Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :
Disclaimer : Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.
Résumé du chapitre précédent : Harry récupère avec beaucoup de difficulté, devant manipuler la jeune Weasley pour avoir enfin le souvenir de Jedusort. Son balais est détruit lors d'un match par un cognard très collant et Mistigri est pétrifier par le basilic. La chambre est ouverte.
Chapitre 5 : Intrusion…
Le week-end venait enfin de pointer le bout de son nez. Harry maudissait les profs de l'avoir surcharger de travail, l'empêchant de se concentrer sur le journal. En élève consciencieux, il avait terminé son devoir de potion en premier, la matière préféré après DCFM, même si cette année, le professeur n'était qu'un goujat affublé d'un sourire signal extra blancheur. Il honnissait ce prof, et il espérait franchement que la malédiction allait encore fonctionner cette année. Harry, main dans les poches, se dirigeait donc d'un pas tranquille vers la forêt, le seul endroit reposant et sécurisé selon-lui pour pouvoir examiné ce journal qui voulait le tuer. C'était limite si Harry n'en riait pas, un journal assassin, quelle idée farfelue.
Il prit place loin de la cabane de Hagrid, mais aux premiers arbres de la forêt, la dernière visite de la sympathique verdure de Poudlard avait mal finit. Il se passa la main dans les cheveux, repensant au magnifique combat qu'il avait engagé, le premier qui serait d'une longue série contre Voldemort, sans oublier ce fou de Dumbledore. Il sortit avec lenteur le journal, laissant sa paume parcourir la couverte de cuivre ancien, très agréable au touchée. Comment était-il possible qu'un simple journal renfermé tant de puissance, se demanda Harry, c'était une œuvre haute en magie, il n'en doutait pas.
Il retourna le livre et remarqua au dos une écriture disant que c'était un journal acheté dans un magasin de Londres, il y'a cinquante ans. Il avait du commencer pendant ces études, supposa alors en faisant un rapide calcul. Et comme par hasard, cela retombait sur la première ouverture de la chambre. Harry était donc maintenant presque certains que c'était Voldemort qui avait ouvert et libéré le basilic. Il inspira légèrement et ouvrit la première page…blanche. Il passa à la seconde, qui était tout aussi blanche que la première, et ainsi de suite. Il n'y avait rien d'écrit. Mais ça, c'est ce qu'aurait pensé un bête Gryffondor. Il sortit donc sa baguette et murmura une litanie de mot qui n'eut aucun effet. Il essaya plusieurs autres méthodes qui furent toutes vaines en résultat.
Harry posa sa tête contre le tronc d'arbre. Il eut une soudaine interrogation. Le journal ne pouvait pas ouvrir la porte, il y'avait sûrement un mécanisme où il fallait un humain pour l'actionner. Le journal devait posséder peut-être un esprit, et qui avait touché ce journal avant lui. Ginny Weasley devait être la seule. Il était donc possible que ce journal soit vide et inutilisable. Il le jeta de rage plusieurs mètres plus loin. Tout cette mascarade n'avait servit à rien, et il devait maintenant retrouver la chambre sans aucun indice.
Une goutte s'écrasa alors sur sa paume entrouverte, Harry regarda l'eau avec bizarrerie et leva la tête vers le ciel pour 'apercevoir que de bon vieux cumulus était en approche. La confirmation lui vint en sentant une goutte s'écraser sur son nez. Il grogna quelques chose où le mot « temps » et « merde » était très rapproché dans une seule phrase. Le déluge commença, ses habits furent vite tremper et Harry espéra que le journal soit encore en bonne état. Il se pencha en avant et ramassis le journal. Il regarda les pages et il vit avec surprise qu'elle était en parfaite état, aussi sèche qu'avant. Ce journal était tout bonnement incroyable, son rythme cardiaque augmenta légèrement et il s'élança vers le château.
Il était bien 23 heures passés quand il arriva dans la salle commune. Il descendit dans son dortoir, prit une plume et de l'encre et revint rapidement dans la salle commune. Il ouvrit à la première page le journal, ouvrit avec une certaine fébrilité la bouteille d'encre et plongea sa plume dedans. Il plaça la plume au dessus de la feuille blanche et fit un mouvement sec du poigné, la goutte tomba, s'écrasant sur le papier qui l'absorba aussitôt. Harry était fasciné et recommença plusieurs fois en augmentant de plus en plus la dose.
Soudainement, comme si une plume invisible écrivait, un message apparut sur la page avec laquelle il s'amuser.
- Arrêter de gribouiller sur mon journal. Harry exulta de joie et commença les présentations.
- Je suis Harry Potter, écrivit Harry, ce système de protection est très ingénieux.
- Merci Harry Potter.
- Alors Tom, que peux tu me dire comment tu as ouvert la chambre, tu as posséder l'esprit de Weasley, écrivit brusquement Harry, qui n'aimait pas tourner autour de pot.
- Je vois que tu me connais, répondit Tom, il est donc inutile de te dire que c'est un autre qui a ouvert la chambre.
- Logique Tom, il est normal que je connaisse le meurtrier de mes parents, et le fait que ce journal date de cinquante ans, année où la chambre à été ouverte et le fait qu'elle se rouvre quand le journal est à nouveau là me fait penser que c'est toi, l'héritier de Serpentard. Alors comment as-tu ouvert la chambre et où ce trouve cette dernière, tenta Harry.
- Il serait idiot de te le dire, car il serait alors simple pour toi de me détruire.
Harry referma le journal avec force, ce journal n'était qu'une perte de temps, mais il ne devait pas tomber dans des mains autres que les siennes. Un bruit attira son intention, il venait des marches du couloir des filles. Il se retourna doucement et vit Maria aux pieds des marches, son regard fixé sur le journal d'un œil vide.
- Tu écris ta vie dans ce journal, dit-elle laconiquement. Harry rangea ses affaires, faisant disparaître le journal dans une de ses poches.
- C'est un livre sur les potions, c'est le professeur Rogue qui me l'ait prêté, dit rapidement Harry, mentant avec affront à son amie. Elle le regarda quelques secondes puis remonta dans son dortoir en lui souhaitant bonne nuit. Harry répondit et prit lui aussi le chemin de son lit.
Le lendemain, Harry pensa sérieusement qu'il était temps qu'il rompe avec Weasley pour qu'il soit en paix. Il sortit de sa salle commune de très bonne humeur en ce dimanche de novembre encore très pluvieux. Il jeta un œil à la carte des maraudeurs qu'il avait pensé à prendre et vit qu'elle était dans la grande salle, à la table des Serdaigles, occupée à discuter avec une certaine Luna Lovegood. Harry patienta alors devant les portes, saluant ses collègues de Quidditch entrant dans la salle. Il jeta un regard polaire à Moon qui passait dans le coin, un air je-suis-le-roi qui ne plaisait pas du tout. Il se dégonfla aussitôt et entra rapidement.
Ginny ne sortit qu'une demi-heure plus tard avec sa copine qui avait des radis comme boucle d'oreille. Harry secoua la tête devant le portrait et attira Ginny avec un parafait sort d'attraction. Son amie à côté n'en crût pas à ses yeux. Ginny venait de disparaître dans les ténèbres d'un couloir. Harry la regarda et prit la parole en se montrant, elle sembla être rassuré.
- Bonjour Gin', comment-vas-tu ?
- Bien, répondit-elle.
- Cela va changer, dit Harry. Je te l'assure car je romps avec toi.
- Quoi ? T'es qu'un salop, un sale fils de pute, un petit… commença Ginny, mais Harry, qui n'avait pas trop apprécié les qualificatifs, la gifla avec force.
