Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :

Disclaimer : Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.

Résumé du chapitre précédent :Harry se fâche aussitôt avec Lockhart, en le ridiculisant un peu, ce dernier lui met une retenue. Harry met ensuite au point une sortie à Pré au Lard avec Fred et George. Il fait aussi la conaissance avec Maria Zwillinger (NDA: Jumelle en allemand) et se fâche avec Draco.

Maraudage et sifflements :

La rencontre avec la soeur de Maria avait été pour le moins le plus bizarre, elle avait commencé à dire son anniversaire en seconde, puis tout son histoire, sa vie supposée chez les Dursley, ainsi que son profil psychologique. Selon elle, Harry serait un cas intéressant, il serait un fin calculateur et un homme charismatique. Pour la plaisir, Draco lui avait lancé une multiplication assez dure (960 x 732 divisé par le triple du double de 666. Elle avait répondus d'une voie détachée en quelques secondes la réponse. Elle avait bien sa place à Serdaigle. Puis comme l'avait si bien dit Maria, une fois qu'on la connaissé, elle était plutôt sympathique.

Harry et Draco s'étaient bien vite pardonner, avec un petit coup de pouce de Maria, même si Harry, et Draco le savait bien, gardait ses distances par rapport à lui. Il avait perdue sa confiance, et Draco remettrait du temps à la retrouver. Le week-end fut très tranquille, Harry ayant fini ses devoirs dès le vendredi soir pour être tranquille. Mais quand Maria lui demanda de l'aide pour son devoir de DCFM, Harry s'obligea à sortir de sa torpeur pour lui donner quelques pistes, sans toutefois lui donner les réponses véritables, car ce n'est pas comme ça qu'elle progresserait. Harry en avait fait part à Maria qui semblait d'accord avec lui, au plus grands soulagements de Harry.

Néanmoins, le dimanche soir, Harry se dit qu'il était temps pour lui de revoir son professeur préféré, le bien nommé Sévérus Rogue. C'est donc pour cette raison qu'il se trouvait à 22 heures, dans un couloir froid en direction du bureau de son directeur de sa maison. Harry avait quand même pensé à prendre sa cape, même si Figg était plus gentille que Rusard, il ne voulait pas la rencontrer. Les défenses de son cerveau, selon Harry, étaient assez performantes pour quelqu'un qui avait appris dans un livre. Il devait maintenant les tester par un Legilimens pour que celle-ci soit réellement au point. Il arriva devant la porte noire, il frappa lourdement. Rogue ouvrit la porte, puis fut surpris de ne voir personne. Il renifla l'air et se décala légèrement. Harry eut ainsi assez de place pour passé. Le professeur referma la porte et se retourna vers la position supposée de son élève. Harry enleva sa cape d'invisibilité.

-Bonjour Potter, salua le professeur, puis-je savoir quelle est la raison de votre visite à 10 H 30 du soir.

-Bonjour professeur, répondit Harry, je suis là pour poursuivre mon apprentissage de l'occlumancie, et j'ai besoin de vous pour tester mes défenses. Il faut absolument que ni Dumbledore, ni Voldemort découvre la supercherie.

-En effet Potter, dit Rogue, et je suis heureux que vous soyez venu si tôt, de vous même qui plus est. Nous allons donc voir votre travaille d'été. Je vous laisse trente secondes avant d'attaquer.

Harry acquiesça et vida son esprit, une fois que les trente secondes furent écoulé, Rogue lança le sort légilimens qui le percuta. Il sentit une présence étrangère s'insinuer, il essaya de la repousser mais elle était trop puissante. Il lui fallait du temps pour se concentrer, il jeta donc en pâture quelques souvenirs sans importance à Rogue, et refit le vide dans sa tête, puis repoussa une bonne fois pour toute le professeur.

-Très bonne technique Potter, même si elle n'est pas décrite dans le livre, félicita le professeur. Il va falloir maintenant vous créer une barrière mentale prenant l'apparence de quelque chose. La mienne est par exemple un lac défendu par une meute de loup du nord ainsi qu'un champ de protection magique. Le lac contient mes souvenirs. Je vais vous donner une potion qui va vous mettre en transe, et vous faire plonger dans votre centre à souvenir. Sachez que l'impossible n'existe pas là-bas. Les seules frontières seront votre imagination.

