Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :

Disclaimer: Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.

Résumé du chapitre précédent: Harry occupe son été par l'étude principale de l'occlumancie mais aussi de la magie noire donné par Voldemort. Il apprend par Dobby, l'elfe de maison de Draco, qu'un basilic lui en veut à Poudlard, et qu'un journal magique de Tom Jedusort est introduit par Poudlard. Quand il va en compagnie de Draco et son père au libraire, Lucius Malefoy profite d'une bagarre pour glisser le journal dans un livre de la jeune sœur de Weasley. Shon lui propose à la fin de ses vacances d'apprendre les arts martiaux par un maître japonais mais il lui faut l'accord du directeur de sa pension car cela pourrait duré six mois. Après une rentrée obligé à Poudlard par le Magicobus, il arrive en avance à Poudlard et Dumbledore le questionne.

Chapitre 2 : Gilderoy Lockhart :

Harry s'arrêta après avoir expliqué ses mésaventures à Dumbledore, il aborda le sujet qu'il affectionnait le plus. Il lui expliqua donc ses cours de judo, sa facilité et la proposition de Shon pour partir dans un temple sur le Fuji-Yama. Il regarda avec attention le visage du directeur réfléchir. Après un temps de réflexion assez long, il lui répondit :

- Il me faudrait son nom pour savoir de qui il s'agit, le Japon vient de ressortir d'une guerre contre un mage noire assez virulent. Il me faudrait le nom de ce maître japonais, et j'irais voir par moi-même comment on peut s'arranger.

- Merci monsieur, j'irais lui demander au prochaine vacance le nom de son maître, et j'espère que vous accepterez, je me demande aussi comment Weasley va s'en sortir… Rogue entra au pas de course dans la salle, il le salua d'un signe de tête et lui montra une page d'un journal. Dumbledore lui donna des consignes à suivre et ce dernier s'en alla.

- Apparemment, reprit Dumbledore, votre camarade à choisi la voie des airs pour débuter sa seconde année à Poudlard. Une voiture volante a été aperçue plusieurs fois, et toujours en direction de l'école. Au fait, je te présente la nouvelle concierge que tu connais je crois, dit-il en montrant de la main une vieille femme entrer avec un chat dans les bras. Son préféré, Mistigri.

- Mrs Figg ! s'exclama Harry. Il s'était bien foutu de lui, pensa Harry. Dumbledore lui avait collé une sorcière dans les pattes pour le surveillait et bien pouvoir le contrôler. Harry hurla intérieurement de rage. Vous êtes une sorcière ? demanda Harry pour la forme.

- Non, je suis ce qu'on appelle une cracmol, répondit la vieille femme.

Les autres professeurs commencèrent à affluer sauf McGonagall et Rogue. Sous les regards intrigués, il se leva et alla s'asseoir à la table vide de Serpentard, cela faisait bizarre de voir la grande salle si vide et si silencieuse. Les élèves commencèrent à affluer et à remplir la grande salle. Draco arriva, entouré de Goyle et Crabbe. Dès qu'il le vit, il se jeta sur lui et demanda des explications. Il raconta donc ses fabuleuses aventures à presque toute la table avant d'être enfin tranquille. Il ferma les yeux et vida son esprit. Il se sentait déjà mieux. Il n'écouta pas le discours du directeur, il se ressemblait tous de toute façon, à quoi bon s'en occuper. La bouche du choixpeau s'ouvrit et il chanta :

Bonjour Messieurs les professeurs

Salutation Monsieur le directeur

Bienvenue aux premières années

La répartition peut commencé.

Je me présente, je suis le choixpeau

Et de moi vous saurez la maison

Qui vous accueilleront

Je ne suis pas un simple chapeau.

Gryffondor le brave

Gryffondor le courageux

Gryffondor le hargneux

Si vous l'êtes, voici votre maison,

Gryffondor ! Je m'exclame.

Serpentard le rusé

Serpentard le sournois

Serpentard le bourgeois

Si vous l'êtes, voici votre maison,

Serpentard ! Je dirais.

