Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :

Disclaimer : Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.

Résumé du chapitre précédent : Harry apprend par hasard que son père fait partit des maraudeurs et que Lupin, un ami de son père est un loup garou. Il le dit alors aux jumeaux et à Lee qui lui donne la carte des maraudeurs. Ils vont ensuite faire une ballade secrète à Pré au Lard, Harry entend alors les premiers sifflements du basilic. Harry tombe ensuite malade pendant quelques jours, et présente Drac et Maria à ses amis de Gryffondor. Il cherche toujours un moyen de récupérer le journal de Jedusort.

Chapitre 4 : Chantage et manipulation :

Comment faire pour récupérer le journal ? Voilà ce à quoi pensé Harry presque chaque jour depuis que Dobby, un elfe de maison appartenant au père de Draco, l'avait mis au courant de la situation. Et que cette situation était complexe. Harry devait être le seul à savoir qu'un basilic pouvait se promener avec une certaine tranquillité dans Poudlard. Le seul à savoir que le journal qu'avait la jeune Weasley servirait à faire renaître Tom Jedusort, alias Voldemort. Et Harry ne voulait surtout pas le rencontrer encore, il n'était pas encore près à se battre contre le vrai Voldemort. Celui qui avait tué ses parents. Il n'était pas encore assez puissant et il devait résister autant qu'il le pouvait.

Il y'avait peut-être un moyen, risqué, certes, mais qu'est ce que le risque par rapport à Voldemort. Une futilité incroyable. Harry devait utiliser les propres armes qu'il détestait de ses deux grands ennemis, Voldemort et Dumbledore. La manipulation, la pression, le chantage, tout était bon pour faire plier la jeune fille rousse. Et de toute façon, il pouvait lui jeter un léger sort d'oublie si elle manifestait le besoin de cafter au vieux fou. Il fallait que Harry la coince dans un couloir et lui demander, c'était une première année facilement impressionnable. Il fallait faire ça en plusieurs étapes, tout doucement pour pas que la jeune fille s'effarouche et s'enfuie.

Harry se leva de son fauteuil confortable, au coin du feu de la salle commune de Serpentard. Il remarqua alors qu'une jeune fille sommeillait devant ses devoirs, Harry se mit à sourire, quand en s'approchant, il reconnue Maria, sa longue cascade de cheveux brun lui recouvrant à moitié son visage, son livre de botanique serré contre sa poitrine dans ses mains d'un blanc pur. Harry enleva le livre sans la réveiller, le posa sur la table proche de lui et fit apparaître une couverture rouge sang pour son amie qui dormait à poing fermé. Ensuite, Harry partit rejoindre son dortoir où ton le monde était déjà en train de dormir, Crabbe et Goyle créant une symphonie à eux tous seuls. Harry enleva rapidement son pontalon et son pull, puis ses chaussettes et se glissa dans son lit bien chaud. Il boucha ses oreilles d'un sort pour ne pas entendre les deux gardes du corps en train de ronfler la treizième partition de leur composition.

Lorsqu'il se réveilla le lendemain matin, Draco le secouait comme un malade et crier assez fort, mais pour Harry, cela ressemblait plus à un murmure qua autre chose. Sous l'œil surpris et apeuré de Draco, Harry empoigna sa baguette et la pointa vers lui, ce qui rassura un peu le blond. Il jeta le contre sort et revint à une écoute normale. Il écouta à moitié Draco sur le fait que le cours de méta commençait dans dix minutes et partit vers la salle de bain où il prit une petite douche froide. Il sortit tranquillement, Draco était partit, tant mieux pour ses oreilles pensa Harry. Il s'habilla en blanc et bleu avec un petit cobra en or sur le torse pour qu'on reconnaisse sa maison. Il retourna ensuite dans la salle de bain où il utilisa sa baguette pour coiffer ses cheveux avec un sort, puis partit vers le deuxième étage pour suivre son cours de méta qui avait commencé depuis un petit quart d'heure, Harry ne se pressa pas en route, discutant même avec un partie de l'équipe de Quidditch pendant dix minutes avant de reprendre son chemin.