-Je vois, dit simplement Harry. Il prit la potion, s'asseyait contre un mur et bu la potion.

Il devint comme flasque et s'écroula...dans une salle entièrement rose. Harry ne perdit pas de temps, il vit que ses souvenirs étaient rassemblés dans une bassine. Il créa un fossé d'au moins cent mètre de diamètre, puis construisit une immense tour noir bardée de pic. La tour finissait par deux pics géants. Harry entassa ses souvenirs dedans, mettant les plus insignifiant en bas et les plus important tout en haut. Il charma la tour pour qu'elles deviennent indestructibles. Après s'être éloigné, il remplie le fossé d'une substance dorée. C'était une potion de délire mélangé à celle de l'endormissement. Il s'arracha quelques cheveux qu'il mit dans le lac pour que les potions soient inoffensives face à lui. Il fortifia le contour du lac de muraille pas très haute mais très épaisse, puis apposa un charme pour que la seule entrée possible soit la porte en titane lourd.

Il contempla son oeuvre puis ajouta la touche finale à la construction. Il concentra toutes sa magie et la jeta sur le haut de la tour. Un immense oeil vert, sans paupière ni sourcil apparue. L'oeil ne clignait pas, et surveillerait entièrement l'endroit. Content de lui, Harry se laissa emporter et il revint dans la salle, complètement vanné. Son professeur l'attendant patiemment derrière son bureau. Harry se leva difficilement et se traîna jusqu'à la chaise.

-Vous êtes exténué Potter, nous essaierons vos défenses le week-end prochain, dit Rogue.

-Merci professeur, répondit Harry.

-Je peux quand même vous dire qu'aucune de vos pensés ne m'atteigne, je pense donc que vous avez fait un bon travail. Au revoir, Potter.

Harry salua son professeur et se retira, il enfila sa cape et partit en direction de son dortoir, serein. Il parcourut quelques couloirs tranquillement et frissonna sans comprendre. Un bruit semblait venir du mur, comme si quelqu'un se déplaçait dans e mur, chose très incongru, même chez les sorciers. Harry entendit alors un sifflement, comme quand Dur anor parlait, mais ces sifflements étaient plus aigus, et ce qu'il racontait faisait froid dans le dos quand on y pensait.

- Viens là que je te sens, viens là que je t'écorche, viens la que je te tues ! Sale sang de bourbes, vous tuez, vous TUEZ ! Le sifflement s'était arrêté brusquement, le basilic était partit.

Harry accéléra son rythme de pas et rentra précipitamment dans son dortoir. Harry n'avait pas peur du basilic en entier, mais plus de ses yeux. C'était la seule chose qu'il savait sur ces serpents : leurs regard tues. Il devrait d'ailleurs penser à faire des recherches. Il s'endormit assez difficilement cette nuit là, même en utilisant à fond l'occlumancie. Il se réveilla donc le lendemain assez grognon. Mais quand Draco lui demanda ce qu'il se passait, Harry ne répondit rien, comme à chaque fois où cela toucher de près ou de loin Voldemort. Il se rendit dans la grande salle où il se fit aussitôt agripper par son professeur de potion.

- Votre retenue ce passera ce soir à 20 heures, rendez vous devant le tableau du cancre au 2è étage aile sud-est. Et sachez que nous avons le même point de vue sur la manière d'enseigner de Lockhart.

- Merci Monsieur, et à tout de suite.

En effet, Harry avait cours de potion juste après le petit déjeuner. Il prit avec un geste souple la carafe de jus de citrouille et s'en remplie un verre. Il discuta ensuite avec Marcus Flint, des prochaines techniques pour le Quidditch, ainsi du potentiel des autres équipes. Draco se joignit à la partie et Maria les laissa, complètement largué par le dialogue des garçons. Harry et Draco remarquèrent à peine qu'elle était partie. Quand la cloche sonna, les deux garçons se précipitèrent dans les couloirs pour rejoindre le cours où ils arrivèrent juste à l'heure. La potion se passa très bien, et Harry était sûr d'avoir optimal. Heureusement qu'il était de bonne humeur, car Lockhart l'avait légèrement énervé et Harry c'était pas gêné pour répondre.

