacances surtout celle de noël.
Marina rangeait ses affaires en les balançant dans l'armoire à la va-vite.
-Alors je vais devenir père ?
Elle sursauta et se tourna vers son interlocuteur.
-Et bien oui.
-Hum super. J'aimerais bien savoir si se sera une fille où un garçon. Il n'y a aucun moyen pour le savoir ?
-Non il n'y en a pas. Il faut attendre quelques mois.
-Dommage. La patience n'est pas mon fort. J'aimerais bien que se soit un garçon.
-Oui, un garçon où une fille moi sa ne me dérange pas.
-Du moment qu'il ne devient pas professeur de défense contre les forces du mal…
-Pourquoi ?
-Oh pour rien, pour rien.
Dumbledore restait calme face aux blessures de Lily et de la mystérieuse « maladie » d'Angèle.
Il se retourna vers James et lui fit un sourire bienveillant. Il acheva de transmettre se sentiment en déposant sa main sur l'épaule du jeune homme.
-Ne t'inquiète plus maintenant, ils sont tous les deux hors de danger.
Madame Pomfresch lui lança un regard septique mais n'ajouta guère de réflexion et se contenta de continuer à penser les blessures de Lily.
C'était le petit matin et les premières fatigues d'une nuit blanche plutôt mouvementée commencèrent à se faire ressentir chez les adolescents.
Remus et Sirius se tenaient dos à dos dans un coin de l'infirmerie, la bouche grande ouverte et ronflant comme des biens heureux. James se trouvait toujours entre les deux lits tenant encore la main de son fils et de la rousse maintenant apaisée, un léger sourire aux lèvres. Silà était de l'autre côté et fixait toujours intensément Angèle qui n'avait plus l'air d'un spectre, il avait retrouvé ses couleurs mais laissait entrevoir qu'il souffrait le martyre avec ses sourcils froncés et sa cicatrice donnant l'impression d'avoir été rouverte.
(Peter, et bien lui on l'exclus je le trouverais vraiment mal placé dans se tableau !) Et les filles avaient été envoyé au lit tant elles arrivaient à stresser tout le monde.
Une jeune fille se tenait dans l'encadrement de la porte, enfin la où il y avait eut une porte un peu plus tôt dans la soirée. Elle regardait bouche bée celle-ci qui trônait sur le sol. Un jeune homme se trouvait derrière elle. Il regarda un instant Dumbledore puis les deux lits occupés et se précipita vers celui du jeune homme quand il reconnu l'occupant.
-Que lui est-il arrivé ?
James le regarda d'un air mauvais.
-Qu'est-ce que sa peut bien te faire ?
-C'est mon frère je te signale.
-Mes enfants du calme voyons. S'interposa le directeur.
-Oui, du calme sinon je fais évacuer mon infirmerie. Je vous rappelle que s'ils sont là, c'est qu'ils ont besoin de repos et donc de silence.
Alexandre Harper ignora superbement les menaces de Madame Pomfresch et s'adressa à Dumbledore.
-Qu'est-ce qu'il lui est arrivé ? Demanda-t-il inquiet.
-Tiens Harper c'est bien la première fois que je te vois inquiet pour ton frère. Dit Sirius en s'étirant.
-Il pourrait m'arriver la même chose alors qu'est-ce qu'il a ? Insista Alexandre sans se soucier de Sirius.
-Ah je me disais aussi. Marmonna Sirius.
-Rien qui pourrait avoir des répercutions sur vous monsieur Harper, ne vous alarmez pas.
-Ah d'accord, mais il va bien quand même ?
« C'est fou je devrais être habitué de voir Potter dans cet état mais se foutu Gryffondor m'inquiète quand même ! »
-Oui il devrait être remis bientôt sur pied.
-Hum. L'infirmière s'éclaircie la gorge agacée de ne pas être le centre de cet interrogatoire, après tout c'est elle l'infirmière pas le directeur. Vous veniez pourquoi à l'origine monsieur Harper ?
-Heu, se n'est pas pour moi, je ne fais qu'accompagner Marina.
-Ah oui, mademoiselle Weasley, si vous êtes ici c'est que vous avez pris votre décision je présume ?
-Oui.
-Et ?
Marina regarda mal à l'aise autour d'elle, tout le monde la regardait, surtout le Directeur soucieux de savoir qu'elle serait l'avenir de son élève, et l'infirmière qui voulait savoir si elle devrait avoir la tache (et la chance étant donné que se serait la première fois qu'elle se trouvait dans cette situation et qu'elle jubilait à cette idée malgré elle) de suivre la grossesse de la jeune fille jusqu'à son terme. Et bien entendu le regard des curieux ici présent qui durent détourner les yeux et tendre l'oreille grâce au magnifique regard noir de l'accompagnateur.
-Et… j'ai décidé de le garder que ça vous plaise ou non.
-Miss venez nous allons continuer cette discutions loin des oreilles indiscrètes. Vous pouvez venir aussi monsieur Harper après tout ça vous concerne tout autant.
Sur ce Dumbledore quitta l'infirmerie les deux adolescents sur ses talons.
-Vous savez de quoi ils parlaient ?
-Sirius ça nous regarde et ne nous concerne pas.
-Désolé Rem' mais ma curiosité a été piqué au vif.
-La curiosité est un vilain défaut très cher.
-Je sais mais si je ne la satisfait pas je sens que tout ceci pourrait m'empêché de dormir. Surtout qu'en ce moment il y a beaucoup de mystère à éclaircir vous ne trouvez pas ?
-Si. Répondit pensivement le loup garou.
-Pour commencer comment Lily a réussie à se faire de telles blessures ? Et puis pourquoi Angèle était dans cet état ? Vous avez vu comment il était, on pouvait voir à travers ! C'était comme s'il était entrain de disparaître ! Enfin c'était flippant.
-Arrête Patmol tu vas avoir un court-circuit si tu continus à réfléchir comme ça ! Se moqua James.
-Mais heu…
-C'est clair arrête on dirait une vache ! (NDA : Spéciale dédicace à mumu. mdr) Renchéri Remus.
-Mais vous sa ne vous tracasse pas tout ça ?
-Si… bien sur. Répondirent à l'unisson James et Remus chacun plongé dans leurs pensées respective.
James sachant très bien pourquoi Angèle disparaissait puisqu'il était lié à Lily étant donné qu'elle serait sa mère dans un futur proche, enfin si James ne se trompait pas bien sur. Mais pourquoi Lily était-elle dans un tel état ? Avait-elle voulut mettre fin à ses jours ? Après tout c'était compréhensible, elle avait perdu ses parents, sa sœur la traitait de monstre et… et lui qu'il l'avait blessé, qui avait joué au con en lui disant des trucs qu'il ne pensait pas du tout. Il y avait toujours cette même question : avec quoi c'était-elle faite ces blessures ?
Et puis Remus, Remus qui se remémora le soir ou Lily l'avait retrouvé après qu'il est brisé le cœur de la seule fille qu'il n'est jamais aimé. Ce soir là il avait sentit quelque chose de nouveau chez la rousse, quelque chose qu'il connaissait bien, une odeur animale… Que cachait Lily ? Il savait bien que c'était-elle qui était à l'origine de son état… Il commençait à voir un peu plus clair…
-Les gars je reviens il faut que j'aille vérifier un truc à la bibliothèque…
-Quoi tu vas à la bibliothèques alors qu'on est dans une situation critique toi tu penses à fignoler tes devoirs ! Il faudrait que tu revoies l'ordre de tes priorités !
-Mon cher Patmol sache que s'en est une !
Il ne laissa pas le temps à Sirius de répliquer qu'il était déjà partit.
-Eh non ne bouge pas, il faut que tu restes allongé…
Tout le monde se retourna vers Silà qui tentait désespérément de recoucher Angèle.
-Hé Angel t'es réveillé.
Sirius se précipita pour aider Silà dans sa dure tache.
James libéra ses mains et couru prévenir l'infirmière.
-Oh j'ai trop mal à la tête.
-Eh bah raison de plus pour que tu restes couché.
-Ah monsieur Harper. Comment vous sentez-vous ?
-Mieux. Je peux sortir ? Demanda-t-il à l'infirmière avec ses yeux de chien battu qui feraient fondre un bloc de glace.
-Hé t'apprend vite mec ! S'écria fièrement Sirius.
-Non mais sa va pas. Vous voulez sortir alors qu'hier vous êtes arrivé en étant à l'article de la mort, plus pâle qu'un fantôme et encore je pèse mais mots ! Non il est hors de question que vous mettez ne serait ce un orteil en dehors de se lit !
De la paume de la main elle appuya sur son front pour le faire retomber dans ses oreillers et lui fourra un thermomètre dans le bec.
-Ne bougez pas ! Si je vous vois sortir de se lit je vous attache dedans jusqu'à la fin de l'année ! Est-ce assez clair pour vous Monsieur Harper ?
Il se contenta de la fusiller du regard et d'hocher la tête légèrement.
-Alors là mon gars, je serais toi je ne discuterais pas ses ordres. C'est qu'elle n'est pas à prendre avec des pincettes notre infirmière quand elle veut !
-Je vous ai entendu Monsieur Black ! Attention à ce que je ne fasse pas la même chose avec vous jeune homme !
-Heu, mec je t'aime bien mais la je crois que je vais devoir te laisser en paix. Et puis mon estomac cri famine. Bye, bye.
Les personnes présentes éclatèrent de rire.
-Bien je crois que je vais y aller aussi, je vous laisse. James fit un étrange sourire à Angèle et Silà et se tourna vers Lily lui caressant rapidement la main avant de sortir.