- Je t'ai dit que je ne sortirais qu'avec toi jusqu'à temps que j'ai le journal. Et tu sais quoi, j'ai le journal. Elle s'écroula en pleure, puis soudainement, elle essaya de le gifler mais Harry l'arrêta avec son avant bras et la repoussa. Bien sûr, reprit Harry, je ne veux aucun ennui avec les jumeaux qui me sont très sympathique, et penses que je t'ai peut-être sauvée la vie, dit-il mystérieusement.
- Que…que vas-tu me faire ?
- Très simple, je vais supprimer tout les souvenirs concernant le journal et notre relation.
Il pénétra alors son esprit, et il fit un véritable ravage, détruisant tout de compromettant pour lui. Cette technique était plus efficace et facile qu'un oubliette, ainsi que moins dangereux pour la victime. Il ressortit de son esprit après avoir détruit la discussion qu'il était en train de faire et disparut dans un couloir pour rejoindre la grande salle pour enfin pouvoir manger, laissant une Ginny complètement dans le vague dans un couloir sombre.
Après avoir mangé en compagnie de Draco, il sortit seul dehors et entama un livre sur les sorts d'attaque dangereux. Et alors qu'il lisait un chapitre très intéressant sur le sort afflicta, il vit déboulé devant lui Draco, tout essoufflé et chose très rare, décoiffé. Il leva les yeux vers lui et vit un air grave peint sur son visage, Harry soupira et se leva du sol pour se mettre en hauteur par rapport à Draco.
- La partie de ta chambre a été fracturé, dit-il, je crois que l'on cherché quelque chose qui t'appartient.
- Je te suis, dit Harry.
Il comprit le désastre lorsqu'il arriva aux dortoirs, son lit avait été basculé sur le côté, et son matelas éventré sur toute la longueur, par un couteau vraisemblablement. Harry, d'un geste précis de la baguette, répara le tout en quelques secondes. Il se porta sur le cas le plus grave, son armoire qu'il avait agrandit avec beaucoup de difficulté pour pouvoir tout y caser avec facilité, ainsi que les quelques sorts de protection trouvé dans un livre et mit en place eux aussi avec difficulté. Il avait bien dormit cette journée là, d'ailleurs.
Son armoire était explosé contre le sol, les affaires éparpillé un peu partout, mais on pouvait remarquer que la plupart des affaires était posé en vrac sur le lit de Draco. On avait bien fouillé ses affaires, et apparemment, la personne avait trouvé car bon nombre d'affaire était encore éparpillé au sol. Il répara sommairement l'armoire, rajouta le sort d'agrandissement qu'il maîtrisait assez bien pour de petites surface mais il devrait refaire les sorts de protection plus tard, il était bien trop complexe pour qu'il s'en rappelle de tête. Il se retourna vers les autres qui le regarder d'un air désolé.
- Sortez, je vais vérifier si rien ne me manque.
Les quatre nommés sortirent à la queue leu leu, Harry leva de nouveau sa baguette et rangea tout ses vêtements, ne pensant pas que quelqu'un viendrait le voler pour des choses si futiles. Les autres objets vinrent voler devant lui avant de se ranger bien tranquillement, Harry maniant sa baguette comme un chef d'orchestre. Lorsque le dernier livre sur les potions prit place dans l'armoire, Harry frappa du poing le mur, et sa mage instinctive réagit aussitôt à la fureur de ce dernier. Il ressortit son poing du mur, le regarda puis le mit dans sa poche, sans aucune égratignure.
Le journal de Jedusort avait disparu, le journal où était conservé la souvenir de Voldemort s'était envolé. Harry se précipita vers le fond du dortoir, et fit glisser la pierre vers lui avec sa baguette, c'est presque avec soulagement qu'il vit que toute la collection de livre de magie noire était bien là. Il était dommage qu'il n'ait pas eu le temps de placer le journal dans cette cachette secrète, déplacer la pierre était assez bruyant. Il la replaça, acceptant le coup du sort et ressortit du dortoir. Il était sur que ce soit un Serpentard, personne d'autre ne connaissait le mot de passe.
Heureusement qu'il avait eu le temps de regarder et inspecté le journal, il n'aurait plus qu'à faire des recherches pour trouver la situation de la chambre des secrets. Le lendemain, Harry se plaça tout au bout de a table des Serpentards, les observant pour savoir qui aurait pu subtiliser le journal du futur mage noir. Il nota que tout le monde avait l'air normal, aucune tension apparente. Il rejeta sa tête en arrière et soupira, sentant de suite que c'était une cause perdu. Il continua de manger lentement, seul, exilé au fin fond de la table, Draco avait préféré le laisser seul, et discuter avec Blaise Zabini, une de ses connaissances qui était très nombreuses.
Après avoir terminé son petit déjeuner, Harry se leva et se dirigea vers le parc, son endroit préféré dans Poudlard. Il fit avec tranquillité le tour du parc, laissant égaré son esprit au plus loin de l'espace. Il y'eut soudainement un sifflement et il sourit légèrement, laissant monter Dur Anor sur son bras.
Il continua pendant encore de longues heures sa promenade, discutant allègrement avec le nouveau venu, avant de se replier vers le château, le soleil étant au plus haut, signe qui l'était bientôt midi. Il préféra cette fois-ci se placer aux côtés de Draco et Maria, qui l'accueillirent en souriant, lui demandant comment il allait. Harry les rassura brièvement et prit place à table. Harry remarqua que la plupart des élèves ne faisait que de parler de la chambre des secrets. Draco en faisait partit.
- J'ai un vain espoir que Granger soit la prochaine victime du monstre.
- Ca ne sera pas une grosse perte, rajouta Maria, elle se croit la reine à la bibliothèque et elle est gonflante à longueur de journée il parait, même si son preux chevalier n'est pas tellement mieux, dit-elle en parlant de Weasley.
- Au fait, demanda Draco en fixant Harry, tu vas racheter un Nimbus 2001 pour le prochain match.
- Etant donné que aucun balai surclassant le nimbus 2000 n'est présent dans d'autre équipe, répondit Harry, le Nimbus 2000 va pouvoir reprendre du service. J'ai d'ailleurs entendu qu'une nouvelle marque allait se lancer, avec un balai qui surclasserait tout les autres. Je pense que je vais attendre afin de me l'acheter.
- Ah bon, s'exclama Maria, c'est quoi cette marque.
- Elle vient des pays de l'est, la société « éclair », qui est très connu là-bas.
Ils continuèrent leur discussion avant que les deux garçons soient obligés de partir pour un entraînement spécial de Quidditch. Harry ressortit de son armoire son ancien balai, prit ses affaires et s'en alla vers le terrain où Flint et les autres les attendaient. Harry n'attendit pas longtemps et il monta sur son balai.
Il regarda Draco s'entrainer au tir au but avant de prendre de la vitesse. Par un sentiment qu'il ne comprenait pas, il préférait ce nimbus que le 2001, qui était pourtant plus rapide. Peut être que le fait que ce soit son premier balai renforcé cette sensation qu'il se sentait mieux sur ce balai qu'aucun autre.
L'entrainement dura une petite heure, l'équipe ne craignait vraiment pas les Poufsouffles à part son attrapeur, Cédric Diggory, un cinquième année. Ils se douchèrent joyeusement, fière de l'équipe et de conserver avec sureté la coupe pour une année, la huitième ou neuvième fois, Harry ne savait plus.