Il arriva devant la porte une demi-heure après la sonnerie, son plan contre Ginny Weasley toujours en tête, il frappa à la porte de métamorphose, le professeur McGonagall ouvrit la porte après deux minute de poireautage intense du point de vue de Harry. Quand elle le vit, parfaitement habillé et coiffé, un petit sourire sur les lèvres, un éclair de fureur traversa ses yeux, son visage, déjà plein de ride, se tordit et elle cria que cinquante points en moins était retiré à Serpentard Harry ne sourcilla pas du tout à la sentence, passa devant elle et alla s'asseoir comme si de rien était et suivit le reste des cours sur les métamorphose d'un poids deux fois plus gros que le leur. Harry transforma sa table qui faisait à peu près son poids en un fauteuil très confortable et il s'assit dedans. La vieille chouette accorda 20 points à Harry avant de se tourner vers Granger qui avait transformé ses livres de défenses contre les forces du mal en une sculpture de Lockhart. Elle était vraiment folle dingue de ce type. Après une heure et demi de torture, Harry put enfin sortir de la salle de classe.

C'est à ce moment qu'il se souvint de la mauvaise nouvelle, il avait cours de DCFM tout de suite, Harry soupira à moitié et se dirigea à l'étage au dessus pour suivre ce cours débile où on voyait Weasley imiter un animal mit à mal par le professeur qui n'était pas du tout vaniteux sur ses actes et paroles. Harry vit alors Ginny Weasley sortir de la salle de DCFM avec une Serdaigle semble-t-il. Harry la détailla, elle était plutôt grande pour son âge, des cheveux roux et des tâches de rousseur, Weasley en féminin en quelques sortes. Harry l'accrocha de ses yeux, la jeune fille s'arrêta aussitôt et rougit furieusement. Harry utilisa alors son faible pouvoir de Legilimens, il entendit alors une bribe de ses pensées.

- Qu'est ce qu'il est beau… son regard froid…il me regarde… il s'intéresse peut-être à moi…il faudra que j'en parle dans mon journal…hihihi… .

Harry ne peut aller plus loin car il perdit le contact visuel quand Draco le bouscula légèrement sur le côté, Harry lui jeta un regard interrogatif au blond qui ne fit que hausser des épaules. Weasley et la Serdaigle reprirent leur chemin et disparurent à l'angle d'un couloir. Draco lui parla alors du match qu'il jouerait dans une semaine contre Serdaigle mais Harry ne lui répondit pas.

Son plan allait être plus facile qu'il ne le croyait si Ginny Weasley était attiré par lui, il pourrait facilement tiré cela à son avantage, la piéger, piquait son journal et voir enfin ce qu'il valait, mais pour l'instant, il devait suivre un cours idiot de Lockhart, Harry se remit à soupirer et entra dans la classe qui tait redevenue propre, il y'avait cependant moins de tableau, au plus grand plaisir de Harry. Ils apprirent comment capturer un vampire, façon Lockhart bien sûr, en vie et à le tuer. Harry préféra ne rien écouter et faire des recherches par lui-même sur ces êtres de la nuit.

Harry sortit le plus vite possible de la salle de cours, et descendit à l'étage de la grande, Draco essaya de le rattraper mais il se fit happer parmi les élèves. Mais le hasard faisant bien, même très bien les choses, il vit dans le couloir en face de lui Ginny Weasley, seul, le visage baissé vers un livre de DCFM venant de la bibliothèque. Harry lui prit violemment a main, lui jeta un sort de silence avec sa baguette et l'attira vers un couloir sombre où il serait tranquille. Il la plaqua contre le mur avec toute la douceur possible. Il se cola à elle, lui prenant les bras avec ses mains et les plaquant eux aussi contre le mur au dessus de sa tête. Il posa sa tête sur son épaule droite et lui murmura d'une voix froide.

- Le journal, passe moi le journal et aucun mal ne te seront fait. Elle ne le repoussa nullement, mais regarda vainement si quelqu'un pouvait venir l'aider.

- Je suis si repoussant que tu veux déjà me fausser compagnie, non, c'est plutôt l'inverse, n'est-ce pas. Il se colla encore plus à elle, même une feuille à cigarette ne serait pas passer entre eux. La respiration de la jeune rousse se fit irrégulière et Harry lui fit un jolie sourire.

- Je t'attire n'est ce pas, qu'est ce qu'il est beau… ses yeux froid…il s'intéresse peut-être à moi… ceci son tes pensées de tout à l'heure n'est ce pas. Elle leva les yeux, de beaux yeux bleus, s'accorda Harry.

- Oui, je t'aime, murmura-t-elle. Tu es content, dit-elle avec plus de force. Harry lui lâcha les mains et les plaça sur les hanches de la jeune fille.