Au bout de quelques minutes de silence Silà se décida enfin à parler.
-Tu m'as fait peur hier Harry.
-J'ai réussi à te faire peur, c'est un exploit.
-Pourquoi tu dis ça ? N'importe qui aurais eut peur. Tu es devenu totalement transparent j'ai été étonné de pas pouvoir passé ma main au travers de ton corps. En lui disant sa Silà lui tenait la main.
-Je suis désolé mais sérieusement j'ai pas choisit.
-Heureusement sinon je pourrait penser que tu es sado-maso.
-Non quand même pas. Le seul truc que je me souvienne ces que je me suis sentit étrangement vide, j'avais l'impression que mon esprit flottait hors de mon corps et puis après cette satanée cicatrice c'est mise à me brûler comme jamais. J'ai eut l'impression que tout mon corps allait prendre feu. Puis après c'est le trou noir.
Silà se tenait assise sur le lit du « malade » son regard encré dans le sien.
-Silà, qu'est-ce qu'il y a ?
-Hein quoi ? Dit-elle sortant de sa torpeur. Je heu…
Elle paraissait affreusement gênée.
-Tes yeux, ils sont redevenus verts. (NDA : Beau rattrapage !)
-Oh. Il parut presque déçut de la réponse de la jeune fille, mais esquissa vite un sourire quand il vit sa main étroitement serrée sur la sienne.
-Entrez installé vous.
Draco et Marina s'assirent devant le bureau du directeur.
-Marina je sais que vous avez pris la décision de gardez l'enfant que vous attendez. Mais êtes-vous sur d'avoir fait le bon choix ? Avant que vous répondiez j'aimerais vous dire que je suis content que vous ayez fait se choix ensemble.
-Merci, monsieur. Oui, nous sommes sur d'avoir fait le bon choix. Je sais que nous sommes jeunes mais je suis sur de pouvoir y arriver je me considère comme assez mature pour avoir cet enfant avec Draco…
-Draco ?
-Oui, professeur je lui ai tout dit.
-Tout dit ? Même qu'il va falloir un jour où l'autre que vous retourniez à votre époque ?
Marina se tourna vers Draco, elle s'était préparée à toutes les éventualités sauf à celle là ! Comment n'y avait-elle pas pensé plutôt ?
-Professeur, cela fait des mois que je passe le plus clair de mon temps à la bibliothèque avec l'aide de Harry et Silà, pour trouver le moyen de repartir, mais aussi de repartir avec Marina ou bien de rester ici.
-Vous ne pouvez pas restez ici, à part Marina, rien ne vous rattache ici surtout qu'il ne peut y avoir 2 Draco dans la même époque, à long termes cela pourrait créer une catastrophe irréversible.
-En clair vous me dite qu'une fois la « mission » accomplie je ne reverrais plus jamais Marina enfin si elle à l'âge de mes parents et avec un enfant plus vieux que moi ?
-Non, pas vraiment il faut que je vous avoue quelque chose, en temps normale je n'aurais jamais du vous le dire mais… enfin bon. Vous avez déjà changez le passé. Ce que je veux dire c'est qu'à votre époque Marina Weasley n'existe pas.
-Comment ça n'existe pas ? Demanda l'intéressé.
-Enfin n'existe plus. Vous auriez du mourir en tombant du toi de l'école il y a quelques mois de cela. Mais votre destin a été changé par Draco en vous sauvant, votre destin est lié au sien. Mais sa ne change en rien que vous n'existez toujours plus à son époque puisque celui qui vous a sauvez ne vient pas du même temps que le votre. Enfin tout cela est compliqué à expliquer en quelques phrases.
-Comment vous le savez qu'elle aurait du mourir ?
-Je ne peux pas non plus tout dire Draco. (NDA : Ouais et moi sa m'arrange !)
-Mais se que vous êtes entrain de me dire ces que sa ne gène pas si je l'emmène avec moi ?
Dumbledore se contenta de sourire.
« J'aimerais lui arracher son sourire de vieillard bienfaisant avec une petite cuillère dés fois ! »
-Après tout j'ai cru comprendre que rien ne vous rattache ici ?
-Non en effet. Affirma Marina.
-Donc votre avenir se situe belle et bien dans notre futur et dans son présent. Et bien félicitation pour cet heureux évènement. Vous pouvez partir.
Ils sortirent en silence pour faire éclater leur joie devant la gardienne du bureau directorial.
Marina sauta au coup de Draco.
-Je suis tellement heureux que tout s'arrange enfin.
-Oui moi aussi.
Ils firent quelques pas avant que :
-Oh Draco !
-Quoi qu'est-ce qui se passe ? S'inquiéta-t-il.
-J'ai envie de fraise !
Il éclata de rire avant de répondre :
-Vos désires sont des ordres madame.
Et il laissa le soin à Marina de rentrer au dortoir seule pour courir aux cuisines chercher de belles fraises.
Poudlard commençait à se vider de ses élèves et bientôt il ne resta plus que ceux qui devaient rester pour les vacances de noël.
Narcissa et Severus était venu dire en revoir au couple avant de partir. Depuis quelques temps le quatuor ne se quittait plus et personne ne venait dire quoi que se soit de peur qu'Alexandre Harper se mette en colère. De plus Lucius Malefoy ne disait rien donc il n'y avait pas de raison de s'attirer les foudres du prince de Serpentard en plus.
Cette année il n'eut pas beaucoup de monde qui resta au château. Seuls James Potter, Sirius Black, Remus Lupin, Silà Parker, Angèle et Alexandre Harper, Marina Weasley, Sophia Orlov, Terry Zanotti et Lily Evans restèrent.
-Bah alors les filles vous restez tout compte fait ?
-Oui comme tu peux le voir. On ne veut pas laisser notre Lily entre les mains des Maraudeurs, qui sait comment nous allons la récupérer sinon… Et pourquoi cette question, ça te dérange Black que je reste ? Tu sais si ça te dérange tant que ça je peux mettre de la distance entre toi et moi ou arrêté de faire une chose que tu raffoles particulièrement…
-NON ! Oups excusez moi, je veux dire non ma chérie, je suis super heureux que tu restes avec moi pendant les vacances, je n'aurais pas pu survivre plus de 2 semaines sans toi, je serais devenu fou !
Tout le monde regardait Sirius d'un air goguenard.
-Mouais. Fit Terry d'un air peut convaincue mais un sourire sarcastique accroché aux lèvres tout de même.
-Alors qu'est-ce qui c'est passé ?
-C'est ma mère je ne sais pas se qui c'est passé, elle a faillit mourir l'autre nuit.
-Ah je vois, c'est pour ça que les autres disent que tu avais étrangement perdu tes couleurs.
-Ouais. Hé tu sais Draco, tu devrais faire gaffes tu devient sentimental.
-Quoi ?
-Ouais, d'abord tu viens me voir à l'infirmerie, tu m'appelles par mon prénom…
-Toi aussi, et puis tu aurais fait la même chose non ?
-Si, mais moi j'aurais trouvé sa normale, logique, alors que venant de toi, c'est bizarre, c'est tout.
-Et tu t'en plaints ?
-Non, je trouve ça bien que tu es évolués…
-Ouais, et je dois t'avoué qu'il était tant, t'avais raison, je ne peux pas et je ne veux pas ressembler à mon père. Par contre ne prend pas l'habitude que je te donne raison, ni que j'avoue tous mes torts, ok ?
-Ouais. T'inquiète.
-Sinon j'étais venu vous dire que quand on aura trouvé le moyen de rentrer chez nous, on sera 5 à partir.
-5 ? Comment ça ?
-Tu ne peux pas amener quelqu'un de cet époque dans le futur c'est impossible.
-Premièrement, dans le futur cette personne est morte, enfin c'est compliqué à expliquer. Deuxièmement, c'est notre cher directeur adoré qu'il m'a intimé cette idée et troisièmement, il hors de question que je parte sans elle !
-Et qui est cette personne ? Questionna Silà.
-Ne serais ce pas Marina Weasley.
-C'est elle.
-Je comprends mieux pourquoi je n'en ai jamais entendue parler… Mais tu as dit 5 personnes ?
-Oui.
-Qui est cette autre personne.
-Heu… et bien c'est l'enfant de Marina.
-L'enfant de Marina ?
-Elle est mère ?
-Non pas encore.
Et là se fut une petite ampoule qui s'alluma simultanément dans l'esprit des deux auditeurs.
-Ok, je comprend mieux pourquoi tu as mûris si vite… N'empêche pauvre gosse quand même.
-Pourquoi tu dis ça !
-Oh la doucement, je te taquine c'est tout.
-Félicitation.
-Merci Silà, sa c'est une sœur. Dit-il à l'encontre d'Harry.
-Mort de rire. Dit moi t'es sur pour le coup « les parents » quand tu vas rentrer, parce que je vois bien ton père l'accueillir les bras ouvert…
-C'est sur, mon père ça je compte pas trop sur lui mais ma mère je pense que c'est une autre histoire, elle n'est pas du tout comme lui.
-Je l'espère pour toi.
-Je verrais bien, je vais lui poser la question, elle ne pourra pas me dire que je ne l'ai pas prévenu.
-Vive les coups foireux.
-Ouais je crois bien que tu détins sur moi, mon « frère ».
-Heureuse de voir que vous vous entendez bien.
-Lily t'es réveillée.
-Ouais faut dire que vous n'arrêtez pas de chuchoter depuis tout à l'heure qu'on pourrait vous entendre à l'autre bout du château.
-Heu, et tu as entendue quoi ? Demanda inquiet Draco.