Dans la salle commune, il fit et termina tout ses devoirs, et élargis son vocabulaire de sortilège, et apprit de nouvelle coutume des sorciers, Harry se sentant légèrement inférieur sur ce point à Draco ou même Maria, ce que les deux avaient tout de suite remarqué. Ils l'aidaient donc à en apprendre plus sur cette communauté secrète. Il claqua le livre vers 23 heures et partit se coucher, en ce dimanche soir.
La semaine de cours de passa bien, Harry surclassant à chaque fois Granger dans toutes les matières, ce qui avait le don d'énerver cette dernière. Harry s'amusait donc beaucoup à la ridiculiser devant tout le monde, le cours de potion était d'ailleurs le mieux pour ça, le professeur Rogue étant toujours à ses côtés. Il trouva d'ailleurs pitoyable que Granger reste après un cours de Lockhart où il avait vu comment attraper un loup garou, bien sur, il fallait s'appeler Lockhart pour y arriver.
Lorsque le match opposant Serpentard à Poufsouffle débuta, il pleuvait à drue, Harry se jeta un sort de chaleur corporelle et un autre d'imperméabilité sur ses vêtements et ses lunettes. C'est donc dans de meilleures positions que l'équipe de Serpentard inscrit son premier but. Il observa l'attrapeur adverse, grand et brun, un physique à faire tomber les filles en somme.
Il vit soudainement arriver deux cognards vers lui, tout les deux en même temps, Harry les évita de justesse, faisant applaudir le public. Il fit la grimace quand il vit les deux cognards revenir. Il ne le sentait pas trop ce match. Un cognard, ça va, mes deux, c'est déjà plus compliqué. Il fit donc un exercice de haute voltige, évitant les cognards avec l'aide de magnifique prouesse. Le problème est qu'il n'avait aucune concentration pour trouver le vif. Il remarqua aussi qu'il était très rapide, trop rapide même.
Il jeta un regard vers Diggory et vit ce dernier foncer vers le bas. Harry jura et le coursa, le rattrapant rapidement. Il fit un alors un truc de assez dangereux, tournant autour de l'attrapeur comme si c'était un axe de rotation. Il passa soudainement devant, sous l'œil effaré de Diggory qui se prit les deux cognards dans les épaules. Il aperçut le score, et vit qu'il distancé les Poufsouffles de 100 points
Harry reprit sa course folle, les deux cognards à sa suite, et laissant Diggory un peu dans le vague. Il était près du gardien de son équipe, il absorba alors de la vitesse, mais tout en restant sur place, technique très dangereuse et compliqué. Il vit les cognards arrivés sur lui, un à droite, un autre à gauche. Il relâcha le tout, les deux cognards se fracassèrent, loupant Harry de quelques centimètre à peine. Il s'était accroché avec force, car il était partit comme un boulet de canon. S'il s'était mal tenue, il aurait pu rester sur place tandis que son balai serait partit au loin. Tous ses muscles se contractèrent de douleurs
Il nota avec déplaisir que les deux boules noirs l'avait repris en poursuite, et le rattraper alors que son balai était au maximum de sa puissance, tremblant légèrement. Il passa dans le but gauche adverse, les cognards évitèrent de peu le cercle en or. Et alors qu'Harry entamait son virage. Un des cognards le frappa par-dessous, cassant nette le balai en deux tandis que l'autre le frappait en plein ventre. Le silence ce fit dans le stade. Harry chuta, et aperçut le vif passait sous son nez, il attrapa dans un réflexe étonnant. Il sentit alors les deux cognards le frapper sur sa main gauche, la cassant aussitôt. La douleur se propagea dans tout son corps et Harry grogna.
Il allait lancer son bouclier sous ses pieds quand le cognard fit son retour, le frappant violemment sur la tête, l'assommant aussitôt. Il se réveilla, le corps en feu et plein de douleurs. Il sentit autour de lui des exclamations. Il ouvrit les yeux et trouva le ciel noir d'encre, il était encore sur le terrain apparemment. Il vit alors Lockhart arriver, poussant tout les autres élèves. La boue avait du amortir sa chute, et au lieu d'être mort, il avait tout ses os de cassée.
- Oh non, pas vous, dit Harry d'un ton faible.
- Il ne sait plus ce qu'il dit, claironna Lockhart aux autres élèves qui se massait autour de lui. Je vais te soigner Harry, ne te fais pas de soucis.
- Il n'en n'est pas question, s'écria Harry. Il entendit un déclic et Harry hurla. Crivey ! Dégage où je te fais la peau !
- C'est un sortilège très simple, Harry, dit Lockhart d'un ton apaisant.
- Je m'en doute mais connaissant vos possibilité en thermes de magie, je préfère aller à l'infirmerie, on la paye pour ça, non. Et puis ça lui fera du travail, je crois que j'ai une bonne partie des os de casser.
- Ce serait préférable, approuva Flint qui était couvert de boue. Bien joué Harry, on peut presque dire que la coupe est dans la poche.
- Reculez-vous, dit Lockhard en retroussant ses manches. Harry, dans un effort suprême, réussit à sortir sa baguette avec un petit mouvement de poignée et il envoya valdinguer Lockhart à l'autre bout du terrain, passant au dessus de tout le monde. Il vit alors un visage familier.
- Maria, sort moi de là s'il te plaît, supplia Harry.
- C'est bon Harry, tu vas bien, demanda-telle inquiète en s'agenouillant à ses côtés.
- Je pète la forme, cela se voit donc pas, ironisa Harry.
- C'est pas drôle, bouda-t-elle.
Elle fit apparaître une civière et le posa dessus avec un sort de lévitation parfaitement contrôlé. Il passa devant tout le monde et Draco le rejoignit en courant, il lui répéta la même chose qu'à Maria, cette dernière souriant légèrement, mais regardant Harry d'un air inquiet. Lorsqu'il arriva à l'infirmerie et que Mrs Pomfresh vit son état, elle avala de travers son jus de citrouille et prit tout de suite les commandes.
Mr Malefoy, allez chercher le directeur, le mot de passe est pistache,
- Bien Madame, dit Draco en s'en allant.
- Miss Zwillinger, aidez moi à allonger Mr Potter sur ce lit.
Harry du alors absorber un nombre assez conséquent de potion, Mrs Pomfresh murmurant des insultes contre ce sport dangereux. Maria était assise à côté de son lit, lui tenant la main pour le rassurer. Dumbledore déboula alors dans l'infirmerie, avec Draco sur ses talons.
- Alors Pompon, comment va notre patient, dit-il en s'approchant du lit de Harry.
- Je me demande encore pourquoi il n'est pas mort, dit-elle gravement, en tout cas un moldu ou même un sorcier de premier cycle aurait du mourir, le fait est que même si Mr Potter à presque tout ces os en miette, il est toujours là. Je pense donc que sa magie la garder en vie.
- Intéressant, murmura le directeur, seul les plus grands sorciers peuvent utiliser la magie pour résister à des accidents. Je suis très impressionné Harry, mais je suppose que tu n'en n'as pas fait exprès.
- Oui, répondit Harry, mais j'aimerais que vous révisiez vos cognards, cela fait deux fois en deux match qu'il me bastonne.
- Je vais allez vérifier tout de suite Harry, bon rétablissement, au revoir Pompon.
Il y'eut un silence après la sortie du directeur, puis Harry prit la parole.
- Je sors quand ?
Des heures plus tard, Harry se réveilla soudainement dans le noir et laissa échapper un petit cri de douleur, il avait encore mal partout. Il se demandait si les sorciers connaissaient la morphine. Il sentit alors que quelqu'un lui éponger le front dans l'obscurité. Il reconnu avec surprise Dobby, l'elfe de maison. Les yeux énormes de l'elfe de maison le fixèrent avec tristesse.
