Bonjour à tous ! C'est parti pour la deuxième édition des RAR, attention mesdames et messieurs, ça va commencer…
Titou-Moony : Encore une fois, l'auteur tient à s'excuser du retard, c'est entièrement sa faute, elle n'avait qu'à prévoir ou alors passer moins de temps à Mimizan. Je m'en souviendrai la prochaine fois… Oo Merci de souhaiter bonne chance, mais la chance n'y est pour rien, c'est surtout du talent ! He he he… ta gueule. Merci beaucoup d'avoir reviewé ! Au prochain chapitre, j'espère !
Mystick : Je pense ne pas avoir tout saisi dans ta review. J'ai cherché dans le dictionnaire le mot bip (que tu as utilisé pour qualifier mes Diablesses), et j'ai seulement trouvé : 1) Signal sonore émis à intervalles réguliers. Veuillez laisser votre message après le bip sonore (sur un répondeur). 2) dispositif (d'alarme, d'alerte) émettant ce signal. Le bip du médecin de garde. Donc comme tu peux le voir, je ne vois pas en quoi les Diablesses peuvent être des " bip ". Je te prierais d'être plus précise la prochaine fois. Hin hin hin… Mais malgré cette petite incompréhension, l'auteur et moi sommes très heureux d'avoir reçu ta review. Serait-ce de l'ironie que tu ferais sur le mise enligne de ce chapitre ? Je suppose que oui. Salut !
Morri : Tu es si gentille avec mes Diablesses… " Elles sont diaboliques à souhait, elles sont malhonnêtes, se moquent du malheur des autres, elles sont un ego démesuré et ... elles détestent les Maraudeurs ! " Ce sont tes propos. Je suppose que si elles lisaient ceci, elle te remercieraient du fond du cœur. Tu as totalement raison, d'ailleurs, je te retourne ta question : comment ne pas aimer ces Diablesses ? Et comment ne pas aimer le duo Travers/Rosier ? Je me le demande aussi… mais… bref. En effet, tu as très bien compris : ça va se retourner contre elles. Faudrait être un peu con pour pas comprendre… Chut ! Imagine si quelqu'un n'a pas compris ! Il va penser que tu te moques de lui ! Je m'en fous, il pense ce qu'il veut. Quand je le dis, je le dis en toute sympathie et ce n'est pas de la moquerie mais plutôt une plaisanterie. Ah ok… Merci beaucoup d'être si fidèle ! Bisous !
3- Métamorphose
Nous retrouvons nos quatre diablesses deux heures après le cours de Divination. Si vous vous souvenez bien, Sirius Black, ce détestable Gryffondor de septième année, s'est fait prendre, non pas la main dans le sac, mais la baguette dans le sac. Non, parce que je veux bien avouer que Mira est une grande voleuse, qu'elle en éprouve beaucoup de plaisir, et qu'elle a beaucoup de facilité à voler des baguettes, mais c'est pas pour ça qu'elle volerait une main pour la mettre dans le sac à Black.
Donc nos quatre diablesses sont regroupées dans le hall d'entrée, où elles discutent en paix. Pour une fois, elles n'embêtent personne. Même pas les premières années de Poufsouffle. Tiens, regardez ! Voilà les Maraudeurs qui arrivent, et au complet cette fois-ci. Je vous laisse donc, pour que l'histoire se déroule normalement…
" Tiens ! Quand on parle du loup… " s'exclama Mira, en montrant d'un coup de tête Sirius Black, à la tête des quatre Maraudeurs, descendant les escaliers principaux.
" On en voit la queue, " termina Sam.
" Ce serait bien si on pouvait vraiment la voir, " ajouta Liv, un sourire carnassier sur le visage.
" Faudrait déjà qu'il en ait une, " répliqua Alex.
" Moi je suis persuadée qu'il est très bien équipé, " dit Sam.
" Oui mais son extravagance et son arrogance, c'est peut-être pour compenser quelque chose, " proposa Alex.
Mira, Sam et Liv rirent de bon cœur, ce qui étonna certaines personnes présentes. Comment ? Ces Serpentard savent donc rire ? Elles ont donc un cœur ?