-Je suis réveillé depuis le mot « Félicitation ».
-Lily !
Deux hystériques lui sautèrent dessus, l'étouffant à moitié.
-Au secours de l'air…
-Désolé Lil' mais on est si contente de te voir en meilleur santé.
-Oui, je crois que tout le monde l'est. Les garçons firent leur rentrée en allant plus doucement.
-Lily je crois que tu as certaines chose à nous dire… Commença James
-Oui, par exemple qu'est-ce qui c'est passé pour que tu te retrouves dans cet état ? Continua Remus.
Un long moment se passa sans que personne n'émette un seul mot. Lily trouvait un intérêt tout particulier à son drap qu'elle martyrisait entre ses doigts.
Puis :
-Je… je ne sais pas. Je ne m'en souviens plus. (NDA : Vous ne croyez tout de même pas que ça allait être aussi facile ! Niark, niark, niark ! Mdr !)
-Lily, tu peux tout nous dire, on sait beaucoup inquiété et…
-Sophia je vous ai dit que je n'avais plus aucun souvenir de ce qui c'est passé.
-Oh la range tes griffes Lily jolie. Plaisanta Sirius.
-Ca va Lily t'es toute blanche ?
-Mal de tête c'est rien. Répondit-elle précipitamment.
-Tout le monde dehors !
-Oh non, madame on vient juste d'arrivé laissé nous encore quelques minutes.
-Non, cette jeune fille a besoin de repos, revenez demain.
L'infirmière ne permit à personne de répliquer et chassa tout le petit monde à coup de balai. Une fois ceci fait, madame Pomfresch se pencha sur le lit de Lily pour s'occuper de ses vilaines blessures.
-Par la barbe de Merlin ! Mademoiselle Evans, vos blessures, elles ont disparues ! C'est impossible.
-Si vous le voyez bien.
-Je n'ai jamais vu ça.
-Et bien votre onguent fait des miracles.
-C'est vrai que j'en ai mis plus que d'habitude, mais je ne pensais pas que sa faisait autant d'effet.
-En tout cas je vous remercie madame de m'avoir guérie aussi vite.
-Mais de rien.
-Vu que je me porte bien je vais pouvoir sortir n'est-ce pas ?
-Oui demain.
-Demain ? Je ne peux pas sortir maintenant ?
-Jeune fille vous êtes arrivé ici dans un piteuse état. Normalement vous devriez resté ici jusqu'à la fin des vacances. Mais je persiste à penser que votre guérison est très étrange.
-Bien demain sera parfais. Se résolu la concerné en s'enfonçant dans ses oreillers.
-A vous monsieur Harper. Apparemment vous aussi vous êtes miraculeusement guérie.
-Je peux sortir demain aussi alors ?
-Bien sur. Répondit l'infirmière à contre cœur.
A la nuit tombée, James décida d'aller voir Lily sous sa cape d'invisibilité. Le château était plus désert que jamais. Dans l'infirmerie tout était calme et plongée dans l'obscurité.
Il s'approcha lentement du lit de la belle et l'observa. Un ange passa. Les cheveux de la rousse étaient éparpillés sur l'oreiller en de boucles légères et fines. James remarqua que les narines de la jeune fille se dilataient et que sa peau fut parcourue de frissons.
Soudain, Lily se releva en agrippant la cape d'invisibilité de l'observateur d'une main et de l'autre l'attrapa par le col le tirant vers elle violement pour le plaquer sur son lit et se plaça au-dessus. James trop surpris pour faire quoique ce soit, ne bougea pas d'un pouce et vit l'espace d'une seconde ses yeux briller.
-Potter ? Qu'est-ce que tu fais ici ?
-Je préférais quand tu m'appelais James. Et je suis là pour te parler de se qui c'est passé ce matin.
-Je vous ai dit que je ne me souvenais pas.
-Non pas à propos de tes blessures, malgré que j'aimerais le savoir mais je suis là pour te parler de ce qui c'est passer quand tu étais entrain de mourir quand j'ai été projeté dans cette chambre…
-Alors c'était vraiment toi qui étais là…
-Oui ce n'était pas ton imagination si c'est à ça que tu penses.
-… Elle ne sut que dire, elle fut troublé par cette affirmation, alors tout se qui avait été dit était vrai, il avait été dit par le « vrai » James Potter, le même James Potter qui était à ce moment même sous elle. Oups, elle se rendu compte qu'elle était à cheval sur le jeune homme. Lily se poussa pour le laisser se relever légèrement rougissante.
-Dommage… Murmura James.
Celui-ci plongea son regard sombre dans celui émeraude de Lily.
-Lily, tout ce que je t'ai dit là-bas était vrai. Je t'aime Lily. Leur visage était horriblement près au goût de Lily. Malgré qu'elle désirait plus que tout lui crier qu'elle l'aimait, qu'elle était folle de lui, elle aurait voulut l'embrasser sur le champ, mais elle se l'interdit, elle ne pouvait se permettre de le faire souffrir…
Elle fut interrompue dans ses pensées par les lèvres de James qui se posèrent sur les siennes. Elles étaient douces et se simple baiser qu'elle arrêta en repoussant James fut le plus doux, et le plus tendres que dans ses souvenirs où qu'avec un autres hommes.
-Non, James, je… je ne peux pas. S'il te plait laisse moi, je suis fatiguée.
James baissa la tête, défait et blesser.
-Bien. Et il se leva, récupéra sa cape et sortit s'en un regard en arrière. Une larme solitaire coula silencieusement en même temps sur la joue de James et Lily.
Une personne regardait la scène à l'insu des deux jeunes gens. Il attendit que James soit partit pour se manifester.
-Pourquoi ? Pourquoi Lily ?
-La jeune femme leva son regard triste vers la personne.
-Remus.
-Oui Lily. Il jeta sur le lit un livre ouvert où une page avait été arrachée.
-Qu'est-ce ?
-Tu le sais, c'est toi qui l'as arraché.
-Je ne vois pas se que tu veux dire.
-Si, je crois bien que si. Tu l'as arraché pour que personne ne découvre qui tu es réellement. Je connais ton secret Lily tout comme tu connais le mien.
-…
-Tu m'as dit il y a quelques semaines que je devais allait parler à Sophia pour ma condition de Loup garou…
-Je ne veux pas le blesser Remus.
-Je ne veux pas la blesser non plus. Mais je sais quand la rejetant je la fait souffrir deux fois plus et moi aussi je souffre. Tu m'as dit qu'elle me comprendrait et qu'elle m'accepterait parce qu'elle m'aime.
-Remus, toi tu es dangereux pour elle qu'une fois par mois et pendant la nuit, si elle apprend qui tu es elle sera se protéger, elle n'est pas bête. Mais moi je n'arrive pas à… me contrôler, je suis dangereuse tout le temps, à tout moment je pourrais le blesser, et sa je ne peut pas l'admettre, il ne faut pas qu'il s'attache à moi, même s'il doit en souffrir.
-Ne dit pas n'importe quoi. Le loup qui est en moi est incontrôlable, mais j'ai sut le dompter, si je ne l'avais pas fait je serais devenu fou, il aurait fallu m'enfermer, même les jours où il n'y avait pas la pleine lune, tant au début j'étais colérique, par moment s'en raison je me mettait à tout casser. Lily, le don que tu as, peut être contrôlé totalement si tu le veux mais il faut t'entraîner. Je t'aiderais si tu veux.
-Mais…
-Il n'y a pas de mais qui tiennes Lily ! Je refuse que tu fasses souffrir mon meilleur ami, et je ne veux pas non plus que tu souffres inutilement. Alors demain dés que tu sors tu vas me faire le plaisir d'aller voir James et de l'inviter au bal et moi de mon côté je ferais la même chose avec Sophia et le soir de noël je lui avouerais tout. Promet le moi Lily. Promet le moi.
Un moment passa puis Lily accepta à contre cœur :
-Oui Remus je te le promets.
Sur ce, Remus prit Lily dans ses bras.
-Tu verras tout se passera bien.
Une fois Remus partit et Lily recouchée prête à retomber dans les bras de Morphée mais avec une certaine appréhension pour ce que lui réservait le lendemain, personne n'avait remarqué qu'Angèle était réveillé et qu'il avait tout entendue des scène qui c'étaient suivies. Certes, il n'avait pas très bien compris certains points comme le secret de sa mère, d'ailleurs il maudit silencieusement Remus de ne pas aller jusqu'au bout de ses phrases, mais il fut satisfait de savoir que tout pourrait s'arranger entre ses parents et il veillerait à se que tout se passe pour le mieux.
-Aller debout tout le monde…
-Oh, j'ai pas envie, pour quoi faut il qu'on soie déjà demain.
-Miss Evans dépêchée vous de vous lever sinon je reviens sur mes dires d'hier et je vous garde jusqu'à la fin des vacances.
Lily sembla peser le pour et le contre. D'un certain côté si elle restait là elle n'aurait pas à affronter James rien que dit penser une boule se formait dans son estomac et elle se sentait terriblement lâche.
-Lily vient tu as vraiment envie de rester dans cette prison blanche. Avisa Angèle sentant Lily réticente à l'idée de sortir.
-Monsieur Harper, je ne vous permets pas d'insulter mon infirmerie.
-Et son bourreau…
-Qu'avez-vous dit ?
-Non rien.
Dans la grande salle il ne restait plus qu'une seule table où élèves et professeurs étaient mélangés. Lily du s'asseoir en face de James, ce dernier l'ignorait superbement et arborait sa tête des mauvais jours où il valait mieux éviter de lui adresser la parole. Un silence de mort régnait du côté des Maraudeurs.