Serdaigle l'intelligente

Serdaigle l'érudite

Serdaigle la sympathique

Si vous l'êtes, voici votre maison,

Serdaigle ! Je m'exclame.

Poufsouffle pour la loyauté

Poufsouffle pour la justice

Poufsouffle pour travailler

Si vous l'êtes, voici votre maison,

Poufsouffle ! Je dirais.

Toute la grande salle se mit à applaudir la performance du choixpeau, qui avait fait une chanson un peu bizarre mais bon, se dit Harry, la vieillesse commençait à le toucher peut-être. McGonagall, ouvrit son parchemin et épela les nouveaux élèves comme Crivey qui alla à Gryffondor ou Hayden Park à Serpentard. Léa Zwillinger(1) alla à Serdaigle tandis que sa jumelle Maria, fut envoyée à Serpentard. Elle s'assit à côté d'elle et écouta la suite du discours de Dumbledore.

- Fais chier le vieux, il a pas bientôt finit, grogna Harry. J'ai la dalle moi. Draco pouffa de rire et la fille à côté le regarda avec de grands yeux verts, comme les siens bizarrement.

- Tes yeux sont très jolis, dit-il à la jeune fille.

- Remarque narcissique, s'exclama Draco, il a les mêmes yeux que toi. La jeune fille éclata de rire.

- La blondinette, là-bas, c'est Draco Malefoy, les deux gardes du corps, Crabbe et Goyle. Et moi je suis…

- Harry Potter, continua-t-elle, j'ai vu ta cicatrice.

- C'est cool Harry, tu n'as même plus besoin de te présenter, tout le monde te connaît.

- Cela s'appelle être charismatique mon cher, tout le contraire de toi Draco. Ce dernier bouda et la fille se remit à rire. Ah ! Il a enfin fini. Harry prit le plat de frite et discuta avec Maria, qui était très sympa. D'après Draco, elle faisait partie d'une riche famille allemande. Après avoir finit sa tarte à la mélasse, Harry se tourna vers Draco.

- Au fait, je risque d'être absent pour le début de ma troisième année, je pars étudier les arts martiaux au japon.

- Tu as de la chance, je suis jamais aller au Japon, mon père trouve que ce pays n'est pas bon pour les poumons, je ne comprend pas pourquoi.

- Tout simplement parce que es moldus ont crée les voitures, comme celle du ministère mais ils ont besoin d'une matière assez nocive pour les poumons pour avancer. Il y' a aussi pas mal de monde sur une petite surface alors…

Troisième partie du discours de Dumbledore. Harry se lève enfin, accompagné de Draco, Pansy qui s'est accroché au bras du blond. Maria qui restait assez près de Harry, ne connaissant pas le château. Il y avait aussi l'équipe de Quidditch au complet même si il manquer un poursuiveur. Théodore Nott suivait un peu plus loin avec Moon et Millicent Bulstrode, qui, selon Pansy s'était entiché de ce looser. Encore plus loin se trouver les premières années dirigé par le préfet dont il ne savait plus le nom. Il donna le mot de passe au mur et s'en alla vers sa chambre pour se coucher aussitôt. Il avait une grande envie de dormir. Il dit auparavant au revoir à tout le monde avant de s'en aller.

Le lendemain, Harry se réveilla de bonne humeur et il ne savait pas pourquoi. Il était très tôt et personne n'était dans la salle commune. Harry sortit sa baguette et fit un peu de place au milieu de la salle commune. Il créa un mannequin qui ressemblait à lui-même. Ils se mirent en garde. Le mannequin l'attaqua, Harry bloqua son coup, prit son bras et le lui brisa nette. Il fit un saut, s'appuya sur ses épaules et se retrouva devant lui. Il lui souleva le bras gauche, et porta deux atémis sauvages dans ses côtes. Le mannequin sembla manquer d'air, d'écarlate, il devint cramoisi, battit l'air des deux bras et s'abattit comme une masse. Harry fit disparaître le tout et se retourna quand quelqu'un derrière lui se mit à applaudir, c'était Maria, qui était parfaitement habillé et coiffé.