" Vous ! " cria quelqu'un.
Les quatre filles se retournèrent vers la personne qui les avait appelées, et c'est sans surprise qu'elles virent James Potter approcher.
" Je sais très bien que c'est votre faute ! " dit-il en arrivant.
" Notre faute ? " s'étonna Liv. " Tu nous offenses là. "
" Arrête avec tes airs de sainte-nitouche, je sais très bien qu'hier soir, l'une de vous s'est débrouillé pour voler la baguette et la mettre dans le sac à Sirius. Je suis pas si bête. "
" Ca pour une nouvelle, c'est une nouvelle, " dit Alex, en regardant ses trois amies.
Potter renifla avec mépris, et regarda Sam.
" J'ai réfléchi et je sais très bien pourquoi vous faites ça. "
" Ouh là, et y a pas eu surchauffe des machines internes – s'il y a des machines internes ? "
Potter semblait près à sauter sur Sam, ce qui la rendait très joyeuse. Elle adorait voir des gens énervés au point d'en perdre la boule, surtout quand c'était sa faute.
" Vous êtes jalouses… " annonça Potter, avec une pointe de moquerie dans la voix.
Là, c'était Sam qui allait lui sauter dessus. Elles ? Jalouses ? Jalouses ?? Les Diablesses ? Jalouses de quoi alors ? De leur immaturité ? De leur débilité ? Ou pire : du fait qu'ils soient à Gryffondor ? Mira éclata de rire, Sam faillit s'étouffer, et Liv resta bouche bée, n'en croyant pas ses oreilles.
JALOUSES ?
" Vous ne supportez pas que la place de maître de Poudlard soit à nous ! " annonça Potter.
Non mais je vous jure, qu'est-ce qu'il peut être prétentieux celui-là ! Comment ose-t-il dire que mes diablesses, mes chères diablesses, sont jalouses de ces énergumènes ? Quelle arrogance ! " Maître de Poudlard " ? Non mais je rêve !
" Parce que vous croyez vraiment que vous êtes les maîtres de Poudlard ? " demanda Mira, sérieusement.
Potter ricana, ce qui eut le don d'énerver de plus en plus Sam.
" Côté popularité, oui, " répondit-il, " et si vous aviez été à Gryffondor, vous auriez été dans le même ca. Mais merci pour nous, vous n'êtes pas à Gryffondor. "
Alors là, Sam, n'en pouvait plus… Sa main, dans sa poche, serait fortement son paquet de cigarettes. Dans dix secondes, il ne resterait plus que des cendres tellement elle bouillait.
" Je te propose quelque chose, " dit alors Potter en s'avançant plus près vers Sam, " rendez-vous à minuit, sur la tour d'Astronomie, pour un duel de quatre contre quatre. Si vous gagnez, nous vous laissons le pouvoir sur tout Poudlard, autrement vous aurez notre place et nous n'essayerons pas de la reprendre. Si par contre vous perdez, c'est nous qui garderons ce pouvoir, et vous n'aurez plus jamais le droit de vous en prendre à nous. Il va sans dire que si vous perdez, vus devrez aller voir Dumbledore et lui expliquer comment la baguette s'est retrouvée dans le sac à Sirius. Qu'est-ce que t'en penses ? "
Samantha réfléchit un petit moment. Elle croisa les regards de ses amies, et la réponse se lut dans leurs yeux avides.
" C'est d'accord, " répondit-elle. " Ce soir minuit, pas une minute de retard sinon nous nous en allons, et je considèrerai que nous avons gagné le duel. "
Potter eut un petit rire, et tendit sa main. Sam la prit, et tenta de la broyer. Potter eut du mal à rester impassible à la douleur, mais il s'en tira sans trop passer pour une mauviette. Sam lui lança un regard mauvais, et lui ordonna " de sa casser le plus vite possible pour rejoindre sa cour de dindons. " Soit il n'entendit pas, ce qui était peu probable, soit il fit comme s'il n'avait pas entendu, ce qui était un tout petit peu plus probable, mais très légèrement en raison de son orgueil indicible.