- Pas tout à fait non, continua Harry, il me manque le journal, celui relié de cuire que tu as reçue de Lucius Malefoy et glissé dans ton livre.

- Pourquoi tu le veux, qu'as-t-il de spéciale, dit Ginny, ne se décollant pas de Harry.

- Tu connais déjà la réponse, écoute Ginny, on va faire un deal, si je sors avec toi, tu me donnes le journal, sans poser de question.

- Si on est ensemble après Halloween, dit Ginny enthousiaste, je te le donne, sans poser de question, dit-elle en souriant naïvement. Harry se félicita lui-même avant de répondre.

- Je nous déclare sortant ensemble donc, dit Harry. Ginny prit alors la parole d'une voix peu sûr.

- On peut…on s'embrasse ? Après tout, on…on est ensemble.

- Bien sûr ma chère.

Harry la plaqua alors contre le mur avec dureté, ce qui ne gêna point à notre Gryffondor. Ce serait sa première fois à lui, mais il s'en fichait, Harry se doutait que dans sa maison complètement paumée, elle avait pas dû embrasser beaucoup de garçon. Son plan marchait à merveille, et dans moins de deux semaines, il aurait le journal et larguerait cette pauvre fille avec un petit sort d'oubli pour ne pas être embêter. Ils joignirent leur bouche, sous le seul regard d'un tableau représentant un certain Phineas Nigellus, qui regardait avec plaisir le jeune Potter manipuler une traître à son sang. Harry força un peu le passage de la bouche de Ginny avec sa langue qui trouva sa consoeur. Elles se lièrent et se délièrent, formant un ballet interminable. Harry s'appuya encore un peu plus sur la fille et elle gémit légèrement. Elle ferma les yeux et se laissa aller. Le baiser s'interrompit à cause d'un manque de souffle évident et Harry vit dans les yeux de sa petite amie le bonheur complet. Harry se frotta lentement à elle et un gémissement passa ses lèvres. Elle offrit son cou à Harry qui en profita pour l'embrasser encore un peu et elle se mit à gémir de plus en plus fort. Harry s'arrêta à ce moment, n'ayant pas envie de se faire surprendre.

- Aucun mot à qui que ce soit, même à ton amie de Serdaigle, menaça Harry.

- Bien sûr, je ne vais pas crier que je sors avec le prince de Serpentard, dit-elle avec sourire.

- C'est quoi ce surnom, demanda Harry intéressé.

- Oh, c'est juste le surnom que t'ont donné les trois autres maisons. Malefoy à le même surnom que toi aussi, vous êtes à égalité.

- J'aime bien, dit Harry en souriant légèrement. Tu peux t'en aller, et souviens toi, je prends le journal le 1er novembre.

Elle baissa la tête en signe d'acquiescement et Harry savait qu'elle disait la vérité, son esprit était très facile à pénétrer, surtout depuis que le professeur Rogue lui avait donné un livre sur la légilimancie. Harry se retourna et s'en alla d'un pas léger, son plan avait fonctionné à merveille, il ne lui restait plus qu'à en recevoir les fruits. Bientôt, il pourrait savoir ce que renfermait le journal. Il partit en direction des cachots, se privant de manger mais Harry savait que c'était pour la bonne cause. Il prit ses affaires de potion, son seul cours pour cette après-midi.

La fin de semaine s'écoula paisiblement, Harry étudiant le plus possible de sorts, d'enchantement et de potions pas très catholique, apprenant des rituels de magie noire, découvrant dans la réserve, sous couverts de sa cape de précieux savoirs, les livres que Harry recevait le soir par Voldemort lui en apprenait beaucoup de choses, il découvrit après plusieurs heures de recherche la mise en transe et le développement de sa magie, devant grossir ses canaux magiques au maximum, et si Harry faisait dépasser la magie de son corps, il verrait une aura, mais seuls les mages pouvait en avoir une. Il se renseigna donc sur les mages, le conseil qui permettait l'ascension d'un autre mage, leurs pouvoirs. Il toucha un peu à la magie kabbalistique et aux impardonnables, ne faisant qu'apprendre, il aurait ensuite tout son temps pour les tester. Il vit comment les portoloins étaient créer, comment on faisait pour transplané. Les sorts de protection n'avaient plus de secrets pour lui, ainsi que les boucliers. Harry apprenait sans relâche, sa vengeance lui donner une énergie incommensurable qui le faisait progresser avec vitesse

Il passa d'effroyable moment avec Ginny, la jeune fille en voulant toujours plus, et Harry craignait à la fin qu'il devrait la mettre dans son lit pour qu'elle lui donne le journal. Le match de Quidditch contre Serdaigle venait pour Harry comme une pause bienvenue à une semaine d'Halloween.