- Vous êtes revenue à l'école, vous aviez promis. Vous savez ce qui se passe ici. Pourquoi Harry Potter n'est-il pas retourner chez lui après avoir raté le train. Harry fronça les sourcils.
- Tu as donc bloqué la barrière, commença Harry furieux, puis tu envoies deux fois de suite des cognards pour que je retourne chez moi.
- La vie s'est amélioré depuis que vous avez triomphé du seigneur des ténèbres, chaque créature vous en est redevable
- Tu sais où se trouve la chambre ? demannda Harry.
- Non, même mon maître ne le sait pas. Un bruit de pas se fit entendre. Je dois y aller, on ne doit pas me trouve là.
Il y'eut un craquement et l'elfe disparut, sous les yeux éberlué de Harry, qui croyait que cela était impossible de transplané. Il se souvint alors que la magie des elfes de maison n'était pas identique à la leurs. Harry se leva, curieux de savoir qui venait à l'infirmerie à cette heure-ci. Il se dégourdit les jambes et vit avec satisfaction que tout fonctionner.
Il s'étira, faisant craquer tout ces os et vit avec surprise Dumbledore entrer à reculons, avec le bout d'une statue dans les bras. C'était la première fois qu'il voyait Dumbledore en robe de chambre et coiffé d'un bonnet de nuit. Harry alluma les lumières de sa baguette et vit alors Crivey transformé en statue, les yeux grands ouverts et ses mains tendues devant lui tenaient son appareil photo. McGonagall apparut, portant l'autre bout du pétrifié, qu'ils déposèrent sur un lit.
- Harry, va chercher Madame Pomfresh vu que tu es réveiller.
Harry alla vers le fond de la salle, entra dans le petit bureau et toqua à une porte blanche où était marqué « Chambre ». Elle ouvrit presque aussitôt.
- Que faîtes vous là, Potter.
- Y'a un patient pétrifié en salle d'attente, dit Harry d'un ton badin. Elle prit sa trousse de secours et sa baguette posée sur le bureau avant de rejoindre Dumbledore et McGonagall. Harry se posta devant le lit.
- Que s'est-il passer, Mr Potter m'as parlé d'une pétification., dit-elle en se penchant vers la statue.
- En effet, une nouvelle agression, dit Dumbledore, Minerva l'a trouvé dans l'escalier.
- Il y'avait une grappe de raisins à côté de lui, dit McGonagall. Je pense qu'il voulait vous voir, Potter.
- J'n'ai pas du crier assez fort alors, répondit Harry en haussant les épaules. Je déteste le raisin en plus; je pense qu'il serait intéressant de jeter un coup d'œil à l'appareil photo par contre. Dumbledore acquiesça et prit l'appareil des mains de Crivey, il ouvrit.
- Pas de chance, résuma assez bien Harry. L'agresseur a dû faire cramer la pellicule pour être tranquille.
- Fondu, dit Mrs Pomfresh d'un air songeur, que cela signifie t-il Albus. Ce dernier fixa Harry de ses yeux bleus et répondit.
- Cela veut dire que la chambre des secrets à bel et bien été ouverte une deuxième fois.
Mrs Pomfresh plaqua une main contre sa bouche. McGongall regarda Dumbledore avec de grands yeux ronds.
- Mais Albus…qui…
- Ce n'est pas le « qui » qui importe, coupa Harry, faisant tourner tous les visages vers lui, mais c'est le « comment » qui compte. Comment la chambre a été ouverte ? Comment l'agresseur fait il pour pétrifier ses victimes avec autant de peur , dit-il en fixant les yeux terrifié de Crivey.
- Et comment l'arrêté, ajouta Dumbledore en baissant la tête.
McGonagall et Mrs Pomfresh regardèrent Dumbledore et Harry avec des yeux effarés, ne comprenant strictement rien.
Lorsqu'Harry sortit de l'infirmerie le dimanche matin, la salle de l'infirmerie était baignée d'un soleil d'hiver étincelant. Le lit de Crivey était entouré d'un rideau qui empêchait de voir quoi que ce soit. Harry enfila son pontalon en cuir noir et sa chemise en soie que Draco avait eu la bonté d'apporter ce matin avant qu'il se réveille. En passant devant la bibliothèque, il croisa Percy Weasley qui en sortait et semblait de bonne humeur. Il passa à côté de lui sans lui jeter un regard et continua sa route vers la salle commune. Il fit soudainement demi-tour et entra dans la bibliothèque et prit défense et protection et attaque défensive, deux livres qui permettrait de rendre son armoire inviolable.
Mrs Pince fit de gros yeux en voyant les deux livres qu'empruntait le deuxième année mais le laissa faire comme Dumbledore lui avait dit il y'a près d'un an et demi. Harry s'en alla donc sans aucun souci vers sa salle commune.
Il ouvrit le premier livre et apposa un sort d'inviolabilité à l'armoire ainsi qu'un sort de reconnaissance magique, chose qu'il n'avait pas fait la dernière fois. Il jeta ensuite des sorts anti-destruction et anti-déplacement et apposa une alarme magique pour savoir si on tenterait de fracturer la porte de l'armoire de manière moldue. Il jeta les mêmes sorts sur la pierre avec un sort de discrétion, pour que toute personne s'approchant de trop près ne voie pas la micro fissure qui encadrait la pierre.
Il ouvrit ensuite le deuxième livre, il mit la toute la journée à le lire puis il prit une incantation qu'il apposa sur l'armoire qui l'entourait d'un champ magnétique qui repoussait toute objet s'approchant à 5 cm de l'armoire. Harry enleva sa chaussure et la balança vers l'armoire, elle repartit aussitôt dans l'autre sens, une lueur bleuté avait montre que le bouclier avait fonctionné. Harry se baissa, évitant sa propre chaussure de venir dans sa figure. Il se rechaussa et entendit Draco dirent.
- Je ne touche plus à ton armoire, jura-t-il en mettant la main au cœur.
- Oh Draco ! dit Harry surpris. Je ne t'ai pas entendu arriver. C'est pour empêcher que quelqu'un revienne fouiller dans mes affaires si intéressantes. Je vais dormir maintenant, ces sorts m'ont épuisé. Il se déshabilla et entra entre ses couvertures bien chaude, béni était les elfes de maisons.
Une semaine plus tard, Harry, Draco et Maria traversaient le hall d'entrée lorsqu'ils virent un groupe d'élèves rassemblés autour du tableau d'affichage. Un morceau de parchemin venait juste d'y être épinglé. Crabbe et Goyle s'occupèrent de débarrasser le terrain avec de grand coup coude pour que Maria, entouré de Harr et Draco puissent passer facilement.
- Un club de duel, dit Maria, cela peut être intéressant. La première séance est ce soir.
- Tu crois que le monstre de Serpentard est du genre à se battre en duel ? dit Harry en souriant, sachant parfaitement qu'un basilic foncer plus dans le tas qu'autre chose.
- On y va juste pour observer, proposa Draco. Les deux autres acquiescèrent.
- Alors Granger, on est intéressé par un petit duel, dit Draco en apercevant le trio composé de Granger, Weasley et Thomas.
-Tu t'en fous je suppose que Colin se soit fait attaqué, répliqua Weasley.
- Je pense que je devrais remercier le magnifique monstre de Serpentard pour avoir éliminé ce photographe qui m'emmerde depuis le début de l'année, dit Harry d'un ton calme.
- Tu n'es qu'un sale serpent, Potter, jura Thomas entre ses dents. Tu ne mérite pas du tout ta célébrité.
