Ohayo !
Zelda-sama : Ah ! Gomené ! Je n'avais pas vraiment pris conscience que mes fics étaient si tristes –mais en y réfléchissant bien, je ne vais pas vraiment dans la gaieté xD- c'est surtout parce que j'essaie de rester dans l'esprit du manga, et que c'est de cette manière que je le perçois ! Je suis quand même contente que cela t'ai plus, et pour ce qui concerne la suite, la voilà. Bien que ça n'en soit pas vraiment une, vu qu'il s'agit d'O.S…
Mariannedu30 : Merci pour les rewiews Yukichi est aussi l'un de mes couples fards, j'aime beaucoup écrire sur eux. Quand aux Akkiguré, j'adore écrire à leurs sujets, je trouve qu'ils ont un comportement très intéressant à étudier …
Bon, voilà, je l'avais dis, je reprends encore une fois Rin et Haru ! -'Ai pas pu m'en empêcher xP- Ce One-shot est en fait ma vision personnelle de leur « futur », ce n'est donc pas vraiment un spoiler en soi, vu qu'il est très peu probable que Natsuki Takaya en vienne à ce genre de « destin ».
Miharu qui vérifie ses fiches –Hum, hum… alors, euh… personnages pas à mwa… Fruits Basket pas à mwa… ah ! histoire à mwa ! Mouais… si peu… XD !
Catégorie : One-shot
Personnages : Rin x Haru
Rating : Je la met en T cette fois, il n'y pas vraiment d'éléments explicites –quoique- mais bon…
Vous m'excuserez d'avance, il risque d'y avoir des fautes d'orthographes, je n'ai pas encore remis ce O.s à ma bêta !
.-.Cherry'Miharu.-.
Contemplations
Quelque part, au sein d'une petite maison, une jeune fille s'éveillait prématurément, les rayons matinaux du soleil qui jouaient sur sa peau blanche y étant pour beaucoup.
Quelle heure était-il ?
Elle n'en savait absolument rien. Et de toute manière, ce n'était pas sa préoccupation première. Ce qui l'intéressait surtout à cet instant précis, c'était le corps –parfais soit dit-en passant- qui s'offrait à elle. Pour une fois qu'elle se réveillait plus tôt que lui, elle se devait d'en profiter.
Elle se redressa, maintenant le drap du lit au niveau de sa poitrine dénudée, sujette à une soudaine pudeur matinale.
La peur qu'il soit tiré de son sommeil -si léthargique soit-il- et ne la découvre ainsi ?
Peut-être.
Toujours est-il, qu'encore bercé par les songes, le jeune homme qui se trouvait à ses côtés était très séduisant. Ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait ainsi, certes, mais la plupart du temps leur désir fusionnel les entraînait bien plus loin qu'à une simple contemplation de leurs corps respectifs. Elle l'aimait, oui, parce qu'il avait fait d'elle une femme, parce qu'il l'avait sortie, elle, de cette obscurité profonde dans laquelle elle avait sombrée ; mais elle l'aimait aussi pour son physique, pour ce visage qu'elle aimait si bien prétendre lui appartenir, pour ses petites mèches blanches qui constituée sa courte chevelure, délimitant une touffe de cheveux plus noire. Et il y avait son corps, ce corps, si agréable soit-il à regarder. L'étoffe blanchâtre, quelque peu déplacée par le précédent mouvement de la jeune fille au sein du meuble, s'arrêtait aux creux de ses reins.
Agréable.
Elle aimait cette partie, leurs chutes si bien dessinée, et le tatouage qu'il portait à ce niveau, un dessin tribal dont la jeune fille avait elle même choisit le motif.