-Eh bien qu'elle ambiance ! C'est joyeux ! Fit Terry en s'attablant au côté de Sirius.
James la fusilla du regard et Sirius se pencha vers elle :
-Je t'expliquerais.
-Bien étant donné que tout le monde est arrivé, je vais pouvoir vous faire quelques petites précisions pour le bal qui aura lieu demain soir. Annonça le Directeur. Tout d'abord j'aimerais dire bienvenu parmi les vivants à nos deux malades qui nous ont fait une petite frayeur hier. Ensuite qu'il vous faudra à tous trouver une chanson qui retranscrit les sentiments que vous ressentez en ce moment et que vous voulez transmettre, c'est pour cela que les Within night seront conviés demain et se feront un plaisir de chanter vos chansons et les leurs. Une tenue de bal sera obligatoire c'est pour cela qu'une sortie à Préaulard est prévue à cet effet ainsi que pour vos achats divers à vos proches. Et une dernière chose, nous avons la chance cette année d'avoir autant de filles que de garçons, donc messieurs vous savez ce qui vous restes à faire, dit-il en faisant un clin d'œil aux concernés. C'est tout, je vous souhaite une excellente journée.
Silà le regard sombre sortit de table et s'enfonça dans les méandres du château. Harry ne put la suivre tout de suite étant retenu par Sirius qui lui donnait son opinion où il désapprouvait totalement l'idée de ressembler à un pingouin. Quand il se leva pour la suivre, il vit qu'il avait perdu sa trace.
Remus de son côté essaya de capter le regard de Lily, quand il réussit il lui fit un signe de tête pour dire que c'était le moment en confirmant les craintes de la rousse. Elle déglutit difficilement et suivi discrètement James lorsqu'à son tour lui aussi quitta la table.
James parcouru bon nombre de couloirs et d'escaliers avant de s'arrêter devant un pan de mur, Lily cachée derrière une armure l'observa. Il passa trois fois devant le même mur, une porte apparue, il l'ouvrit et disparu derrière celle-ci. Lily se dépêcha de sortir de sa cachette pour entrer à son tour avant que la porte ne se referme.
James était affalé dans un sofa, la tête en arrière, les yeux fermés. L'une de ses mains chercha à tâtons un objet sur la tablette à côté du sofa. Cet objet se révéla être un vase, qu'il balança de toutes ses forces dans le feu ronronnant. Lily sursauta, la mauvaise humeur de James était palpable. Celui-ci se prit la tête entre les mains.
La rousse s'approcha prudemment de James, elle déposa délicatement sa main dans son dos. Le jeune homme se leva d'un coup et fit face à Lily.
-Evans ? Qu'est-ce que tu fais là ? Comment tu as fait pour me trouver ?
Entendre son nom dans la bouche de James lui fit comme un coup de fouet.
-…Je… James, je suis désolé pour hier soir et…
-Non, c'est bon je ne veux pas de tes excuses ! Laisse moi tranquille !
Lily détourna tranquillement le sofa et se plaça devant lui. En un geste rapide, elle le fit retomber et le fixa sans siller.
-James, je suis venu pour te dire que je suis désolée de t'avoir repoussée hier. Je t'ai repoussée parce que j'avais peur de te blesser.
-De me blesser ? Comment pouvais-tu me blesser ? C'est en me repoussant que tu m'as blessé. Si tu m'as repoussé parce que tu ne m'aimes pas je comprendrais, mais ne me raconte pas d'histoire. Dit-il plus calmement.
-Je t'ai repoussé pour d'autre raison…
-Lesquels ?
-Je ne peux pas te le dire…
-J'en étais sur…
-Tu peux me laissé finir s'il te plait ?
-Vas y, je t'écoute.
-Bien, voilà, j'aimerais que tu m'accompagnes au bal, tu veux bien ?
-… Lily je ne sais pas si c'est un jeu mais la je ne sais plus trop quoi penser.
-Je te dirais mon secret demain soir, et les raisons qui m'ont incitée à te repousser. Mais s'il te plait soit mon cavalier, je le veux vraiment.
James ne sut quoi répondre.
-S'il te plait.
-D'accord.
Lily lui fit un large sourire et sortit précipitamment de la salle avant que James ne s'approche de trop près d'elle.
Harry partit à la recherche de Silà. Il hésita à rebrousser chemin pour aller prendre la carte du maraudeur restée dans son dortoir, quand une lueur dans l'obscurité attira son regard. Il prit au creux de sa main une perle semblable à un diamant ressemblant étrangement aux larmes de Fumsec. Il en vit d'autre le long du couloir. Elles menaient à un tableau sombre représentant un paysage pluvieux, la brume serpentait entre des pierres tombales au pied d'un grand arbre dépourvu de feuille et à l'aspect sinistre. Le tableau était resté entrouvert. Dans un grincement sonore il écarta la toile.
-Silà ?
Il se trouvait dans une chambre qui n'avait pas du être utilisée depuis un certain nombre d'année vu l'importante couche de poussière qui régnait sur les meubles et le sol, on aurait pu courir dans cette salle sans se faire entendre par qui que se soi.
Il y avait peu de lumière, il dut attendre que ses yeux se face petit à petit à l'obscurité pour voir que la jeune fille était au centre de la pièce le regard vide, une larme naquit dans ses yeux pour mourir dans son cou.
-Silà ?
L'interpellée se tourna vers son interlocuteur, elle était à des années lumière de là. Elle se dirigea vers le mur à gauche du lit. Harry s'approcha d'elle et vit par-dessus son épaule se qu'elle observait. Dans le mur était gravé des initiales : LP & TE, plus bah était représenté deux anneaux entrelacés puis en dessous : Forever.
-Silà ? Répéta Harry pour la troisième fois. Où sommes-nous ?
-Dans la chambre où se retrouvaient mes parents quand ils étaient ensembles à Poudlard.
-T'es parents était à Poudlard ? Mais je croyais que tu venais d'Amérique…
-Ma mère à déménager là-bas avant ma naissance.
-Mais t'es parents ne sont pas ici…
-Non ils étaient beaucoup plus vieux que les tiens.
-Tu ne parles jamais d'eux.
-Mon père est mort avant ma naissance… il s'est fait tué par Voldemort. Et ce très cher Voldi a tué ma mère… sa fera un an le 24 décembre. Oh Harry, je n'y arriverai jamais. Elle me manque tant.
Silà se réfugia dans les bras d'un Harry qui ne sut que faire.
-Allez viens ne restons pas là, on va prendre l'air. Ca te dit de m'accompagner à Préaulard ? Lança soudain Harry.
Silà lui répondit d'un simple hochement de tête positif.
-Marina ?
-Oui Draco ?
-Dis moi, hier tu m'as dit que tu avais envie de fraise, mais une femme enceinte n'a d'envie qu'au bout de plusieurs mois…
-Tu m'en veux ?
- Je ne sais pas. Non, bien sur que non.
-Merci, mais je n'ai pas pu y résisté, j'aime les hommes soumis…
-Quoi !
-Je rigole Draco. Tu sais j'apprécies beaucoup tout ce que tu fais pour moi mais tu sais je suis enceinte, pas en sucre.
-Tu trouves que je te couve de trop.
-Oui un peu, mais tu n'es pas non plus étouffant.
-Oui je penses aussi sinon je crois que tu me l'aurais fait comprendre bien avant.
-Je pense aussi.
-Bien, sur ce mademoiselle êtes-vous prête pour vous rendre à Préaulard avec votre chevalier servant.
-Mais oui monsieur.
-Regarde celle-ci Lily.
-Oh non Sophia tu veux que je fasse une crise cardiaque ! Moi vivante portant du rose c'est quand les poules auront des dents !
-Sa peut s'arranger ! Lança Terry sortant sa baguette de sa cape.
-Non ! Jamais je ne porterais cette couleur…
-Et pourquoi ? demanda Sophia.
-Parce qu'elle est trop eurk ! C'est indéfinissable. Mais prend la pour toi si tu veux.
-Euh non merci, je n'y tient pas vraiment…
-Alors pourquoi voulais-tu me l'infliger ?
-Juste pour voir la tête que tu allais tirer !
Pendant que les deux filles se tirèrent la langue, Terry cherchait avec acharnement LA robe qui irait pour le bal de noël. Celle-ci ensevelissait son petit ami sous une montagne de robes présélectionnées.
-Chérie tu es sur qu'il n'y en pas une là-dedans qui ira. Demanda une voix étouffée. Sirius marcha sur une manche d'une robe qu'il portait dans ses bras et s'étala de tout son long devant l'entrée de la boutique où ils se trouvaient, au moment où James et Remus entraient.
James l'enjamba et alla s'asseoir hilare suivie de près par l'autre maraudeur.
-Argh ! C'est la dernière fois que j'accompagne une fille faire du shopping.
Tous éclatèrent de rire.
-Oh allé bébé ! Ce n'est pas grave ! Le calma Terry en l'aidant à se relever.
Après beaucoup de sueur et de patience, les garçons purent enfin sortir de la boutique, chargés comme des mulets et les filles, ravies de leur trouvaille, à leur bras.