Il rejoignit Draco dans les vestiaires, le reste de l'équipe était déjà présente. Ils s'habillèrent en silence, se concentrant pour le match à venir. Flint, qui était en septième année, fit un petit discours avant de s'en aller vers la porte, le reste d'équipe suivirent puis s'envolèrent sous le ciel gris de ce mois d'octobre. Mrs Bibine siffla le coup d'envoie et le match débuta, Draco prit aussitôt le souffle et se dirigea vers le but adverse. Harry se concentra sur son rôle et vit presque aussitôt la balle dorée près de la porte qui menait au vestiaire. Harry regarda si l'attrapeur adverse, qui était une jeune fille asiatique très jolie, et vit qu'elle était complètement à l'opposé. Harry laissa donc son regard sur la balle sans la poursuivre. Il menait au bout d'une heure de 90 points, Harry, qui avait toute son attention fixé sur la balle dorée, ne vit que tardivement le cognard arriver sur lui. Il lui déboîta avec force l'épaule. Harry grimaça et sortit sa baguette. Il murmura un sort de guérison qu'il avait appris la nuit dernière qui marcha parfaitement.

Il vit alors le cognard revenir vers lui comme un boomerang le ferait sur lui, il l'évita d'une magnifique roulade du paresseux et se dit qu'il était peut-être temps pour lui d'attraper le vif qui n'avait toujours pas changer de place. Il fonça sur lui de toute la force de son nimbus 2001, évita plusieurs joueurs et entendit que le cognard, qui semblait avoir une dent contre lui, le poursuivait toujours, bizarre. La vif d'or plongea alors sous les poutres qui soutenait les tribunes, Harry le suivit et vit avec déplaisir que le cognard aussi, il évita avec grâce les poutres, le cognard les détruisant sans perdre de vitesse, la balle noire le rattrapa et commença a lorgner sur le bout de son balai, le vif d'or partit soudainement haut dans le ciel et Harry fit une belle remonté, la chinoise la rattrapa et se mit sur son flanc droit.

Sous l'effet du cognard, qui frottait contre le bois de son balai, il avec surprise ce dernier entrain de s'enflammer. Le vif d'or se stabilisa et se mit parallèle au sol. Il profita de la perte de vitesse et sauta en plein vol, à dix mètre du sol. La boule vint se loger dans sa paume droite et Harry amorça sa chute. En même temps, le balai de Harry s'enflamma dans une gerbe d'étincelle et tomba vers le sol, comme un feu de détresse. Il fit alors la technique, que Draco appelait le samouraï volant. Un bouclier bleu se forma sous ses pieds et Harry se sut en sécurité. Il se roula en boule, les jambes toujours pointer vers le sol. Le choc fut rude, la terre ployant sous la force du bouclier, la descente se termina et Harry put se relever sans aucune égratignure. Flint et Crabbe le sortirent de là, ne croyant pas à leurs yeux de ce que venait de faire Harry. Il leva le poing et le stade explosa en applaudissement.

Harry vit soudain le cognard, qu'il croyait enfermé revenir vers lui, il sortit sa baguette avec rapidité et lança un sort. Le cognard explosa en vol, les débris rejoignant ceux de son balai, que Mrs Bibine était en train d'éteindre avec sa baguette pour que le feu ne gagne pas la pelouse. Ils retournèrent au château tous ensemble, des chants de victoire s'élevant à leur passage. Ginny Weasley vint même la féliciter avec sa touche personnelle et alors qu'il l'embrassait, Harry pensa qu'il ne restait plus qu'une semaine. Il la quitta rapidement et partit faire la fête avec ses coéquipiers. La boisson coula à flot cette nuit et le silence ne revint que tôt dans la matinée.