Les quatre filles sortirent dans le parc. Elles n'avaient aucune envie d'aller en cours de Métamorphose. Cette vieille bique de McGonagall les détestait, et ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Ca tombait bien, puisque c'était réciproque.
Elles s'installèrent au même endroit que pendant la nuit dernière. Sam attrapa son paquet de cigarettes et en prit une, avec un ravissement presque palpable. Livie sortit une brosse de son sac et commença à se coiffer, tandis que Mira et Alex attrapaient un jeu d'échec version sorcier.
" Samie ? " demanda Livie, en continuant à coiffer ses cheveux blonds et bouclés.
" Ouais ? "
" Tu ne crois pas qu'on s'ennuiera quand les Maraudeurs ne seront plus là ? "
Sam réfléchit à la question. Elle n'avait pas pensé à cette partie de l'histoire pour le moment. Les Maraudeurs, bien qu'immatures, détestables, arrogants et antipathique (du point de vue des Diablesses), étaient quand même assez distrayants. Comment serait-ce quand ils ne seraient plus là ? Bonne question.
" Non, on ne s'ennuiera pas, " affirma Sam. " Imagine comment ce sera ! "
" Ben j'ai un peu de mal à imaginer. "
" Ben dis-toi que ce sera mieux. "
Enervée pour pas grand chose, Sam s'allongea, ferma les yeux, et se tut. Le bruit de la brosse sur les cheveux de Liv la stressait. Elle essaya de ne pas y faire attention. Mais ce bruit lui ramenait des souvenirs, qu'elle aurait voulu oublier. Des souvenirs lointains…
Je crois que j'ai oublié de vous expliquer quelque chose, à vous, lecteurs, quand je vous ai présenté Samantha. Elle a des secrets, des souvenirs qu'elle aimerait enfouir au plus profond d'elle, pour qu'il ne puisse plus l'embêter, mais elle n'y arrive pas. Elle ne veut pas se l'avouer, mais c'est peut-être de là que vient son désir de faire souffrir, sa joie à être ignoble, son envie de faire ce que personne n'accepte… C'est peut-être un désir de vengeance.
Je vais vous raconter, mais promettez-moi de ne pas dévoiler de secret à quiconque d'autre. Sam m'en voudrait à vie. Elle a dix-sept ans, elle est presque une femme, mais une partie de son âme est encore plongée dans l'enfance, comme un mort qui reste dans le monde réel car il y a quelque chose qu'il n'a pas accompli. Voyez-vous, il y a dix ans de ça, la petite Samantha Travers a découvert ce que souffrir voulait dire. Son père, un gros malade je vous dis, a osé la toucher ! Il l'a battue, comme il n'avait jamais battu personne auparavant. Je ne vais pas partir dans les détails, car, comme toujours, j'étais là, j'ai tout vu, et comme le narrateur que je suis, je n'ai fait que regarder, sans intervenir.
Maintenant, vous vous demandez sûrement pourquoi le bruit de la brosse à cheveux de Liv lui ramène de tels souvenirs. C'est simple… enfin, pour moi ça l'est, mais pas pour vous. Mr Travers a battu sa fille avec ses poing, sa baguette, mais aussi… avec une brosse à cheveux. C'était sûrement la première chose qu'il avait pu se mettre sous la main. C'est un objet si idiot, qui pourrait faire rire certains d'entre vous (le premier qui rit je l'assomme). C'est pour cette raison qu'une partie du dos de Sam est rempli de fines cicatrices, longues et blanches. Je vous les montrerai un jour, quand j'en aurai l'occasion. Juste le dos.
A onze heures et demi, les quatre Diablesses quittèrent leur dortoir. Elles passèrent par un passage qui les mena juste à côté de l'entrée vers la Tour d'Astronomie, la plus haute tour de Poudlard. Ainsi, elles ne risquèrent pas de se faire attraper par un quelconque professeur.
A onze heures moins le quart, elles arrivèrent au lieu de rendez-vous. Il n'y avait pas de Maraudeurs.
" A minuit, on se casse, " murmura Sam en allumant sa quatrième cigarette de la journée.
" Pas la peine, on est là, " répondit une voix.