Délicatement, et après avoir vérifié le sommeil du jeune homme, elle avança son index sur son torse et s'amusa à le faire glisser jusqu'à son nombril. Inconsciemment, ses lèvres s'étirèrent en un fin sourire et elle répéta son geste une seconde fois. Elle se devait de le reconnaître, elle aimait ce contact délicat entre cette petite parcelle de peau et l'extrémité de son doigt. Cela ressemblait à s'y méprendre à un chatouillement sensuel, et au fond, c'était peut-être bien ce qu'elle cherchait à faire. Le chatouiller. Parce qu'il n'était en aucun cas sensible, parce qu'elle savait qu'il aimait cela, et surtout, parce qu'il avait eu trop de fois l'occasion de la picoter agréablement, elle, parce qu'il appréciait son rire dans ces moments-là.
Son sourire s'élargit et elle entraîna sa main au niveau de son décolleté –bien que cette partie traçant le cou et les épaules d'un individu ne se nomme pas véritablement ainsi chez un homme- pour remonter doucement jusqu'à la pointe de son menton. Elle s'y arrêta et dégagea son index, reprenant appuie sur ses coudes, sa main gauche tenant toujours aussi fermement son vêtement de fortune.
Ses deux prunelles brunes, encore quelque peu fatiguées, se posèrent sur son visage. Visage qu'elle se mit à détailler traits par traits. Du coins de ses yeux encore clos, à sa bouche qu'elle avait tant de fois embrassé, aucun détail ne lui échappait, perchée ainsi au dessus de lui. Et elle aimait cela.
Véritablement.
C'est alors qu'elle sentit une main se poser sur sa propre hanche –la droite dans le cas présent- et comme elle ne s'y attendait pas, cela la fit sursauter.
Surprise.
Elle venait de se faire surprendre et après une courte réflexion, elle décida de ne pas tenir compte du préfixe, elle venait simplement de se faire « prendre ». Tel une enfant. Et tel une enfant encore, elle se mit à rougir violement.
Elle cessa immédiatement le geste –un temps soit peu affectif- qu'elle s'apprêtait à esquisser et se dégagea quelque peu du jeune homme.
Ce dernier, à son tour, sembla émerger. Lentement, sans trop se brusquer. Il se passa une main sur ses yeux qu'il conduisit ensuite jusqu'à la racine de ses cheveux, les décoiffant ainsi un peu plus, ces derniers étant encore ébouriffés, souvenir de la nuit passée. C'est alors qu'il sembla réaliser le geste précédemment effectué : son bras encadrant la taille fine de la jeune fille, rouge de gêne, présente à ses côtés. Il se redressa et vint encadrer le visage de sa partenaire de sa main libre.
-Mon corps te plait ? Demanda t-il d'une voix rauque, fraîchement réveillée.
-Je ne faisais que regarder. Plaida t-elle pour sa défense, le feu aux joues, détournant rapidement le regard.
-Avoues que ce n'est pas comme si tu n'en avais jamais eu l'occasion. Sourit le garçon dont le matin semblait le mettre d'humeur taquine.
La demoiselle, plus rouge que jamais –et dont la gêne frisait la colère- n'avait pas bougé d'un point, pressant violement le drap contre son corps. Bien sur qu'elle l'avait déjà vu -et même plus- ce corps, mais là, cela n'avait pas été pareil et il en était parfaitement conscient. Qu'il s'amuse ainsi, de cette manière avec elle, c'est ce qui l'a faisait s'énerver.
-Rin…
Elle tourna la tête par simple réflexe. Et une fois de plus, il s'imposa, apposant ses lèvres sur les siennes sans qu'elle ne le sente venir. Vraiment, cela commencer à l'agacer. Qu'il l'ait sentie ainsi au dessus de lui, alors qu'elle croyait l'observer sans qu'il en ait conscience, c'était ce moquer d'elle et elle appréciait moyennement. Très moyennement.
Mais évidemment, il savait se rattraper.
Comme toujours.
Il s'écarta doucement d'elle et d'un geste discret, fit glisser l'une de ses mèches noires derrière son oreille droite. Il s'avança pour murmurer au creux de cette dernière.