La semaine suivante se passa comme la précédente, Harry étudiant de gros livre pour son compte personnelle. Il fit ses devoirs avec efficacité, récoltant de très bon résultat auprès ds professeurs dans toutes les matières. Néanmoins, le jour d'Halloween, qui tombait un dimanche, Harry sentit dans les baisers de Weasley une envie différente, et cela se confirma quand elle l'emmena dans une pièce où le seul mobilier était un grand lit aux draps de soie vert. Harry décida alors de pénétrer dans son esprit et Harry apprit aussitôt que si il ne couchait pas avec elle, il n'aurait jamais le journal. Harry soupira intérieurement avant de commencer à l'embrasse langoureusement, ce qui dégoûta légèrement Harry. Une raison de plus à tuer Voldemort, il le forçait à coucher avec une fille pour l'empêcher de faire son retour depuis les morts.

Lorsque Harry se retira d'elle, il se sentit libre, sa première fois était bizarre quand même. Il ne la comptait même pour sa première fois car il n'avait pris aucun plaisir, ce qui agaçait prodigieusement Harry qui se rhabilla sous l'œil appréciateur de sa petite amie qui ne se doutait presque pas que dès le journal en poche, Harry la quitterait. Le banquet d'Halloween avait commencé depuis deux heures, il n'y avait donc aucun espoir à ce qu'il reste de la nourriture. Il prit l'escalier qui permettait de rejoindre les cachots. Il entendit soudainement le sifflement du basilic. Harry tendit avec attention l'oreille, cela venait d'en bas. Il prit l'escalier menant au deuxième étage. Il avala les dix dernières marches d'un saut. Il y'eut d'autre sifflement, le basilic allait tué, Harry se mit à courir vers l'aile nord du deuxième étage, où il n'y avait que les toilettes pour fille, hanté par un fantôme.

Il ralentit en voyant la scène macabre qui se présentait sous les yeux. Tracée en grosses lettres rouges, une inscription scintillait.

LA CHAMBRE DES SECRETS A ETE OUVERTE.

ENNEMIS DE L'HERITIER, PRENEZ GARDE.

Harry baissa la tête, et vit une forme sombre, clouté à une torche. Harry s'approcha, évita la flaque d'eau avec minutie et découvrit Mistigri, la chatte de Mrs Figg. Elle était raide comme une planche, les yeux grands ouverts. Elle avait un air grisâtre, nota Harry. Il la décrocha et la prit dans ses bras, tapa légèrement sur sa peau, elle était dure comme du béton, cette chatte avait été pétrifiée. Pendant son examen, Harry n'avait pas entendue un grondement venir de deux étages en dessous, et il était maintenant trop tard, le festin venait de se terminer et Harry était complètement cerné, Harry haussa les épaules et attendit. Les premiers élèves s'arrêtèrent aussitôt, voyant la scène. Harry était seul au milieu de tout le monde, bien en vue.

- Vous voulez prendre une photo, bande d'abruti, allez prévenir le directeur, dit Harry avec une voix faussement sérieuse. Il allait bien s'amuser. Un type roux s'en alla ausstôt, et Harry vit le pins de préfet sur son torse. D'une vois forte, quelqu'un rompit le silence.

- Ennemis de l'héritier, prenez garde ! Bientôt, ce sera le tour des sang de bourbe. N'est ce pas Potter, c'est qui la prochaine victime.

- Toi, répliqua Harry en sortant sa baguette. Un rayon bleuté siffla et Moon s'éleva dans les airs et traversa tout le couloir avant de s'écraser sur le mur. A qui le tour, dit Harry joyeusement, Weasley, tu veux tester ? Le rouquin lui jeta un regard mauvais et vit avec plaisir Mrs Figg approchée.

- Harry, qu'est ce qui se passe ? Lorsqu'elle vit l'état de Mistigri.

- Mistigri ! Ma chatte ! Elle est morte.

- Détrompez vous Mrs Figg, répondit Harry d'une voix neutre, elle est seulement pétrifiée, un filtre de mandragore et elle sera de nouveau sur patte.

- C'est vrai, dit-elle avec une lueur d'espoir. Harry lui donna son chat.

- Je crois que Mr Potter a en effet raison Arabella, votre chatte est juste pétrifié, intervint Dumbledore en arrivant avec d'autre professeur. Allons discuter de ça dans mon bureau.

- Le mien est juste à côté, Mr le directeur. Si vous souhaiter l'utiliser…

- Merci Gilderoy, suis nous Harry. Harry emboîta le pas à Dumbledore et McGonagall, Roge et Lockhart l'entourèrent. Harry se sentit bizarrement emprisonné, il entra dans e bureau de Lockhart avec un certain dégoût sur le visage, Rogue eu sensiblement la même réaction.

- Alors Harry, explique nous ce que tu faisais dans ce couloir alors que le banquet d'Halloween se tenait.