En occultant Lockhart, Harry put se montrer satisfait de sa journée. Mais Harry avait légèrement oublié la retenue et Maria le lui rappela gentiment dix minutes avant l'heure. Harry fit donc la traversé de Poudlard dans un sprint et réussie, oh miracle ! A arrivé avant son professeur. Le professeur Rogue se pencha vers le tableau et murmura une chose longue et incompréhensible dans un seul souffle.

- Bienvenue dans la salle des retenues, Mr Potter, dit Rogue, comme vous pouvez le remarquer, cette salle n'a pas de sort auto rangement. Vous allez donc avoir la joie, que dis-je, le privilège de la remettre en ordre. Harry grimaça.

- C'est très gentil de votre part, professeur, répliqua Harry.

- Ne vous plaignez pas, répondit le professeur en s'en allant, j'ai empêcher Lockhart de prendre votre aide pour répondre au courrier de ses fans.

Harry pensa alors qu'il avait de la chance, et remarqua que Rogue, dans un oubli qui ne laissait pas place à la suspicion, avait laissé sa baguette. Harry regarda le tas de carton et les hautes étagères. Une échelle du même type que celle d'Ollivander permettait de se déplacer. Harry empoigna sa baguette et repoussa tout le fatras contre le seul mur vierge. Il jeta un sort de nettoyage dans la pièce et ouvrit la fenêtre pour renouveler l'air. Le reste, il devrait le faire à la main. Il prit un dossier au hasard et tomba sur Zabriov. Il le remit à sa place, ce qui veut dire tout au fond, et repartit vers le tas qui l'attendait. Il décida de commencer par les plus gros carton, il prit donc un carton où était marqué : Les quatre fantasques. Il y'avait aussi un court résumé, disant qu'il avait collecté ensemble près de 7000 heures de colles. Harry siffla, puis mit le carton dans la partie spéciale qui concernait les troubles de Poudlard.

Il prit ainsi plusieurs gros carton, la pale revenant aux Tripsie, un groupe composé de 7 filles, ayant collecté 10 498 heures de retenues entre les années 1783 et 1790. Un très beau score pour l'époque, selon le directeur adjoint de l'époque. Il entassa ensuite les autres dossiers beaucoup plus petit. Alors qu'il avait presque fini, Harry soupira en voyant un gros, mais alors un très gros carton. Harry étant un jeune homme bien élevé, il se précipita par curiosité sur le carton, où il vit en grosse lettres rouges: « Dossier Maraudeurs ». Harry siffla de contentement. Il aurait du se douter que si les maraudeurs avaient crée une carte, ils avaient aussi recevoir un nombre considérable d'heure de colle. Il regarda l'index avec attention. C qu'il découvrit le laissa pantois d'ébahissement.

DOSSIER MARAUDEURS:

Nbre: 4 élèves

Sujet(s) du groupe:

James Potter surnommé on ne sais pourquoi Cornedrue. 3017 heures de colle.

Sirius Black surnommé on ne sais pourquoi Patmol. 4001 heures de colle.

Remus Lupin (Préfet) surnommé Lunard, en relation peut-être avec son statut de loup-garou.. 2457 heures de colle.

Peter Pettigrow, surnommé par ses amis Qeudever. 2349 heures de colle.

Remarque: Groupe très hétérogène, les plus grand farceurs de Poudlard depuis les débuts de l'école. Ils totaliseensemble 11 224 heures de colle.

A. Dumbledore.

-Bah ça alors! S'exclama Harry avec stupéfaction, faudra que j'en parler aux jumeau et à Lee. Mon père fait partit des maraudeurs, chouette ! Et Dumbledore a accepter un loup-garou dans l'établissement. Il est encore plus malade que je pensais. Enfin, il devait être sûrement sympa, se dit Harry. Je me demande si il est encore vivant.