- Je crois que je ne t'embêterais jamais, vu ce que t as fais à ce pauvre toi-même, dit-elle en souriant.

- Je n'utilise ceci que contre mes ennemis, répondit Harry, j'espère que tu seras plutôt mon ami.

- Si tu es d'accord, je veux bien qu'on soit ami, dit Maria, je pourrai te présenter ma jumelle, Léa. Tu verras, elle est assez bizarre comme fille mais elle a un fond sympa quand on sait dans quel sens la prendre.

Draco les rejoignirent et ils allèrent ensemble dans la grande salle où il n'y avait que Granger qui lisait son exemplaire de Voyages avec les vampires. Harry sortit sa baguette et d'un sort, referma le livre violemment devant son nez qui devint rouge. Elle sursauta et s'étala par terre, le pichet de jus de citrouille tomba sur elle. Harry éclata de rire, vite suivit de Draco et Maria. Ils s'assirent et commencèrent à manger quand presque tous les autres élèves arrivèrent au même moment. Le courrier arriva rapidement et Maria et Draco reçurent chacun un hiboux. Celui de Maria repartit ensuite vers la table des Serdaigles. Harry n'attendait rien et continua à manger. Il releva soudainement la tête à cause des murmures inquiets à la table des Gryffondors.

- Tiens, Weasley a reçu une beuglante. Ouvrez bien vos oreilles. Une petite explosion survint et une voix cria :

…VOLER LA VOITURE ! ÇA NE M'AURAIT PAS ÉTTONÉ QU'ILS TE RENVOIENT ! ATTEND UN PEU QUE JE T'AIE SOUS LA MAIN ! J'IMAGINE QUE TU NE T'ES PAS DEMANDÉ DANS QUEL ÉTAT D'INQUIÉTUDE ON ÉTAIT, TON PÈRE ET MOI QUAND ON A VU QUE LA VOITURE AVAIT DISPARU !...REÇU UNE LETTRE DE DUMBLEODRE HIER SOIR ! J'AI CRU QUE TON PÈRE ALLAIT MOURIR DE HONTE ! ON NE T'A PAS ÉLEVÉ PENDANT TOUTES CES ANNÉES POUR QUE TU TE CONDUISES COMME ÇA ! TU AURAIS PU TE TUER !... ABSOLUMENT INDIGNÉE ! TON PÈRE RISQUE UNE ENQUÊTE DU MINISTÈRE ! C'EST ENTIÈREMENT TA FAUTE ET SI JAMAIS TU REFAIS LA MOINDRE BÊTISE, TU REVIENS IMMÉDIATEMENT À LA MAISON.

Harry se mit à sourire, Weasley était vraiment un pauvre idiot, piquer la voiture de ses parents et la faire voler. Le pire, selon Rogue, c'est qu'il s'était écrasé contre le saule cogneur du parc qui avait une grande valeur. Il rangea sa baguette grâce à laquelle il avait pu enregistré la magnifiquement belle voix de Mrs Weasley. On ne sait jamais, cela pouvait toujours lui servir. Granger, qui était revenue entre temps refit la morale au pauvre Weasley qui n'avait rien demandé et dont ses oreilles commençaient à chauffer sérieusement.

Un autre point chiffonner Harry, la sœur de Weasley avait été placé à Gryffondor et étant Serpentard, il lui était impossible pour lui de récupérer le carnet, surtout que les filles avait leurs marches enchanté de telles façons que les garçons ne pouvaient pas monter les marches des filles. Il avait vérifié en envoyant Goyle chercher Pansy qui était pourtant juste à côté de lui. Il avait fait une belle chute. Harry soupira, il était impossible pour lui de récupérer le journal. Il devait attendre, comme tout le monde, pensa amèrement Harry.