- J'étais avec une fille, dit Harry sournoisement, on a fait des choses, continua-t-il d'une voix doucereuse. Voulez-vous que je vous raconte comment elle a criée.

- Je te remercie Harry, dit Dumbledore en souriant légèrement, tandis que la pauvre McGonagall la regardait avec un regard de folle. Ce ne sera pas nécessaire.

- Ca n'en valait pas le coup de toute façon, dit Harry sur un ton désinvolte ; elle était pas trop bonne au lit. McGonagall hoqueta en devenant toute rouge tandis que Rogue avait un petit sourire sur les lèvres.

-Son nom, dit McGonagall, pour que l'on puisse vérifier vos dire Potter.

-Bien sûr, mais garder ça pour vous, c'est une fille de votre maison, et je n'aimerais pas que ça la gène, elle tient à son intimité.

-Bien sûr, dit Rogue, toujours un petit sourire sur les lèvres. Vous pouvez dire son nom maintenant.

-C'est la jeune Weasley, dit-il d'un ton badin. McGonagall ouvrit de surprise la bouche.

-J'irais donc vérifier moi-même votre alibi auprès de cette jeune fille demain, dit McGonagall d'un ton pincé. Vous pouvez partir Potter, et essayer de vous tenir à carreau.

-Comme je le fais tout le temps madame, dit-il avant de s'en aller par la porte du bureau de Lockhart.

Dès qu'il sortit du bureau, Harry attira sa cape d'invisibilité et la carte du maraudeur, il voulait absolument savoir ce qu'était la chambre des secrets, et il devait faire vite, il irait donc ce soir à la bibliothèque. Il voulait aussi continuait ses recherches sur les basilic. Harry ouvrit facilement la porte et se glissa dans la réserve. C'était incroyable comment il était facile de pénétrer ici. Il cacha tout les tableau qui était dans la salle avec sa baguette puis alla dans une région de la bibliothèque où il n'allait pas souvent, la section mythes et légendes. Il passa devant la mythologie grecque puis celle de l'Egypte et trouva enfin le bon livre. i Légende Serpentadienne /i .

La plus connue des légendes venant de Salazar Serpentard, mais la plus contesté, serait le fait que Serpentard, ne croyant pas à l'idéologie de Gryffondor, aurait construit une chambre secrète dans les fin fonds de Poudlard, et y aurait placé un monstre avant de s'exiler vers la Bulgarie, où il créa l'école de Durmstrang. Son hériter aurait alors la tâche d'éliminer tout les Sang de Bourbe de l'école de Poudlard grâce au monstre, afin que le château soit purifier de toutes personne ne méritant pas d'être dans son château.

Plusieurs directeurs de Poudlard ont fouillé de fond en comble Poudlard pour essayer de trouver le monstre et donc la chambre des secrets. Celui qui aurait passé le plus de son temps à cette recherche fut sûrement Phineas Nigellus, un ascendant de la famille Black, tr ès connue pour ses positions extrémiste dans la pureté du sang. On croit donc que ce n'est pas pour la même raison que Nigellus à chercher la chambre, il aurait voulu lui aussi purifier Poudlard, c'est la principale raison pour laquelle il fut démis de ses fonctions par le conseil de l'école, qui avait été créer dix ans seulement avant cette épisode par Alexandre Dumbledore, le ministre de la magie de l'époque.

Beaucoup de spéculation ont couru sur le monstre que contiendrait la chambre, mais on sait que la chambre à été ouverte il y'a 40 ans à l'édition de ce livre, et que le monstre aurait péri mystérieusement alors que l'école allait fermer.

Le basilic était donc le monstre, mais le basilic a besoin de l'héritier pour se réveiller, le journal allait être l'héritier, et avec un moyen ou un autre, il se servait d'un élève pour fonctionner, il suffirait donc de découvrir ce qu'il y'avait dans le journal, et détruire le journal, ce qui refermerait logiquement la chambre des secrets et tuerait le souvenir de Tom. Il restait toutefois le monstre à tuer, car maintenant libérer, il ne se retirait qu'une fois sa tâche accomplie. Il fallait donc qu'il découvre où la chambre était située, aller tuer le basilic et détruire le journal de Voldemort. L'accès de la chambre était forcément marqué dans le journal, d'une façon ou d'une autre.