- Pour une fois, je crois qu'un Gryffondor a raison, intervint une voix.
- Moon, tu veux refaire un tour dans la soupe des Serdaigles, railla Draco, où tu veux devenir ami avec cette tâche de Weasley.
- On se casse, dit Harry en faisant un sourire mauvais, ça sent pas bon par ici, trop d'emmerdeur au centimètre carré je crois. Crabbe et Goyle ouvrirent le passage avec facilité et ils disparurent au coin d'un couloir en éclatant de rire.
Le soir, les longues tables avaient disparu et une estrade dorée avait installée contre le mur, éclairée par des milliers de chandelles qui flottaient dans l'air. La presque totalité des élèves était présent, la baguette à la main et l'air surexcité, Harry et ses amis était arrivé dans les derniers.
- Je me demande qui va être le prof, dit Harry. Je sais que Flitwick était un champion de duel dans sa jeunesse. Le professeur Rogue es très bon aussi. Ce sera peut-être lui.
- 50 pour cent de bonne réponse Harry, dit Maria en regardant l'estrade où Rogue et Lockhart venait d'apparaître.
- Approchez-vous ! Approchez-vous ! Tout le monde me voit ? Tout le monde m'entend ? Parfait ! Le professeur Dumbledore m'a donné l'autorisation d'ouvrir ce petit club de duel pour vous enseigner des méthodes de défense au cas où vous auriez besoin de faire face à une agression quelconque, comme cela m'est arrivé d'innombrable fois. Le professeur Rogue sera mon assistant pour une démonstration, mais votre maître des potions sera toujours en état pour faire cours demain, il y'a aucune inquiétude.
- Qui parie que Lockhart se prend une défaite en pleine figure, dit Harry assez fort pour que les professeurs entendent.
Une bonne partie des hommes crièrent « moi », ce qui sembla gêner le professeur Lockhart. Le professeur Rogue lui fit un clin d'œil et se mit en position. Ils se saluèrent et levèrent leurs baguettes magiques comme des épées.
- Nous tenos nos baguettes ans la position de combat règlementaire, le premier sort sera jeté à trois, dit Lockhart au public. Le professeur Rogue lui fit un rictus effrayent.
- UN…DEUX…TROIS…
Tous les deux brandirent leur baguette par-dessus leur épaule.
- Expelliarmus! .
Il y'eut un éclair aveuglant de lumière rouge et Lockhart, au grand contentement de Harry fut soulevé du sol puis violemment projeté contre le mur du fond. Le dos contre la pierre, il glissa lentement et s'affala par terre. Harry applaudit avec d'autres Serpentards leur professeur.
- Un parfait sortilège de désarmement que j'aurais pu facilement bloqué, mais je voulais que les élèves l'apprennent dans le feu de l'action.
Rogue lui lança un regard assassin que Lockhart avait du voir car il annonça :
- Le spectacle est terminé ! C'est à vous de jouer maintenant ! Je vais passer parmi vous pour vous mettre deux par deux. Professeur Rogue, si vous voulez bien m'aider…
Ils descendirent de l'estrade et Rogue s'occupa aussitôt du groupe de Serpentard de Harry et de celui de Granger, qui était juste à côté, ce qui fit grimacer ce dernier groupe.
- Mr Potter contre Miss Granger, cela devrait être intéressant. Ne l'abimer pas trop Mr Potter. Mr Malefoy avec Thomas et Miss Zwillinger contre Weasley.
Le professeur s'en alla ensuite vers un autre groupe, mélangeant avec sadisme les maisons. Après avoir mit tout le monde deux par deux, ils remontèrent sur l'estrade et lancèrent le début des duels.
Harry sortit ses deux baguettes d'un geste précis des mains. Granger avala sa salive. Il lança un sort de chatouille et de bloque jambes qu'elle réussit à éviter en plongeant, Harry ne s'embarrassa pas des détails et lui envoya un double sort de désarmement qui se combinèrent et envoya la pauvre fille contre le mur de derrière, à peu près comme Lockhart. Harry rattrapa sa baguette et la fourra dans sa poche.
Granger se releva et s'approcha difficilement de lui. Elle fonça soudainement sur lui. Harry fit un petit pas sur le côté, lui prit les épaules et l'envoya valdinguer loin derrière lui. Il se frotta les cheveux, elle en avait arraché quelque uns au passage, il grogna légèrement et s'approcha d'elle. Il ramassa ses baguettes, Granger se releva à l'aide du mur et Harry lui envoya son poing à la figure mais elle se baissa, Harry massa sa magie, formant un petit bouclier bleu qu'il métrisait parfaitement bien maintenant.
De la poussière tomba sur la tête de Granger, qui avait les genoux plié et sa au niveau de son bassin. Sous ses yeux effarés, il ressortit son poing intact du mur qui avait par contre, lui, assez souffert.
- J'ai dit désarmer, intervint Lockhart.
Harry haussa les épaules et répara le mur avec sa baguette. Il jeta un œil aux pour voir où ils en étaient. Il vit Thomas accroché au mur par les bons soins de Draco tandis que Maria avait posé son pied sur le dos d'un Weasley stupéfixier rempli de honte. Il leva le pouce en signe de victoire.
- Hou, là, là ! s'eclama Lockhart en observant le carnage. Je crois que je ferais mieux de vous apprendre à neutraliser les mauvais sorts. Prenons deux volontaires, Londubat et Finch-Fletchley, par exemple…
- Très mauvaise idée, coupa Rogue, Londubat sème la désolation à chaque fois, prenons Mr Potter et Mr Moon.
- Excellente idée ! approuva Lockhart. Venez vous deux, montez ! Harry, quand il pointera sa baguette contre toi, tu feras ce geste. Il lui fit le geste avec sa baguette et la laissa tomber par terre.
- Pitoyable, murmura Harry.
- Tu as peur Potter, dit Moon.
- C'est toi qui devrais avoir peur, répliqua Harry d'un ton acide.
- TROIS…DEUX…UN…
Moon leva aussitôt sa baguette magique et s'exclama :
- Serpensortia !
L'extrémité de sa baguette explosa et un serpent noir jailli de sa baguette qui se dressa, prêt à mordre. La foule des élèves recula aussitôt en poussant des cris de terreur. Harry se demandait ce qu'il allait faire quand d'autres sifflement lui parvinrent aux oreilles. Dur Anor était toujours làau bon moment apparemment. Il siffla « attaque » en fourchelangue et créa de sa baguette un flash de lumière pour que tout le monde croient que c'est un sort.
Tout le monde aperçu alors le deuxième serpent et Harry réitéra son ordre. Il vit avec amusement tout le monde le regarder avec peur. Dur Anor fit une attaque foudroyante et planta ses crocs dans le sort qui disparut en un tas de cendre noir. « Attaque Moon » siffla Harry en jubilant en voyant la lueur apeuré de tout le monde.
- Déclare forfait Moon, le mamba noir pourrait détruire en moins de vingt minute tout ton système nerveux. Une mort horrible assurément. Moon jeta un sort que le Dur Anor évita avec flegme. Tant pis, reprit Harry. Il siffla « Approche-toi de lui ». Dis bonjour à la mort de ma part. Il y'avait un silence deplomb dans la salle.
- Ok, couina Moon, transit de peur. Il jeta sa baguette et partit en courant hors de la grande salle. Harry éclata de rire et laissa Dur Anor remontait le long de sa jambe et de venir se lover autour de son cou sous les yeux dégouté de la plupart de la salle. Draco et Maria le regarder en faisant un drôle d'air.