Harry et Silà buvaient une bière-au-beurre au trois balais leur achat n'ayant pris que quelques minutes. Ils se bénissaient pour avoir remontés le temps le jour d'une sortie à Préaulard et bénissaient également Dumbledor pour leur avoir donné, même s'il n'avait pas signé, une enveloppe contenant quelques gallions pour leur achat de noël. Silà faisaient la discussion parlant de tout et de rien. Tout en parlant, elle regardait sa bouteille à moitié vide qui tournoyait lentement entre ses doigts. Harry profitait de se geste pour la détailler comme il aimait le faire à chaque fois que la jeune fille se trouvait devant lui en cour ou face à lui dans la salle commune lorsqu'elle était trop occupé à réviser pour remarquer ses yeux posés sur elle. Elle lui faisait pensée à sa meilleure amie Hermione qui lui manquait terriblement tout comme Ron, il se demandait souvent s'ils pensaient à lui et qu'est-ce qu'ils pouvaient bien faire, s'ils étaient enfin ensemble ou s'ils préféraient s'engueuler les yeux fermés sur leurs sentiments… Silà était en même temps très différente d'eux, elle n'étudiait pas pour avoir la meilleure note mais pour surpasser tout le monde, et il avait comprit pourquoi quelques minutes auparavant lorsqu'ils se trouvaient dans la chambre de ses parents… Elle voulait être la meilleure pour la même chose que lui, pour pouvoir trouver et tuer Lord Voldemort.
-Angel tu m'écoutes ?
L'interpellé ne répondit pas. Silà inquiète déposa une main sur la sienne. Lorsque Harry s'en rendit compte son cœur alla se réfugier dans ses chaussettes battant à toute allure, une douce chaleur partit de sa main et vint s'installer au creux de son estomac. Sentant le feu lui monter aux joues il plongea dans son écharpe et balbutia :
-Désolé…
Il eut une violente envie de se gifler mais se contenta de boire une gorger de sa bouteille refrénant par la même occasion d'autre envie comme de reprendre sa main dans la sienne, de passer ses doigts dans ses cheveux soyeux ou encore de l'embrasser…
« -Qu'est-ce qui m'arrive !
-Rien !
-Comment ça rien ?
-C'est une réaction normale, tu es un mec c'est une fille et elle te plait…
-C'est une amie…
-Achètes toi des lunettes mon vieux…
-N'importe quoi…
-Si c'est n'importe quoi arrête de la dévorer des yeux à chaque fois que tes yeux se pose sur elle !
-Tait toi ! Et puis t'es qui d'abord ?
-C'est ta conscience qui te parle !
-Je deviens fou je me parle à moi-même… » (NDA : L'auteur vous demande de l'excuser pour se moment d'égarement…)
-Angel t'es sur que ça va ?
-Oui excuse moi j'étais plongé dans mes pensées…
-Draco ? Où vas-tu ?
-Je reviens j'ai une course à faire…
Sachant très bien que Marina avait deviné qu'il voulait s'éclipser pour lui acheter un cadeau de noël et sachant qu'elle allait protester car elle ne pouvait lui offrir un cadeau le lendemain, il partit avant qu'elle puisse émettre un son la laissant seule à une table d'un salon de thé.
Draco avait toujours la mauvaise habitude de se promener avec toujours beaucoup d'argent sur lui et il s'en félicita de ne pas avoir fait entorse à la règle le jour où il avait remonté le temps de 20 ans.
Il entra dans une bijouterie qui était tenu à son époque par une vieille femme bouffie et décrépie et toujours au dos courbé sous le poids de ses nombreux colliers, chaîne, bracelets et autre… Quand il fit sonné la cloche de la porte d'entrée ce fut une femme de milieu d'âge qui vint l'accueillir plus droite mais croulant tout de même sous ses bijoux. Draco l'avait toujours trouvé pathétique lui faisant étrangement penser à son ancien prof de divination. La vendeuse s'approcha de lui, un grand sourire d'hypocrite accroché aux lèvres. Il était bizarre de ne plus la voir se prosterner à ses pieds quand il se présenta devant elle cette fois-ci, il faut dire qu'il n'avait plus vraiment la même apparence.
-En quoi puis-je vous aider jeune homme ?
-Qu'avez-vous à me proposer ? Répondit l'intéressé.
-Que cherchez vous ?
-J'aimerais un bijoux assez rare, original et que personne d'autre n'a et n'aura jamais…
-Je pense que j'ai ce que vous cherchez, mais je doute fort que vous avez ce qu'il faut… Dit-elle d'un air hautain et le jaugeant de la tête au pied.
Draco sortit alors sa lourde bourse et la déposa sans cérémonie sur le comptoir.
-Vraiment ? Ajouta-t-il l'air narquois.
La vendeuse se contenta d'hausser un sourcil et disparu dans l'arrière boutique. Un instant plus tard elle réapparu un plateau de velours noir dans les mains qu'elle déposa devant son client avec une infinie délicatesse.
Draco observa les bijoux qui lui étaient présenté et s'intéressa tout particulièrement à un collier à la chaîne en or blanc torsadé et au pendentif qui représentait deux serpents en argent formant un cœur, leurs queues enlacées, l'un avait des yeux d'émeraude et l'autre de Saphir, le milieu était rempli par une sorte de ciel étoilé miniature.
-Celui-ci. Je le prends.
-Bien je suppose que je vous fais un papier cadeau…
-Bien évidement.
Draco retourna à l'endroit où il avait laissé sa dulcinée. Il se mit soudainement à courir en entendant en hurlement déchirant venant du salon de thé. La tenancière de l'endroit sortit en courant et en hurlant toute l'air de ses poumons.
Sans poser de question il s'engouffra dans la place…
-Lâchez moi !
-Non, je ne crois pas que je vais t'accorder cette faveur ! Tu vois Weasley tu n'aurais jamais du te mettre en travers de ma route ! Je t'avais dit de rester tranquille, de rester dans ton coin, mais il a fallut que tu t'approches et que tu souilles des personnes qui sont convoité par le maître…Rogue pour ses talents en potion, Narcissa qui est ma futur femme et… oui, ton petit ami, j'en ai parlé au maître il est très intéresser par ses pouvoirs, mais te fait pas d'illusion s'il refuse la main que lui tend le maître il mourra…
-Non !
-Si ! AHAHAHAHAHAHAHAHAH (NDA : rire de malade mental !) Mais ne t'inquiète pastu ne le verras pas mourir puisque tu as signé ton arrêt de mort !
-Lâche-la ! Cria Draco qui était rentré en trombe.
Lucius vola une nouvelle fois contre le mur le plus proche.
-Intéressant. Lança le plus grand des mangemorts présent. Le maître sera très content. Viens mon garçon, le maître sera s'occupé de toi, tu lui seras utile en tout cas mieux qu'avec cette traînée.
-Ne la traitée pas comme ça ! Laissez nous tranquille ! Jamais je ne vous suivrais, vous m'entendez ? Jamais !
-Tu en es sur ? Tu ne t'imagines pas tous les bénéfices qu'il peut y avoir à ses côtés. Tu seras plus fort et plus puissant et tu serviras une noble cause…
-Jamais vous m'entendez ! Jamais je rejoindrai vos rangs…
-Dans ce cas…
-Qu'est-ce qu'on fait ? Demanda un autre mangemort.
-On fait se qu'à dit notre maître ! S'il ne veut pas nous suivre il devra mourir ! Il pourrait devenir trop dangereux ou se dresser contre nos plans !
5 mangemorts étaient présent et ils se resserraient lentement autour de Draco prit au piège entre eux et le mur.
« Je suis foutu ! »
Le plus grand des mangemorts, celui qui c'était adressé à lui leva sa baguette, ses yeux fous et un sourire carnassier accroché aux lèvres, il lança :
-Avada Kedavra !
Appuyé de toutes son poids contre le mur, dans l'espoir d'y disparaître Draco attendait que le sort mortel le touche, il regarda Marina dans ses yeux terrifiés et horrifiés, il voulait avoir comme dernier souvenir le visage de sa bien aimée.
Le jet de lumière verte jaillit à l'extrémité de la baguette de l'assassin et se dirigea droit vers le cœur du Dragon.
Draco regarda à présent la mort en face, le sort le toucha l'écrasant violementcontre son mur qui l'avait retenu prisonnier. Il ne cria pas, une brûlure lancinante se faisait ressentir tout près de son cœur, il le cru explosé, la douleur se propagea à travers tout son corps l'aveuglant sous son intensité, il se sentit tombé puis touché le sol et se fut la dernière chose qu'il ressentit.
-NON !
-Rien ne sert de crier ma belle ça ne le ramènera pas. Et puis réjouis toi tu va le rejoindre dans quelques secondes…
Marina aveuglée par les larmes, tomba à genou. Elle ne se débattit même pas quand le mangemort la souleva et la plaqua au mur pour mieux observer sa proie, elle le regarda droit dans les yeux et attendit sans crainte le moment fatidique.
Un battement, une respiration lente, des yeux aux orbites complètement noires, un homme se lève tel un spectre un Saphir au creux de la paume tendu devant lui.
-Lâchez la !
Etrangement le mangemort obéit, ses membres restant crispés, il essaya de reprendre le contrôle de ses mouvement mais du s'incliner devant cette force supérieure.
Ces compagnons firent quelques pas en arrière terrifié par ce qu'ils voyaient.
-C'est impossible ! Tu devrais être mort ! S'écria l'assassin de Draco.
Draco fit des mouvements compliqués avec sa main détenant le saphir se qui eut pour effet d'envoyer le mangemort valdinguer contre une fenêtre qui céda sous son poids, il ne se releva pas.
-Si c'est possible voit par toi-même. Murmura le jeune homme.
Les autres mangemorts ne demandèrent pas leurs restes et transplanèrent sur le champ.
-Draco. Souffla Marina.
Ce dernier la regarda, lui fit un faible sourire et s'effondra inconscient sur le sol.
