C'est ma première fic, alors soyez, plus ou moins honnetes.

C'est un Pansy/Harry, couple plutôt rare que j'adore! Et puis, je pense que c'est un couple bien prometteur et il faut bien ecrire des fanfics sur!

Auteur: Ehlube

Genre: Drame, essentielement, aussi Romance, mais bon juste un tout petit peu.

Avertissements: Suicide et auto-mutilation. Sinon, je pense que tout le monde peut lire.

Aussi, pas besoin de tout redire, les personnages, les lieux, enfin, tout ce qui est bien, n'est pas à moi, mais à J.K.Rowling.

POV: PANSY PARKINSON

Je te regarde. Tu es beau, même trop. C'est pour ça que je me sent si mal quand j'observe les regards

pleins d'envies et de convoitise des autres filles. Elles sont belles aussi. Un peu plus jolies que moi

pour certaines, mais toutes plus belles que moi.

Je ne suis même pas ton amie. Un Gryffondor n'as jamais d'ami, niveau Serpentard, mais je me

vante moi-même d'avoir un minimum de ton temps, peut être peu, je sais, j'imagine bien que ce

n'est pas encore gagné pour l'attention.J'imagine aussi que tu n'apprecie pas toujours que je

t'insulte. Mais comme on dit qui aime bien chatie bien, et d'ailleurs, je n'y peut rien, Draco a bien

bonne influence.

De toutes façons, tu me hait deja, à quoi bon ne pas répondre à tes regards de coin, méchants et

cruels?

Tu as une nouvelle conquête, à propos. Cho Chang, cette fille.Je la hait. Je la hait encore plus que

toutes celles avec qui tu es sorti. Une chance, tu n'as fait que danser, avec l'autre gryffondor, alors

que c'était Draco qui m'avait invitée, cette année. C'etait l'un des seuls, est il besoin de préciser, je

dirais même, c'était le seul.

Je te regarde encore, tu as remarqué mon regard fugitif, mes yeux pleins de rêves et d'espoirs, mais

ça, tu ne le vois pas, et tu me lance une réplique froide et distante.

J'ai appris à lire sur tes lèvres. J'aime tes lèvres, elles me donnent envie. Je t'envies toujours tout.

Je n'en peut plus. Je sort de la Grande Salle et cours me cacher dans les toilettes.
J'aime les cabinets, je les connais par coeur.
Peut être à force d'y avoir pleuré?
Je n'en sais que trop rien.
Je sors mon cuter, J'aime ce cuter, sa lame, le doux filet de sang qui le recouvre et le son de mes

sanglots à chaque fois.
Je souris. Pour une fois, je ne vais pas pleurer.
Je lève ma manche. J'ai beaucoup de coupures, avec le temps.
Je passe mon doigt sur chacune, me rappele pourquoi.
Et voila le résultat, je pleure encore.
Et dans un exès de fureur, je me charcute encore l'avant-bras, encore, encore.
Les minces filets de sang deviennent plus abondants, comme mes larmes, mes lamentations.

Je sors des toilettes, je souris.
Toujours la même expression alors que mon coeur se déchire. Je me suis soulagée, c'est mieux que

rien.
Tu es là. Elle est là aussi, toujours à te suivre comme la chienne qu'elle est.Je me mort la lèvre

inferieure. C'est injuste.

J'hausse les épaules.
-Saint Potter, tout compte fait, tu as quitté ton habit de moine?
Je ne pleure plus, je ne savoure même pas ta mine déconfite, mais juste t'approcher me fait du bien, même si tu me hais pour ça.
Mais qu'aurais je dis sinon, tu m'aurais haïs de toutes façons, et en plus, si je t'avoue quoi que ce soit, que je t'admire depuis nos 11ans, je ne pourrais même plus regarder tes prunelles émeraude, et ça, je n'en suporterais même pas la pensée.
Tu m'insulte comme d'habitude, elle te tiens la main. Elle essaie de te calmer.
La seule difference aujourd'hui, elle est là, près de toi. Moi je suis l'ennemie, celle à qui on réserve les insultes, celle qu'on déteste. Mais sait tu au moins, l'ettendue de tes mots?
Je ne suis plus là, je regrettes.
Je regrettes que mes mots aient dépassé mes pensées.Je regrettes de m'être emportée.
Je me déguoutte de moi même.
Je verifie l'heure. J'ai encore le temps.

Je ne vaut plus rien, à me charcuter le bras sans relâches.
Je suis lâche de ne pas t'affronter, d'affronter ton regard.
Je suis lâche de tout cacher encore.
S'il il y a une chose de bien dans cette vie, la mienne,
C'est toi, tu sais raviver ma flamme, l'éteindre aussi, mais n'empêche.

Même les elfes me sont plus sympathiques, avec le temps.
Je les pensait stupides, de s'auto-punir, pour leurs "Maître.
Là, je les comprends.
Toi, tu es bien mon Maître.
Je me mets dans mon bain, c'est le soir. L'eau est douce contre ma peau.
J'observe les contusions et les diverses blessures, le sourire aux lèvres.
Ce soir, je ne souffrirai plus.
Ce soir, j'en finis. Je t'aime, Harry, aussi Saint soit tu.

Mon poignet me brûle, le sang en afflue. Je souris toujours, plus rien ne m'atteint.
L'eau du bain est rouge maintenant.
Les élèves n'arrivent qu'après dîner.
Il me reste une demi-heure, si l'une de mes "amies" daigne remarquer ma disparition, ce qui est moins sûr.
J'ai pus écrire sur le mur, avant que je ne sois trop faible, "Je t'aime, je suis désolée"
Je n'ai plus de force, le sang commence à couler par terre, il va sous la porte.
C'est la dernière image que je vois, ma tête plonge dans le bain de sang.
Je regrette,
De n'avoir pas sus écrire ton prénom mais,
Je ne souffre plus, je suis libre.