Harry quitta la salle, et tout le monde fit un grand bon en arrière sous le regard amusé d'Harry. Draco et Maria le suivirent jusqu'à la salle commune. Harry prit place dans un fauteil, carressant la tête de Dur Anor devant le regard peu avenant de Draco et de surtout Maria.
- Je veux bien que tu es un serpent Harry, dit Draco, mais être fourchelangue, ça me dépasse.
- C'est grâce à Dur Anor que j'ai réussi à connaître le monde de la magie, dit Harry, je lui dois beaucoup de chose, et sans mon don de fourchelangue, je paris que je serais un extasié du monde de la magie et à Gryffondor ami avec Granger et Weasley.
Draco et Maria grimacèrent de dégout.
- Pourquoi ne pas l'avoir dit pour ce don, demanda Draco.
- Je ne te pensais pas prêt, dit Harry en le regardant droit dans les yeux.
- Alors pourquoi maintenant, demanda-t-il.
-J'avais envie de m'amuser un peu, dit Harry, et Dur Anor n'était pas loin alors j'en ai profité pour donner la pétoche à tout le monde, mais surtout à Moon. Maria lui décoiffa les cheveux en riant.
- Tu sais que tout le monde va croire que tu es l'héritier de Serpentard, dit-elle d'un ton grave.
- Qui vous dit que je ne le suis pas, dit-il mystérieusement, les plantant là, Harry alla se coucher.
- Harry ! Reviens ! Crièrent-ils à l'unisson.
Le lendemain, ils apprirent que le cours de Botanique était annulé à cause du mauvais temps. Harry vit que tous les élèves détournaient le regard devant lui, Harry trouva que c'était un bon moyen d'avoir la paix. Il emprunta un couloir pour raccourcir son chemin jusqu'à sa salle commune. Le froid avait éteint toute les torches, Harry alluma alors sa baguette et vit une scène étrange. Finch Fletchley était étendue sur le sol, pétrifié. Mais une autre chose était plus intéressante, Nick Quasi Sans Tête, le fantôme de Gryffondor avait perdue sa blancheur et sa transparence pour ressembler à une fumée noire et opaque à quinze centimètre du sol.
Peeves, qui passait par là, s'écria aussitôt sous les oreilles désappointé de passé inaperçue d'Harry.
- ATTAQUE ! ATTAQUE ! NOUVELLE ATTAQUE ! AUCUN VIVANT, AUCUN FANTOME N'EST A L'ABRI ! SAUVE QUI PEUT ! ATAAAAAQUE !
Bang…Bang…Bang…. Les unes après les autres, les portes s'ouvrirent à la volée tout au long du couloir, et une foule d'élève et de professeur. La confusion fut telle que Justin faillit être piétiné et que Nick Quasi Sans Tête fut traverser plusieurs fois. McGonagall intervint rapidement et remis un peu d'ordre, renvoyant tout les élèves dans leurs classes.
- Pris sur le fait ! s'exclama McMillan, un Poufsouffle en le montrant du doigt.
- Oh mon dieu, je vais mourir, railla Harry. Tais-toi McMillan.
- Taisez-vous. Peeves ne l'entendit pas de cette oreille et entonna un chant.
Potter, voilà encore une de tes ruses
Décidément, tuer les élèves, ça t'amuse…
- Ca suffit Peeves ! Aboya le professeur.
- Jolies rimes Peeves, s'écria Harry, donne moi la suite quand tu l'auras. L'esprit frappeur s'en alla en tirant le chapeau à Harry.
- Suivez-moi Potter, dit McGonagall pendant que Justin fut envoyé à l'infirmerie et que le fantôme fut poussé avec un éventail par McMillan. Harry entra alors dans le bureau de Dumbledore. McGonagall expliqua brièvement la situation avant de s'en aller précipitamment pour prévenir Chourave que un des ses élèves avait été attaqué.
- Bonjour Harry, dure semaine n'est-ce pas ?
- En effet, elle n'est pas de tout repos, dit Harry en fermant doucement son esprit.
- Est-ce qu'il y'a quelque chose qui te tracasse, et dont tu aimerais me faire faire part, dit-il d'une voix douce. Quel que soit le sujet.
- Eh bien c'est pour mon projet d'aller au japon, commença Harry, il faudrait que j'aille voir Shon, mon entraineur pour savoir le nom du maître. Et je n'ai pas envie de quitter Poudlard juste pour ça, j'ai pas mal de recherche à la bibliothèque. Dumbledore réfléchit puis répondit.
- Tu pars avec le Poudlard express et tu reviens le lendemain avec le Magicobus. Ceci à une seule condition, dit Dumbledore, je veux que quelqu'un t'accompagne. Beaucoup de mangemorts veulent te tuer et tu n'es en sécurité que chez les Dursley.
- Qui ? demanda Harry.
- Un ami de tes parents te conviendrait-il ? proposa le vieil homme.
- C'est d'accord, dit Harry avant de s'en aller en se demandant qui il aurait comme chaperon, peut être qu'il en saurait plus sur ses parents.
Le lendemain, quand McGonagall passa dans les classes pour savoir qui retournait chez eux pour les fête de noël, ce fut une véritable rué et quand Harry prit place dans le train, il ne devait rester qu'une dizaine d'élève dans Poudlard. Draco et Maria ne furent pas surpris, Harry leur ayant dit qu'il s'en allait pour deux jours, peut-être moins.
Le train s'arrêta en gare de King Cross en fin de journée, Harry resta assis dans son compartiment qu'il avait prit pour lui tout seul. Quand il n'entendit que le vent soufflant contre le train, Harry prit sa veste noire et passa son sac en bandoulière par-dessus son épaule. Il ne restait plus qu'une seule personne qui attendait, il le vit et il s'avança. Il avait les cheveux bruns avec des mèches blanches et avait l'air très fatigué.
- Tu es Harry n'est ce pas, tu ressembles extraordinairement à James, dit-il avec une certaine émotion. Tu as par contre les yeux de ta mère.
- Je vous remercie, Dumbledore m'as dit que vous étiez un ami de mes parents, demanda Harry.
- Je suis Remus Lupin, dit-il, un grand ami de tes parents.
- Le dernier maraudeur, murmura Harry.
- En effet Harry, dit-il en lui faisant un clin d'œil.
- Je sais aussi que vous êtes un…un loup garou, hésita Harry. Il perdit son sourire. Mais si mes parents vous ont fait confiance, vous avez ma confiance et mon amitié, ajouta-t-il rapidement.
- Merci Harry, appelle-moi Remus si tu veux. Comment as-tu appris pour ma condition, dit-il en prenant la direction de la barrière.
Il lui raconta donc sa retenue de l'année dernière, et en contre partie, il lui raconta beaucoup d'anecdote sur les maraudeurs ainsi que sur ces parents et les frasques du petit Harry. La dernière fois que Remus avait vu Harry, c'est quand il avait 7 mois, avant que la prophétie soit annoncé, mais ça, nos deux protagonistes ne le savent pas, pas encore du moins.
- Deux tickets pour le complexe sportif.
- Harry, te revoilà, s'exclama le guichetier.
- Hey ! Marc, tu va bien.
- Tranquille, allez, c'est gratuit pour toi et ton ami aujourd'hui, salut.
- Merci à toi, dit Harry en prenant les tickets.
5 minutes après, il était dans le train qui menait au lieu ou s'entraînait Harry pendant tout l'été. Le voyage dura une bonne demi-heure puis Harry et Remus arrivèrent devant le complexe. Harry emprunta l'un des nombreux chemins, Remus regardant avec de gros yeux le complexe sportif. Harry se présenta au guichet.
