Deux jours plus tard avait lieux le premier match de quiditch de l'année, Grifondor contre Serdaigle.
Comme vous pouvez vous y attendre, c'est Harry qui attrapa le vif d'or( N/A : Je ne vous ferai pas un commentaire détaillé du match car je n'ai aucune envie de faire de hors sujet dans cette histoire.
Cependant, à la grande surprise de tout le monde, Harry refusa d'atterrir. En effet, ce dernier enchanta le la petite balle ailée puis la laissa s'échapper de ses mains. Sous le regard de tout les élèves de Poudlard, la minuscule boule dorée s'envola très haut dans le ciel pour y inscrire les mots suivants : « Hermione, je t'aime ! Envole-toi avec moi ! »
Harry attendit que tout le monde ait bien lu le message et que tout les regards soient tournés vers Hermione pour voler jusqu'à elle.
Cette dernière était rouge pivoine et quand arriva à sa hauteur, elle le regarda avec de gros yeux ronds et dit (essaya de dire) :
« harry, heu…tu…je… »
« Allez monte poulette ! »
La principale intéressée pouffa et prit place sur le balais.
Harry alla atterrir loin du stade et ils furent tous les deux sur la terre ferme, il demanda :
« Alors, ça t'a plu cette fois ? »
« Oh Harry ! tu ne pouvais pas faire mieux, quoi que le allez poulette, ça faisait un peu macho… mais bon, j'imagine qu'on ne peut pas trop t'en demander, après tout tu reste un garçon… »
« Si tu le dis ! Alors c'est quoi la suite du plan ? »
« bah on fait semblant d'être ensemble… »
« Oui…c'est à dire ? »
« Heu, on peut déjà se donner la main en publique et s'appeler par des petits noms mignons…mais oublie poulette ! »
« Tu es sûre ? J'aime bien moi !
« Harry… »
C'est ainsi qu'ils se rendirent à la salle commune des Grifondor, ce donnant la main dès que quelqu'un était susceptible de les voir. Il furent accueillit par des applaudissements dont la cause variait entre la victoire de l'équipe et le nouveau couple qu'ils formaient.
« je savais que vous vous aimiez »dit Parvati
« Et oui on ne peut pax lutter contre ses sentiments, n'est ce pas mon lapin ? »Dit hermione.
« Tu as raison ma poul…ma chérie. Maintenant, j'aimerais bien aller me changer alors à tout à l'heure. »Répondit harry.
Avant qu'il ne parte Hermione lui déposa un baiser sur la joue, ce qui le décontenança légèrement. Apres tout ça ne faisait pas parti du plan.
Quand il arriva dans son dortoir, Ron l'attendait :
« Oh mais c'est notre don juan ! Tu peux me dire ce qu'il vous arrive à toi et Hermione ! »
« Ron, tu m'avais dit que tu ne ressentais plus rien pour elle…enfin depuis votre histoire cet été… »
« C'est vrai qu'on s'est aperçu qu'on n'avait rien à faire ensemble avec nos disputes et tout ça mais je croyais que tu me l'aurais dit que tu étais amoureux d'Hermione ! »
« Mais ça m'est tomber dessus tout à coup et puis c'est comme ça et il faut que tu t'y fasses ! »
Ron sortit de la chambre avec l'air très en colère.
Fallait-il que lui et Hermione le mette au courant ?
Le soir même Harry croisa sa pseudo petite copine dans le couloir entre l'escalier du dortoir des filles et celui des garçons.
« Hermione, il faut que je te parle de Ron ! »
« Qu'est qu'il lui arrive encore ? Il est jaloux c'est ça ? »
« non c'est pas ça, c'est juste que ça m'ennuie de lui mentir… »
« Ecoute Harry, il ne faut rien lui dire sinon il répétera ! Tu le connais ! c'est une vraie commère »
« mais c'est notre ami et… »
Il ne put finir sa phrase car il entendit des gloussements provenant de l'escalier des filles.
« C'est Lavande et Parvati ! »S'affola Hermione « vite, embrasse-moi ! »
« Quoi ! mais Hermione, c'est pas dans le pl… »
Mais cette dernière avait collé sa bouche à celle d'harry.
Il était stupéfié.
« Hou les amoureux ! » Gloussa une nouvelle fois une des deux glousseuses.
Comme par défi, hémione se colla un peu plus contre Harry et enroula ses bras autour de son cou ( le cou de Harry parce qu'enrouler ses bras autour de son propre cou ça donne un peu l'air bête.)
Harry quant à lui sortit brusquement de son coma et se rendit compte que cette situation n'était pas si désagréable. Il allait approfondir le baiser mais Hermione se décolla de lui et dit de la manière la plus naturelle et dégagé du monde :
« Bon, il faut que j'aille travailler moi… et pour ce qui est de Ron, ne lui dit rien, de toute façon, je pense que si on arrête ce demain soir, ils auront tous eus leur dose »
Puis elle partit laissant Harry encore une fois les bras ballant.