Harry se leva et partit vers le parc où avait lieu le cour de botaniques avec oh surprise, les Gryffondors. Ils croisèrent Lockhart qui leur expliqua qu'il aidait Mrs Chourave à soigner e saule cogneur. La prof de botanique ne semblait pas du même avis, elle était de mauvaise humeur et était couvert de bandages. Elle grogna le numéro de la serre (numéro 3), ce qui sembla ravir à peu près tout le monde. Alors qu'il allait rentrer dans la serre, Lockart demanda si il pouvait emprunter Harry. Mrs Chourave, voyant un moyen de se débarrasser de ce gêneur laissa le pauvre Harry au griffes du professeur de DCFM. Il referma la porte et s'écria :

- Ah, Harry, Harry, Harry. Il fit étinceler ses dents blanches.

- Arrêtez, vous allez me faire attraper des coups de soleil si vous continuez. Harry était lui aussi de mauvaise humeur. L'homme en face de lui déglutissa.

- Quel humour…particulier Harry, non, si je t'ai dit de venir…

- Sans mon accord, coupa Harry.

- Sans ton accord, reprit Lockhart, c'est que je te trouve fascinant, malgré que tu m'a envoyé voltigé à travers Fleury et Bott, je ne t'en tient pas rigueur, mettons ça sur la crise d'ado. Il me soule, pensa Harry.

- On va mettre les points sur les « i », professeur, dit Harry de sa voix la plus froide et doucereuse possible. Il vit avec délectation le professeur frissonner. Primo, j'aimerais que vous arrêtiez de m'appeler Harry, d'élève à professeur, ça me dérange. Secondo, arrêtez de me faire sautez mon premier cour de l'année et de toujours me suivre. Trio, je ne suis pas une bête de foire comme vous alors arrêtez de vouloir m'exhiber comme un trophée. Et enfin quattro, ARRETEZ DE ME FAIRE CHIER, cria Harry. Le professeur sursauta. Comprendo , reprit-il d'une voix mortellement calme. Le professeur frissonna. Harry sourit. Vous avez peur, parfait.

Et Harry le planta là, rejoignant avec bonheur son cours de botanique déjà bien entamée. Nom de dieu que ça fait du bien, pensa Harry avant de s'excuser de son retard. Il demanda à Draco des infos sur le cours puis enfila son cache oreille. Il se craqua les doigts et empoigna une belle mandragore. Il prit un grand pot sous la table et y plongea la plante magique puis la recouvra de compost humide qui ne laissa plus apparaître que les feuilles. Il se lava les mains au lavabo proche puis regarda comment se débrouiller les autres. Il nota que Weasley failli se faire arracher un doigt tandis que Londubat tomber par terre, évanouit. Ensuite, Harry changea en métamorphose un scarabée en bouton du premier coup. La vieille chouette lui donna 5 points du bout des lèvres.

Il était juste derrière Granger, et quand le cours fut fini, Harry put remarquer que son emploi du temps était couvert de petit cœur à certains endroits. La bouche de Harry s'étira en un long sourire et dès qu'elle se leva, Harry lui chipa son emploi du temps et s'exclama tout haut.

- Tu ne savais pas que les relations entre professeurs et les élèves étaient interdites Granger. Je suis sût que mon grrraaannnd ami Lockhart serait ravi de savoir qu'il a une groupie. Il fit passer l'emploi du temps à Draco qui lui-même le donna aux autres Serpentard qui éclatèrent bien vite de rire.

- Rendez moi ça, cria Granger, rouge de honte.

- Mais tout de suite Granger, dit un élève de Serpentard, je touche pas aux affaires d'une salle sang de bourbe, moi. Il chiffonna l'emploi du temps et le lança sur Hermione.

- Tu es pathétique Granger, dit Harry d'une voix douce, toujours dans tes livres pour être première, et pourtant, c'est moi qui suis major dans toutes les matières. Je ne passe pas autant de toi dans les livres, et je suis premier, formidable. Sors un peu et oxygène toi la tête de temps en temps, ça te fera du bien.