-Draco ! Marina se précipita à ses côtés et mit sa tête sur ses genoux. Alex s'il te plait ouvre les yeux, parle moi, dit quelque chose je t'en supplie !
Le jeune homme ouvrit faiblement les yeux.
-Je vais t'emmener à l'infirmerie…
-Non pitié pas l'infirmerie.
-Draco tu… tu viens de mourir et ressusciter je ne sais comment sous mes yeux…
-Pas l'infirmerie, je t'assure ça va… laisse moi juste récupérer un peu…
-Personne n'a jamais survécu à se sort tu es le premier tu…
-Non je t'assure. A mon époque sa commence a être monnaie courante de survivre à se sort. Laisse moi juste récupérer un peu s'il te plait.
Marina finit par accepter. Ils allèrent dans un coin plus tranquille car plusieurs professeurs commençaient à affluer vers le salon de thé alerté par la gérante, et ainsi évitèrent les questions gênantes.
Après le dîner de noël, le directeur fit disparaître les tables, laissant que quelques unes plus petites, pour pouvoir danser.
Les Within night étaient en place sur une estrade la où était habituellement la table professoral et attendaient patiemment que les élèves leur donne la chanson dédicacée.
Sirius, comme tout le monde s'attendait, sauta le premier sur les musiciens et leur donna un parchemin. Le chanteur principal haussa un sourcil.
-Je me demande se que nous a pondu Sirius. Chuchota Remus à James.
Comme pour lui répondre la musique se mit en route et les cavaliers invitèrent leurs cavalières respectives seul Lily et James ainsi que Remus et Sophia restèrent attablé sans un mot se contentant de regarder les autres danser.
-Cette chanson est pour toi mon ange. Chuchota Sirius à l'oreille de sa dulcinée.
(Ne déconne pas avec mes sentiments)
(Si je te ramène à la maison, je me demande si)
(Tu seras toujours amoureux de moi)
(Ne déconne pas avec mes sentiments)
(Si je te ramène à la maison, je me demande si)
(Tu seras toujours amoureux de moi)
(Tu sais que je suis à toi, tu m'as eu)
(Avec ton pistolet, tu m'as eu)
(Et je me trouve là, submerge par l'amour)
(Et rien ne peut m'arrêter)
(Tu ne peux pas m'arrêter parce qu'une fois que je suis lancé)
(Je peux pas faire demi tour, une fois que tu m'as dit Ok.)
(J'arrive, bébé, ne me fais pas attendre.)
(Mettons-nous au boulot.)
(Bébé, fais moi confiance)
(Quand j'ai envie de toi)
(Parce que je vais te faire du bien)
(Ce n'est pas seulement ton corps qui me branche)
(C'est aussi ton esprit)
(Je te trouve intéressante)
(Et je suis intéressé par le long terme)
(Allez!)
(Ne déconne pas avec mes sentiments)
(Si je te ramène à la maison, je me demande si)
(Tu seras toujours amoureux de moi)
(Ne déconne pas avec mes sentiments)
(Si je te ramène à la maison, je me demande si)
(Tu seras toujours amoureux de moi)
(J'étais à toi dés que tu m'as embrassé.)
(Mon amour pour toi n'est pas au conditionnel.)
(Je te veux toujours à mes côtés.)
(Je ferais Bobby et tu feras Whitney)
(Si tu fumes, je fumerais aussi)
(C'est dire à quel point je suis amoureux de toi)
(Telle folle, tel fou)
(Je suis fou amoureux, je suis follement dingue)
(Pourquoi manques-tu autant de confiance en toi)
(Quand tu es passionné et que tu l'aimes?)
(Tu dis toujours que je suis un coureur.)
(Tu penses que je vais me lever et te quitter)
(Pour une autre señorita)
(Tu oublies que j'ai besoin de toi)
(Tu dois être amnésique)
(C'est pour ça que tu ne me crois pas)
(Ne t'inquiète pas bébé)
(Tu sais que je suis comme un pantin entre tes mains)
(Ne t'inquiète pas bébé)
(Tu sais que je suis comme un pantin entre tes mains)
(Bébé, avec toi, je me sens)
(Je me sens vivre)
(Je n'aime pas seulement ton sex-appeal)
(Parce que tu es la fille que je cherchais.)
(Black eyed peas: Don't phunk with my heart)
A la fin de la chanson, McGonagall faillit faire une crise cardiaque et fusilla Sirius des yeux mais celui-ci était trop occupé à embrasser sa petite-amie pour remarquer quoique se soit.
-Vous n'avez pas aimé la chanson Mina, pour ma part je l'ai trouvée très intéressante. Fit Dumbledor ce qui finit d'achever McGonagall.
-J'espère quelle t'a plut ? Demanda Sirius à Terry.
-Je n'en attendais pas moins de toi… Merci Bébé.
Terry s'avança vers la scène et donna à son tour sa chanson pour répondre à celle de son amoureux.
(Lundi, j'attends…)
(Mardi, je commence à dépérir…)
(Et dés mercredi, je n'arrive plus à dormir)
(Enfin, le téléphone sonne j'entends ta voix)
(Et le brouillard se dissipe d'un coup)
(Parce que tu es venu me sauver)
(Je tombe… avec toi, je tombe si vite)
(J'ai du mal à reprendre mon souffle)
(J'espère que sa va durer)
(J'ai l'impression de pouvoir enfin poser ma tête sur quelque chose de solide)
(J'aime se sentiment)
(C'est comme si tu me connaissais mieux que je ne me connais moi-même)
(J'aime le fait que tu connaisses)
(Chaque morceau dont je suis faite)
(Je suis d'humeur changeante, je ne suis pas nette)
(Je m'énerve vite)
(Et je ne comprends pas comment tu peux supporter ça)
(Quand je suis en colère, tu m'écoutes)
(Quand tu es heureux, c'est ta mission)
(Je tombe… Parfois je tombe si vite)
(Ca y est, je touche le fond)
(Crash! Je n'ai que toi au monde.)
(Comment sais-tu tout se que je vais dire d'avance?)
(Est-ce que je suis si prévisible que ça?)
(En tout cas si tout est écrit sur mon visage,)
(J'espère que ça ne disparaîtra jamais.)
(Lundi, j'attends.)
(Mais dés mardi je disparaît dans tes bras)
(Et c'est là que je respire.)
(Ashlee Simpson: Pieces of me)
A la fin de la chanson, Terry et Sirius s'éclipsèrent et passèrent un moment inoubliable qui ne regarde qu'eux.
Angèle s'avança à son tour pour donner sa chanson et retourna au près de sa cavalière en évitant soigneusement de la regarder droit les yeux de peur que celle-ci comprenne que cette chanson lui était en partie dédiée :
(Pas de sommeil)
(Jusqu'à ce que j'ai trouvé la réponse)
(Je ne m'arrêterai pas)
(Avant d'avoir trouvé le remède à ce cancer)
(Parfois, j'ai l'impression de sombrer)
(Je suis tellement déconnecté)
(Dans un sens, je sais que je suis hanté pour qu'on veuille de moi)
(J'ai observé)
(J'ai attendu)
(Dans l'ombre que mon heure vienne)
(J'ai cherché)
(J'ai vécu des lendemains toute ma vie)
(On me dit que je dois apprendre à tuer)
(Pour pouvoir me sentir en sécurité)
(Mais je préfère encore me tuer plutôt)
(Que de devenir leur esclave.)
(Parfois, j'ai l'impression que je devrais partir)
(Et prendre des risques)
(Quelque part, je ne veux pas rester)
(Et attendre un miracle)
(J'ai observé)
(J'ai attendu)
(Dans l'ombre que mon heure vienne)
(J'ai cherché)
(J'ai vécu des lendemains toute ma vie)
(Ces derniers temps, je tourne en rond)
(J'observe, j'attends quelque chose.)
(Aime-moi, touche-moi, guéris-moi)
(Rends-moi heureux.)
(The Rasmus: In the shadows)
Harry ne vit pas Silà esquisser un sourire avant d'aller elle même donner sa chanson.
Adoptant la technique de Harry tout en développant un peu plus l'implicite, elle revint dans ses bras et posa sa tête sur son épaule. Le jeune homme ne sachant trop quoi faire, ce laissa guider :
(Je voulais que tu saches que j'aime ta façon de rire.)
(Je veux te préserver et faire disparaître ta douleur.)
(Comme tu fais disparaître la mienne.)
(Je veux te préserver et faire disparaître ta douleur.)
(Parce que je suis brisé quand je suis seule.)
(Et je ne me sens pas bien quand tu es loin)
(Elle est partie, je ne la sens plus…)
(Le pire est passé, à présent, et nous pouvons de nouveau respirer.)
(Je veux te préserver, tu fais disparaître ma douleur.)
(Il reste tant de chose à apprendre, et presque plus personne à combattre.)
(Je veux te préserver et faire disparaître ta douleur.)
(Parce que je suis brisée quand je suis ouverte.)
(Je n'ai plus l'impression d'être assez forte.)
(Parce que je suis brisée quand je suis seule.)
(Et je ne me sens pas bien quand tu es loin.)
(Parce que je suis brisé quand je suis seule.)
(Et je ne me sens pas bien quand tu es loin)
(Seether and Amy Lee : Broken)
La chanson terminer personne ne bougea James hésita à y aller mais Sophia fut plus rapide et la chanson commença:
(Est-ce que tu sais)
(Ce que je ressens pour toi ?)
(J'ai l'impression d'être invisible pour toi.)
(Comme si je n'existais pas.)
(Tu ne t'es pas rendu compte que je t'enlaçais passionnément ?)