-Je t'aime.
Face à ces mots, ces paroles qu'il lui répétait souvent –et à bien y réfléchir, elle en venait à se demander si ce n'était pas là un moyen de lui faire accorder son pardon- elle ne put que sourire. Et à son tour, elle l'embrassa.
Chastement.
Parce qu'elle ne voulait pas aller plus loin.
Parce qu'elle acceptait ses excuses.
Elle quitta vite son visage, ses lèvres, et s'apprêtait à sortir du lit lorsqu'elle bascula en arrière, rattrapée à la dernière minute par une main enserrant son bras. Emettant un petit cri de surprise durant sa « chute », sa tête atterrit sur l'étoffe blanchâtre qui couvrait précédemment les genoux du jeune homme. Et bientôt son visage apparut au dessus du sien.
-Rin…
Il planta ses deux prunelles marron dans les siennes, un air anormalement sérieux inscrit sur son visage.
-Pourrais-je faire la même observation de ton corps ?
Aussitôt, la jeune fille bondit.
Et le silence s'ensuivit presque immédiatement. Silence durant lequel il la dévisagea attendant toujours une réponse de sa part, et au cours duquel elle sembla hésiter entre la gifle –peut-être inévitable dans le cas présent- et le regard assassin. Finalement, la réponse fut toute autre : elle éclata de rire. Si bien qu'il la regarda surprit et qu'elle en profita pour se lever –pour de bon cette fois- se précipitant déjà vers la salle de bain, laissant derrière elle un jeune homme pantois et surtout dénudé.
Et elle continua de rire, encore.
Que c'était agréable, de rire ainsi.
Nouant le linge autour de sa poitrine, elle se retourna afin de voir ce qu'il en était du garçon, resté coucher.
Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit le lit vide.
-Je n'ai toujours pas ma réponse. Susurra une voix derrière elle.
Elle sursauta une nouvelle fois et sentit une étreinte se prolonger, les mains du jeune homme glissant le long de son dos.
-Haru… Murmura Rin en inclinant la tête sous l'effet que lui procuraient ces caresses.
-Hum…
-Il faudrait peut-être que je prenne ma douche, tu ne crois pas ?
-Hum, pas avant que tu ne m'ais répondu.
Rin soupira et se dégagea à contre cœur de cette chaleur qu'il lui offrait. Elle profita des quelques secondes d'incompréhension qui suivirent pour se glisser dans la salle d'eau, la porte qui l'ouvrait se trouvant juste à sa droite. Derrière celle-ci, elle ne manqua pas un petit rire, léger, frais. Elle l'avait quand même bien eu…
Il soupira à son tour. Que pouvait bien-il attendre de cette jeune femme, autrefois dominée par l'esprit d'un des animaux les plus tenaces : le cheval. Et puis… il finirait bien par l'avoir. Avec le temps.
Alors qu'il rejoignait leur chambre, quelque chose d'épais et de lourd l'atteignit.
Le drap de Rin.
Elle avait finit par l'enlever.
Et à présent, il couvrait sa tête. Ce qui l'empêcha de voir le visage –amusé- de la jeune fille disparaître le plus rapidement possible de l'encadrement de la porte, entrouverte pour l'occasion. Il se saisit du tissu et retomba sur le matelas, non s'en s'être enroulé dedans, mais garda le linge au niveau de son visage, l'enfouissant dans l'étoffe pour mieux y respirer l'odeur –si particulière- de la jeune fille.
Il entendit l'eau couler et eut soudain un sourire, ravis.
…
Il faudrait bien que Rin s'habile, non ?
Cette fois, ce serait de ses bras, Haru s'en faisait la promesse…
Un avis ?
Faite le moi savoir ça m'intéresse ! -un auteur aime savoir ce que les lecteurs pensent de ses fics, que cela soit bon ou mauvais –dans le pire des cas, ça aide à s'améliorer !- je n'échappe pas à la règle !-