Et Harry s'en alla du couloirs, entouré de tout les autres Serpentard qui le féliciter. Ils allèrent donc de bonne humeur déjeuner dans la grande salle. Harry et Draco parlèrent Quidditch, surtout ce dernier qui allait passer les tests pour devenir attrapeur. Soudain, Harry tourna la tête, il se sentit observer. Il vit un petit garçon qui le regarder fixement, comme paralysé. Il tenait entre les mains un appareil photo moldu et devint cramoisi quand il vit le regard froid de Harry. Il se leva et se dirigea vers l'imprudent.

- T'es qui toi, demanda d'une vois féroce Harry.

- Crivey, Colin Crivey, je suis de Gryffondor. Je peux te prendre en photo.

- Une photo, découpe ton manuel d'histoire contemporaine et tu en auras dix, des photos, dit Harry d'une voix cassante ? Il se lança sur un grand speech sur sa famille, Voldemort et tout le tralala. Harry, lui, en profita pour regarder une jolie troisième année passé à côté de lui. Il lui fit un sourire charmeur qui la fit devenir cramoisi. Il se retourna vers le pauvre type et lui demanda :

- Tu disais ?

- Une photo dédicacée, dit Crivey d'une voix étranglé.

- Tout le monde en rang, Harry Potter distribue des photos dédicacées ! C'était bien sûr Draco.

- S'il te plaît Draco, ferme là pour une fois, je ne suis pas d'humeur. Oh ! Weasley, tu viens encore sauvé une demoiselle en détresse, dit-il en se retournant vers le roux qui se ramené.

- Il faut le comprendre Harry, dit Draco d'une voix nasillarde, ne te rend tu pas compte que Weasley pourrait revendre sa maison avec une seule photo dédicacé de toi.

- Va donc manger des limaces, ça te fera du bien, Malefoy. Harry caressa sa baguette et murmura quelque chose. Aussitôt après, la voix de Mrs Weasley refit son come-back. SI JAMAIS TU REFAIS LA MOINDRE BETISE… Il stoppa l'enregistrement. Weasley se mit à blanchir.

- Pratique cet enregistrement, n'est-ce pas Weasley, dit Harry. Tu veux que je te le prête ? Des Serpentards de cinquième année s'esclaffèrent bruyamment. Weasley tira sa baguette mais Granger referma son livre et chuchota : « Attention. »

- Qu'entend-je, dit Lockhart. Qui dédicace des photos.

- Monsieur-le-crétain-qui-a-les-dents-blanches, persifla Harry, quelle surprise. Vous vous êtes brossez les dents j'espère. Tout le monde déglutit. Il est fou, pensa Hermione, s'attaquer à un professeur, non mais franchement, quelle manque de maturité.

- Retenue, Mr Potter, vous voulez une relation élève - professeur. Vous voilà servit.

- J'en suis heureux, dit Harry en plaquant sur ces lèvres un sourire sardonique.

Puis il s'en alla, vite suivit de Draco et des autres. Harry se vengerait, et rapidement même. Il arriva devant la porte de DCFM, l'ouvrit avec un simple alohomora et lança un joli sort appelé « detritus », puis il fit un feu de joie en brûlants tous les tableaux de Lockhart. Enfin soulagé, il retourna vers Draco, Crabbe, Goyle et Pansy qui l'attendaient aux environ de la grande salle. Le visage de Lockart fut mémorable quand Lockhart avait ouvert la porte. Il regardait avec ébahissement ses beaux portrait en train de brûlé.

- Magnifique Harry, chuchota Draco à son oreille.

Le professeur les fit installer dans une autre salle et débuta son cours en se présentant d'une façon particulière. Après un récapitulatif de son curriculum vitae, il leur donna pour commencer par un petit questionnaire. Harry le trouva complètement bidon et Harry n'ayant pas sa langue dans sa poche s'exclama :

- Professeur, j'aimerais savoir comment on peut battre un géant en ne sachant que votre couleur préférée. Ou battre un loup-garou avec votre cadeau préféré. Ce n'est pas un test de DCFM, on dirait plus un test sur votre propre personne. Seriez vous narcissique professeur.