Il prit sa baguette, le carton étant beaucoup trop gros pour lui et le hissa péniblement jusqu'à l'étagère correspondante. Harry ressortit cinq minutes plus tard, ayant parfaitement rangé la salle. Il passa devant la salle des trophées où il vit Mrs Figg en train de surveiller Weasley qui nettoyer une coupe. Il entra dans la pièce.

-Ah ! Harry, dit Figg aussitôt. Tu devrais être couché normalement.

-J'étais en retenue dans la salle, euh, des retenues. J'ai trouvé de belle histoire là-dedans. Alors Weasley, on bosse bien. Ce dernier s'était déjà retourné depuis longtemps.

-Je t'emmerde royalement, grogna Ron, retour chez ta putain de mère, oups, désolé, tu en as plus, c'est vrai. Harry se rapprocha dangereusement mais Figg le coupa.

-Je m'occupe de lui Harry. Mr Weasley, 40 points en moins et une nouvelle retenue pour vous. J'espère que vous êtes satisfait. Harry, va dormir, il te faut du sommeil pour être en forme.

-Merci Mrs Figg, bonne nuit, répondit Harry avant de s'en aller. Il eut cependant le temps de voir le regard mauvais que lui jeter Weasley.

Cette nuit là, Harry s'endormit très bien en ayant en tête le pauvre Weasley en train de récurer une médaille en or qui coûtait sûrement sa maison. Le lendemain, Harry se réveilla de bonne humeur. Il devait absolument parler aux jumeaux, les seuls Weasley assez fréquentable pour son bien. Il se leva et prit une bonne douche, puis il remit un peu de gel en enfila une chemise blanche et un pantalon noir, un contraste saisissant. Il attacha négligemment sa cravate, pas le temps pour s'embêter à trouver comment la mettre, prit son sac en bandoulière et fila vers le repère des lions. Il se broda en chemin un gigantesque serpent argenté pour qu'on sache sa maison.

Il était à peu près six heures du matin quand il arriva devant la grosse dame, et ne connaissant pas le mot de passe, il poirota jusqu'à ce que Granger, toujours la première ait fait basculer le tableau sans le remarquer. Harry telle une ombre, entra par la porte qui lui était ouverte, sans que le tableau l'aperçoive. Il monta dans le dortoir garçons des troisièmes années, où il trouva les garçons qu'il voulait. Il ignora les deux autres et réveilla en douceur les trois autres pour qu'on ne les entend pas. Il commença par Fred, peut-être le plus calme dans les trois joyeux lurons.

-J'ai découvert les noms des maraudeurs, murmura Harry, réveille les autres, je vous attend en bas.

Fred fit de gros yeux puis se leva et se dirigea vers son frère. Harry, lui, redescendit les marches en sifflotant. Les quelques Gryffondors debout jetèrent un oeil surprit au Serpentard,mais ne dirent rien, tous le craignant déjà un peu, car on raconter des choses bizarre sur lui. Harry les ignora superbement et fit comme chez lui, prenant un des meilleurs fauteuils donc devant le feu. Il n'attendit pas cinq minutes que les 3 descendaient déjà, complètement surexcité

-Alors Harry, on t'écoute, dit George.

-Alors voilà, j'étais en retenue dans la salle des retenues.

-On n'a jamais réussi à savoir où elle était, s'écria Lee.

-Tableau du cancre au deuxième, mais le mot de passa a l'air compliqué, répondit Harry. Donc, j'avais presque fini de ranger quand j'ai vu un gros carton. Il portait le nom de Dossier Maraudeurs. Les membres du groupe son mon père, James Potter, Remus Lupin, Peter Pettigrow et Black le traître. Je sais aussi qui est qui. Mon père et Cornedrue, Remus Lunard, Peter Qeudever et Black Patmol.

-Incroyable, ton père faisait partit des maraudeurs, dit Fred admiratif. Alors je crois, dit-il en sortant un parchemin de sa poche, que ceci te revient, la carte des maraudeurs doit revenir à son propriétaire légitime. Il lui tendit le parchemin, Harry le prit avec émotion.

-Merci les gars, c'est gentil de votre part, dit franchement Harry.

-C'est normal, répliqua vertement George, avec tout ce que tu nous a révélé, on te doit bien ça.