Juste après la voix, les Maraudeurs arrivèrent, Sirius Black en tête. Sam entendit Mira murmurer : " Mais d'où ils sortent ? " Personne ne les avait vus arriver.
" C'est bien, " annonça Sam, " vous êtes en avance. "
" On fait ce duel, et on s'en va, j'ai un conseil de discipline à huit heures demain matin, " répondit Black.
" Tu as peur ? Ou t'es simplement stressé ? " demanda Mira, en souriant malicieusement.
" T'aimerais bien savoir, " murmura le Gryffondor.
" Allez, qu'on en finisse ! " dit Lupin.
Ses yeux choquèrent Sam. C'était comme si la lune était rentrée à l'intérieur. Elle éclairait toute la tour, mais surtout les yeux du Gryffondor. Si Sam avait dû trouver une qualité à Lupin, elle aurait dit qu'il avait de beaux yeux, comme elle aurait dit que Black avait une belle tête, Potter pareil, et Pettigrow le don de passer inaperçu. Lupin aussi a une belle tête, d'ailleurs, pensa-t-elle en le fixant. Elle rencontra les yeux du Gryffondor, qui lui lança un regard méprisant. Sam ricana, en pensant que ce garçon pensait peut-être qu'il était intimidant.
Sam se retourna, enleva sa cape, termina sa cigarette avant de lancer le mégot par-dessus les remparts de la tour. Ses trois amis posèrent aussi leurs capes, et les garçons les imitèrent. Sam se mit alors à regarder Sirius Black. Malgré le fait qu'il soit détestable, arrogant, et amoureux de lui-même, Sam ne pouvait nier qu'il avait vraiment la classe. Ses cheveux étaient longs et noirs, ses yeux de la même couleur. Il était grand et musclé. Physiquement, il était presque parfait.
James Potter était plus petit que Black et Lupin, mais très peu. Il avait les cheveux noirs, un peu moins longs que ceux de Black, et très en bataille. Pettigrow, lui, n'était pas très grand, et assez rondouillard. Ses cheveux étaient châtains, mais d'un châtain terne et triste. C'était le suiveur de la bande, d'après ce qu'elle avait pu voir, alors que Lupin était l'intellectuel et le 'sage', et les deux autres les leaders.
" Allez, on y va oui ou non ? " s'exclama Black.
Les quatre Diablesses s'avancèrent pour former une ligne, et, par reflex, les garçons firent la même chose : ils s'alignèrent en face des filles. Sam se retrouva an face de Lupin, Mira en face de Black, Liv en face de Pettigrow, et Alex en face de Potter. Ils sortirent tous leur baguette. Il y eut un moment de silence, et…
" C'est parti, " dirent-ils d'une même voix.
Les filles, amusées, se regardèrent. Ils avaient prononcé ces mots en même temps, de la même tonalité et…
Ouh là, ça sent pas bon là… Non c'est pas vous ! … Regardez le ciel !
La lune, qui avant éclairait toute la tour, n'éclairait plus que la ligne des garçons et la ligne des filles. Par un phénomène inexplicable, l'ombre de Sam rencontra celle de Lupin. Les deux ombres se détachèrent de leurs maîtres, et se mélangèrent pour former un disque noir, et irrégulier, sur le sol. Sam n'était pas inquiète, mais étonnée. Elle leva les yeux vers Lupin, qui semblait aussi abasourdi qu'elle. Au cri que poussa Liv, elle tourna la tête et vit qu'elle et Lupin n'étaient pas les seuls à subir cet étrange phénomène.
La tête de Sam se mit à tourner, de plus en plus vite. Sa vue devint floue, elle commença à avoir mal au ventre. Soudain, elle reçut comme un coup de poing dans l'estomac. Elle agita ses bras, dans le but de toucher celui qui avait osé la frapper mais elle battit seulement le vent.
Et puis…
…rien.
(N/A : Mwahahaha… c'est sadique, hein ?)
Un cri réveilla Samantha. Elle ne savait pas quelle heure il était. Elle s'étira dans son lit, et se leva lentement. Elle avait la vue floue.
