Note de l'auteur : Je mets tout de suite le second chapitre en ligne parce que je déteste, lorsque je lis une fanfiction rester sur un premier chapitre... Enfin bref voilà la suite avec un peu de Drago Malefoy (vous inquitez pas il ne restera tout le temps aussi gamin !


Chapitre 2

Quelques mois plus tard.

Nadrelan s'était épanouie au collège. Elle était devenue plus sociable. Sauf avec les Serpentards. Elle n'avait pas vraiment d'amis dans sa maison. Elle croyait que son directeur de maison la prenait pour une folle, car il l'a fixait assez souvent. Elle détestait ça. De plus, il était très injuste avec ses amis. Dans la grande salle elle se retournait souvent pour parler avec Angelina Jonhson et Parvati Patil. C'était deux de ses amies côté Gryffondor. Elle aimait beaucoup Luna Lovegood qui lui rappelait une de ses amies lorsqu'elle était à Beaubaton. Un rouquin de chez les Gryffondor la faisait toujours rire. Il lui avait dit bonjour une fois, timidement. Depuis, dès qu'elle était dans les parages il ne cessait jamais de faire le pitre. Chez les Serpentard, elle était montrée du doigt. Car elle n'avait aucune haine contre les Gryffondor et elle respectait chaque personne. Mais les filles Serpentardes lui parlaient tout de même car elle attirait tous les garçons.

Elle sortit de la grande salle avec Parvati, elles étaient en grande discussion lorsque Malefoy et ses deux acolytes les arrêtèrent.

Tu n'a pas autre chose à faire Patil, comme te racheter une tête ? Fiche le camp !

Tu me dégoûte Malefoy, regarde toi avant de parler !

Nadrelan ne put rien dire, Parvati tourna les talons.

Qu'es-ce que tu veux Malefoy ?

Oh, juste te parler.

Il fit signe à Crabe et Goyle de rester sur place.

Viens par ici, on sera plus tranquille pour discuter.

C'est urgent ?

Oui assez, tu vois, depuis que je t'es vue je ne pense qu'a toi.

Merci, c'est flatteur, ironisa t'elle

Voilà, j'aimerai que tu deviennes ma petite amie.

Non mais tu rigoles !

Elle éclata de rire. Malefoy ne savait plus que faire. Il s'approcha très près d'elle, lui prit très vite la tête et l'embrassa. Mais cette fois-ci Nadrelan réagit à la vitesse de l'éclaire, elle le repoussa et le gifla puis tourna les talons. Malfoy resta sur place. Lorsqu'il revint vers ses amis, ceux-ci le regardait d'un air interrogateur. Bien sûr ils s'étaient vite aperçus de la grosse trace rouge sur la joue de Drago. Mais ils n'osaient poser aucune question.

Nadrelan était furieuse contre lui. Elle retrouva Parvati un peu plus loin avec Angelina. Elle leur raconta tout. Les deux amies s'esclaffèrent. Nadrelan ne pouvant trouver de réconfort décida d'aller dehors pour se calmer un peu.

Pendant ce temps là, Séverus Rogue sortit de la grande salle, il se dirigea vers son bureau lorsqu'il entendit des murmures. Il reconnut la voix de Malefoy. Il s'approcha tout doucement et se cacha derrière une statue.

Qu'elle fille stupide ! Moi je vous dis que dans un mois elle tombera dans mes bras. Je serais le seul à être gentil avec elle, car je vais retourner tous ses amis contre elle. Elle pensera que je suis le seul à l'aimer, et je l'aurais enfin.

Crabe et Goyle ricanèrent. Séverus n'en croyait pas ses oreilles, un élève de sa maison montait un plan contre une autre élève de la même maison. Depuis l'arrivée de miss Nadrelan, c'est le monde à l'envers ! Pensa t'il. La voix niaise de Goyle s'éleva :

Mais Drago, elle t'a mis une gifle, tu crois qu'elle va t'accepter lorsque tout le monde lui aura tourné le dos.

Séverus sourit, cela lui faisait penser à une autre fille qu'il avait connu il y a longtemps. Malefoy riposta aussitôt :

Tais-toi imbécile ! Ne le dites à personne vous m'entendez, à personne…

Séverus n'écoutait plus, il s'éloigna. Il passa devant une fenêtre et vit Nadrelan assise au pied d'un arbre. Une idée lui passa par la tête, ce serait un bon moyen pour enfin parler avec elle, se dit il. Il sortit, et se dirigea vers l'arbre ou était adossée la jeune fille. Elle était absorbée dans ses idées et n'entendit pas son professeur venir. Elle leva la tête lorsqu'elle entendit l'homme lui adresser la parole :

Vous allez attraper froid, lui lança t'il.

Ce sont mes affaires !

Ne me parlez pas sur ce ton ! Je ne fais que vous prévenir.

Désolée, vous prenez pour quelqu'un d'autre.

Allez rentrer, c'est bientôt le couvre feu.

Elle se leva et rentra dans son dortoir sans broncher. C'était un bon début pensa t'il, je ne me suis pas trop disputé avec elle, et même si je suis resté auprès d'elle que deux minutes.