-Pour Pré au Lard, dit Lee, on pense y faire un tour mercredi prochain, ça te tente.

-Bien sûr, dit Harry, et n'oubliez pas que j'ai une surprise à vous faire, et que ce n'était pas celle-là.

-Harry, dégage, où je vais te tuer, à moins de me dire ce que tu vas faire, dit Fred. Harry éclata de rire et se leva.

-J'sais pas, peut-être..non...j'hésite, dit Harry. Il s'éloigna. Vous pouvez toujours courir les gars.

Et Harry s'en alla... en courrant, et poursuivit de deux jumeaux et d'un Lee bien remonté. Harry eut un mal de chien à les semés, connaissant les même passage secret. Néanmoins, il fut soulagé quand la pierre qui protéger l'accès à sa salle commune se referma derrière lui. Il ressortit avec la protection de Draco, Crabbe, Goyle, et une bonne partie des deux dernières années de Serpentard. Il tira la langue devant les trois autres qui soupirèrent en le voyant si bien accompagné.

Le mercredi soir, Harry se prépara, et quitta la salle commune bien avant tout le monde. Il revêtut sa cape, la surprise, et avait dans les mains sa précieuse carte des maraudeurs. Il évita plusieurs professeurs comme McGonagall, où il ne put s'empêcher de lui faire un croc en jambes. I arriva au deuxième étage, et vit que les autres était là. Il se fit silencieux et se mit juste devant eux. Il retira soudainement sa cape et cirant.

-Bhouuuuu!

-Ahhhhhh! crièrent courageusement les trois avant d'éclater de rire devant la farce de Harry.

-Alors c'était sa ta surprise, dit Fred. Tu aimes l'invisible apparemment. Mellon puis cette cape.

-Elle appartenait à mon père, dit Harry. On peut y aller maintenant. George lui tendit une cape bleu nuit que Harry enfila. Il rabattit la capuche, ce qui lui cacha totalement le visage.

-On a enchanté les capes avec quelques charmes, dit Lee, j'espère que tu as tes galions Harry. dissendium, ajouta-t-il en tapotant la statue de sa baguette.

Le bloc de pierre coulissa et Harry aperçut un escalier en pierre descendre dans les profondeurs. Lee puis Fred et George s'engagea. Harry vérifia qu'il était bien caché avant de descendre dans le boyau. Ils marchèrent longtemps en silence, seul le bruit de leurs respirations se faisait entendre. Harry posa la main sur sa baguette et vit avec un certain soulagement qu'elle était bien à sa place. Et il sentait très bien la seconde qui frottait contre sa cheville. Le chemin commença à remonter la pente puis Fred leva la main et souleva une trappe aménagée dans le plafond.

Ils gravirent chacun leur tour l'escalier et Harry eut le loisir de fermer la trappe qui se mariait parfaitement avec le sol poussiéreux. Pour un oeil sans savoir, personne ne pouvait douter de l'existence de ce passage. Harry sortit sa cape d'invisibilité tandis que les trois autres, habitué de l'esquive, partait déjà pour le rez de chaussée. Dès qu'ils eurent passé le comptoir, ils se mêlèrent à la foule, Harry retirant pour cela sa cape. Il regarda d'un air émerveillé toutes les marchandises qui s'étaler devant lui. Il prit un peu de tout et paya à la caisse.

Il était 19 heures, et les élèves, dit normal, se restauré dans la grande salle, et Draco s'inquiété un peu pour Harry. Il était très rare qu'il manque un repas. Harry continua tranquillement ses emplettes, en faisant étape chez Zonko, où il fit le plein de bombabouses et pétard du docteur Flibustre. Il prit aussi des friandises, mais plus sournoise. Quand ils sortirent, le vent claqua, froid et mordant. Ils prirent la décision de s'arrêter au trois ballais, pour prendre une bièreaubeurre. Harry, curieux, accepta tout de suite et suivit les jumeaux. Ils passèrent devant plusieurs monuments chargés d'histoire et de légendes avant d'atteindre le bar.