On aurait pu entendre une mouche voler tellement le silence était grand, Lockhart se retourna vers lui, puis dit :

- Je ramasse les copies dans dix minutes, alors on se dépêche. Harry prit sa feuille et écrivit des mots quelque peu vulgaires et moquer. Il lui dona avec un grand sourire sa copie. Il revint vers son bureau et jeta un œil aux copies devant la classe.

- Allons, allons, je vois que personne ne se rappelle que ma couleur préféré est le lila. Je l'ai pourtant clairement indiqué dans une année avec le Yéti et… mais qu'est-ce que. Il venait apparemment de trouver la copie de Harry. Potter, explication, hurla le pauvre professeur.

- Vous êtes narcissique professeur, et je dois vous avouez que quand j'ai lu votre premier livre, il m'a dégoûté, on dirait que vous avez tout fait dans votre vie et comme par hasard, aucune marque sur votre corps, aucune cicatrice. Je me souviens pourtant qu'un géant n'aime pas les sorciers, que les loups-garous sont assez teigneux et que les harpies ne sont pas de gentille vieille dame. On aurait presque l'impression que ce n'est pas vous qui avait fait ces exploit, monsieur j'ai gagné cinq fois le lauréat du prix du sourire le plus charmeur, décerné par les lectrices de Sorcière Hebdo. Le professeur blanchit et passa à un autre sujet, sous les yeux surpris des Gryffondors qui s'attendaient à ce que le professeur le renvoie du cours.

- Les lutins de Cornouailles, s'exclama Lockhart, tout fière de lui. Un ange passa. Puis Finnigan éclata de rire.

- Oui ? Vous avez quelque chose à dire ? demanda-t-il à Finnigan avec un sourire.

- Ils ne sont pas très dangereux, répondit Finnigan.

- N'en soyez pas si sûr, ce sont parfois de petites pestes parfaitement diaboliques !

Et il ouvrit la cage. Des fusées bleues filèrent dans toute la classe, Harry éleva un bouclier et les pauvres lutins s'écrasèrent dessus. Il lança un sort d'expulsion à quelques autres avant de commencer à ranger sa plume dans son sac. Il tenait beaucoup à sa plume. Il laissa les livres de Lockhart. C'était le bordel dans la classe, Londubat était accroché au lustre, les livres était par terre, déchiré ou jetait par les fenêtres précédemment casser. Lockhart essaya une pauvre formule mais un lutin arracha la baguette magique des mains du professeur et la jeta par la fenêtre. Londubat tomba de son perchoir.

Lorsque la cloche sonna, tout le monde se rua vers la sortie et Harry en avait marre, marre, et il cria :

- STOP !

Les lutins s'immobilisèrent, sous son don que Harry trouva décidément très pratique, il bascula son sac sur son épaule, ouvrit la porte entrouverte d'un coup de pied et s'en alla de la pièce. Enfin du calme. Harry retrouva avec plaisir Maria, qui revenait de son cours de Potion avec les Serdaigles. Il discuta avec elle tranquillement, se remettant de ses émotions, puis Draco se joint à la fête et raconta l'animosité entre Harry et Lockhart.

- C'est vrai qu'il est complètement à côté ses chaussures ce mec, complètement narcissique en plus, rajouta Maria.

- Enfin une vraie amie, viens là que je t'embrasse, dit Harry en l'enserrant dans ses bras et lui déposant deux bisous sur chaque joues, je t'adore, c'est pas comme lui, dit Harry en regardant Draco d'un œil noir, toujours à m'emmerder. Maria était elle, rouge de confusion et de gêne, ses parents n'étaient pas très affectueux avec elles à vrai dire. Harry était vraiment quelqu'un de super, pensa-t-elle avant de séparer ses deux amis qui allaient se taper dessus.