Harry sortit de ses pensées et jeta un oeil à sa montre, il était trois heurs du matin, considérant qu'il était temps de s'en aller, Harry se recouvrit de sa cape d'invisibilité et découvrit les tableaux avant d'empoigner la carte et de l'activer. Il remarqua de suite qu'il y'avait beaucoup de professeurs faisant des rondes, Harry les évita facilement grâce à la carte, mais préféra faire un long détour pour dépasser le professeur Rogue, il entra dans sa chambre après une heure de marche et se coucha rapidement dans son lit.

Quand Draco le réveilla, il se leva avec une tête à faire peur. Une peau complètement diaphane, de lourds cernes bleus autour de ses yeux et ses cheveux complètement en désordre, il n'était pas beau à voir. Harry bailla ostensiblement au blond et se leva, il alla dans la salle de bain et ressortit une demi-heure plus tard comme un sous neuf.

-Alors Harry, qu'est ce que tu as eu, et bien joué, Moon est encore à l'infirmerie.

-Merci, j'ai dit à Dumbledore que j'étais avec une fille et il m'a crut.

-Tu était avec une fille, demanda avec un petit sourire Draco. Répond franchement.

-Non, mais j'allais pas leur dire que j'étais dans la réserve avec un livre de magie noire sur les rituels, mentit Harry.

-C'est sûr, sinon, tu sais qui est l'hériter de Serpentard. J'aimerais bien l'aider un peu.

-Je n'en sais strictement rien Draco, désolé, répondit Harry.

-Ce n'est pas grave, allons manger dans la grande salle, dit Draco en se levant du lit de Harry, j'ai faim. Et puis ça va être la fête, plus de chat pendant un bon petit moment.

-C'est clair, en plus Mistigri n'as jamais été mon préféré, mais fais attention, elle a une dizaine de chats chez elle, elle va peut-être en ramener un ou deux.

-Le cauchemar, dit Draco en grimaçant.

Ils montèrent dans la grande salle, où tout le monde parlait de l'agression du chat de la concierge et de l'écriture sur le mur, ainsi le fait que Harry était peut-être l'héritier de Serpentard, ce qui amuser beaucoup Harry, voyant les élèves s'éloignant de lui à son approche. Alors que Harry se rendait à son cours d'histoire, il croisa Ginny qui la bouscula légèrement, Harry sentit la jeune fille lui glisser quelque chose dans son sac en bandoulière et lui faire un clin d'oeil avant de repartir. Néanmoins, Harry remarqua qu'elle était pas dans son assiette, elle aimait peut-être les chats. Personne n'avait rien remarqué. Harry glissa sa main dans son sac et sentit la reliure en cuir du journal ripé contre sa paume ouverte.

En cours d'histoire de la magie, Harry se plaça au fond et s'apprêta à faire la sieste quand l'improbable se produisit, quelqu'un posa une question, et c'était bien sûr Granger qui l'avait posée.

-Oui, Miss, euh..., dit le professeur en levant la tête.

-Granger, professeur. J'aurais voulu demander si vous pouviez nous dire quelque chose sur la chambre des secrets, lança Granger d'une voix claironnante. Harry et les autres élèves se réveillèrent en sursaut.

Le professeur Binns hésita quelques secondes mais en voyant l'intérêt soudain que tous les élèves lui portait, il répondit à la question. Harry n'apprit pas grand chose de plus que hier soir dans le livre. Puis il repris sur la révolte des gobelins de 1789. Tous les élèves repartirent dans leur torpeur habituelle. Le cours fini, Draco voulut aussitôt voir la scène du crime, il trouvait injuste que lui, un Malefoy, ne soit pas là pour un acte aussi important, et comme par hasard, quand Harry finit par accepter, Maria les rejoignit et ils partirent donc tous les trois vers le deuxième étage.

- Sinistre, réussit à dire Maria en voyant les lettres peinte sur le mur, et mouillé, dit-elle en soulevant son pied qui avait marché dans une flaque d'eau. C'est sûrement cette Mimi Geignarde qui à tout tremper, supposa-t-elle.

- C'est qui ce fantôme, demanda Draco.

- Une pauvre fille qui hante les toilettes, répondit Harry, elle passe son temps à chialer sur un lavabo ou dans les toilettes. Il y'a des traces de brûlure, dit tout haut Harry en montrant du doigt une pierre noircie, et les araignées s'enfuient violemment par cette fenêtre, rajouta-t-il en montrant la fenêtre. Allons demander à Mimi si elle a vu quelque chose hier, il est dommage que cette aile du château n'est pas de tableau. Il poussa le bâtant et entra, les deux autres le suivirent, Maria faisant de gros yeux à Draco.