" Qui c'est qu'a gueulé ? " demanda-t-elle, à moitié endormie.
Ce fut à elle de pousser un cri. Sa voix ! C'était pas sa voix ! Elle regarda devant elle, et vit Potter, Pettigrow, et Black, assis sur le lit à Liv, semblant abattu. Alors non seulement elle se retrouvait à muer sans aucune raison apparente (J'ai quand même pas pris un coup de froid, hein ? ?), mais il y avait dans son territoire trois Gryffondor, qui plus est les Maraudeurs, dans son dortoir !
" Qu'est-ce que vous foutez là, vous ? " hurla Sam, furieuse.
Euh… c'est pas un euphémisme là ? Le mot furieuse, je le trouve un tout petit peu… léger. Vous croyez pas ? Je veux bien avouer que vous êtes le narrateur habituel, donc plus ancien que moi ce qui vous donne le droit d'avoir l'air très pompeux quand vous parlez au passé, mais bon, vous auriez pu trouver mieux.
Samantha se sentait sur le point d'exploser…
S'il vous plait, je viens de vous adresser la parole !
… mais quand elle se rendit compte qu'aucun des invités non invités ne répondait, elle continua à hurler.
Eh ho ! On vous a pas appris la politesse ? Quand quelqu'un vous parle, on répond ! Ou alors on s'excuse de ne pas pouvoir répondre !
Je n'avais aucune envie d'adresser la parole à ce nouveau narrateur, alors je m'excusai de ne pas pouvoir lui répondre, même si le verbe pouvoir aurait plutôt dû se faire remplacer par le verbe vouloir.
Regardez-le avec ses règles de grammaire... Je rêve ! Vous avez vu ? Il parle au passé ! Quel personnage… professionnel ! Pwa !
Face à ces affronts et ces moqueries, je décidai de ne plus jamais adresser la parole à cette demi-portion de narrateur. Je tins alors à préciser à l'auteur qu'employer cette chose était pour moi une forte trahison. Je pensai qu'un narrateur aussi qualifié que moi suffisait, mais je me rendis compte que l'auteur n'était pas du même avis que moi.
Qui c'est qu'il traite de chose ? C'est moi que tu traites de chose ? Tu sais ce qu'elle te dit la chose ?
N/A : Et l'auteur, tu sais ce qu'elle dit l'auteur ? ? Maintenant vous vous la fermez et vous bossez !
… …
" Chut ! Tais-toi ! " chuchota précipitamment Pettigrow, en s'approchant de Sam.
" Qu'est-ce vous foutez là ?? " répéta-t-elle.
" C'est pas qui tu crois ! " s'exclama Black.
" Et c'est qui alors ? " hurla-t-elle. " Et où sont Mira, Liv et Alex ? "
" Devant toi, " dit Potter, très sérieusement.
Samantha se tut alors, certaine que c'était une très mauvaise plaisanterie. S'il y avait un moment où elle aurait voulu commettre un meurtre, c'était bien celui-là. Sur qui ? Je vous laisse deviner. Qu'est-ce qu'il foutent là, eux ?? Et elle se mit à rire, de plus en plus fort… elle partit dans un fou rire incontrôlable.
Pettigrow se leva, et attrapa un miroir dans la malle à Liv. Sam se calma sur le coup et s'apprêta à hurler " Touche pas à ça, toi ! " mais elle s'arrêta quand :
" Tiens, regarde ! " ordonna Pettigrow en tendant le miroir à Sam.
Sam ne se regarda pas aussitôt dans le miroir. Quelque chose était bizarre. Ce Pettigrow possédait beaucoup plus d'assurance que d'habitude et ne cessait de passer ses doigts derrière ses oreilles en poussant des soupirs exaspéré quand il voyait qu'il n'y avait aucun mèche à positionner. Potter était assis sur le lit et la regardait ave un regard impassible qui lui rappelait vaguement Alexandra, et Black avait sa main droite dans sa bouche et se rongeait les ongles. Elle n'avais jamais vu Black se ronger les ongles auparavant…
Sam se regarda dans le miroir, et ce qu'elle vit l'horrifia…
Elle avait le visage de Remus Lupin !