- Tiens, mais c'est Harry. Comment ça va dans ton internat.
- Très bien Vanessa, répondit Harry, tu sais où est Shon tout de suite.
- Il est chez lui. Elle nota quelque chose sur un bout de papier et le tendit à Harry. Tu n'as qu'à aller chez lui, il sera heureux de te voir.
Ils firent le trajet à pied, l'endroit ne se trouvant pas loin. Il sonna à la porte d'un petit immeuble de quatre étages.
- C'est qui ? demanda une voix féminine sortant de l'interphone.
- Harry Potter, dit-il en enfonçant le bouton.
-….C'est bon, j'ouvre.
Il y'eut un claquement sec et Harry poussa la porte. Ils montèrent les marches silencieusement et Harry sonna à la porte qui s'ouvrit aussitôt. Harry serra la main à Shon qui essaya de le mettre par terre. Harry chuta et se releva aussitôt en enlevant d'un geste fluide son sac. Il y'eut un cafouillis entre les deux hommes puis Harry se trouva dessus Shon, qui avait les bras et les jambes bloquées.
- Je deviens vieux ma parole, dit ilen se relevant.
- Salut, je ne te dérange pas, demanda Harry.
- Non, pas du tout, qui t'accompagne, demanda-t-il en regardant Remus.
- Remus Lupin dit Harry sans hésiter, mon prof de sport à l'internat.
- Bonjour Monsieur, et bien entrez. Ils entrèrent dans la cuisine où tout le monde était attablé. Chérie, je te présente Harry et son prof de Sport, Remus Lupin.
- Bonjour Messieurs, dit la femme de 40 ans, blonde et assez grande. Shon m'as beaucoup parlé de toi, et vu le raffut que tu as fait, vous vous êtes battus.
- Je te présente aussi mes deux filles, Sandy, dit-il en pointant de la main une fille de 16 ans, tout en noir avec des colliers avec des pointesun peu partout et Gabrielle, en pointant une autre fille de seize ans, qui était presque l'exact contraire de sa sœur. Elles sont jumelles et préfèrent avoir le plus de différence. Harry les salua toute les deux et se retourna vers Shon.
- C'est pour le stage, dit-il, mon directeur aimerait savoir le nom et la localisation du maître.
- C'est maître Chuan Heng Maï , et il habite dans une sorte de monastère japonais en haut de Fuji yama.
- Et bien on va vous laisser, dit Remus en parlant pour la première fois. Nous avons beaucoup de choses à faire et on ne veut pas déranger.
- Non, c'est bon, vous pouvez rester manger, dit Shon. Vous venez à peine d'arriver.
- Professeur, demanda Harry, c'est vous qui décider.
- Je comprends pourquoi on t'a envoyé à Serpentard, dit Remus, tu es bien trop rusé pour ton bien. Harry lui fit un sourire éclatant et s'assit entre les deux sœurs.
Le diner se passa dans la bonne humeur, Harry parlant de technique de judo avec Shon, ce qui laissa tout les autres sur les carreaux qui parlèrent de chose bien plus banale. Ils quittèrent la famille de Shon vers 22 heures 30. Harry exposa l'idée d'aller dormir chez les Dursley, voulant dire joyeux noël à son cousin. Remus lui prit le bras et ils transplanèrent sous l'air émerveillé d'Harry. Il trouva que le transplannage était assez compressant et qu'il préférait le métro, même aux heures de pointe.
Harry souleva un pot de fleur, prit la clef en dessous et entra dans la maison. Harry montra à Remus la chambre d'ami et le laissa là puis il rejoignit sa propre chambre où il s'endormit très vite. Le lendemain, Harry souhaita avec Remus un bon noël aux Dursley puis ils entrèrent avec Dudley dans sa chambre. Il écrivit quelque chose, puis l'effaça avant de réécrire.
- C'est quoi, demanda Remus, en pointant le stylo.
- C'est un stylo plume, dit Dudley en fixant Remus d'un air bizarre.
Harry se rappela alors de cette objet et trouva que c'était beaucoup plus pratique que de transporter une bouteille d'encre. En voyant la tête de Remus, il vit qu'il avait la même pensée. Dudley sortit alors son paquet de cigarette et en tendit une à Harry.
- Je sais que tu as arrêté, dit Dudley, mais c'est juste pour noël d'accord. Harry la prit et ils fumèrent tranquillement.
Ils s'en allèrent de la chambre en transplanant vers le chemin de traverse, Harry voulant acheter des cadeaux pour ses deux amis. Ils passèrent par Gringotts où Harry retira une certaines somme de galion avant de s'en aller vers une bijouterie sur le chemin de traverse. Il acheta pour Maria un collier, des boucles d'oreille et un bracelet qui était très jolie. Il alla ensuite vers le magasin de Quidditch où il acheta pour Draco le kit de protection pour les poursuiveurs professionnels. Il acheta ensuite un chaudron dernier cri pour le professeur Rogue afin de le remercier pour lui avoir apprit l'occlumancie et la légilimancie.
Il offrit le reste de sa bourse, soit près de 75 galions, à Remus, ne savant pas ses goûts. Harry du mettre toute sa volonté pour que l'ami de ses parents accepte. Et il le força à utiliser ceci pour se refaire une garde robe. Remus sourit légèrement à Harry, trouvant que le fils de James et Lily était formidable. Harry tendis son bras et Remus le serra bien fort avant de transplané. Ils atterrirent devant le château et firent le reste du chemin à pied. Remus s'arrêta devant la grande porte, et jeta un œil au saule cogneur avant d'entrer dans Poudlard.
- Je dois absolument te présenter à Fred et George, dit Harry, il vous tienne en grand respect tu sais.
- Je te suis Harry, je fais que ça depuis deux jours, répondit-il en souriant.
- Je vais aller poser mon sac avant, tu m'accompagne, tu pourras voir la salle de Serpentard.
Remus acquiesça et le suivit dans le dédale de couloirs. Il dit le mot de passe au mur qui s'écarta pour se retrouver face…à lui-même. Remus fronça les sourcils en regardant les deux Harry.
- Euh ! Je crois qu'on a un imposteur.
Remus resta dans l'ombre, attendant de voir ce qu'il allait se passer. Harry numéro deux, Crabbe et Goyle dégénèrent leur baguette. Harry numéro réagit aussitôt et sortit à la vitesse de l'éclair ses deux baguettes. Il y'eut un grondement et un flash blanc aveuglant. Harry entra et invita Remus de faire de même. Il bloqua l'accès de la salle commune avec le bouclier qu'il avait utilisé contre son armoire et qui marchait si bien pour renvoyer les chaussures.
- Draco, tu me remplace déjà alors que je ne suis partit que deux jours, je suis déçu.
Draco regarda alors Harry numéro deux se relever et haussa les épaules, ne comprenant strictement rien. Maria, qui était à ses côtés n'en menait pas large.
- En fait, je suis tellement beau que tout le monde veut mon corps, dit-il, la Potter attitude ; parce que vous le vallez bien.
Remus éclata d'un rire tonitruant, il n'avait pu s'en empêcher, il avait devant lui le digne fils de James, avec un peu de Black. Harry regarda alors les trois imposteur se plier de douleurs, et se transformer petit à petit…
- Granger, Weasley et Thomas, cela ne m'étonne pas du tout. De gros looser en puissance qui vont jusqu'à faire du polynectar pour découvrir des secrets qui sont peut-être in existentielle. Maria et surtout Draco blanchirent.
- Merde, je leur ai dit où se trouver la cachette de mon père, jura Draco.