La fin de la semaine se passa tranquillement, Lockhart ne l'embêtait plus et changeait à chaque fois de sujet quand Harry lui parler en mal. Colin Crivey, après une tentative de meurtre sur sa personne empêcher de justesse par Draco et Maria sembla disparaître et les points de Serpentard était largement suffisant grâce à l'année dernière. Le week-end, Harry alla voir les jumeaux pour leur demander si il pouvait toujours visiter Pré au Lard, avec l'histoire du miroir, il avait complètement oublié. Fred le rassura et lui dit même qu'il allait lui faire une surprise. Il alla donc chercher son frère et Lee avant d'aller se réfugier tout les quatre dans une salle de classe désaffecté.

- Alors Harry, on se demandait quand tu allais te souvenir qu'on avait une sortie au Pré au Lard, s'écria George.

- Désolé les gars, avec l'histoire du miroir, répondit Harry, j'ai complètement zappé la sortie à Pré au Lard. C'est pour ça qu'on va se dépêcher de faire cette sortie avant qu'un autre ennui me tombe sur la tête.

- C'est partit, dit Lee ? Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises ! Il avait sortit sa baguette et l'avait pointé sur un bout de parchemin. Sous les yeux ébahis de Harry, des lignes se tracèrent et s'enroulèrent pour former un plan complet de Poudlard.

- Voilà le pourquoi de notre succès à Poudlard, dit Fred d'une voix émue. Cette carte venant des maraudeurs, formé par Cornedrue, Patmol, Lunard et Queudver, nous a beaucoup servit. Elle montre tous les passages secrets, si des personnes se balade près de toi…

- Très pratique contre Rusard, coupa George. Il pointa un point sur la carte. C'est par ce passage secret que nous allons passé pour notre petite escapade. L'entrée se situe à l'endroit précis où se trouve la statue de la sorcière borgne et elle nous mènera dans la cave de Honeydukes.

- On leur doit beaucoup ; des hommes pleins de noblesse qui ont travaillé sans relâche pour aider une nouvelle génération à violer les règlements, dit Fred d'un ton solennel.

- On se voit donc dans cette même pièce dans deux heures, et prend de l'argent, tu trouveras peut-être des choses intéressantes à acheter. On te donnera une cape spéciale pour qu'on ne te reconnaisse pas.

- Vous n'avez jamais su qu'elle était leur nom véritable, demanda Harry.

- Malheureusement non, dit George, mais on trouvera, foi de Weasley.

- Je vous ferais une surprise moi aussi ce soir, dit Harry avant de s'élancer dans les couloirs.

Il était quinze heures et il avait failli oublier que dans une demi-heure, il y avait les sélections. Après être rentré dans sa chambre, il passa sa robe verte et argent et ouvrit son lit. Il vit avec stupéfaction un nimbus 2001. Apparemment, Draco était sûr d'être prit. Il descendit dans la salle commune et vit ses coéquipiers. Il salua son capitaine et discuta avec Draco qui faisait belle et bien partie de l'équipe. Il n'y avait donc plus de sélections et il allait débuter leur premier entraînement.

Arrivé dans le parc, il eut la mauvaise surprise de voir l'équipe de Gryffondors au grand complet accompagné de Weasley, Granger et Finnigan. Les deux capitaines se rejoignirent et murmurèrent furieusement, surtout Marcus qui revint dégoûté. Mais Draco se montra aux yeux de tout le monde et Weasley s'exclama :

- Oh ! Malefoy, quel mauvaise surprise, ton père a payé combien pour que tu entre dans l'équipe.

- Rien du tout, mais il a offert généreusement à toutes l'équipe un magnifique présent.

Ils exhibèrent alors leurs balais flambant neufs avec des mantes en métal chromé étincelant sur lesquels était écrit en lettres d'or : Nimbus 2001.

- Le tout dernier modèle, il est sortit le moi dernier. Je peux te dire qu'il est bien plus performant que les vieux 2000, quand aux Brossdur et autres, ils ne tiennent pas la route.

- Alors Weasley, dit Draco, on a perdu sa langue, c'est que un seul de ses balais doit coûter plus cher que ta porcherie qui te sert de maison.

- Au moins, aucun joueur de Gryffondor n'a payé pour faire partir de l'équipe, dit sèchement Grnager. C'est pour leur talent qu'on les a choisis.