Une chaleur bienvenue les accueillit quand ils poussèrent la porte, l'ambiance était festive et joyeuse. Les quatre allèrent s'asseoir à une table où ils se restaurèrent et burent la fameuse boisson qui réchauffa automatiquement son corps transi de froid. Quand ils partirent, la nuit était tombée, et alors qu'il allait se retourner à Honeyduke, George s'exclama soudainement;

-On a oublie la cabane les gars ! Mes yeux des deux garçons brillèrent et Harry se demanda dans quoi ils allaient se fourrer.

-Tu as raison, répondit Fred, il aura une mauvaise idée de Pré au Lard sinon.

Harry suivit les trois autres sans poser de question. Ils quittèrent le village, les maisons s'espacèrent, les jardins s'agrandirent tout comme les maisons. Après une petite grimpette, ils arrivèrent devant une maison complètement isolée, entourée de fil de fer et de barricade. La maison était dans un sale état. Les fenêtres avaient été obstruées par des planches, la porte renforcée par un gros rocher et des trous perçait quelques fois la maison. En clair, c'était la parfaite maison pour tourner un film sur un fantôme. Et ce que dit Fred lui confirma ses pensées.

-Je te présente la maison la plus hantée de Pré au Lard, voir même de l'Angleterre. Malgré que depuis une vingtaine d'année, il y'ai plus grand cris, elle fait toujours peur.

-C'est vrai que rien que par son aspect, dit Harry moquer, elle fait peur, mais je suis sûr que c'est une légende comme parmi tant d'autre.

-On veut bien te croire Harry, dit George, mais même nous n'avons jamais tenté d'y aller.

-J'essaierais peut-être quand j'en aurais l'occasion, répliqua Harry, mais présentement, je crois qu'il est temps de rentrer, Honeyduke ferme dans moins d'une heure.

-Tu as raison Harry, dit Lee, il faut partir.

Il s'élancèrent en courant dans la descente qui mener vers Pré au Lard, et rentrèrent dans le magasin. Plusieurs personnes se retournèrent vers eux, puis revinrent à leurs occupations. Les quatre profitèrent de ces quelques secondes pour descendre furtivement dans la cave. Harry souleva la trappe, laissa passer Lee, puis Fred et George et s'engagea enfin dans le long boyau qui les ramènerait vers Poudlard. Il ferma avec douceur la trappe. Après une petite marche, Harry ressortit près de la sorcière de borgne, complètement épuisé. Il remercia rapidement les trois autres, qui le lui rendirent et dirent que la cape bleue lui appartenait, comme un cadeau de Noël en avance.

Au moment où il rentra, il se fit violemment agresser par Draco, pourtant commue pour son sang froid.

-Bordel de merde, où était tu planqué par Salazar? S'écria-t-il.

-Euh...

-Euuuuuuuhhhh, répéta furieusement Draco, c'est tout ce que tu as à dire.

-J'me suis baladé, dit rapidement Harry, pas de quoi fouetté un Gryffondor.

-Ok, dit Draco, sache juste que je me suis inquiété et...

-... c'est très gentil ta part Draco, coupa Harry doucement. Tu n'as pas à te justifier, après tout, c'est moi qui suis partit, et je te dirais demain où, mais là, je suis complètement vanné.

-C'est correct, très jolie cape sinon, dit Draco avant de s'éloigner. Au fait, on a entraînement demain soir, alors repose toi bien.

-Petit salop, murmura Harry en regardant le blond s'éloigné en souriant tranquillement, mais sutout sournoisement.

Harry descendit dans son dortoir, fourra tout ce qu'il avait acheté dans son armoire personnelle qu'il ferma à clef puis le protégea avec un sort. Il ne voulait pas qu'on lui vole sa cape et sa carte, seul relique du temps de son père. Il se déshabilla et s'écroula sur son lit moelleux. Il ferma les yeux, vida son esprit de toute pensé et s'endormit comme une masse.

Le lendemain, la journée ne fut pas de tout repos, Harry prépara une potion assez complexe, qui avec son état de fatigue, n'arrangeait rien. La métamorphose qui suivit fut arrhassent, puis ils durent dompter une plante assez capricieuse et finirent par un cour d'enchantement corsé. Harry soupira en pensant que après, il devait aller s'entraîner au Quidditch, et il ne savait pourquoi, il avait chaud, très chaud, et il avait plus envie de dormir que de faire un tour en balai.