- Il suffira de dire à ton père de nettoyer le salon, dit Harry en s'approchant dangereusement des trois imposteurs qui gardait tête baissé. Marcus, va donc chercher le professeur Rogue, il sera ravi, quand a toi Pansy, va prévenir Dumbledore que trois de ces précieux Gryffondors ce sont égaré dans notre salle commune. Il désactiva et réactiva le bouclier.
- Granger, reprit Harry, j'espère pour toi que tu as pas profiter de cette situation d'être au masculin pour tester des choses…
- Sûrement pas, s'insurgea la jeune fille en rougissant.
- J'espère que ça t'as fait mal, ajouta avec sadisme Harry, le professeur Rogue a dit que la transformation de sexe est toujours douloureuse.
- Eh bien il avait raison, grimaça-t-elle.
- Bien sûr que j'ai raison, s'énerva Rogue, si tu peux retirer ton bouclier Harry, je t'en serais reconnaisant.
- Désoler Professeur, dit aussitôt Harry, il fit un geste de la baguette et le bouclier tomba.
Marcus et Rogue firent leurs apparition, les Gryffondors se ratatinèrent mais le summum fut atteint quand Dumbledore, suivit d'une McGonagall en fureur pénétra dans la pièce. On entendait d'ici les prières des trois Gryffondors. Harry leur fit un sourire narquois.
- Mais assoyez-vous, dit Harry d'un ton mielleux aux trois Gryffondors.
Ils tremblèrent et prirent place dans un canapé, McGonagall se planta devant eux, tandis que Rogue s'était assis pour admirer le spectacle, tout comme tout les Serpentards et Harry. Dumbledore prit place sur un fauteuil en face et laissa la sous-directrice faire le travail. Remus lança un regard compatissant aux trois Gryffondors avant de s'asseoir à côté d'Harry, qui jubilait. La miss parfaite au pied du mur, le rêve.
- JE PEUX SAVOIR CE QUI VOUS PREND, PENETRER DANS LA SALLE COMMUNE DES SERPENTARDS AVEC L'AIDE D'UNE POTION INTERDITE DE PLUS, hurla McGonagall. C'EST UNE ACTION IMPARDONNABLE, SACHEZ QUE LA TOTALITE DES POINTS DE GRYFFONDORS SONT ENLEVER, ET QUE VOUS ETES EN DETENTION JUSQU'A LA FIN DE L'ANNEE, VACANCE COMPRISE. VOUS POUVEZ AUSSI OUBLIER LES SORTIE A PRE AU LARD L'ANNEE PROCHAINE. Elle quitta la pièce rapidement, furieuse d'un tel comportement, mais elle revint aussitôt pour ajouter une dernière phrase qui assomma presque Weasley. ET JE VAIS DE SUITE PREVENIR VOS PARENTS PERSONNELLEMENT. J'ESPERE QUE VOUS LE RETIENDRAIS. Et elle repartie comme elle est venue. Rogue prit le relais, et Remus grimaça.
- Vous répondez à mes questions par des phrases simples, dit-il d'une voix doucereuse. Qui a eu l'idée du polynectar ?
- Moi, répondit Granger d'une voix étranglé.
- Qui vous a signé l'autorisation pour emprunter le livre qui permet la fabrication de la potion ?
- Le professeur Lockhart, répondit Thomas.
- Pourquoi avez vous voulu utiliser le polynectar ?
- On voulait savoir si Potter était vraiment l'héritier de Serpentard avec tout ce qui va avec.
- Où se trouvent Mr Crabbe et Mr Goyle ?
- Ils sont sous somnifère dans un placard près de la grande salle. Marcus et Pansy quittèrent aussitôt la salle pour les sortir de là.
- Et enfin… QUI A PIOCHE DANS MA RESERVE, hurla Rogue, très mauvais signe.
- Moi, couina Granger.
- Je crois que je vais me joindre au professeur McGonagall pour precher à vos parents la bonne nouvelle, dit le professeur Rogue d'un ton furibond.
- Juste avant, Severus, je vais ajouter une punition pour ces trois élèves, intervint Dumbledore, vous pourrez ainsi compléter Minerva. Les enfants, cette conduite est inacceptable est dangereuse, il faut savoir que le polynectar mal préparé est mortel. Vous êtes donc renvoyer temporairement de Poudlard, les elfes vont se charger des bagages.
Il claqua des doigts et trois elfe apparut, écoutèrent l'ordre du directeur avant de repartir.
- Le renvoie sera de deux semaines à partir des vacances, donc presque un mois, puis vous aurez jusqu'à la fin de l'année des retenues comme l'a dit votre directrice. Vous partez avec le professeur McGonagall, le professeur Rogue et Remus, si tu veux bien les accompagnés pour le transplannage. Ce dernier acquiesça légèrement. Rogue sembla satisfait des punitions et s'en alla.
- Suivez-moi vous trois, dit Remus d'un ton calme, je vais vous raccompagner à votre salle commune. Tu nous suis Harry.
- Sans aucun problème Remus, ditHarry en se levant, j'ai toujours des personnes à te présenter.
Ils partirent devant, discutant de Poudlard tandis que les trois Gryffondors chuchotaient entre eux derrière. Ils montèrent directement dans leurs dortoirs et Harry amena Remus près de George et Fred.
- Fred, George, dit Harry. Je vous présente Remus Lupin, connu sous le patronyme de Lunard et accessoirement le dernier des maraudeurs.
Les deux jumeaux se retournèrent vers lui, les os craquèrent et Remus fut aussitôt accaparé de tout part. Harry en profita pour visiter la salle commune où sa père et sa mère avait passé le plus clair de leurs temps il y'a 20 ans. Il entendit Remus éclaté de rire. Les trois Gryffondors redescendirent et Weasley regarda ses frères parlait joyeusement avec Remus Lupin qui les mit au courant de la situation des trois Gryffondors.
- Pas mal petit frère, dit Fred, tu nous as largement battus sur ce coup.
- Mais maman risque de taper plus haut et surtout plus fort, ajouta George, si tu vois ce que je veux dire, surtout qu'avec le coup de la voiture… Ron blanchit encore plus, battant presque les fantômes.
- Il faut toujours faire attention à ne pas dépasser la ligne de non retour, dit Fred, on ne doit seulement que l'effleurer, n'est-ce pas Remus. Il baissa la tête et dit qu'ils devaient y aller, il prit alors à part Harry.
- Je dois te dire que j'ai passé ma meilleure journée depuis la mort de tes parents, je te remercie pour m'avoir redonné la joie de vivre, et je vais te dire un secret. Il lui raconta alors le véritable aspect de la cabane hurlante, et comment y accéder par le saule cogneur. Ils s'étreignirent brièvement et ils disparurent par la porte de la salle commune.
- Eh ! Harry, on a besoin d'un expert en potion et d'une cape d'invisibilité pour faire une blague qu'on fait les maraudeurs à leurs débuts. Tu peux nous le donner.
- C'est tout comme, mais ne dépassons pas la ligne rouge, prévint Harry.
…ratée
TO BE CONTINUED…
VERY IMPORTANT :
J'AI CHANGER DE BLOG, LES RAISONS SONT EXPLIQUE LA BAS DANS LA PREMIER MESSAGE. POUR AVOIR LA NOUVELLE ADRESSE, ALLEZ DANS MON PROFIL AUTEUR, ATTENTION, JE M'ENGAGE A LE METTRE SOUVENT A JOUR.
NDA : Bonjour ! Je sais je suis très très lent, voilà donc pour vous faire ressourir pour les vacances un long chapitre qui vous auras plû je l'espère. Laissez moi des reviews s'il vous plaît et à bientôt.