- Personne ne t'a demandé ton avis, à toi, espèce de Sang de Bourbe, éructa Draco.

- DRACO ! s'exclama Harry, furieux.

Marcus et Harry durent s'interposer pour empêcher Fred et George de lui sauter dessus. Il ne purent empêcher l'autre Weasley de sortir sa baguette, un jet de lumière suivit d'une détonation jaillit du mauvais côté de la baguette.

- Ron ! Ron ! Ca va ? Hurla Granger.

Il voulut ouvrir la bouche mais la seule chose qu'il sortit fut une limace de taille assez impressionnante. Harry lui se tourna vers Draco.

- Il va falloir qu'on parle Draco, soupira Harry, et très sérieusement. Ils partirent vers un coin éloigné du stade, une fois couvert, Harry laissa échapper toute sa colère.

- MALEFOY, PAUVRE TACHE, TOI QUI VIENT D'UNE GRANDE FAMILLE DE SANG PUR, DIT MOI D'OU VENAIT MA MERE. Draco se fit tout petit.

- Euh, c'était d'une famille de moldue, couina-t-il.

- EXACTEMENT, MA MERE ETAIT UNE SANG DE BOURBE COMME TU LE DIT SI BIEN, ALORS SI TU NE VEUX PAS QUE J'ESSAYE SUR TOI MES PRISE D'ART MARTIAUX, JE PENSE QUE TU FERAIS MIEUX DE RAYE DE TON VACABULAIRE CE MOT. COMPRIS. Draco hocha la tête, comprenant que Harry, malgé qu'il soit un Serpentard, restait fidèle à sa famille.

- Désolé, je suis désolé, tu me pardonne, demanda Draco.

- Je te pardonnerais le temps que j'oublie et il repartie vers le centre du terrain où Finnigan, qui était en faîte l'attrapeur de Gryffondor, et Granger traînait Weasley vers la cabane de Hagrid. Harry monta sur son balai et les rattrapa alors qu'ils entrés dans la cabane. Il frappa à la porte et Hagrid l'ouvrit. Finnigan lui jeta un regard furieux et repartit vers Weasley tandis que Granger était au bord des larmes.

- Bonjour Hagrid, Granger, Finnigan, Weasley, en baissant la tête. Si je suis venue, c'est pour excuser Draco de t'avoir traité de Sang de Bourbe. Il est un peu trop dirigé par sa famille mais je lui ai remonté les bretelles. Alors Granger, je m'excuse mais ne crois pas qu'on va devenir ami, menaça-t-il en voyant le regard surpris de la jeune fille. Tu es toujours aussi bête qu'avant à toujours être dans tes livres et à répéter le règlement. Je fais ça seulement parce que ma mère aussi était une sang de bourbe.

- Euh, merci dit Granger. Harry fouilla dans sa poche et jeta 10 gallions sur la table.

- Et ça c'est pour toi Weasley, j'ai pas envie que tu amoche tout le monde avec une baguette défectueuse mais ce que j'ai dit à Granger tient pour toi aussi. Harry fit un rectus effrayent et repartit en remontant sur son balai.

- C'est…bizarre, réussit à dire Seamus.

- Harry a un bon fond, dit Hagrid, mais quand il n'aime pas quelqu'un, il ne l'aime pas. Hermione hocha la tête lentement.

TO BE CONTINUED…

(1) jumelle en allemand.

NDA : Et voilà le deuxième chapitre de ma fic. Il est un peu plus long que le précédent. J'aimerais savoir si vous avez aimé la chanson du choixpeau magique, c'est moi qui les faîtes et je voudrais savoir ce qu'elle donne, alors répondez moi par reviews s'il vous plaît, merci. Dans le prochain chapitre, on va entendre les premiers sifflements du basilic, la sortie non-officiel à Pré au Lard ainsi que la retenue de Harry où ce dernier va apprendre beaucoup de chose. Je vous laisse et laissez moi des reviews pour savoir ce que donne ma fic.

mellon