(Pourquoi t'es-tu détournez de moi ?)
(Voilà ce que j'ai à dire)
(On m'a laisser là.)
(Je n'avais plus qu'à attendre dehors.)
(Je souriais avec le regard dans le vide)
(C'est là que je me suis dit :)
(Pourquoi est-ce que ça devrait me toucher ?)
(Tu n'étais pas là)
(Quand j'avais peur)
(J'étais seule)
(Il faut que tu m'écoutes.)
(Je commence à délirer)
(Je perds le contrôle)
(Et je suis seule dans ce trip.)
(Est-ce que je suis qu'une meuf de plus)
(Que tu as prise dans ta cour)
(Pour remplacer quelqu'un ?)
(Quand tes yeux tombent sur moi,)
(Est-ce que tu reconnais mon visage ?)
(Tu m'as aimée)
(Tu avais l'habitude de m'enlacer.)
(Mais je me trompais.)
(Tout n'était pas parfait.)
(Et je suis seule dans cette histoire.)
(Et on peut m'entendre pleurer)
(On peut m'entendre pleurer)
(M'entendre pleurer)
(On peut m'entendre pleurer)
(Ouvre les yeux)
(Ouvre-les bien grand.)
(Avril Lavigne : Losing Grip.)
Tout le long de la chanson Sophia avait fixé Remus les larmes roulant sur ses joues. Le loup était désemparé, le cœur brisé et le regard insistant de Lily n'arrangea rien. La rousse finit par lui donner un coup de pied discret sous la table pour le faire bougé. A son tour il donna sa chanson et se dirigea vers Sophia. Celle-ci voulut s'enfuir mais il la rattrapa, elle lui donna des coups avec ses poings sur son torse mais il la plaqua contre lui et lui murmura :
-Je suis désolé…
(Ca me dérange,)
(Ca me fait grincer)
(Et ça me tord dans tous les sens.)
(Je m'effondre en permanence)
(Et je suis retourné)
(Parce que j'ai envie maintenant)
(Je le veux maintenant)
(Donne-moi ton cœur et ton âme.)
(Et je vais me libérer de tout ça)
(C'est à ce moment-là qu'elle perdra le contrôle)
(Ca me tient prisonnier,)
(Ecoute-moi te dire la vérité)
(Ca me transforme)
(Et me force à lutter)
(Pour toi.)
(J'ai perpétuellement froid à l'intérieur)
(Et je rêve d'être vivant.)
(Je m'effondre en permanence)
(Et je suis retourné)
(Et je te veux maintenant.)
(Je te veux maintenant.)
(Mon cœur va imploser)
(Et je vais me libérer.)
(Je vais m'échapper.)
(Et aller vers toi)
(Muse : Hysteria)
-Il faut que je te parle Sophia, s'il te plait suis moi.
La jeune fille acquiesça et le suivit docilement.
James se leva cette fois et donna aussi sa chanson. Il revint vers Lily et lui demanda de danser avec lui se qu'elle accepta le cœur battant.
(Je ne suis pas quelqu'un de parfait.)
(Il y a bien des choses que je regrette)
(Mais je continue à apprendre.)
(Je n'ai jamais voulu te faire toutes ces choses.)
(Alors avant de partir, je voudrais)
(Que tu saches)
(Que j'ai trouvé une raison)
(De ne plus être la personne que j'étais)
(Une raison de repartir à zéro)
(Et cette raison c'est toi)
(Je regrette de t'avoir blessée)
(Et chaque jour, je dois vivre avec cette pensée.)
(Et toute la douleur que je t'ai infligée,)
(J'aimerais pouvoir l'effacer)
(Et être celui qui fait disparaître tes larmes)
(C'est pour ça que j'ai besoin de te dire que…)
(Je n'ai jamais voulu te faire toutes ces choses.)
(Alors avant de partir, je voudrais)
(Que tu saches)
(Que j'ai trouvé une raison)
(De ne plus être la personne que j'étais)
(Une raison de repartir à zéro)
(Et cette raison c'est toi)
(J'ai trouvé une raison de montrer)
(Un côté de moi que tu ne connaissais pas)
(Une raison de faire tout ce que je fais)
(Et, cette raison, c'est toi.)
(Hoobastank : The reason)
James ne tenta rien cette fois et regardais gravement la rousse. Son regard la gênait terriblement, consciente qu'il souffrait aussi car elle l'avait blesser à son tour… Elle alla donner sa chanson se qui l'arrangeait dans un sens.
(Comment arrives-tu à lire en moi comme dans un livre ouvert ?)
(Tu plonges en moi jusqu'au plus profond de mon être.)
(Mais au fond de mon être, je ne sens plus rien ; je suis sans âme.)
(Mon esprit dormait quelque part, dans un endroit glacé,)
(Jusqu'à ce que tu le trouves et le ramènes chez lui.)
(Réveille-moi)
(Réveille mon âme.)
(Je n'arrive pas à me réveiller)
(Réveille mon âme.)
(Sauve moi)
(Prononce mon nom et sauve moi des ténèbres)
(Réveille moi)
(Ordonne à mon sang de couler)
(Je n'arrive pas à me réveiller)
(Pour que je puisse me libérer)
(Sauve moi)
(Sauve moi de la misérable que je suis devenue)
(Maintenant que je sais ce qui me manque)
(Tu ne peux pas me laisser comme ça)
(Insuffle la vie en moi et fais moi exister)
(Fais moi naître)
(Sans tes caresses et ton amour, tout mon être est gelé)
(Mon chéri, tu représentes la seule vie que je connaisse dans ce monde de mort.)
(Pourquoi m'a-t-il fallu tant de temps pour réaliser cette évidence ?)
(J'étais dans l'obscurité ; pourtant tu étais juste devant moi)
(J'ai l'impression d'avoir dormi un siècle)
(Il faut que je redécouvre tout)
(Ne me laisse pas mourir ici, sans esprit, sans voix, sans âme.)
(La vie ne peut pas se limiter à ça.)
(Fais-moi naître.)
(Fais-moi naître)
(Je faisais fausse route toutes ces années.)
(C'est le vide à l'intérieur.)
(Fais-moi naître.)
(Evanescence: Bring me to life)
Lily ne s'était pas jointe à James pour cette danse, il était resté en plein milieu de la piste un sourire naissant sur ses lèvres. Il la rejoignit à la sortit de la grande salle.
Remus entraînait Sophia dans les méandres du château et la poussa à l'intérieur d'une salle vide.
-Qu'est-ce qu'il y a Remus ! Tu crois qu'avec une simple chanson je vais te pardonner de m'avoir laissé choir ! Moi je ne pense pas tu ma fais trop mal…
Remus tomba à ses pieds, dépité. Les yeux baissés, le cœur gros, il essaya de s'expliquer mais les mots moururent dans sa gorge.
Sophia le regardait mi-perplexe, mi-surprise.
-Je… suis tellement désolé… je ne voulais pas te faire souffrir… seulement te protéger…
-Me protéger ? De quoi ? Le coupa-t-elle.
-De… moi. Acheva-t-il.
-De toi ? Pourquoi tu es dangereux ? Railla-t-elle.
-Tu ne peux pas imaginer…
-…
Cette réplique l'avait complètement séchée. Inquiète, elle s'agenouilla face à lui.
-Dis moi Remus, dis moi pourquoi tu voulais me protéger de toi.
-Je, je n'y arrive pas… tu me fuirais, tu…
-Ne dis pas n'importe quoi !
Le silence s'installa entre eux.
Remus prit son courage à deux mains et planta son regard ambre dans celui de Sophia.
-Je suis un loup garou Sophia. Dit-il dans un souffle.
La jeune fille eut un temps d'arrêt et mouvement de recule. Le loup le prit mal, il se recula pour lui tourner le dos. Ils restèrent un bon moment assis par terre dans cette position. Remus, la tête baissée les larmes coulaient silencieusement sur ses joues pâles et venaient s'écraser sur son smoking. Il pensait avoir perdu à tout jamais la capacité d'aimer. Sophia, quant à elle réalisait peu à peu l'ampleur de ses gestes et leurs conséquences sur le loup…
« Remus est un loup garou… Et qu'est-ce que sa peut sa faire ? Je l'aime et je me fou qu'il en soit un où pas !... »
Elle s'avança doucement vers lui et lancera de ses bras le faisant sursauter, ses muscles se raidirent mais il ne se déroba pas. Il ne la repoussa pas non plus quand la jeune fille entreprit de l'embrasser tendrement dans le cou.
-A mon tour d'être désolée Remus, je regrette le geste que j'ai eut.
-…
-Remus, dit quelque chose. Je me fiche que tu sois un loup garou ! Je ne suis pas suicidaire je serais me protéger… Maintenant je vois pourquoi tu voulais m'éloigner de toi… mais tu aurais pu me le dire…
-Tu me pardonnes alors. Demanda-t-il en se tournant vers elle.
Pour toute réponse, elle se pencha sur lui et lui donna un tendre baiser qu'il approfondit. Tout en l'embrassant, Remus lui caressait le dos, ses doigts montaient et descendaient sur le tissu soyeux, la jeune femme fut parcourue de frisson. Ses doigts remontaient à présent vers ses épaules, son cou, pour redescendre vers le décolleté et effleura un sein puis l'autre, Sophia ne protesta pas et Remus continua à effleurer ses seins du bout des doigts, sa bouche descendait le long de son cou et jouait de la langue sur la peau sensible de la belle. Il releva la tête pour admirer sa dulcinée, celle-ci se laissait bercer par les caresses du loup les yeux à demi clos. Remus amplifia ses caresses massant lentement sa poitrine, il sentait les tétons de Sophia pointer sous l'emprise du désir. Son ventre se contracta quand elle sentit les doigts de Remus descendre encore, venant toucher son ventre plat et frôler son intimité, les frissons continuaient inlassablement de la parcourir. Elle ne put s'empêcher de réprimer un grognement de protestation quand Remus s'arrêta soudainement.