Néanmoins, il se fit violence pour mettre sa tenue et ses protections, et empoigner son balai d'une main fébrile. Il rejoignit les autres et commencèrent à s'entraîner avec les autres sous une pluie battante. On ne voyait même plus le bout de son balai, alors repéré un vif d'or. Il se souvint alors d'une formule contre la pluie, il sortit sa baguette et murmura:

-Impervius !

Il reprit courage et essaya de trouver le vif. Pourtant au bout de quelques minutes seulement, il sentit une grosse fatigue l'envahirent, et Harry ne put rien faire, elle déferla en elle et il tomba de son balai. Draco, qui était à côté de lui à ce moment, vit avec stupéfaction son ami tombé. Il était au moins à cinq mètre du sol. Il lâcha le souaffle et partit vers son ami, il se posa près de lui, et le rejoignit rapidement. Il vit avec soulagement que sa cage thoracique s'élever régulièrement. Il était inconscient et une bonne partit de ses os faisait une forme bizarre.

-Marcus, hurla Draco. Ce dernier descendit aussitôt, et vit l'état lamentable de son attrapeur. Je vais chercher l'infirmière, ne déplace pas Harry surtout, tu pourrais lui perforer un poumon.

Marcus acquiesça de la tête et fit redescendre tout le monde. Draco, lui, remonta sur son balai et fila vers le château, il traversa le parc en coup de vent, entra dans le château par une fenêtre du deuxième étage ouverte et, malgré que ce soit interdit, il vola sur son balai dans les couloir jusqu'à l'infirmerie où il se posa devant la porte. Il entra et se dirigea vers le bureau.

-Mrs Pomfresh, cria Draco.

-Qu y'a-t-il Mr Malefoy? Ceci est une infirmerie, veuillez ne pas crier.

-C'est Harry Madame, il est tombé de son balai.

-Oh mon dieu, dit l'infirmière en plaquant sa main contre sa bouche. J'arrive tout de suite.

Elle repartit dans son bureau, écrivit quelque chose sur un bout de papier qui se transforma en avion, comme ceux du ministère, remarqua Draco, qui fila par la porte entrouverte. L'infirmière réapparut avec une trousse de soin et ils s'élancèrent tout les deux vers le terrain de Quidditch. Quand elle vit l'état de Harry, elle accéléra encore un peu plus et s'écroula près de son nouveau patient. Elle sortit sa baguette, sous l'oeil des six autres joueurs. Elle murmura des choses incompréhensibles, fit avaler plusieurs potions à Harry, sans aucune réaction de ce dernier. Elle se releva et Harry aussi, comme un pantin, Pomfresh lui avait jeté un sort pour l'immobiliser et le conduire à l'infirmerie.

Quand Harry se réveilla, il ne vit que du blanc. Il essaya de se rappellera ce qu'il avait fait mais rien ne lui revint à l'esprit. Il sentit l'horrible odeur du désinfectant et sut tout de suite où il était. L'infirmerie. Il mit sa main devant ses yeux et ouvrit doucement les yeux. Il cligna des yeux, puis quand il fut habitué à la lumière, il passa ses jambes sur le côté pour s'asseoir. Sa tête tourna violemment et Harry gémit, douleur. Il entendit quelqu'un arriver.

-Mr Potter, recouchez vous s'il vous plaît, vous n'êtes pas en grande forme.

-Je crois que oui, dit Harry en se recouchant.

-Enfin un patient qui obéit, soupira-elle.

-Qu'est ce que j'ai? Demanda-t-il.

-Votre état de grande fatigue ainsi qu'un manque cruelle de vitamine vous as rendue très faible, en ajoutant la pratique de la magie ainsi que du Quidditch n'était pas très favorable. Je crains vous devoir vous garder ici encore un peu.

-D'accord, dit simplement Harry, je suppose que j'ai fait une belle chute, ajouta-il en se frottant une côte douloureuse.