- C'n'est pas le grand luxe, remarqua avec justesse Draco, même le bureau de Rusard doit être en meilleur état. Un fantôme apparut soudainement sous leurs yeux et Draco et Maria sursautèrent, Harry leur fit un sourire moquer avant de se retourner vers a nouvelle arrivante.

- Bonjour Mimi, comment vas-tu aujourd'hui ? commença Harry d'une voix un peu trop gentille par rapport à son habitude.

- C'est pour les filles ces toilettes, dit-elle d'un ton cassant. Draco allait répliquer mais Harry lui coupa la parole.

- Nous le savons bien Mimi, nous sommes là pour te poser quelques questions, et après, nous partiront, tu es d'accord, dit Harry d'un ton patient, Harry sentait qu'il ne fallait surtout pas la brusquer.

- D'accord, dit-elle en se plaçant face à Harry.

- Tu dois savoir que un animal a été agressé la nuit dernière, et il se trouve que j'aimerais savoir qui a fit ça, étant donné que je connais personnellement la concierge qui est ma voisine dans ma maison. As-tu entendue une personne, un bruit ou quelque chose de suspect la nuit dernière.

- Maintenant que tu le dis, j'ai entendue des sifflements, j'ai eu peur car cela m'a rappelé ma mort.

- Comment ça Mimi, s'intéressa Harry.

- C'était il y'a une cinquantaine d'année, un élève m'avait énervée et je m'étais réfugié ici. J'ai soudainement entendue des sifflements, mais le plus bizarre, c'est que cela semblait plus venir d'un homme que d'un serpent, j'ai voulu ouvrir la porte pour lui dire de ficher le camp et je suis morte.

- Tu es morte, soudainement, sans aucune raison, dit Maria, tu n'as rien vue avant.

- C'est flou tout ça, je crois que j'ai vu deux yeux jaune globuleux et c'est tout.

Elle plongea alors dans la cuvette d'eau en pleurant bruyamment, c'était pas très bon pour elle apparemment de se rappeler sa mort. Ils quittèrent les toilettes pour mieux retomber sur e préfet qui était aller chercher Dumbledore hier.

- Potter ! Et Malefoy en prime, que faîtes vous là. Il n'avait apparemment pas remarquer Maria, caché derrière les deux hommes.

- Un Weasley je suppose, dit Malefoy sur un ton hypocrite. Il se figea sur place, stupéfait.

- Je suis surtout préfet, 10 points en moins pour Serpentard, et dégager maintenant.

- Et toi, tu fais quoi ici, tu te balades, reprit Harry. Ou tu essaye de résoudre ce mystère. Weasley sembla gêner mais se reprit assez vite.

- Filez immédiatement, hurla-t-il les rouges aux joues.

Les trois s'en allèrent d'un pas tranquille, laissant sur place un pauvre Weasley en perdition. Ils rentrèrent dans la salle commune, la tête bouillonnant d'information, Harry plus que les deux autres, ayant en tête les informations de Dobby donné cet été. Pendant ce temps là, un groupe de trois Gryffondors, nommé Ron, Hermione et Dean, parlait Polynectar et d'infiltration de la salle commune de Serpentard tandis qu'à l'autre bout de la salle, Olivier Dubois préparer les différentes tactiques pour le prochain match contre Poufsouffle.

TO BE CONTINUED…

NDA : Je suis mitigé sur ce chapitre pour une fois, je le trouve pas extraordinaire ce chapitre, mais je ne pouvais pas faire mieux je crois. J'attends donc impatiemment vos reviews pour savoir si ce chapitre est bien ou pas. J'espère donc que ce chapitre a été une bonne lecture et que vous avez passez un bon moment. Je remarque d'ailleurs que mon temps de post s'améliore, j'espère que cela vous plaît. A bientôt et n'oubliez pas de me laisser des reviews.

RAR :

Je les aie fait en direct, je les aie répondue sur le site, en dessous de vos review d'origine, ce qui est beaucoup plus simple, tout est donc là bas et je continuerais à faire ainsi pour l'instant. Merci de votre compréhension et à bientôt. Au fait, j'ai eu mon second brevet blanc. Salut !

Prochain chapitre :

Harry retourne encore à l'infirmerie et ouvre pour la première fois le journal.

Mellon.