-Continu s'il te plait. Murmura-t-elle.
Remus sourit devant son plaisir et répondit :
-Pas ici, viens.
Il l'aida à se relever, l'entraîna vers le septième étage et la fit entrer dans la salle sur demande. Dans la pièce se trouvait une simple cheminée et un lit a baldaquin aux rideaux et aux draps de satin blanc.
Remus embrassait son cou, étant un point sensible de la jeune femme, ce qui eut pour effet de faire remonter le désir de celle-ci ainsi que le sien. Il resta dans son dos et fit lentement glisser la fermeture éclair de la robe, enleva une par une les bretelles de la robe qui chuta au sol. A présent, il embrassait ses épaules, Sophia se tourna vers lui et l'embrassa fougueusement, elle posa sa bouche brûlante sur la gorge du loup et fit courir ses lèvres sur les rivières de sang qui affluaient sous sa peau. Ses mains timides retirèrent la veste du jeune homme puis entreprirent de déboutonner la chemise qui au bout de quelques secondes valsa avec le nœud papillon sur la robe déchut. Il sentit sous ces baisers une douce chaleur se terrer au creux de ses reins faisant monter un peu plus son l'érection. Plus confiante, et emportée par son propre désir, Sophia s'occupa du pantalon qui mit moins de temps à tomber que le reste. Elle rendit chaque baiser plus torride, ses mains parcourant les cheveux de son amant qui ne pu réprimer des grognements de plaisir se serrant dans une étreinte passionnée.
Remus mit ses mains sous les fesses de Sophia pour la soulever de terre. Celle-ci enroula ses jambes autour de sa taille, le cœur battant la chamade pour les évènements qui se passeraient par la suite. Il l'emmena vers le lit, la fit basculer et s'allongea sur elle, caler entre ses cuisses. Il caressait langoureusement sa joue d'une main et l'autre la frôlait tout en descendant le long de son corps, s'arrêta au genou et remonta lentement, très lentement dessinant des arabesques sur ses cuisses en faisant des va et vient et s'arrêtant toujours au plus près de son sexe. Sophia prit sa pour une douce torture, appréhendant mais en même temps mourrant d'impatience pour aller plus loin. Trouvant la force dans son désir elle retourna la situation en chevauchant le jeune homme surpris par cette initiative et finit par sourire face à la perfidie de son amante à vouloir diriger le bal. Sophia s'amusa à le caresser avec ses seins partant de ses abdos et remonta jusqu'à sa bouche. Remus y enfouit sa tête les yeux assombris par le désire il se laissait aller. D'un air aguicheur elle regardait la bosse qui déformait son boxer. Elle y fit glisser un doigt sur toute la surface. Remus se cambra à en faire rompre ses os, la tête basculée en arrière il laissa échappé un râle. A sa réaction elle continua dans se sens et passa doucement ses ongles sur cette bosse qui gonflait en encore.
-Sophia…
Elle passa ses doigts sous l'élastique et enleva le dernier vêtement, libérant le membre gorgé de sang. Elle observa longuement ce bâton de chair dressé fièrement devant elle. Elle se passa une langue gourmande sur ses lèves…
-Sophia… murmura-t-il la voix emplie de désir.
Elle passa ses lèvres humides contre le sexe de son partenaire, puis sa langue qui alla titiller le gland rougi. Au bord de l'évanouissement, Remus fermait les yeux la tête toujours basculée, il n'en pouvait plus… le désir lui brûlait les entrailles, son sexe tendu lui faisait presque mal, il émit un grognement de protestation quand la bouche chaude et humide de Sophia se retira. Il se redressa vers elle, les yeux plus noirs que jamais. Elle fit un mouvement pour l'achever : elle se plaça sur lui à califourchon son sexe collé au sien mais séparé par le fin tissus de sa culotte. Remus perdu dans les affres du plaisir lui prit violement la bouche pour lui donner un baiser sauvage et passionné, pendant que ses mains parcouraient son dos cherchant les agrafes des son soutien-gorge qu'il trouva et enleva. Sentant l'excitation du jeune homme monter de plus en plus, elle arrêta son mouvement de hanche ne voulant pas que tout se finisse sur sa petite culotte. Elle se leva lentement les yeux de Remus posés sur elle lui brûlant la peau. La tête de celui-ci se trouvait à présent pratiquement entre ses jambes et suivait tout ses mouvements. Le dernier morceau de tissus gênant enlever elle saisit doucement le sexe de son partenaire pour le faire rentrer délicatement en elle. Un dernier baiser, son visage posé sur sa poitrine, les mains sur les hanches, il suivait le rythme imposé par sa belle qui montait et descendait au début lentement mais qui s'accélérait et allait de plus en plus fort à la douce mélodie que formait leur cœur battant à l'unisson et l'orgasme arriva en même temps pour les deux amants. Ils se couchèrent l'un à côté de l'autre, l'un dans les bras de l'autre, reprenant péniblement leur respiration saccadée. Sophia ne mit pas longtemps avant de s'endormir un sourire heureux sur ses lèvres. Remus rabattit les couvertures sur eux et s'adressa à la pièce silencieuse :
-Je t'aime Sophia Orlov.
Note de l'auteur (ou blabla de l'auteur!): (étant donné qu'on a plus le droit de faire les réponses aux reviews on trouve des moyens contournés pour les faire! lol)
Et ouais La P'tite Clo' on a plus le droit de mettre des chansons ni de répondre aux review (non non je vous jure que se n'est une réponse ça!J ) et donc comme tu as pu le constater j'ai mis la traduction des chansons et je doit dire que sa ma pas trop déplut et que ça aide beaucoup en anglais… donc voilà! Sinon je voulais te dire que sa fait longtemps que je n'ai pas été lire ta fic mais depuis bientôt 6 mois mon Internet bug et sa me soule de trop! Rien que pour poster mes chapitres c'est un parcoure assez épique! Mais je vais me rattraper t'inquiète pas! Bisous poussinette! Ladybird et bien non j'ai pas mis trop de temps pour traduire mes chansons (juste une demi-journée lol) et je suis désolé pour le chantage de la dernière fois! Je recommencerais plus je vous jure! (L'auteur croise les doigts dans son dos) Ah oui j'avais oublié que tu m'avais posée plein de question la dernière fois! Et bien je pense que certaine de tes questions ont été répondu dans ce chapitre et j'espère qu'il ta plut et continu de m'envoyer des reviews elles me font trop délirer et trop plaisir comme toutes les autres d'ailleurs. Bisous ma folle lol! Tyto27 coucou ma belle! Voila tu l'as enfin ton chapitre 11 t'es contente j'espère? Il t'a plut au moins? Même si se n'est que la moitié…J. Alors tu va être la combien tième review cette fois lol? Au fait, en passant, il faut que je te prête Vif-argent il est trop, trop, trop bien…! Gros petoux. Céline Je suis contente que tu trouves ma fic géniale! Mais l'auteur à un poil dans la main et des fois il faut attendre un peu trop longtemps pour avoir la suite mais bon je vais tentée d'y remédier! lol! Sinon, tout comte fait j'ai préférée mettre la traduction parce que certaine chanson ne sont pas très connue et d'ailleurs même moi certaine je ne les connaissais pas comme Ashlee Simpson… Donc voilà un gros merci à toi aussi et bisous. Mumy Coucou ma chérie! Tu sais quoi eh bah je me démerde pour réussir à aller sur le net et c'est pas une chose facile alors ne viens pas m'en gueuler! Na! et oui je n'ai plus internet encore une fois grrrrrrrrr! Alors tu la eut ta suite j'espère que tu es contente et qu'il ne t'a pas trop déçut! Gobiou ma chérie! Red-hair1990 Comme je l'ai dis aux autres et comme tu as put le constater j'ai bien mit les traductions! Je trouvais que c'était mieux pour comprendre les sentiments des persos et en plus sa vous évite d'aller les cherché vous-même… autrement, je fais le possible pour que mes dialogues entre perso soit un peu plus clair parce qu'il est vrai que des fois on a un peu de mal à identifier qui est qui. Sinon merci pour tes encouragements sa me fais plaisir! Bisous. Rebecca-Black merci pour tes encouragements sa me fait toujours plaisir! J'espère que la suite t'a plut! Bisous. Dragonise Je suis contente quelle te plaise ma fic! Apparemment ton merde a marché puisque j'ai eut beaucoup d'inspiration pour écrire la moitié de mon chapitre mdr! Merci, merci, merci, merci… lol! T'inquiète pas il va avoir de la bagarre dans ma fic! Pour l'instant se ne sont que de petite altercation. Bisous! Satya Je suis aussi contente pour toi que ma fic te plaise! Et je suis désolé d'avoir mit autant de temps pour poster mon chapitre! Bisous. Virg05 Merci pour tes encouragements et je suis contente que tu trouves ma fic «super extra mega giga géniale! lol! Bisous. Et merci aussi à ma Liquid dreams j'espère que tu as aimé ma suite...! Biou de ton grand frère Chris lol!
Bisous à tous!
Lily078.
: (étant donné qu'on a plus le droit de faire les réponses aux reviews on trouve des moyens contournés pour les faire! lol)