-5 mètre Mr Potter, on as du vous donner une potion spéciale pour vous remettre en état de marche. La phoenoximiel est une potion difficile car il faut la confiance d'un phoenix, vous avez de la chance que le directeur en as un. C'est plus efficace que dix potions tonus.

-Je crois que je vais faire un petit somme, madame. Et Harry se rendormit sous l'oeil bienveillant de l'infirmière.

Quand il se réveilla le lendemain matin, soit vers midi, il eut l'agréable surprise de voir Maria au pied de son lit, en train de le regarder s'éveiller.

-Hey! Salut Maria, tu vas bien.

-Non, est ce que toi tu vas bien, lui dit elle en lui serrant la main avec chaleur. Harry ferma les yeux.

-Ca pourrait aller mieux, comment ça se passe avec Draco. Elle fit la grimace.

-Il est invivable, il grogne sur tout le monde, Weasley et Granger ont bien morflé depuis trois jour.

-On est donc dimanche, remarqua Harry, j'ai fait une grosse nuit apparemment. Tes cours se passe bien.

-Parfait en tout, dit-t-elle joyeusement, j'adore particulièrement la botanique, j'ai toujours aimé les plantes. Tiens, voilà Draco qui arrive en voyant une tête blonde surgirent.

-Alors Draco, apostropha Harry, je viens d'entendre que tu martyrises Granger et Weasley.

-Bah! C'est à dire que.

-Je crois que je devrais être malade plus souvent, je suis sûr que Granger et Weasley serait KO après chaque maladie. Ils éclatèrent d'un rire libérateur. Les jumeau et Lee entrèrent.

-Qu'entend-je, une bonne blague qui n'est pas de moi, dit Fred.

-Hey ! Lers gars, ça fait plaisir de vous voir. Les deux Serpentard froncèrent les sourcils en voyant les trois qui avaient fait leur entrée.

-Nous aussi Harry, je crois que notre sortie t'as un peu fatigué, dit malicieusement George.

-Ca y'est, vous avez mit ma bonne humeur à la poubelle les gars.

-C'était un plaisir Harry, dit Lee en lui décoiffant les cheveux.

-Fred, George, Lee. Je vous présente Draco Malefoy et Maria Zwillinger.

-Enchanté demoiselle, dit Lee en faisant un baise main à Maria qui rougit furieusement avant d'éclater de rire avec les autres. Pomfresh arriva.

-Les visites sont terminées, Mr Potter à besoin de repos.

-Encore 15 minutes, supplia Harry.

-C'est bien parce que vous vous êtes bien tenue jusque là Mr Potter, je vous laisse 15 minutes, pas une de plus.

Ils continuèrent donc à discuter joyeusement avant que les 5 personnes ne partent en voyant débarquer Mrs Pomfresh. Harry, à sa grande surprise, put repartir le soir même, mais il devait prendre des potions pendant près d'un mois pour ne pas faire de rechute. Il ne discuta pas les ordres, de peur qu'elle ne l'enferme encore plus longtemps dans l'infirmerie. Il rejoignit Draco et Maria joyeusement, et partirent ensemble vers la grande salle pour se restaurer. Dès qu'il s'asseyait à la table des Serpentard, plusieurs de ses camarades prirent des nouvelles de lui, le premier fut Marcus, pour savoir si il pouvait jouer le prochain match contre les Serdaigles. Harry lui promis qu'il était disponible pour le match, ce qui sembla ravir son capitaine.

La semaine se passa tranquillement, aucun sifflement de basilic et Harry se demander si il allait attaquer bientôt, peut-être que le plan avait foiré, que le journal n'ait pas été déclanché. Il récupéra facilement ses cours, prit avec régularité ses potions de tonus, il put donc recommencé ses entraînements de Quidditch tranquillement.

TO BE COTINUED…

NDA: Bonjour, je suis désolé pour le temps de post pour ce chapitre. Les exams approchent et on a eu notre deuxième brevet blanc. J'espère que ce chapitre vous a plût. Je suis encore désolé car je n'ai pas le temps de faire les RAR. Je remercie néanmoins tout ceux qui ont posté des reviews sur n'importe quels sites. Encore merci et désolé.

Mellon.